Démarche de l\'entretien psychologique PDF

Title Démarche de l\'entretien psychologique
Course Démarche de l’Évaluation Psychologique
Institution Université de Bordeaux
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Summary

Licence 3 psychologie
Démarche de l'entretien psychologique
Cours de Mme Prouteau...


Description

L3 Psychologie - S5.UE7 Démarche de l’évaluation psychologique Cours magistraux

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Le bilan clinique Méthode de l’examen en psychologie clinique A. Prouteau 14/09 8h de CM

Examen!: QCM, avec questions de cours extrêmement précises, notation assez sévère + Contrôle continu sur formatoile en décembre (QCM)!: il y aura aussi des questions sur le cours de M Bailara (entre 1/4 et 1/3) —> 30 min pour 40 questions. Savoir repérer les mots clés et les définir par cœur, savoir par cœur les étapes et savoir les décrire, connaitre les conditions d’application du bilan. La démarche de l’entretien et le bilan clinique vont de pair. + Partiel pour le cours de M’bailara. Bibliographie obligatoire!: Pedinielli JL!: Introduction à la psychologie clinique, 4ème édition, A. Colin 2016 notamment chapitre 2!: la méthode clinique et ses outils. TD : échelles de Weschler : application pratique. Enfant, adulte, personne âgée. Études de cas / démarche d’évaluation. Objectifs des cours : " I - Maîtriser les principes de bases du bilan en psychologie clinique

- Acquérir le vocabulaire de base (repérer les mots-clés et savoir les définir par coeur)." - Connaitre la démarche de l’examen en psychologie clinique" - Énoncer les différentes étapes de la démarche (Connaitre par coeur les étapes et savoir les décrire en quelques mots)."

- Etre capable de dire quels sont les objectifs? Et quelles sont les demandes auxquelles le psychologue va tenter de répondre? "

- Déontologie (connaitre les conditions d’application du bilan)." Même si on nous demande un bilan, il n’a pas forcément de sens pour ce patient là et n’est donc pas nécessaire."

II - Maîtriser les bases des échelles de Weschler (mesure du QI, de l’intelligence) C’est la base de la psychologie clinique. Ces échelles sont pratiquées dans toutes les spécialités de la psychologie. Il faut savoir administrer l’échelle et en donner une interprétation de base. " —> Base pour les stages"

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Le bilan clinique Méthode de l’examen en psychologie clinique

I - Le bilan en psychologie clinique $

A - Définitions : psychologie clinique

Qu’est ce que la psychologie clinique ? La psychopathologie et la psychologie clinique sont souvent confondues. " La psychologie clinique peut être de spécialités différentes : développement, santé, gérontologie, neuropsychologie (mais la démarche n’est pas tout à fait la même)." Tout ce qu’il y a de commun entre ces spécialités est une question de méthode. " La psychologie clinique est avant tout une question de méthode rigoureuse. On parle de psychologie clinique au sens international du terme. Elle regroupe les principes internationaux. C’est une méthode rigoureuse." C’est une méthode (la psychologie clinique) qui comprend le bilan, qui n’a pas de fin en soi. " Le bilan est souvent la première étape du processus thérapeutique. Parfois le bilan suffit à répondre à la demande. C’est pour ça qu’il faut que le bilan ait du sens. " Dans la plupart des cas, les patients viennent avec une demande floue et des difficultés floues. Dans le meilleur des cas, ils nous disent clairement quel est leur souci. Il faut tenter de comprendre le problème et de proposer une intervention. Le bilan sert a cela donc il doit avoir du sens. "

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a - Daniel LAGACHE (1949, L’unité de la psychologie, Paris, PUF).

«& On entend essentiellement par psychologie clinique une discipline psychologique basée sur l’étude approfondie des cas individuels. En termes plus précis, la psychologie clinique a pour objet l’étude de la conduite humaine individuelle et de ses conditions psychologiques (hérédité, maturation, conditions psychologiques et pathologiques, histoire de vie), en un mot, l’étude de la personne totale «!en situation!»!» . " La démarche de recherche est un entonnoir, on part d’une grande question, et on réduit la grande question à une toute petite question qui va être opérationnalisable. " La démarche clinique c’est l’inverse. Quelqu’un vient nous voir avec une petite question, floue et on va devoir ouvrir et élargir pour aller chercher dans tous les domaines des éléments de compréhension. " Ce n’est pas du tout la même démarche. " La démarche de recherche est réductrice, la démarche clinique c’est l’inverse. " Ce sont des positionnements intellectuels différents. " A tel point que l’on déconseille aux doctorants de faire de la clinique et de la recherche dans une même journée. Il faut faire plutôt une journée centrée sur la clinique et une journée centrée sur la recherche. C’est tellement des positionnements intellectuels différents qu’on ne peut pas passer très vite de l’un à l’autre.

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Citation : "

- «&L’étude approfondie de cas individuels& » : c’est un invariant, on le retrouve quelle que soit la -

définition ! on n’est pas en recherche, on ne travaille pas sur des groupes. On travaille sur des cas individuels donc intellectuellement, la démarche n’est pas la même. " «&Conduite&» : aujourd’hui on dirait comportement."

- «& Etude de la personne totale& » —> processus génétiques, maturation développementale, conditions psychologiques et pathologiques (facteurs de personnalité, facteurs environnementaux (systémiques, familiaux, etc.)). "

- Si on fait un bilan clinique, on ne réduit pas la personne à un niveau. Par exemple, un niveau

cognitif pour les neuropsychologues. On ne considère pas que les gens sont uniquement des systèmes cognitifs. Si on est trop réducteur, on augmente notre marge d’erreur, qui peut être considérable. La psychologie sociale a montré par exemple qu’on peut artificiellement conclure à la présence de déficits mnésiques chez les personnes âgées. Or, il n’y a pas de déficits mnésiques. On peut fabriquer nous-mêmes des troubles que l’on cherche à observer, donc il ne faut pas être trop réducteur. Il faut avoir une approche complexe et non réductrice. "

Pour bien faire, il faut avoir une approche complexe et non une approche réductrice. C’est difficile car on n’y arrive jamais complètement!!

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b - Juliette FAVEZ-BOUTTONIER (1959, La psychologie clinique : objet, méthode, problèmes, Paris CDU)"

La psychologie clinique est «&l’étude d’une personne singulière dans la totalité de sa situation et de son évolution& », soit «& l’approche contrôlée de l’homme par l’homme dans une situation d’implication&réciproque »." «& L’approche contrôlée de l’homme par l’homme dans une situation d’une indication réciproque& »&: quand on fait passer des tests, ce que l’on est à une influence sur ce que l’on va observer ou recueillir comme données. On ne peut pas s’extraire du fait que ce que nous sommes a une influence sur la situation d’examen psychologique. En tant que psychologue, il faut donc connaitre ses propres préjugés, connaitre ses limites (exemple&: pouvoir rediriger les gens si on ne se sent pas de les traiter), connaitre ses travers (il y a des populations qui nous attirent et d’autres pas du tout), travailler sur soi (savoir ce qui nous pose problèmes et pourquoi on a ce blocage là)." Il faut connaître nos propres biais. Essayer d'être le plus objectif possible : grosse erreur, on n’est jamais objectif et il faut construire à partir de cela. On ne peut pas être objectif car cela ferait de nous des machines. Il faut partir du principe qu’on est pas objectif et partir de là : connaitre ses préjugés, ses travers … " Exemple : Il y a des populations avec qui c’est difficile de travailler. Certaines populations nous fascinent et d’autres moins. Il y a des patients avec qui on est emphatiques et d’autres qui nous mettent mal à l’aise. Cela biaise notre jugement. Dans le bilan, il va y avoir une part de subjectivité, de jugement et il faut l’assumer, savoir qu’elle est là (cette part de subjectivité) et prendre des risques calculés. " Dans les conclusions d’un bilan, ne jamais parler à l’affirmatif mais toujours au conditionnel ou utiliser des phrases comme «&ces données / éléments semblent en faveur de …&». On ne peut pas être sûr de ce que l’on conclut. Il ne faut donc jamais être affirmatif. " Exemple!: le cas typique est la démence. On reçoit un patient avec une suspicion de démence. On dit que les éléments sont en faveur d’une démence. Ensuite, on dit qu’il faut un suivi à 6 mois ou 1

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an pour apprécier l’évolution du patient. Dans le cas où il y aurait une démence, au fur et à mesure du temps, l’état de la personne est censée s’aggraver. C’est une certitude. Le bilan est un engagement mais on ne peut pas être sûr de ce que l’on conclut.

Il faut connaitre nos propres biais. " Ce qui est nécessaire c’est d’échanger avec les collègues lorsqu’on n’est pas sûr de soi. Travailler avec des jeunes adultes pour des étudiants ou jeunes diplômés peut être extrêmement compliqué parce qu’on peut se sentir très proche de ces populations." Exemple : travailler avec des adolescents ou jeunes adultes est difficile pour des étudiants/ stagiaires car on se sent proche de cette population." Exemple : très compliqué de se retrouver face à un pair qui a subi un traumatisme crânien avec des séquelles. Beaucoup de jeunes adultes ont subi des traumatismes crâniens suite à des accidents de la voie publique. Les stagiaires se retrouvent face à des gens qui ont leur âge, qui étaient comme eux quelques heures auparavant et qui d’un coup, se retrouvent avec des déficits cognitifs énormes, qui ne pourront jamais travailler ou alors dans un environnement adapté. " —> C’est ce que la psychanalyse appelle cela les transferts et contre-transferts, la systémique appelle cela la résonnance. Cela fait partie de ce que l’on doit considérer. " Il faut apprendre à se connaitre en tant que psychologue et faire des intervisions (échanger avec des collègues). Quand on sent que l’on est pas très à l’aise/moins sûr de nous/qu’il y a quelque chose qui nous dérange, on va voir un collègue pour en parler avec lui. " On ne peut pas être objectif parce qu’on s’implique. La prof aime bien 2ème partie de la citation. On ne peux pas être objectif parce qu’on s’implique. "

Différence fondamentale entre la démarche de recherche et la démarche clinique :" Démarche (méthode) expérimentale (de recherche) : étude de groupe : démarche réductrice (en entonnoir)" - On veut étudier les invariants chez la personne. Pour cela on fait des études de groupe. Exemple : fonctionnement émotionnel, personnalité." - Approche centrée sur la variable (méthode statistique). Exemple : dépression, anxiété, estime de soi. " - Le but est de modéliser un processus psychique donc il nous faut plusieurs individus." —> Plusieurs personnes" Ici on veut étudier ce qui est invariant chez les personnes (une variable, un processus psychique). Donc on part du fonctionnement humain en général et on va réduire ce fonctionnement à un processus, une variable, un invariant. Donc on a une démarche réductrice. " En Psychologie ne on étudie es grands invariants dans le fonctionnement humain. On a une approche centrée sur la variable. " Le but est de modéliser un processus psychique. Il nous faut plusieurs individus pour modéliser un processus clinique. " Démarche (méthode) clinique : étude de cas : on part d’une demande puis on va élargir" - On veut étudier un individu - Approche centrée sur la personne (fait référence à une méthode et statistiques différentes de l‘approche centrée sur la variable). " - Modéliser un fonctionnement individuel avec plusieurs processi" —> Plusieurs processi"

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On part d’une demande/d’une question et il va falloir élargir à tous un tas de processi. C’est l’inverse d’une démarche de réduction." —> L’approche centrée sur la personne fait référence à une méthodologie et des statistiques différents de l’approche centrée sur la variable."

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c - Synthèse des définitions

- Le but est d’introduire la complexité dans une démarche clinique" - L’observation des problèmes des individus en situation naturelle (on ne peut pas tout miser sur le bureau). "

- Avec comme double exigence, la prise en compte : " - De la singularité de l’individu et " - De la globalité de la situation dans laquelle il est placé (l’individu est dans une situation

et il ne faut rien oublier qui soit essentiel). Il faut prendre en compte la globalité de la situation. C’est l’histoire des demandes type «&arbre qui cache la forêt&»." Exemple : demande de type «& arbre qui cache la forêt& » : parents qui amènent parents en consultation en disant que l’enfant a un problème. Souvent ce sont les parents qui ont un problème. Ce type de demande «& arbre qui cache la forêt& » est récurrent. Ces demandes sont toujours plus complexe qu’il n’y paraît. "

- Son principal intérêt est donc d’aborder des problèmes de manière large, en évitant tout réductionnisme. " Exemple : une famille amène un adolescent en pensant qu’il a des problèmes de comportement. Il est violent à la maison. Les parents pensent qu’il a un trouble du comportement et qu’il faut lui prescrire des médicaments. En creusant un peu, on se rend compte que les troubles du comportement sont présents uniquement en famille et que lorsque le père ET la mère sont là. " Ces demandes «! arbre qui cache la forêt! » sont récurrentes. Les parents viennent et demandent un bilan neuropsychologique par exemple. Or, le psychologue ne doit pas faire de bilan comme cela car il n’a pas de sens. Le psychologue n’a pas encore bien compris pourquoi ils sont là, ce qu’ils demandent et quelle est la meilleure manière de proposer une aide/un soutien. Les choses sont toujours plus complexes qu’il n’y paraît. Exemple : Agoraphobie (peur des espaces ouverts, de la foule dont on ne peut s’échapper). Les agoraphobes se mettent près des sorties dans les endroits fermés." Une phobie est un conditionnement qui a mal tourné." Il y a deux postures différentes : " - Posture des chercheurs en psychologie : le but va être de relier ce trouble à une ou plusieurs variables précises comme un trait de personnalité, l’âge, le genre, le fonctionnement émotionnel … de manière à opérationnaliser l’agoraphobie. " Il faut comprendre comment cette pathologie peut survenir chez quelqu’un, qu’est-ce qu’on sait des variables associées de manière à ce que le clinicien après puisse avoir des bases de référence pour comprendre comment cette pathologie s’entretient chez cette personne. - Posture du psychologue clinicien : le but est de resituer la phobie à l’intérieur de l’histoire de l’individu, de son fonctionnement psychique, et de ses relations avec lui-même. " —> Démarche globale, holistique. "

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La phobie a souvent une origine traumatique. A la base, il s’agit d’un conditionnement aversif qui a mal tourné. Il faut resituer la phobie dans l’histoire de l’individu. Dans certains types de phobie, la recherche a montré que moins le soutien social est important et plus certains symptômes sont graves. C’est comme si la recherche faisait une check-list pour aborder un trouble chez les patients. Elle énumère un certain nombre de facteurs de risque d’une pathologie Exemple : lorsque vous voyez un agoraphobe, pensez à vérifier ceci et cela car cela va déterminer si l’agoraphobie est sévère ou non. Elle va influencer la manière dont les gens vont répondre à une intervention thérapeutique. Elle donne les clés pour travailler. Il faut adapter ces clés à chaque individu. —> La question du clinicien est «& Comment comprendre que ce trouble arrive chez cette personne?& » ou chercher «& quelle fonction (comment cela permet à la personne de s’ajuster)? Quelle ressources pour y faire face? Quel sens cela à dans sa vie?&». " Cela arrive que des personnes s’accrochent à leur pathologie car elle leur permet des choses que l’absence de pathologie ne leur permettrait pas. " Exemple : le bénéfice secondaire. Il y a toujours des bénéfices secondaires dans n’importe quelle pathologie." Exemple : quand un enfant a la gastro. Il dit qu’il a mal au ventre et comme cela il reste à la maison, il attire l’attention de ses parents, ils sont plus indulgent avec lui. " Toute pathologie a un bénéfice secondaire (souvent), quelque soit la gravité de la pathologie. Abandonner un statut de malade quel que soit la pathologie c’est abandonner l’identité que cela a construit chez les gens. Parfois cela veut dire réinventer l’identité. Cela bouleverse les places de chacun dans la famille par exemple. Le sens est vraiment important. Peut importe la vérité, c’est ce que l’on raconte sur nous." La recherche nous donne des clés pour intervenir. Avec la méthode clinique on adapte ces clés en fonction de chaque individu. "

d - Ecueils

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- Allier la compréhension fine d’un individu, c’est-à-dire :" - Multiplier des angles d'abord - Utiliser sa subjectif (on est pas objectif). On ne peut pas être neutre, ni objectif, il vaut -

mieux être authentique. La neutralité bienveillante pose un problème. Rogers nous dit que cela ne sert à rien d’être neutre, il vaut mieux être authentique." L’idée d’une interaction entre deux personnes, donc cela se construit à deux. " L’idée de la complexité"

- Une démarche rigoureuse : validité de la démarche rigoureuse, quasi-expérimentale / scientifique avec des points de vigilance concernant la validité de la démarche et des outils, c’est-à-dire allier la complexité au réductionnisme. C’est encore plus dur que la recherche. La clinique allie complexité et bases scientifiques."

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e - Approches du fonctionnement psychique Pour faire un bilan clinique, il faut des approches du fonctionnement psychique. On ne peut pas aborder le bilan clinique sans modèle et théories sous jactentes. Le bilan clinique n’est pas athéorique. " Les modèles théoriques de l’approche du fonctionnement psychique : " - Modèle psychanalytique : il existe des conflits internes chez toutes les personnes, plus ou moins forts, qui grignotent plus ou moins d’énergie psychique chez les gens et donc qui provoquent plus ou moins de difficultés dans la vie courante. Le postulat central dans ce modèle est l’inconscient. Aujourd’hui on sait qu’il y a des processus psychologiques plus ou moins conscient. Aujourd’hui on le sait même dans les neurosciences. On a accumulé des preuves en faveur de l’existence de l’inconscient, mais pas tout à fait comme celui défini par les psychanalystes." —> Conflit internes, inconscient. " - Modèle cognitif : au sens de Beck (cognitivo-comportemental) fait référence aux modes de raisonnements, croyances, schémas. " - Modèle neuropsychologique : efficience cognitive : mémoire, attention, etc. On revient sur le découpage modulaire du fonctionnement psychique. " - Modèle systémique : basé sur le modèle humaniste et sur les théories de la communication et en psychologie sur le jeu des relations interpersonnelles. "

Est-il préférable de se baser principalement sur un modèle théorique lorsqu’on doit faire un bilan? Argumenter, pourquoi? Quels sont les ntérêts et limites? Il faut des modèles parce que pour chaque modèle il y a des outils, des échelles, des tests, des entretiens."

f - Outils et modèles Pour chaque modèle, il y a des outils (tests, échelles, entretiens). " Quels outils correspondant à quels modèles théoriques? " On n’emploie jamais un outil sans savoir sur quel modèle théorique il est basé. " Exemple : Les échelles d’estime de soi sont basées sur les modèles théoriques d’estime de soi. Les échelles ne sont pas équivalentes parce qu’elles sont basées sur des modèles théoriques différents. " Exemple : il y a plusieurs échelles d’anxiété mais en psychologie clinique on utilise souvent la STAI. L’intérêt est qu’elle donne une mesure de l’anxiété trait et une mesure de l’anxiété état. Cela permet de différencier les deux. " L’anxiété trait est comme un trait de personnalité. L’anxiété état est celle que l’on ressent au moment de l’examen dans un certain contexte, à un instant t. "

B - La méthode clinique Le support de la méthode clinique est le code de déontologie des psycholo...


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