La Princesse de Clèves - Résumé détaillé PDF

Title La Princesse de Clèves - Résumé détaillé
Course Littérature française
Institution Université de Caen-Normandie
Pages 15
File Size 173.2 KB
File Type PDF
Total Downloads 90
Total Views 130

Summary

Résumé détaillé avec personnage complet....


Description

La Princesse de Clèves Mme de Lafayette

 ●

Personnages Hommes Principaux : ฀

Duc de Guise : h  omme de grandes valeurs et bon en stratégie de guerre.



Prince de Clèves : h  omme d’une grande bravoure, magnifique, d’une grande prudence pour un jeune homme de son âge, un être glorieux. Cadet du Duc de Nevers.



Vidame de Chartre : l e seul homme à la limite du comparable avec le Duc de Nemours, comparable tant avec ses bonnes qualités que son aspect physique.



Duc de Nemours : homme parfait, incroyable d’esprit, excelle dans tous les domaines, est apprécié de tous, … etc. Des maitresses en conséquent, avec un petit plus pour la Reine Dauphine.



Maréchal St André : amoureux de la Princesse de Clèves. ฀ Un Principal car un rival, mais peut présent !



Personnages Hommes Secondaire : ฀

Roi de Navarre : excelle en guerre. ฀ T  rès peu présent.



Cardinal de Lorraine : homme d’esprit, vif, beau coup d’esprit et catholique.



Chevalier de Guise : b  on à peu près en tout, apprécié de presque tout le monde. ฀ Très peu présent.





Prince de Condé : homme d’esprit mais très hautain et laid. ฀ Très peu présent.



Duc de Nevers : connu pour ses exploits en guerre. Il a trois fils et le cadet est le Prince de Clèves.



Sancerre et Estouteville : personnage à qui Mlle Tournon donné de l’espoir en mariage. ฀ F  ictif.

Personnages Femmes Principales : ฀

La Princesse de Clèves : fille de Mme de Chartres, passion pour le Duc de Nemours. Esprit = beauté de son être.



La Reine Dauphine : Principale maitresse du Duc de Nemours, grande amie de la Princesse de Clèves.



Madame de Martigues : On peut « comparer » avec similitude son histoire à celle de la Princesse de Clèves, notamment pour sa passion au Vidame de Chartre.



Personnages Femmes Secondaires : ฀

Madame de Chartres : Mère de la Princesse de Clèves, présente juste au début. Elle fonde l’éducation de sa fille sur les valeurs de la préciosité.



Mlle Tournon : femme que devait épouser à la base le Prince de Clèves. ฀ F  ictif.



Madame Mercœur : Sœur du Duc de Nemours qui apparait seulement à la fin à Coulommiers. PARTIE I

Le règne se passe sous le roi Henri II, homme d’une grande galanterie et épris d’une grande passion pour la Duchesse Mme Valentinois, malgré qu’il ait pour femme Catherine de Médicis. Mme de Valentinois a une petite fille d’une admirable beauté, la princesse Mlle La Marck. Élisabeth d’Angleterre se fait couronner pour être la nouvelle Reine. Elle a un crush sur le Duc de Nemours, et lorsqu’on lui rapportera à ce dernier, il tentera en secret pour la raison de la fortune. Mme de Chartres a une fille dont le père est mort très jeune. Cette fille a 16 ans, et doit être mariée, pour le moment c’est « Mlle de Chartres ». Elle est d’un esprit et d’une beauté extraordinaire, elle reçoit son éducation par sa mère qui lui apprend à ne pas céder à l’amour : elle lui explique à ne point connaitre de passion à l’égard des hommes, qu’il est dur d’y résister mais que le résultat n’est que malheur, elle doit rester paisible = PRÉCIOSITÉ. Sa mère cherche à mari pour elle, mais ne lui en trouve aucun digne de sa fille. Un jour, Mlle de Chartres croise le Prince de Clèves sans qu’il se connaisse tous deux : rougissement et gène pour elle, surprise pour sa grande beauté pour lui. Le Prince de Clèves parlera beaucoup de cette femme, à qui on lui proposera de rencontrer une fois son identité devinée. Il lui parlera, heureux de voir que sa beauté est égal à ses qualités, et lui rappellera être le premier à l’avoir vue et estimé (ce qui sous-entend qu’il ne sera surement pas le seul à la convoiter). Effectivement, le Duc de Guise en devient amoureux. Mlle de Chartres devient apprécié de tous, sauf de Mme de Valentinois : elle déteste sa mère et en conséquent elle aussi. Le

Prince de Clèves a peur de demander sa main à Mme de Chartres, premièrement car il est le cadet, secondement car son père, le Duc de Nevers, est un ami de Mme de Valentinois (et s’y opposerai), mais c’est aussi surtout par la timidité que lui provoque ses sentiments. Il a donc pour le moment en rival le Duc de Guise, mais par chance son rang la rabaissera, et le Cardinal de Lorraine s’opposera à ce mariage car il déteste lui aussi Mme de Chartres. Mme de Chartres veut faire marier sa fille au Prince de Montpensier qui accepte. MAIS Mme de Valentinois, profitant de la passion du Roi qu’il a pour elle, le convainc que s’est un mauvais mariage. Le Roi Henri II le fait savoir au Prince de Montpensier, qui annule à cause de la force du rang du Roi. Plus personne en parle de crainte de réprimande, le père du Prince de Clèves meurt (Duc de Nevers) : il en profite pour faire sa demande, et Mme de Chartres accepte. Le Prince est peu heureux car sa passion pour elle n’est pas réciproque. Mlle de Chartres ฀ Princesse de Clèves (PDC). Le Duc de Nemours fonctionne bien avec la Reine d’Angleterre, mais il revient en France pour un mariage. Il dance par hasard avec la PDC, ils sont étonnés tous deux de leur qualités communes. Ils se croisent souvent par hasard : naissance d’une passion que chacun se garde, un tout début de flamme. Longue tirade de Mme de Chartres sur la Duchesse de Valentinois avec tout son pouvoir sur le Roi. La PDC devine sa passion naissante, elle en prend peur mais ne peut s’en empêcher. Le Maréchal St André organise un bal : la PDC décline car elle sait que celui-ci à quelques attachements pour elle.

Mais la véritable raison est un sentiment contradictoire : elle veut faire plaisir au Duc de Nemours en y allant pas, et en même temps se serait pour ne pas le voir. Le lendemain du bal, le Duc sait qu’elle n’est pas venue mais ne se doute pas que c’est grâce à sa conversation. C’est devant la Reine Dauphine qu’elle se sentira embarrassée (celle-ci devinant juste), mais Mme de Chartres rattrapera très bien le coup bien que le Duc de Nemours en gardera un doute. Plus tard, Mme de Chartres insinuera à sa fille que le Duc de Nemours est incapable d’amour et n’a des yeux principalement que pour la Reine Dauphine : elle en sera accablée de douleur. Néanmoins, lors d’un entretient habituel avec la Reine, la Princesse lui lancera une courte injustice que la Reine réplique. La PDC se sentira rassurée et soulagée. Sa mère tombe ensuite gravement malade, le Prince de Clèves vient souvent à son chevet, mais le Duc de Nemours aussi ! La PDC est sous le charme une fois le Duc présent, mais une fois partie, le doute lui prend et elle se hait. Sa mère meurt, elle la prévient avant de mourir du danger qu’elle encourt si elle ne résiste pas, n’arrête pas sa passion avec le Duc de Nemours. D’une douleur et d’une grande tristesse, son mari l’éloigne à la campagne. La PDC demande ensuite à son mari pourquoi ne pas avoir épousé Mlle Tournon : elle donnait de l’espoir à deux autres hommes en même temps (Sancerre et Estouteville). PARTIE II Le Prince de Clèves lui conte l’histoire : il avait de l’inclinaison pour Mlle Tournon, mais il apprend que son ami intime aussi et

qu’il est son amant (Sancerre). Il tombe dénue, « trahi » en quelque sorte, mais laisse leur amour poursuivre. Sancerre a une condition plus basse qu’elle. Un jour, il sent son refroidissement, leur mariage est reportée par elle à chaque fois, … etc. Il doit partir pour un long voyage de trois mois : elle lui envoie peu de lettre et lors de son retour il la retrouve morte. Extrêmement accablé de douleur, en larme, il apprend le lendemain qu’elle le tromper avec Estouteville qui lui annonce lui-même aussi en larme : ils sont dans un état pitoyable tous les deux car ils étaient amoureux. C’est un véritable combat pour Sancerre entre haine et amour pour Mlle Tournon. Ce que lui conte le Prince rassure la Princesse à son compte sur le Duc de Nemours, car il lui dit un instant que si sa femme ressentais des émotions envers un autre homme (=amant), il accepterait : mais ce sont des propos tenu à une autre époque avant sa propre passion et pour un ami ! La Princesse de Clèves retourne à Paris, la Reine Dauphine lui apprend les dernières intrigues et … celle du Duc de Nemours ! Il refuse la Reine d’Angleterre car selon ses arguments, elle choisira un homme qu’elle a déjà vue qu’un homme qu’elle ne connait pas. De plus, il n’est pas sûr d’y parvenir. Mais la véritable raison cachée serait une maitresse cachée pour qui il aurait de la passion mais qui ne serait pas réciproque. C’est un véritable poison d’amour dans le cœur de la PDC qui se reconnait dedans : elle est heureuse qu’il lui ait préférer à la couronne mais cela dédouble par les mêmes moyens sa crainte. Le Duc de Nemours fait tout pour se retrouver seul à seul avec la PDC : il y parvient et lui déclare son amour qui n’a pas de nom pour elle, mais qui ne sert pas car il est dans un unique sens

(bien que le lecteur sache que c’est faux). La PDC ne change pas son point de vue, et fait tout pour le maintenir à distance bien que cela la fasse terriblement souffrir autant que le Duc qui en est touché, comprenant qu’elle cherche à le fuir. Elle se justifie auprès de son mari qui lui demande de ne pas changer de conduite. Un soir, on parle d’astrologie et de prémonition : le Roi mourra par une blessure lors d’une bataille. Les avis sont partagés sur cette science qui serait peu véritable. Le Duc de Nemours profite de cette distraction pour chuchoter à la PDC sa violente passion qui le rendrait heureux. Elle continue à l’éviter ce qui la trahi car cela montre qu’elle n’est pas indifférente. Tirade sur l’histoire d’Élisabeth Reine d’Angleterre. Passage ou le Duc de Nemours dérobe un portrait de la PDC après l’avoir repeinte : celle-ci l’aperçoit mais ne dit rien, elle finit embarrassée face à son mari lors de la recherche du tableau. Elle a beaucoup de remord à la pensé de ce que lui disait sa mère avant de mourir, et commence à hésiter de parler de sa passion à son mari avant de penser que c’est folie. Mariage de la Reine Élisabeth et participation des Princes pour cette célébration. Au jeu de Paume, la PDC y assiste, une lettre tombe de la poche de Duc de Nemours et c’est la Reine Dauphines qui la récupère après intermédiaire. Le Duc de Nemours, sur un cheval trop fougueux recul pour ne pas blesser le Roi. Il tombe et tout le monde va l’aider : la PDC est plus affolée que les autres et cela se parait car le Duc de Guise l’a vue et cela lui donne du chagrin. Le Duc de Nemours s’en ait aperçu lui aussi, il est plus gai que d’habitude et il en fait part à la PDC le lendemain.

La Reine Dauphine, lui révèle juste après le sujet de la lettre qui serait tombé à priori de la poche du Duc de Nemours. Cette lettre est adressée à une amante (pour la princesse de Clèves ??), elle la prend avec un intérieur de panique de peur que la Reine Dauphine n’ait découvert quoi que ce soit. Lorsqu’elle la lit, elle conclut avec douleur que le Duc a beaucoup de femme, car il mentionne dans l’écrit adressé que c’est fini à une femme qui le trompe avec un autre homme. La PDC est indignée, elle aurait pour elle dû s’en douter que le Duc de Nemours n’aurait pas de l’inclination que pour elle. Mais … cette lettre n’est en fait pas tomber de la poche du Duc de Nemours, mais du Vidame de Chartre ! Et qu’elle n’est donc pas adressée du tout pour elle. Pendant ce temps, le Vidame est paniqué, il sait qu’elle a été vue par beaucoup mais les avis sont partagés : les gentilshommes hésitent si elle appartient à lui ou au Duc de Nemours. PARTIE III Le Vidame de Chartre va demander de l’aide au Duc de Nemours, car il a peur que quelqu’un apprenne toute la vérité sachant que cette femme à qui il s’adresse avait une grande passion pour lui. Il demande au Duc de faire croire qu’il s’agit bien d’une lettre écrite de sa main et qu’il s’adressait à une de ses maîtresses. Le Duc qui ne savait rien du sujet, s’exclame de peur que la PDC croie de fausse chose à son sujet, lorsqu’il apprend qu’on hésite à savoir si cette lettre vient de lui. Le service est donc impossible à rendre, mais le Vidame de Chartre comprenant que cela peut poser problème avec sa maitresse (et il croit à tort que ce serait la Reine Dauphine), lui donne un billet afin d’apaiser sa jalousie car c’est une preuve que la lettre n’est

pas celle du Duc. Le Duc de Nemours accepte le service et prend le billet, même si le dessein de ce dernier sera pour la PDC. Le lendemain, il demande à voir très tôt la PDC : elle refuse, tellement égrise par la tristesse. Le Duc ne le prend pas mal car c’est une preuve indirecte de sa passion. Comme elle refuse, il va voir son mari dans son appartement pour lui conter l’importance de l’affaire au sujet de la lettre (sans tout lui dévoiler). Le Prince de Clèves l’amène chez sa femme, elle est très étonnée mais parvient à le cacher. Le Prince de Clèves part et ils se retrouvent tous deux : il lui explique, il est heureux de s’apercevoir de sa jalousie cachée. Elle lui rend la lettre avec un sentiment agréable, il part. Lorsqu’elle retourne voir la Reine Dauphine, cette dernière se fâche après elle car en aucun cas la PDC aurait dû donner la lettre à une autre personne, même si la PDC lui dit que c’est le Prince de Clèves (la Reine lui reproche même d’être la première femme à tout confier à un mari). Si la dispute a lieu, c’est parce que la Reine Dauphine doit rendre la lettre à la Reine (« femme » du Vidame de Chartre), et qu’elle serait jalouse à tort d’elle si elle ne le faisait pas. La Reine va croire alors que la Reine Dauphine est la maitresse du Vidame alors que ce n’est pas elle. Elles prennent comme initiative de la recopier, la PDC va chercher la lettre auprès du Duc de Nemours pour le recopier mot pour mot. Malheureusement, le Duc la déjà rendu à son propriétaire. A trois avec le mari de la PDC, ils tentent de recopier de mémoire mais ils perdent beaucoup de temps : en effet, le Duc et la PDC plaisantent beaucoup et rentre dans un été de gaîté, « le temps passe agréablement ». RÉSULTAT : une lettre mal recopier, une écriture très mal imiter et bien que l’on tenta de convaincre la

Reine, c’est sans succès ฀ elle déteste encore plus la Princesse et rompt avec le Vidame de Chartre qui se ruine. Une fois le Duc de Nemours parti, elle devient très songeuse et se rend compte que le Duc s’est surement aperçu de son amour par sa jalousie, elle sait que sa présence lui est très agréable mais elle s’en veut toujours par rapport à son mari. Elle a peur des douleurs de l’amour, s’interroge beaucoup. Elle décide de partir à Coulommiers, le Duc en est affligé. Celui-ci s’aperçoit sans le faire exprès le couple de Clèves qui parle. Il se cache et les espionne par plaisir de voir le visage de la PDC mais aussi d’écouter leur conversation. Passage ou la PDC avoue à son mari ses sentiments pour un autre d’où la raison de son départ. Elle tombe aux genoux de son mari en larme car elle veut toujours lui faire honneur et s’en veux, elle lui avoue par la force de son innocence … Accablé de douleur, il la relève et s’excuse de ne pas se montrer digne. Il lui demande de lui donner un nom, elle s’y refuse. Il remet alors en cause les véritables raisons de son départ, la PDC s’indigne et se met en colère : il l’accuse également d’avoir donnée elle-même le portrait que le Duc avait pris en se souvenant de son embarras. Le Prince s’en excuse de nouveau, ils sont interrompus par un messager du Roi. Ils doivent se quitter, il lui dit au revoir et lui demande de revenir le lendemain. Elle est malheureuse d’avoir perdu l’estime de son mari de son mari par une action qu’elle pense n’aurait jamais dû confier. Elle un comme un trou au cœur, prise de remord. Le Duc de Nemours qui a tout entendu, et un millième de fois heureux autant que malheureux : il devina par le portrait que c’est lui qu’elle aimât, mais il comprend aussi qu’elle ferait tout pour n’en donner nulle marque. Le Duc se confie au Vidame de Chartre en

lui contant l’histoire sans donner de nom et en parlant pour un ami qui veut garder le secret. Mais la passion dans ses paroles donne un doute au Vidame qui pense qu’il parle pour lui-même. Pendant ce temps, le Prince de Clèves parle au Roi qui demande à ce que sa femme vienne. Il lui écrit et la PDC revient au plus vite. Ils sont tous les deux extrêmement triste, mais le Prince dit ne plus avoir aucune inquiétude à sa conduite. Cette dernière morte de honte s’excuse d’être si peu digne de lui. Il lui demande qui est cet homme entre le Maréchal St André, le Duc de Nemours, le Duc de Guise. Elle refuse toujours de répondre. Le Duc de Nemours est malheureux qu’elle fasse tout désormais pour l’éviter. Par la suite, le Prince de Clèves devine bien qu’il s’agit du Duc de Nemours en faisant une ruse à sa femme en remarquant le trouble que lui causait son nom. Il fonde en larme tous les deux peu de temps après en se retrouvant. Juste avant, le Duc avait tenté de parler à la PDC qui l’a repoussée avec colère. Le Roi organise un autre mariage. Durant celui-ci, le Vidame de Chartre toujours persuader que l’histoire du Duc est en fait la sienne, demande à Madame de Martigues de l’aider à l’y éclairer en surveillant durant la cérémonie. La PDC va pendant ce temps voir la Reine Dauphine, qui a une grande chose à lui apprendre ! En effet, le Vidame de Chartre à parler à Madame de Martigues qui elle-même en a parlé à la Reine Dauphine (et qui elle aussi la conte à la PDC !). Le nom de cette dame n’est pas connu, le Duc de Nemours arrive. La PDC est plongée dans un cruel désespoir, car la Reine Dauphine demande au Duc de confirmer son histoire. Le Duc tombe dans un extrême embarras, ce qui

confirme la pensée de la Reine, mais il se rattrape vite et justifie cet embarra par le fait que le secret de son ami est trahi. Si bien dit, la Reine Dauphine le croit. Il en profite pour se faire plaindre par l’intermédiaire de cet « ami » à la PDC qui connait la vérité. Elle se demande comment le dévoilement s’est sut (toujours par « l’ami » car présence de la Reine). Le Duc, même s’il a en réalité écouté la conversation en cachette, mais sur le dos de son mari qui aurait fait sa par jalousie (dans le but de réduire son rival). Mme de Valentinois rentre, la PDC en profite pour partir se sentant très mal vis-à-vis de son mari indigne de sa confiance. Le Prince de Clèves apprend qu’elle va très mal, il va la voir, elle l’accuse de tout ce qu’elle vient d’apprend et lui sans rien comprendre nie tout en bloc. Accusation respective des deux. Le lendemain, il lui dicte sa conduite avec raison. La PDC est très mal, le Duc tout autant. Il se mure dans un silence qui fait que la PDC lui pardonne. Il porte même du jaune durant le mariage, couleur préférée de la Princesse. Le soir, le Roi veut se battre en tournoi bien que la Reine fasse tout pour l’en empêcher. Le Roi se blesse : rappelle à la prédiction de l’astrologie !! Tout le monde s’inquiète, la PDC de peur de voit le Duc de Nemours au salon feint d’être malade. Son mari va la voir, l’ambiance est toujours froide. LE ROI MEURT, aimé de tous. PARTIE IV La politique change complètement de face. Madame de Valentinois, n’ayant plus la passion du Roi pour appuis, est

rejetée et mise or de la Cours. Il en est de même pour le reste politique : tout le monde est remplacé, on se dispute le pouvoir. Pour reprendre la trame de l’histoire : la PDC reste toujours dans son appartement, Son mari reste au salon de la Reine Dauphine. Le soir, plusieurs dames partent de chez la PDC pour rentrer au Salon de la Reine : lorsqu’elle leur demande ce qu’elle faisait plus tôt, les dames lui répondent en précisant qu’il reste encore le duc de Nemours. Le Prince de Clèves se prend d’une jalousie sans limite : il monte voir sa femme, voit que le Duc n’est pas là (soulagement), mais part la questionner, elle ne l’a pas vue. Il lui reproche justement ce fait là, de le distinguer des autres en refusant ...


Similar Free PDFs