Economie - Cours d\'économie du semestre 3 de DUT GEA GMO -CHAPITRE 1 : MONDIALISATION PDF

Title Economie - Cours d\'économie du semestre 3 de DUT GEA GMO -CHAPITRE 1 : MONDIALISATION
Course Economie
Institution Université d'Orléans
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Summary

Cours d'économie du semestre 3 de DUT GEA GMO
-CHAPITRE 1 : MONDIALISATION ET GLOBALISATION
-CHAPITRE 2 : MARCHE FINANCIER
-Chapitre 3 : la notion de politique économique
-Chapitre 4 : la création de la monnaie

...


Description

ECONOMIE « Le contexte général » CHAPITRE 1 : MONDIALISATION ET GLOBALISATION I.

La mondialisation des échanges

Dès la fin du 18ème siècle, des théoriciens classiques (libéraux) se sont intéressés à la question de la mondialisation des échanges tel que : SMITH (la richesse des nations où il indique qu’un pays a intérêt de se spécialiser dans la production d’un bien pour lequel il est productif, c-a-d qu’il va abandonner des productions au profit de productions rentables, il exportera les produits les + rentables et importer les produits pour lequel ce pays-là n’est pas rentable) et RICARDO. Ce dernier va indiquer le fait qu’un pays doit se spécialiser également. Au cours du 19 ème siècle où l’on observe l’apparition des manufactures, on commence à avoir la volonté d’exporter et d’importer.

Rappel : deux grandes révolutions industrielles ont eu lieu pour passer de la manufacture à l’industrie (la machine à vapeur + l’électricité)

L’industrie permettra ainsi une mondialisation des échanges. Aujourd’hui, cette mondialisation des échanges est favorisée par 2 grands éléments : o Le développement des transports o Les télécommunications o (La baisse quasiment généralisée des droits de douane, le fait que les monnaies soient fluctuantes…) Cette mondialisation des échanges possède 3 niveaux : o Échanges de biens et services o Echanges de capitaux o Echanges autour du facteur travail (flux migratoire par ex) II.

La financiarisation de l’économie

La sphère réelle renvoie à l’ensemble des échanges réels (c’est un échange de bien ou de service ou bien l’offre et la demande de travail  il va y avoir un échange réel entre les deux, l’entreprise va demander à un salarié une certaine quantité de travail) Les échanges de capitaux sont un échange réel aussi (si l’on achète une certaine qqté d’actions). Dans les échanges réels il y aura une contrepartie (la sphère financière). Dans des économies vivantes, il y a toujours une contrepartie financière à l’échange réel (sauf de très rares exceptions comme le bénévolat) mais il peut y avoir des échanges financiers sans échanges réels (ex : les marchés à terme).

Les flux financiers sont en moyenne 1200 fois plus élevés que les flux réels  Thf (trading à haute fréquence) Keynes avant d’être l’auteur des politiques économique travaillait à la bourse de londres, il maitrise donc bien toutes les questions autour du marché financier. Si on imagine 5 créatures et que le jury vote pour la créature qu’il trouve le + à son gout, le résultat à l’élection va être tel que l’on regarde les 5 créatures. C’est donc comme un agent qui va acheter une action orange juste parce que la personne aura observé que chez orange il y a un bon climat dans l’entreprise, beaucoup d’exportation, du profit… On se fit donc sur des critères réels pour pouvoir voter. Keynes nous dit que dans la finance actuelle que le concours de beauté n’est pas fondé sur des critères réels : il part du principe que les électeurs qui vont voter pour la créature qui finalement gagnera l’élection et bien ces électeurs-là vont obtenir une prime  logique d’anticipation ! On ne vote donc plus par rapport aux critères réels mais par rapport à ce que les autres vont voter. On va acheter un titre donné quand l’on pense que les autres vont faire comme nous.  On ne se fonde plus sur des éléments réels mais sur des éléments en termes d’anticipation III.

Crise financière ou crise de croissance

Est-ce que la crise actuelle est dû à la crise financière de 2007 des Subprimes ou bien est-ce une crise de croissance ? (Est-ce que l’on est condamné dans les pays occidentaux à des taux de croissance qui resteront toujours faibles ?) Titrisation : quand les banques prêtent et émettent un titre de créance. S’il n’y avait pas eu la crise financière est-ce que malgré tout on aurait une croissance faible ? Notre modèle éco actuel est fondé sur la croissance économique : quand on veut anticiper la conso des ménages, l’investissement des entreprises… et bien tous ces éléments-là sont liés à l’idée que l’on se fait de la croissance. La croissance impacte les recettes. On distingue en compta nationale la notion de résident et de non résident : C’est sur l’agent résident que l’on va calculer la croissance (c’est un agent économique qui a une activité économique depuis plus d’un an sur le territoire). Le non résident lui n’a pas d’activité économique sur le territoire ou alors il en a une mais depuis moins d’un an (ex : un touriste).

A partir de cela on va calculer le PIB, on cherche à mesurer la valeur ajoutée qui est produite à l’intérieur de pays et uniquement par les résidents. La valeur ajoutée = différence entre la production et les conso inter On va avoir 3 manières de calculer le PIB : o A travers le produit (on va faire la somme des valeurs ajoutée) o A travers la dépense (on va calculer la conso et l’investissement) o A travers le revenu (on va prendre la rémunération des salariés et l’excèdent brut d’exploitation) Ce qui est produit va générer un revenu, qui lui-même va générer de la dépense  c’est un circuit. Si on a une insuffisance de croissance il faut une politique de la demande : on va essayer de stimuler la demande en augmentant les revenus. On peut aussi estimer que l’offre est insuffisante, on suppose que l’on ne produit pas assez. On va donc utiliser une politique en direction des entreprises : on va favoriser que les coûts de production des entreprises diminuent. (Politique libérale) JB Say : « toute offre crée sa propre demande » > le marché va s’autoréguler, on va donc produire plus car si l’on produit plus les agents vont avoir plus de revenu et ils dépenseront davantage. Pour des économistes il faut rompre avec la logique de croissance (trouver d’autres critères que la croissance, trouver un autre modèle éco). CHAPITRE 2 : Méthode théorique qui soutend la recherche : plan scientifique dominant (loi de la gravitation en physique). En économie on a « u » un paradis de domino c’est le paradis de Keynes. En économie se fondait sur l’analyse de Keynes une analyse dominante. I.

La prédominance des logiques de marché

I.1 Le pouvoir économique se situe dans les entreprises et dans le marché Le pouvoir éco aujourd’hui du fait du libéralisme ne se situe plus au niveau de l’état. Difficulté aujourd’hui de conduire des politiques économiques. On est aussi dans un monde globalisé  beaucoup d’échange avec la mondialisation. La globalisation c’est le fait qu’une entreprise n’a plus d’appartenance nationale. Ex : des entreprises américaines installées en France

Quand on parle du libéral on parle aussi de la politique de l’offre qui va promouvoir l’entreprise mais qui va aussi être amené à diminué la fiscalité de l’entreprise. Si l’on baisse les fiscalités, on baisse les recettes de l’état  on augmentera alors le déficit public car toute chose égale par ailleurs. Si l’on favorise l’entreprise, si on s’arrange pour baisser ses coûts de production, dans ce cas-là l’objectif devrait être de produire plus et cette production devrait être consommée et exporté.  Toute offre crée sa propre demande Deuxième argument (l’ouverture à la concurrence) : pour que l’offre fonctionne il faut stimuler/ développer, considérer que la concurrence doit être la plus grande possible. La politique de l’offre s’adapte dans un monde de concurrence. « La concurrence libre et parfaite » suppose le respect des 5 règles : atomicité, libre entré et sortie des produits, homogénéité, transparence de l’info (le prix est vecteur d’info) et la mobilité des facteurs de production. Dans les mesures de politique éco qui ont déjà été mises en place, il y a le secteur des transport (réglementé comme le transport ferroviaire) qui a été ouvert à la concurrence (OuiBus, Flexibus…). Question de l’ouverture le dimanche > magasins qui vont être dans le système concurrentiel Exemple : Diminution des droits de mutation (les frais de notaire). Lorsqu’un bien souvent immobilier passe d’un propriétaire à un autre l’état va prélever une partie des droits de mutation. SI l’on abaisse les droits de mutation cela pourra favoriser les propriétaires de vendre ou les acheteurs d’acheter. Aujourd’hui le prêt entreprise est possible : une entreprise A peut preter de l’argent à une entreprise B (nouveauté depuis 2016)  logique de développement de la concurrence Rappel : l’entreprise va créer de la richesse, elle crée de la richesse réelle. Elles ne sont plus financées aujourd’hui par l’emprunt mais par le marché des actions (action = titre de propriété, lorsqu’on détient une action à ce moment-là on devient propriétaire de l’entreprise pour la somme que l’on a engagé). On achète une action parce que l’on veut prendre le contrôle de l’entreprise + on veut du revenu (on l’obtient en partie grâce à la qualité de l’entreprise, mais aussi grâce au modèle du concours de beauté.)  Le marché va déterminer la valeur de l’entreprise I.2 Le marché Remettre la définition du marché + les mouvements des courbes de demande

Les grands axes de la loi sur la croissance, l’activité et l’égalité des chances (loi du 6 Aout 2015 mais appliqué en Aout 2016) c’est ce que l’on va appeler la loi Macron : On va dans cette loi : o Faire la promotion de la concurrence (les centres de permis agrées sont maintenant en concurrence). o Exiger la transparence des prix sur les hôtels o Exiger la flexibilité des prix o Promouvoir les accords d’entreprises (prémisse des ordonnances promulguées au mois d’Aout 2017 = c’est à l’entreprise de négocier avec les partenaires sociaux toute la partie salaire, rythme de salaire). II.

Optimisation de l’intérêt privé et de l’intérêt général

Dans le paradis libéral, l’idée de base c’est que chaque agent doit optimiser son intérêt privé et selon les libéraux cela va conduire à l’intérêt général. Le consommateur maximise son utilité et le producteur maximise son profit. Le processus qui va permettre de passer de l’intérêt privé à l’intérêt général c’est le marché. On revient alors toujours à l’équilibre via des prix qui sont flexibles. Seul le marché est susceptible de ramener l’économie à l’équilibre  besoin d’une politique minimale Il y a 2 catégories de libéraux : o Ceux qui pensent que le marché peut avoir des défaillances  il va falloir préparer le marché o Ceux qui pensent que malgré tout (même si on laisse faire le marché) alors on aura retour à l’équilibre  Ceux qui pensent que le marché est inapte de revenir spontanément à l’équilibre  alors il faut mettre en place des politiques économiques pour revenir à l’équilibre. III. Politiques économiques et financement de l’économie 1.1

Les éléments de contexte Chapitre 3 : la notion de politique économique

Economiste : Guillot, Jacques atoli La macro économie est l’étude des mécanismes de production de consommation et d’échange dans une structure sociale donnée et de l’interaction entre ces mécanismes et cette structure. Dans la macro on va étudier : des mécanismes et des phénomènes d’intervention

On va parler des mécanismes de production, des mécanismes d’échanges ils vont venir interagir avec les structures sociales. Il va y avoir des systèmes fiscaux, de protection sociales… I.

La politique économique

Définition : Ensemble de règles visant à améliorer les résultats économiques d’un pays ou d’une région. Elle se définit aussi comme un ensemble de décisions cohérentes prises par les pouvoirs publics et visant à l’aide de divers instruments à atteindre des objectifs afin d’orienter l’économie dans un sens souhaitable. Cadre normatif (va s’attacher à mettre des normes, à dire ce qui devrait être : si on baisse les APL de 5€ on devrait obtenir ce résultat) ≠ cadre positif (l’économie va s’attacher à décrire ce qui est) Les politiques éco rentrent presque toutes dans le cadre normatif. On va les inscrire dans un cadre géographique (le pays dans lequel on est, le cadre européen…). On va ainsi appliquer en interne c’est-à-dire en France des règles européennes. Par ex aujourd’hui le gouvernement cherche par tous les moyens de réduire le déficit public  règle posée par l’UE) Cette politique va s’inscrire dans quelque chose de beaucoup plus large : mondialisation des échanges et globalisation financière. Pour conduire une politique éco, il faut un organe politique bien déterminé : mais pas d’organe politique mondial. On a des institutions internationales (FMI, Banque mondiale…) mais ces organes ne sont pas a proprement parlé des organes politiques et donc on voit bien la difficulté de mener une politique éco. En Europe : plus subtile  on a le conseil européen, le parlement européen qui fait organe politique. Deux grandes politiques éco : o Monétaire (coordonnée par la banque centrale) et va s’imposer dans tous les pays de l’union o Budgétaire (elle n’est pas coordonnée, chaque pays de l’union peut faire sa propre politique budgétaire). La seule chose qui va être coordonnée c’est les critères de convergence. Ils sont au nombre de 4 : ● réduire le déficit public à moins de 3% du PIB (le déficit public s’entend au sens large c-a-d on intègre le déficit de l’état et le déficit des régimes de protection sociale dans la notion de déficit public européen. ● la dette publique doit être inférieure à 60% du PIB (en Fr, la dette aujourd’hui se situe à 87% du PIB). ● Il faut que le taux d’inflation se situe dans une limite raisonnable. ● le taux d’intérêt doit se situer dans des limites raisonnables

II.

Les ≠ politiques économiques

On modélise l’éco sous forme d’un circuit. Soit on va regarder ce qui se passe du côté du produit (comment on crée de la valeur de richesse) soit on regarde l’éco à partir des revenus générés (par rapport au PIB) ou bien par rapport à la demande. Rappel : Toutes les activités bénévoles, domestiques et économie souterraine/ production informelle (travail au noir, traffic…) peuvent être créatrices de richesse mais ne sont pas prises en compte. La politique de l’offre ⇾ Courbe de Laffer : économiste américains (trop d’impôt tue l’impôt). Laffer nous dit que si un gouvernement veut augmenter le taux d’imposition, il va mettre dans sa loi de finance au lieu d’avoir un impôt de 20% il le passera à 22%. SI l’impôt augmente les recettes fiscales, alors le déficit fiscal diminue. Dans ce cas où les agents voient leur impôt augmenter ils vont avoir un comportement différent qui vise à payer moins d’impôt (les entreprises vont optimiser les coûts fiscaux) donc ce qui est au début une augmentation des recettes fiscales va se transformer en une baisse. La politique de la demande ⇾ On va stimuler la demande : ces politiques-là sont d’inspiration Keynésienne. Comment stimuler la consommation ? On va travailler sur l’investissement. On a 2 types d’investissement : l’investissement autonome (on le fait indépendamment de la situation éco) ≠ l’investissement induit par la conjoncture éco (dans les années 80, on a beaucoup relancé les entreprises car elles avaient des machines qui avaient mal vieillis : mauvaise production : on a donc pratiqué une politique d’investissement). Dans la politique de demande il y a la politique budgétaire, monétaire et externe. Un élément qui va dans la politique de la demande et la politique de l’offre : on va les mener de façon contra cyclique (à contre cycle). III.

Les politiques conjoncturelles et structurelles

Les politiques conjoncturelles visent à changer la conjoncture. De plus, ce sont des règles qui vont permettre de modifier les résultats économiques. Les politiques conjoncturelles sont liées à l’anticipation des agents. Ex : on veut favoriser l’emploi, au bout de deux propositions refusées à pôle emploi on va stopper leur indemnité. Ex : Sur la baisse des impôts, Keynes nous disait qu’elle était moins efficace que l’augmentation des prestations sociales. Quand les agents perçoivent une baisse des impôts, ils anticipent que les impôts vont augmenter plus tard et donc au lieu de consommer le surplus de revenu ils vont les épargner (ce qui ne relance pas la demande) jusqu’à ce que les impôts aient raugmenter.

Les politiques éco tournent autour du carré magique (l’inflation, l’emploi, commerce extérieur). Il y a des politiques conjoncturelles qui sont de moyens/ long terme (ex : la baisse de l’inflation est une politique que l’on conduit depuis 30 ans). Les politiques structurelles ont pour but de changer les conditions de fonctionnement du marché ou de l’économie. SI demain l’état décide d’augmenter les droits d’inscription  politique structurelle IV.

La notion d’objectifs et d’instruments

On va utiliser des instruments, des outils. Ce qui rend compliqué les choses c’est qu’il y a parfois des instruments contradictoires : on veut en même temps moins d’inflation et moins de chômeurs. On va alors par ex baisser le t% d’inflation, pour ça je vais créer moins de monnaie. Cependant s’il y a moins de monnaie on va limiter l’activité éco, ce qui aura comme conséquence de moins produire, ce qui va augmenter le nombre de demandeur d’emploi. Imaginons que l’on veut relancer l’activité éco, pour ça on a un moyen : augmenter la masse monétaire, ce qui va créer de l’activité éco. Sauf que cela va également générer de l’inflation, cette dernière qui peut ralentir l’activité éco. Il faut arriver à trouver le juste équilibre entre tel et tel instrument. V. V.1

Etat et politiques éco Le rôle de l’état

Chez les auteurs classiques/libéraux : Pour eux, il y a des lois naturelles qui ramènent le marché à l’équilibre (processus de main invisible) et donc l’état est perçu comme entravant l’activité économique. Les missions de l’état vont être régaliennes (police, armée, justice). L’état n’a pas le rôle chez les classiques de redistribution des richesses (il y aura une fiscalité minimale, pas forcément de protection sociale…). Il y a une place pour les services publics lorsque la production privée n’est pas profitable (courrier postal). Enfin l’état est là pour mettre des lois qui vont promouvoir la concurrence. Chez les auteurs Keynésiens : L’état va répondre à quelque chose d’important : pour Keynes il n’y a pas de retour automatique de l’économie à l’équilibre. Il n’y a pas d’ajustement possible par les prix pour lui. Forcement selon lui, il y aura un SOUS EMPLOIS DES FACTEURS DE PRODUCTION : L’offre de facteur est a priori supérieure à la demande de facteur. La politique va donc jouer sur l’augmentation des quantités de facteurs.

Pourquoi Keynes est considéré comme un économiste de la demande ? car pour lui si on relance la demande de bien et service et bien on va relancer la demande de facteurs et donc l’économie. Les politiques de demande vont porter sur la consommation, l’investissement et commerce extérieur. L’état est un véritable acteur économique il va favoriser la hausse des revenus (hausse du SMIC par ex), l’emploi public et les politiques de grands travaux. Inconvénients : ☞ + de dépenses publiques et donc + de déficit public ☞ augmentation de la dette publique. ☞ favorise l’effet d’éviction (quand on a une dette publique, l’état va emprunter, cela va augmenter les taux d’intérêts : ainsi les entreprises privées vont être découragées d’investir. ☞ fondé sur l’état de croissance : comment augmenter les revenus s’il n’y a pas de croissance ? Comment augmenter la production s’il n’y a pas un minimum de croissance ? Les entreprises françaises produisent moins aujourd’hui car elles pensent que les agents fr vont moins consommés, elles n’investissent pas ou pas assez. 5.2 Les services publics  La raison des services publics Les services publics sont producteurs de service, le plus souvent des services non marchands. On a le service non marchand qui est gratuit ou quasi-gratuit et pour valoriser sa production en comptabilité nationale on va utiliser le coût des facteurs de production. 3 types de services publics :  Services publics de l’état  Services publics des collectivités territoriales (les régions, les départements, les agglomérations, les communes)  Service public hospitalier Rôle : Le service public va normalement réduire les inégalités. Il a également un rôle d’aménagement du territoi...


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