Épistémologie de la géographie PDF

Title Épistémologie de la géographie
Course Géographie
Institution Université de Rennes-I
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Notes de cours sur l'épistémologie de la géographie. Utile pour réviser les cours de géographie pour la licence, le CAPES ou l'agrégation....


Description

Géographie : épistémologie Epistémologie désigne la science du savoir : une réflexion sur la science en 2 axes : -

Réflexion sur l’histoire de la discipline Réflexion sur ses composantes (pourquoi la géographie est une science ?)

Comment la géographie est apparue, s’est développée, a crée des concepts, des analyses ? La géographie a eu de nombreuses définitions au cours du temps, montrant des différentes épistémologies. Une science se définit par : -

Sa finalité : son apport à la société Son objet : ce qu’elle étudie Ses problématiques et hypothèses Ses méthodes d’analyse, ses concepts

La didactique : science étudiant le processus de transmission et d’acquisition d’un savoir : en situation scolaire mais aussi en formation continue. Didactique veut expliquer le rapport entre l’enseignement d’une science et son apprentissage : comment transposer un savoir savant (issu de la recherche) en savoir scolaire ? L’enjeu est l’efficacité de l’enseignement. Un triangle se crée entre savoir/maître/élève. Chap I : La naissance d’une école française de géographie 3 choses sur l’état de la géographie : -

Géo émiettée : des courants de pensée contradictoires. De multiples objets d’étude. De plus, la façon de faire la géographie a évolué et est encore très diverse. Un éclatement : surtout au niveau de la recherche : très spécialisée : d’où un risque d’éclatement. Il faut des concepts fédérateurs pour l’unité de la discipline. Difficulté à enseigner : pas de tension dramatique, pas d’effet de mode.

I. La géographie avant 1870 A. Histoire de la géographie Pour LACOSTE, les géographes ont toujours existé. Au sens étymologique, la géo est l’écriture de la Terre (d’où lien avec la cartographie). La géo est d’abord faite par les marchands devant définir les routes, les côtes, les coutumes. La géo est faite dans ce but de l’antiquité au MA (Pythéas, Strabon, Ptolémée). Puis des géographes dans les cours royales afin de borner les territoires des princes : ils ont alors un rôle politique avec une dimension mathématique de la discipline. 2 aspects de la cartographie : littéraire (pour décrire avec des mots) et mathématique (débouchant sur des ingénieurs cartographes). B. Une géographie scolaire 1er programme d’enseignement de géographie en 1865 par Victor DURUY : la nomenclature est alors apprise par cœur. Un changement en 1870 avec la défaite de Sedan attribuée à la

méconnaissance du terrain : le rapport Levasseur montrant la faiblesse cartographique de l’Etat-major. La géo scolaire avait alors 3 finalités : -

Une finalité républicaine : conforter la 3ème RF avec sa structure : une géographie de la France montrant harmonie du pays, du climat. Finalité patriotique : regard fixé sur l’Alsace-Lorraine perdue en 1870 Une finalité coloniale : France veut montrer son pouvoir par ses conquêtes coloniales.

Ainsi, 3 finalités sous la démarche scientifique : aucun rapport avec la science, la formation d’esprit scientifique et des analyses rigoureuses. II. L’essor d’une géographie universitaire Géographe doit décrire le cadre naturel des civilisations. Mais exception avec Elisée RECLUS (1830-1905) : il énonce les 1ères formulations de géographie, ses objets d’étude. Il publie une géographie universelle en 19 volumes mais n’est jamais vraiment reconnu car c’est un anarchiste, opposant au coup d’Etat de 1851. Puis double influence intellectuelle sur la géo : -

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Le darwinisme : DARWIN (1809-1882) accompagne une mission à l’Ile de Pâques où il trouve théorie de l’évolution de l’espèce qu’il rédige en 1859. Il donne idée d’une sélection naturelle des espèces selon leur faculté d’adaptation au milieu naturel. Le moteur de l’évolution est donc le milieu naturel : les géographes s’y intéressent donc rapidement. Le positivisme d’Auguste COMTE : développement de l’humanité grâce aux progrès techniques : la science permet l’évolution. C’est une idée unique jusqu’en 1960 et le rapport sur la croissance 0 : le géographe doit donc étudier le rôle du milieu naturel sur l’homme.

III. Débat épistémologique entre RATZEL et VIDAL DE LA BLACHE A. Friedrich RATZEL RATZEL écrit l’Anthropogéographie (1882-1891). La taxonomie est le classement des objets d’étude d’une discipline. Anthropogéographie montre que les sciences de l’homme reprennent le modèle des sciences naturelles. La géographie humaine doit étudier les rapports entre l’homme et le milieu : faire une écologie humaine. RATZEL est influencé par le darwinisme : « la géographie humaine est une anthropologie spatiale » : il fait un classement selon les types de sociétés. Le mode de vie découle pour lui de l’adaptation aux contraintes du milieu. Si c’est l’unique facteur, alors c’est un cas de déterminisme naturel. Ces conceptions persistent longtemps dans les programmes scolaires : études des milieux éloignés notamment par le biais de l’histoire pour montrer comment les sociétés se sont adaptées au milieu. B. Paul VIDAL DE LA BLACHE (1845-1918) Dans un texte, VIDAL revient sur un objet de débat : l’unité de la France serait fournit par la nature (déterminisme naturel) ou par l’histoire (déterminisme historique). Pour comprendre les rapports entre l’homme et la nature, un des 1 ers facteurs serait l’unité géologique. Il examine également la flore et la faune et réfute l’idée d’une unité du climat (en reprenant

MICHELET). Il réfute aussi le déterminisme naturel : « la nature propose, l’homme dispose » : la nature donne des possibilités et l’homme aménage selon son progrès : c’est ici la définition même du possibilisme vidalien. IV. Le paradigme vidalien A. Le paradigme Paradigme est une ensemble d’idées ou de lois qui définissent un problème et visent à apporter des solutions à un problème posé à un moment donné, et reconnu par tous les chercheurs (Ex : la dérive des continents, la tectonique des plaques). Paradigme vidalien fondé sur : -

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Un projet scientifique pour établir des lois sur la répartition des hommes sur Terre. Une méthode inductive sur 2 niveaux : on approfondit la connaissance de chaque région (d’où une géographie régionale) avec observation, puis on en tire un principe général. Plusieurs concepts : milieux, paysage. La région est un objet géographique essentiel. Les découpages sont fondés sur la géo physique avec notion de régions naturelles. La géo vidalienne veut montrer commence chaque région se distingue de sa voisine au sein d’une France qui est unique.

VIDAL veut faire de la géographie une science : pour cela, il lui faut trouver des lois. Il suit une démarche inductive, du particulier à une loi générale. On assiste à la création de grandes régions naturelles, divisées en plus petites en se fondant sur le milieu naturel. Les régions vidaliennes sont caractérisées par leur homogénéité. B. La géographie vidalienne C’est la géo apprise jusqu’en 1960. Elle se base sur l’homogénéité de paysage pour définir des régions : d’où l’importance de l’observation. Les paysages sont caractérisés par le milieu naturel (d’où une géo physique), la végétation et les aménagements des hommes (variant selon les sociétés). VIDAL a eu des postes importants, a influencé beaucoup de chercheurs : de grandes thèses régionales, des monographies, chaque chercheur étant spécialiste d’une région. Ex : Emmanuel de MARTONNE, expert pour les Balkans après 1917. Il publie un Traité de géographie, fonde l’agrégation de géo en se basant sur la géo vidalienne. Il est également le fondateur de la revue des Annales de géographie. Pour lui, la géographie régionale est la discipline reine de la géo française : il inverse donc le projet vidalien, car si la géo régionale est la discipline reine, elle devient un objectif : on a donc un détournement du projet vidalien. Il subit progressivement des critiques, notamment celles affirmant qu’aucune science n’est possible en se basant sur du particulier.

Chap II : La géographie appliquée ou active I. Les principes A la fin de la 2GM, contexte de reconstruction des années 50 : des débats sur s’il faut reconstruire pareil ou mieux agencer les choses : d’où la question de répartir les activités entre Paris et les zones rurales (J-F GRAVIER, Paris et la désert français, 1947). Après la guerre, la France instaure un plan quinquennal pour la reconstruction. Mieux reconstruire demandait un aménagement volontaire. Finalement, presque tout est reconstruit pareil : d’où un renforcement des disparités et un besoin de recherche sur les transports. Or la géo vidalienne est surtout une géographie physique. On assiste donc à l’émergence de nouveaux besoins pour l’aménagement du territoire. En 1930, tentatives de New Deal avec projet d’aménagement du bassin du Rhône comme la Vallée du Tennessee. Cet aménagement était donc prévu avant guerre, le projet est repris après. Question pour comment aménager en tenant compte du découpage départemental (car le Rhône est une limite départementale : d’où nécessité d’une régionalisation. Dès les années 60, une réaction contre le centralisme de Paris : des mouvements régionalistes. Mais des débats sur limites des régions avec géographes qui voulaient polarisation régionale (une richesse polarisée par les villes). Mais c’est un échec et la régionalisation s’est appuyée sur un regroupement départemental. II. Les grandes thèses 2 ouvrages importants : -

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1960 : PHILIPPONNEAU, Géographie et actions : introduction à la géographie appliquée. PHILIPPONNEAU était expert pour l’aménagement en Bretagne et son désenclavement : création de deux voies rapides en Bretagne plutôt qu’une autoroute. 1964 : P. GEORGE, Y. LACOSTE, Géographie active. Idée d’intervention pour l’aménagement du territoire : action politique et idéologique : vision marxiste des aménagements. D’où de nouveaux thèmes d’études : géo économique, intérêt pour les flux d’échanges, urbanisme, relations villes/campagnes : début années 60, la 1ère thèse d’analyse régionale est différente de la géo régionale classique.

Un texte de JUILLIARD : il examine la géo à son époque. Les géographes étaient alors spécialistes du paysage. IL examine si la notion de région équivaut à la notion de paysage. Pour cela, il examine la géo vidalienne, la région étant alors caractérisée par un paysage homogène. Si l’espace est conçu comme flux d’action de l’économie, cela donne alors une nouvelle conception de la géo avec les concepts de polarisation, d’aires d’attraction. Les nouveaux centres d’intérêts géographiques veulent traduire l’organisation de l’espace. On assiste alors à un nouveau découpage en régions fonctionnelles avec l’importance des centres polarisateurs : l’analyse régionale est différente de la géo régionale. Cela débouche sur la filière de l’aménagement.

Chap III : La géographie quantitative (ou « néo positiviste ») I. Les précurseurs Précurseurs se trouvent dans l’économie spatiale allemande : -

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VON THÜNEN : en 1826, il donne un ouvrage sur le modèle théorique de répartition des productions agricoles par rapport à la distance au marché. Le but est de minimiser les coûts. Cela débouche sur des représentations graphiques : la culture demandant le plus de soin près du centre, puis couronne des cultures céréalières, puis la forêt, puis les landes pour l’élevage extensif. Alfred WEBBER : en 1909, il publie un modèle théorique sur la localisation de l’industrie en fonction des transports : localisation déterminée par coût de transport des matières premières, puis le transport du produit au marché. Ex : pour la sidérurgie, demandant du charbon et du fer : l’industrie doit se trouver à même distance des matières premières et au 2/3 de la distance au marché : c’est le triangle de WEBBER. Ce modèle n’est pas utilisé en France, mais beaucoup repris par l’URSS avec les kombinat. W. CHRISTALLER : donne en 1933 un modèle sur la répartition et la taille des villes dans un espace donné et les services tertiaires qu’elles offrent : un pavage hexagonal de l’espace. Il étudie le cas du Bade-Wurtemberg, l’implantation de villes malgré le relief. En fonction des services, il crée une hiérarchie urbaine. Les zones d’influence s’emboitant alors les unes dans les autres : un modèle géométrique.

Beaucoup de ces chercheurs partent aux EU en 1933 et développent le courant de l’écologie urbaine. II. Le relais américain : l’école de Chicago Les chercheurs sont marqués par la dynamique urbaine : ils voient l’organisme urbain comme un urbanisme vivant : des besoins en ressources et des hommes les rejetant : une écologie urbaine. -

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BURGESS en 1925 propose un modèle radio-concentrique fondé sur la répartition des catégories sociales selon le prix du foncier : au centre, les terrains chers et immeubles en hauteur, puis une couronne de transition où se sont concentrés les 1ers immigrés (vieux faubourgs), puis les quartiers résidentielles et agricoles. HOYT en 1939 propose un modèle sectoriel avec grand rôle des axes de communication autour desquels se regroupent industries et pops. De plus, des secteurs tournés vers le centre complexifiant l’organisation spatiale urbaine. HARRIS et ULLMANN en 1945 avec un modèle polynucléaire.

Mais problème : ces modèles ne tiennent pas compte de la géographie physique. L’espace lyonnais correspond aux modèles théoriques mais est perturbé par les percées haussmanniennes. Ainsi, le modèle est valide mais nécessite de gommer le relief.

III. Diffusion dans le monde francophone A. Description Diffusion au Québec et Belgique avant d’arriver en France. IL faut donc souligner le rôle des échanges franco-québécois dès 1960 (comme avec PINCHEMEL). Pour J-B RACINE, la géo doit être une discipline scientifique. L’objet est d’étudier les liens entre société et nature : il faut pour cela une méthode scientifique : des hypothèses devant être validées par des observations. Il faut s’appuyer sur des concepts généraux comme « structure » ou « système ». La géo est alors très influencée par des courants de pensée comme la philosophie du structuralisme. Les caractères épistémologiques sont : -

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Une méthode hypothético-déductive : une discipline monothétique (recherche d’éléments semblables) et non idiographique (s’appuyant sur du particulier comme avec VIDAL). Des concepts nouveaux et un nouveau vocabulaire de l’analyse spatiale (la ville comme pôle, la région devient une aire + concept de mondialisation, chorèmes) : une rupture idéologique entre deux traditions de la géographie. Le concept majeur est l’espace : une analyse spatiale par l’étude de statistiques. La nouvelle géographie étudie l’organisation de l’espace. Cela a plusieurs conséquences :

Apparition de modèles théoriques d’économie spatiale tenant peu compte du milieu naturel (d’où une scission entre géo physique et la géo humaine) + fin de la géo régionale et passage à l’analyse régionale pour la nouvelle géo + La géo devient science sociale alors qu’avant c’était une science naturelle. B. L’évolution de la géographie quantitative La géo quantitative évolue vers l’analyse spatiale en s’appuyant sur des modèles théoriques. Influence aussi de Roger BRUNET voulant une culture géographique. Sa thèse montre comment Toulouse polarise sa région. Il participe à une collection de géographique régionale. Il développe une science de l’espace : il faut des lois, un vocabulaire, qu’il synthétise dans l’Alphabet des chorèmes : il reprend les types d’organisation de l’espace et les signes de la sémiologie : c’est une grande réussite dans le secondaire car idée de simplification maximum. Sa pertinence : une géo scolaire inversant la procédure face à la géo savante : 2 géographies. La géo scolaire va directement au résultat de l’analyse, économise les moyens : d’où un conflit didactique. La méthode scolaire est alors contraire à la formation scientifique comme pour la géo vidalienne. Mais la nouvelle géographie est imparfaite : elle connait des succès en pays socialistes car porte sur la structure et la géométrie de l’espace. Mais cette géo évacue souvent l’homme : volonté d’une géographie neutre rejetant la géo traditionnelle.

Chap IV : Les années 1970 : trop de géographie ? La crise de la géographie Eclatement de la géo, perte d’unité car on ne savait pas où classer cette discipline. Cela entraine un éclatement en multiples courants épistémologiques avec des réactions contre la géo classique. I. La géographie radicale A. Les principes C’est une géographie faisant critique sociale : les années 60 sont période de croissance économique : on commence à critiquer les effets comme la hausse des inégalités (ex : révolte des ghettos à Los Angeles en 1965). Influence aussi pour cela de la sociologie et des livres de critique urbaine. Ex : Monopolville de CASTELLS : critique des aménagements de l’Etat. L’espace devient un produit de la société : un monde de conflits avec des espaces socialement différenciés. D’où de nouveaux thèmes d’étude : -

Les rapports villes/campagnes, centre/périphérie Les phénomènes de ségrégation sociale et spatiale, les stratégies spatiales.

Naissance de la géo spatiale : comment un groupe social utilise l’espace pour sa promotion sociale : des stratégies spatiales comme avec la carte scolaire. B. La géopolitique de LACOSTE Années 70 sont période riche. Création de revues géographiques : Hérodote créée par Y. LACOSTE en 1976. LACOSTE marque les années 70, relance la géopolitique contre la géo quantitative. Il pense que la géo n’est pas neutre, peut avoir un impact. La géo a selon lui produit un savoir sur l’espace donnant du pouvoir dessus : ce pouvoir ne doit pas être monopolisé mais démocratisé d’où l’intérêt de l’école. LACOSTE montre que la géographie est un enjeu de pouvoir. Ce sont les Allemands qui ont inventé la géopolitique avec l’expansion pangermanique repris ensuite par les Nazis : la géo allemande s’est ainsi compromise. La géopolitique se poursuit ensuite chez les successeurs de LACOSTE. En 1968, l’université critiquée éclate. Une université est créée à Vincennes formant des contestataires. LACOSTE y est formé. 2 courants de géopolitique -

La radicale : porte sur l’interaction entre politique et espace géographique : dimension stratégique de l’espace. Courant militaire : dans les états-majors, pas la même idéologie.

La géopolitique a renouvelé la géo surtout pour les problématiques : les problématiques sont alors posées en termes d’enjeux.

II. Une géographie comportementale et phénoménologique A. Les perceptions Vient d’un courant de philosophie s’intéressant aux perceptions : théorie du behaviourisme. Cette approche privilégie les processus cognitifs individuels de la réalité ou des pratiques sociales. Idée que la réalité n’est pas perspective objectivement : des filtres biaisant la réalité. Les filtres sont d’ordre culturel ou affectif : pas de réalité objective mais des représentations. On ne peut donc avoir qu’une représentation de l’espace. Représentations : corpus organisé de connaissances grâce auxquelles les hommes rendent la réalité intelligible : des images mentales. La géo traite de la structuration de l’espace : les cartes mentales deviennent essentielles pour comprendre les comportements dans l’espace. Texte de GALLAIS : géographes montrent que l’organisation des villes et les pratiques dans l’espace montrent que les perceptions peuvent changer selon les lieux et les personnes. Les perceptions sont liées à l’organisation de la société. Ainsi, 2 peuples voisins peuvent être structurellement éloignés. C’est le courant du structuralisme. Cela amène les notions de distance affective, de lien étroit entre l’espace et les hommes. Les perceptions sont alors différentes selon l’espace vécu. B. La géographie culturelle Un courant de la géographie culturelle avec Paul CLAVAL. De nouveaux concepts : -

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Représentations : un volet scientifique avec l’analyse homme/espace (d’où un concept riche) mais aussi un volet didactique pour son rôle dans l’apprentissage. Territoire : portion d’espace contrôlé par les hommes sur laquelle ils projettent leur propre système de représentation : influence de l’é...


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