Héritiers Bourdieu fiche de lecture PDF

Title Héritiers Bourdieu fiche de lecture
Author Anonymous User
Course Repères historiques en éducation
Institution Université Grenoble-Alpes
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Description

FICHE DE LECTURE Pierre Bourdieu & Jean-Claude Passeron : Les Héritiers – les étudiants et la culture (Paris, Les Editions de Minuit, 1985 (réed.)-1964-, 189 pp dont 70 pp de données statistiques : graphiques, tableaux, etc.)

thèse :

l’origine sociale des étudiants = le + important facteur de différenciation, et c’est davantage

aux facteurs culturels qu’aux facteurs éco qu’il faut en imputer les raisons. Chez les enfants des professions libérales et des cadres sup. , la culture est acquise naturellement et comme

par

osmose

grâce

à

l’environnement

familial :

bibliothèques,

fréquentation

des

musées,

théâtres, concerts, … Mais pour les enfants des classes défavorisées, l’école = la seule voie d’accès à cette culture, que précisément elle véhicule et valorise dans la réussite des études. La culture légitime , validée par les examens et les diplômes, est donc celle des classes privilégiées, et l’enseignement présuppose implicitement un corps de savoirs, de savoir-faire et de savoir-dire qui constitue le patrimoine des classes cultivées.

!

ce que l’on qualifie de don naturel = la manifestation d’une affinité, liée à des valeurs sociales et aux exigences du système scolaire

!

transformation du privilège sociale en mérite individuel

Reste à distinguer entre la facilité à assimiler la culture imposée par l’école et la propension à l’acquérir : dans la mesure où la conquête des savoirs, hautement valorisés dans la société, peut laisser espérer l’accession à l’élite, ce sont les élèves des classes moyennes qui placent le + d’attentes dans la réussite scolaire. # les étudiants des classes plus défavorisées, encore désavantagés car ne trouvent pas dans le milieu familial les aspirations qui, à l’instar de la petite bourgeoisie, pourraient les inciter à franchir les obstacles.

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Chapitre I : Le choix des élus (pp 9-44)

Inégale représentation des # classes sociales dans l’enseignement sup. - constat des chances d’accéder à l’Université selon profession du père : moins d’1 chance sur 100 pour les fils de salariés agricoles plus de 80 pour les fils de membres des professions libérales # le système scolaire opère objectivement une élimination d’autant + totale que l’on va vers les classes les + défavorisées + certaines formes + cachées de l’inégalité devant l’école : cf relégation des enfants des classes inférieures et moyennes dans certaines disciplines cf le retard ou le piétinement dans les études - poids des déterminants subjectifs : Même si elles ne sont pas estimées consciemment par les intéressés, des variations aussi fortes dans les chances scolaires objectives s’expriment de mille manières dans le champ des perceptions quotidiennes ! déterminent une image des études sup. comme avenir possible, normal ou impossible ! cette image = à son tour un déterminant des vocations scolaires Car : les relations extra-familiales s’étendent à mesure qu’on s’élève dans hiérarchie sociale (tout en restant socialement homogènes) ! l’espérance subjective d’accéder à l’enseignement sup. = encore plus faible pour les + défavorisés que les chances objectives - manifestations du désavantage scolaire : = restriction du choix des études qui peuvent être raisonnablement envisagées pour une catégorie donnée cf différences selon le sexe : les études de lettres = les + probables pour les filles et les études de sciences les + probables pour les garçons -> influence des modèles traditionnels de la division du travail (et des « dons ») entre les sexes cf différences selon l’appartenance sociale : Ecole Normale Sup, Polytechnique = la proportion des élèves issus des milieux privilégiés qui atteint son maxi # choix forcé des lettres, et des sciences pour les + défavorisés (vs droit, médecine ou pharma « bourgeoise ») ! c’est dans l’enseignement littéraire que l’influence de l’origine scolaire se manifeste le + clairement ! paradoxe : les + désavantagés culturellement ne subissent jamais autant leur désavantage que là même où ils sont relégués par l’action de leurs désavantages

Obstacles éco : - constat : au niveau de l’enseignement sup., de différences d’attitudes et d’aptitudes significativement liées à l’origine sociale … malgré l’action homogénéisante de l’école pdt 15-20 ans => l’origine sociale = de tous les déterminants le seul qui étende son influence à tous les domaines et tous les niveaux de l’expérience des étudiants

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- facteurs éco : manifestation = les conditions d’existence : cf habitat, montant des ressources et leur répartition entre les différents postes budgétaires, etc. 1 chiffre : l’aide familiale fait vivre 14% des étudiants fils de ruraux ou ouvriers ou employés contre + de 57% des fils de cadres sup. et professions libérales. Mais : les obstacles éco = pas suffisants pour expliquer les taux de « mortalité scolaire » selon classes sociales

Obstacles culturels : - rôle des représentations : influence de l’origine sociale qui s’exerce tout au long de la scolarité : cf . conscience que les études coûtent cher, . inégalités de l’information sur les études et leurs débouchés, . modèles culturels qui associent certaines professions et certains choix scolaires (le latin) à un milieu social, . la prédisposition, socialement conditionnée, à s’adapter aux modèles, règles et valeurs qui régissent l’école = un ens de facteurs, qui font que l’on se sent à sa place ou déplacé à l’école, et que l’on y est perçu comme tel, et qui déterminent un taux de réussite scolaire inégal selon les classes sociales … particulièrement dans les disciplines qui supposent tout un acquis (instruments intellectuels, habitudes culturelles ou revenus). # les succès ou les échecs que les étudiants et les profs ont tendance à imputer au passé immédiat, quand ce n’est pas au don et à la personne, dépendent en réalité d’orientations précoces qui sont, par définition, le fait du milieu familial = des déterminismes induits d’autant + efficaces qu’ils s’expriment dans la logique proprement scolaire, sous la forme de sanctions qui consacrent les inégalités sous l’apparence de les ignorer. # pour les étudiants originaires des basses classes qui ont survécu à l’élimination, les désavantages initiaux ont évolué : = transformation du passé social en passif scolaire par le jeu de mécanismes de relais tels que les orientations précoces et svt mal informées, les choix forcés ou les piétinements. + des attitudes + subtiles : cf le dilettantisme dans la conduite des études = une conduite qui veut coller avec l’image romantique de l’aventure intellectuelle ex : lecture de livres moins directement liés à leur programme et d’ouvrages moins scolaires, dédain à l’égard de la possession d’un fichier ou d’un emploi du temps, inscriptions dans des cursus multiples et relevant de disciplines éloignées, … ! le fait des étudiants d’origine bourgeoise, révélant le caractère + gratuit des engagements intellectuels dans ces milieux ! car, + assurés de garder une place, même fictive, au moins dans une discipline de refuge, ils peuvent sans risque réel manifester un détachement qui suppose précisément une + grande sécurité - le privilège culturel : les étudiants les + favorisés héritent de leur milieu d’origine des savoirs et un savoir-faire, des goûts et un « bon goût » dont la rentabilité scolaire est certes indirecte mais certaine. Cf la culture libre, condition implicite de la réussite universitaire en certaines disciplines = très inégalement répartie entre les étudiants originaires de milieux différents, sans que l’inégalité des revenus puisse expliquer les écarts constatés

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! le privilège culturel = manifeste quand il s’agit de la familiarité avec les œuvres que seule peut donner la fréquentation régulière du théâtre, musée ou concert mais aussi (voire surtout) dans le cas des œuvres, généralement les + modernes, qui sont les moins scolaires. Cf la connaissance du jazz ou du cinéma, svt présentés comme des « arts de masse » : Les inégalités devant la culture ne sont nulle part aussi marquées que dans le domaine où, en l’absence d’un enseignement organisé, les comportements culturels obéissent aux déterminismes sociaux plus qu’à la logique des goûts et des engouements individuels. - nuance : rôle des facteurs sociaux de différenciation pouvant annuler certains effets ex : le sérieux petit-bourgeois compensant l’avantage que donne aux étudiants des hautes classes la familiarité avec la culture savante Mais : des valeurs différentes qui orientent des comportements semblables peuvent se révéler indirectement à travers des différences + subtiles Cf le théâtre : à la fois enseigné à l’école et culture libre et librement acquise ! des fils d’ouvriers ou de cadres sup. peuvent manifester une connaissance équivalente du théâtre classique sans avoir la même culture, même en ce domaine, parce qu’ils n’ont pas le même passé culturel. ! Les mêmes savoirs n’expriment pas nécessairement les mêmes attitudes et n’engagent pas les mêmes valeurs : = alors qu’ils attestent chez les uns le pouvoir exclusif de la règle et de l’apprentissage scolaires (puisqu’ils ont été acquis en grande partie par la lecture libre ou scolairement obligée plus que par le spectacle), ils expriment chez les autres au moins autant que l’obéissance aux impératifs scolaires la possession d’une culture qu’ils doivent d’abord à leur milieu familial. + chez les étudiants favorisés : association d’une bonne connaissance du théâtre classique avec celle du théâtre d’avant-garde, voire du théâtre de boulevard # une culture purement scolaire n’est pas seulement une culture partielle ou une partie de la culture, mais une culture inférieure parce que les éléments mêmes qui la composent n’ont pas le sens qu’ils auraient dans un ensemble + large. # L’Ecole n’exalte-t-elle pas dans la culture générale tout l’opposé de ce qu’elle dénonce comme pratique scolaire de la culture chez ceux que leur origine sociale condamne à n’avoir d’autre culture que celle qu’ils doivent à l’Ecole ? - transmission de l’héritage culturel : pas sous les formes les + brutales (recommandations, obligations, cours privés supplémentaires, etc.) Transmission + discrète et indirecte, en l’absence de tout effort méthodique et de toute action manifeste ! c’est dans les milieux les + cultivés qu’il est sans doute le moins besoin de prêcher la dévotion à la culture ou de prendre en main délibérément l’initiative à la pratique culturelle : incitations diffuses faites pour susciter par une sorte de persuasion clandestine l’adhésion à la culture # le milieu petit-bourgeois où les parents ne peuvent transmettre autre chose que la bonne volonté culturelle # l’Ecole : théoriquement la voie royale de la démocratisation de la culture … mais consacre en les ignorant les inégalités initiales devant la culture cf paradoxe du reproche svt fait à un travail scolaire d’être « trop scolaire » = dévalorisation de la culture qu’elle transmet au profit de la culture héritée qui ne porte pas la marque roturière de l’effort et a, de ce fait, toutes les apparences de la facilité et de la grâce. # différant par tout un ens de prédispositions et de présavoirs qui doivent à leur milieu, les étudiants ne sont que formellement égaux dans l’acquisitions de la culture savante.

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La culture savante = une acculturation ? - rôle de l’implicite : L’enseignement présuppose implicitement un corps de savoirs, de savoir-faire et surtout de savoir-dire qui constitue le patrimoine des classes cultivées = transmission de significations au second degré qui se donnent pour acquis tout un trésor d’expériences au premier degré (lectures suscitées autant qu’autorisées par la bibliothèque paternelle, spectacles de choix que l’on a pas à choisir, voyages en forme de pèlerinage culturel, conversations allusives qui n’éclairent que les gens éclairés) # une inégalité fondamentale devant ce jeu de privilégiés où tous doivent entrer puisqu’il se présente à eux paré des valeurs de l’universalité # pour les enfants des classes défavorisés : perception de l’initiation scolaire comme apprentissage de l’artifice car pour eux la réflexion savante doit précéder l’expérience directe ex : apprendre en détail le plan du Parthénon sans être jamais sorti de sa province # pour les fils de paysans, d’ouvriers ou d’employés, l’acquisition de la culture savante = acculturation # si les intéressés vivent rarement leur apprentissage comme renoncement ou reniement, c’est que les savoirs qu’ils doivent conquérir sont hautement valorisés par la société globale et que cette conquête symbolise l’accession à l’élite - adhésion différenciée aux valeurs scolaires : Distinction à faire entre facilité à assimiler la culture transmise par l’école (d’autant + grande que origine sociale élevée) et la propension à l’acquérir qui atteint son maxi d’intensité dans les classes moyennes Car : le désir de l’ascension par l’école = abstrait dans les classes inférieures tant les chances objectives de le satisfaire sont infimes # la petite bourgeoisie, classe de transition, qui adhère le + fortement aux valeurs scolaires, puisque l’école promet de combler toutes ses attentes en confondant les valeurs de la réussite sociale et celles du prestige culturel. = incitation à l’effort scolaire qui peut compenser la dépossession par l’aspiration à la possession - attitude du professeur reprise à leur compte par les profs des critères de l’élite cultivée, même et surtout si leur appartenance à l’élite date de leur accession au magistère ! csq : renversement de la table des valeurs = transformation du sérieux en esprit de sérieux, de la valorisation du travail en mesquinerie besogneuse et laborieuse, suspecte de compenser l’absence de dons. Car jugement selon l’ethos de l’élite, valorisant le dilettantisme de l’homme cultivé et bien né qui sait sans avoir peiné pour acquérir son savoir Or : grande proximité de la culture de l’école avec la culture de l’élite ! l’enfant défavorisé ne peut acquérir que laborieusement ce qui est donné au fils de la classe cultivée : le style, le goût, l’esprit = ces savoir-faire et ce savoir-vivre qui sont naturels à une classe.

Quid des destins d’exception ? Certes pas toujours les voies d’un déterminisme mécanique. Reste hypothèse de singularités du milieu familial pour expliquer les cursus honorum brillants de certains fils d’ouvriers ou de paysans. Cf les chances objectives d’accéder à l’Université = 40 fois + fortes pour un fils de cadre sup. que pour fils d’ouvrier

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Or constat, dans un échantillon en médecine, que la moyenne des membres de la famille étendue qui ont fait ou font des études supérieures ne varie que du simple au quadruple entre les étudiants originaires des basses classes et les fils de cadres sup. ! rôle important de la présence d’un parent qui a fait ou fait des études sup. = une situation culturelle originale pour ces familles, dans la mesure aussi où elles proposent une espérance subjective + forte d’accéder à l’Université.

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Chapitre II : Jeu sérieux et jeux du sérieux (pp 45-79)

Contours de l’unité du monde étudiant - une identité à ne pas chercher dans l’identité de la pratique universitaire : cf même droit universitaire, mêmes formalités administratives, contraintes du même programme, mêmes sujets d’exam … Mais tout cela suffit-il à définir un groupe intégré et une condition professionnelle ? En fait, un groupe en perpétuel renouvellement, dont les membres diffèrent autant par leur passé social que par leur avenir pro + ne vivent pas comme une profession la préparation à la profession ! un groupe qui a + de chances de se définir par la signification et la fonction symbolique qu’il confère à sa pratique que par l’unité de sa pratique - un temps et un espace originaux ? les études = une parenthèse ouverte qui les affranchit des rythmes de la vie familiale et professionnelle ! s’éprouver comme étudiant = se sentir libre, s’ingénier à affaiblir ou renverser les grandes oppositions qui structurent impérieusement tant le loisir que l’activité des adultes ! le temps flottant des étudiants ne les rassemble que négativement, puisque les rythmes individuels peuvent n’avoir en commun que de différer différemment des grands rythmes collectifs + idem pour l’espace : on ne peut attribuer au seul fait de la coexistence ou de la cohabitation le pouvoir d’intégrer en un groupe cohérent les individus qu’elles rapprochent ! ce n’est pas l’espace mais un usage de l’espace réglé et rythmé dans le temps qui fournit un cadre d’intégration Or : seulement dans les classes préparatoire aux grandes écoles qu’existence d’un corps de traditions orales ou écrites, des rites d’initiation et de passage, un code de relations avec autrui (hiérarchie de l’ancienneté), un argot = des îlots d’intégration car l’espace et le temps, le rythme de vie et la commensalité, retrouvent ici leur pouvoir structurant en raison de l’organisation des activités qu’impose la discipline scolaire # à l’Université, où le temps et l’espace ne sont pas des facteurs d’intégration car leur usage n’en est pas réglé par une tradition ou une institution - une sociabilité ? Les seuls réseaux d’interconnaissance qui aient quelque continuité ou quelque consistance = ceux qui datent d’une scolarité antérieure ou qui reposent sur des liens sociaux extérieurs (origine géographique, affiliation religieuse ou politique, appartenance aux classes sociales les + élevées) Cf tests sociométriques prouvant rareté des échanges hors de la salle de cours ou même la simple connaissance des noms # tout conduit à douter que les étudiants = un groupe social homogène, indépendant et intégré # un malaise éprouvé par certains : pure coexistence spatiale, assistance passive, compétition solitaire pour le diplôme, expérience de l’anonymat et agression diffuse du nombre.

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Les comportements symboliques - unité des étudiants = davantage du côté des comportements symboliques, c-a-d des actes par lesquels l’étudiant témoigne devant les autres et lui-même de son aptitude à être l’auteur d’une image originale de l’étudiant car : il est condamné par la condition transitoire et préparatoire où il est placé à être seulement ce qu’il projette d’être - rapport à l’origine sociale : vouloir être et vouloir se choisir = d’abord se refuser à être ce qu’on n’a pas choisi d’être ! l’enracinement dans un milieu social = la première des nécessités refusées cf les étudiants éludant le + svt la nomination de la profession des parents = prendre ses distances avec l’idée insupportable qu’une détermination aussi peu choisie puisse déterminer quelqu’un tout entier occupé à se choisir - conformisme ou originalité ? Dès qu’une conduite s’affirme avec une régularité qui la jettent dans la banalité, elle lègue à la conduite qui la refuse son pouvoir de différenciation ! se distinguer en tant qu’étudiant = se distinguer de l’essence de l’étudiant dans laquelle on enferme les autres ! + généralement, logique de transfiguration symbolique de la nécessité en liberté ex : le café populaire = les échanges y engagent tous les habitués # l’unité élémentaire des cafés étudiants = la tablée Car : nombre d’étudiants viennent y consommer avant tout les significations symboliques dont sont investis le café et le travail solitaire au café -> à l’instar du ciné-club ou de la cave de jazz, le café étudiant : pas un espace de la communication ou de la coopération, mais un espace mythique où les étudiants viennent rejoindre l’étudiant archétypal plus qu’ils ne s’y rejoignent - l’image du professeur et la condition intellectuelle: adolescent ou apprenti, l’étudiant = plus que tout autre à la recherche de maîtres à penser et à vivre csq : sensible au prestige des exemples que, futur intellectuel, il ne saurait trouver ailleurs que dans le monde intellectuel, et dans la fraction du monde intellectuel avec laquelle sa pratique quotidienne le met en contact direct, c-a-d le corps professoral ! valorisation de l’image charismatique du prof ! l’Université prêche toujours des convertis : étant donné que sa fonction dernière est d’obtenir l’a...


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