Le développement du sport en France au XXè PDF

Title Le développement du sport en France au XXè
Author paul paul
Course Histoire du sport
Institution Université de Franche-Comté
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Le développement du sport en France au XXème siècle (1889-1970) (la place du sport et de l’Education physique) Début institutionalisation du sport : 20ème s. Introduction : -fin XIXème siècle se développe des pratiques diverses qui peuvent être identifiées selon quatre grandes catégories : - gymnastique militaires et patriotiques dans les sociétés de tirs et de gymnastiques - éducation physique scolaire (primaire à qui propose une gymnastique basée sur la pratique militaire et les pratiques hygiéniques (suédoise) - sports de compétitions qui se pratiquent réellement en Angleterre depuis la moitié du XIXème siècle (athlétisme, football, rugby, aviron, équitation, natation...) - pratiques traditionnelles (canotage, luttes régionales, jeux de quilles, tir à l’ard, soule, culture physique foraine, etc...) 2 septembre 1870 : napoleon 3, désarmé, encerclé 3 septembre 1870 : napoleon 3 capturé par les prussiens 4 septembre 1870 : chute du second empire, proclamation 3e Republique à Paris 1870-71 : france entre en guerre civile pendant à peu près 8 à 10mois. France se réclame républicaine et démocratique. Bilan : la france doit apprendre à se relever. -> volonté de se relever sur le plan moral, passant par le domaine politique : mis en place les voix constitutionnelles de mars 1875. la france s’engage dans un régime présidentiel avec un soutien parlementaire. 1ere élection législatives : mai 79 : relevement physique de la france. Élection du parlement. Décrets du 26 janvier 1880 : la loi George. A partir de là : début du programme du capeps. 1880 : mise en place du début du relevement physique. Méthodes d’entrainement qui se développent. Loi george concerne essentiellement le primaire car les enfants sont plus manipulables car ils n’ont pas de grande capacité de réflexion. Propagande dès la primaire. Éducation physique qui a un seul but : former des corps, éduquer des citoyens. En 1880 : école n’est pas obligatoire, pas laïque. Loi ferry 1881-1882 : école obligatoire pour tout enfants notamment pour les garçons de 6 à 13 ans et laïque. Elle n’est pas obligatoire pour les filles. Qui défend la patrie ? Soldat qui est un homme. Qui travaille dans les champs/usines ? un homme. L’état met en place un schéma pour former des citoyens patriotes futurs travailleurs ou soldats. 1891 : les filles sont + acceptées. Obligatoire et gratuite et laïque. Il n’y a plus de morale religieuses, seule les valeurs de la république sont instruites (liberté, égalité, fraternité/drapeau...). l’homme machine : musclé, endurant et résistant, celui qui est capable de défendre les valeurs de la patrie, comme le “jeune coq”, capable même à l’agonie de défendre le drapeau bleu/blanc/rouge. On apprend le dévouement patriotique. Pratiques : - de gym militaire : militaires formés auprès des militaires. Ordre et autorité. Volonté de créer un groupe uni, qui obéit et qui se tait. Humiliation pour celui qui ne suit pas les consignes. On apprend à forger un caractère. - gym suédoise/hygiénique arrive à partir de 1891. pour prendre soin du corps, volonté de santé. Si on prend soin de son corps, on peut intégrer la population française de 6 à 13 ans (filles et garçons). la france : chute démocratique = dégénérescence de la race -> politique de défense de son propre corps. On fait des exercices en fonction de l’âge. Graduation de l’effort : on prend en compte l’âge, morphologie, côté de la deffiscience (apte ou pas, les malades), qualité physique (aspect musculaire). pour les filles, on leur demande un devoir principal : devenir mère. Processus de dressage. Choix éducation physique ou sport : dévouement collectif ou club, domaine scolaire ou sport de compétition. Le sport anglais se développe dans la 2ème moitié du XIXème siècle en France - l’influence de la mode anglaise (anglophobie) - néanmoins, des différences existent pour donner un caractère singulier à la gymnastique, au sport et à l’éducation physique - la culture compétitive a des difficultés à se faire reconnaître face aux autres pratiques physiques

Marqueur politique, sociale et surtout culturel = sport. Le sport aujourd’hui est un critère de notre population et civilisation occidentale. Pour la france, le sport n’est pas un critère, c’est l’éducation physique. La culture sportive est portée par le terme de “loisir” et du “divertissement”. la culture de l’éducation physique est assimilée à un travail. Éducation physique = continuité du travail. On apprend pas le sport à cette période. Le loisir c’est le passe temps (les gens qui ont le moyen de faire du sport). 80% de la population française sont obligés de faire du sport. Amateur : 20% de la population. 20% rejettent tout le professionnalisme, ce sont les riches qui peuvent se permettre d’aller dans un club. Problématique : - comme le sport, sur le modèle anglais, s’est-il imposé en France au cours du XXè siècle ? - comment expliquer la place particulière du sport dans la société française , - pourquoi le sport reste-t-il à la marge de l’éducation physique et de l’école ? Références bibliographiques essentielles : - THIBAULT (J.), sports et éducation physique, (1870-1970), Paris, J. Vrin, 1987 - HUBSHER (Ronald), DURRY (Jean), JEU (Bernard), L’histoire en mouvement, le sport dans la société française -XIXème-XXème siècle, A. Colin, 1992. I. Le sport : un phénomène marginal en france (1868-1914) (les temps héroïques) A. Les premières structures sportives 1) les prémices -premières structures : le jockey-club (1833) et le Havre Athletic club (1872) - le phénomène compétitif se développe : les courses de vélocipède s’instaurent un peu partout vers 1868 - le Club des Coureurs naît en 1875 à Paris sous l’impulsion de l’Anglais Gerling et d’Alphonse Blondel - en 1880, Jean Charcot lance la société sans nom, fréquentée par les élèves de l’Ecole Alsacienne La france devient une jeune république. Elle va installer la démocratie dans sa république. Il ne faut pas que les ouvriers soient les plus performants dans le domaine du sport. La bourgeoisie reprend en main ce club et exclu du club les ouvriers. Le but : il n’y a qu’une domination politique = les valeurs sociales bourgeoises. Le sport n’est pas intégrateur. Le sport se démarque de l’éducation physique par la compétition qui permet le dvpmt d’un esprit sportif (esprit de compétition : les courses -> notion de “progrès industriel”, “progrès social”). vélo : produit de la révolution industrielle. Ça créer une cohésion sociale. Les bourgeois sous tiennent les progrès de l’industrie. Le dimanche, pour les bourgeois sont le temps de repos (laïque). L’athlète est celui qui apprend une technique. Le sport est considéré comme un temps de repos. 2) naissance du racing-club de france -les initiatives sportives, sur le modèle anglais, sont surtout le fait de lycéens dans un premier temps - 1880, les lycéens de condorcet - l’école Monge, fondée en 1874 - collège rollin - le succès des réunions pousse à donner une forme plus élaborée à leur groupement, mais la juridiction sur les associations représente un barrage (demande préalable d’autorisation nécessaire dès que le nombre de coureurs dépasse vingt + les membres doivent être français et majeurs) - la date du 11 décembre 1882 est être retenue comme étant l’acte de naissance du racing-club (mise en place de l’athlétisme en france) et, en quelque sorte, de l’athlétisme français. 3) naissance du stade français - les externes du lycée louis-legrand (quartier latin) avaient pris l’habitude de s’exercer à la gymnastique dans une salle qui avait donné lieu à la création d’une petite société - le racing-club pratique une politique plutôt élitiste, le stade français engage une politique plus ouverte. Il s’oriente vers les scolaires sans distinction de classe sociale

- les deux associations se complètent 4) l’action de G. de St Clair au sein du racing-club (georges stevenson de saint-clair) - il défend la pratique des sports en plein air contre les sports de salle (escrime, gymnastique) - il veut lutter contre la dégénérescence de la race par un équilibre entre culture physique et intellectuelle (niveau culturel des français) : “ développer le corps, le fortifier, le disposer à une vie longue et saine, tout en cultivant l’esprit, tel doit être le programme de l’éducation moderne”. le sport se fait entre soi : les gens du même niveau social. - il souhaite créer un lieu de sociabilité par le club, avec les mêmes vertus sociales. On doit rester entre nous, entre soi. Le sport est à vertu éducative pour une catégorie de population : ceux qui peuvent se le permettre. Le sport ce sont ceux qui dominent. Le professionnel est inférieur à cette classe sociale. Le sport n’est pas intégrateur. Pour lui, l’hygiène ça n’existe pas. Il veut du sport militaire. Il se prétend anti-militariste, cad il construit, il éduque un citoyen qui ne sera pas un soldat. 5) P. de Coubertin (1863-1938) et le Comité Jules Simon - 2 mentors vont le marquer durablement : - Frédéric Le Play idéologue (idées dans la politique, social), professeur d’université, il considère que la france ne peut pas se baser sur la masse, elle doit etre organiser par une élite sociale formée et éduquée. République élitiste et bourgeoise. Pdc est pas bourgeois mais aristocrate (pb!). - Thomas Arnold la conscience éducative et sportive de pdc. Précurseur de la sociologie économique. - le projet de Pierre de Coubertin est de rénover la pédagogie française par la culture (nombreux écrits) et le sport - volonté de lutter contre le surmenage scolaire PdC a été élevé à l’anglomanie. Responsabiliser les jeunes : but des anglais. Vision de pdc : il faut réunir et rassembler ceux qui dirigent : ceux qui ont l’expérience de la gouvernance = l’aristocratie. Fusion politique et sociale de l’aristocratie et bourgeoisie (puissance économique). le sport est donc bourgeois et aristocrate. Aristocrate : ne travaillent pas, réfléchissent pour les hommes. Il met en place le sport qu’il considère comme une compétition qui se mesure et entraine un classement (dans lequel s’inscrit la france). il va essayer de diffuser ce modèle social à l’échelle éducative. Culture française : culture musculaire. La france a fait des pratiquants massifs (hyper developpés, musclé...). faisons des athlètes plus performants et endurants! Gym française : faire un athlète puissant massif. Il y a un pb de méthode, il faut la changer car on est dans un classement. Révolutions industrielles : révolution de la mentalité. 1900 : allemagne 1ere puissance économique et sociale. Pdc veut révolutionner la pédagogie. 25 nov 1992 : il présente son projet à la sorbonne. Le projet d’abord sportif : mettre en place des JO (vertus compétitive de classement doit permettre de montrer l’écart entre les nations mondiales, savoir et réduire l’écart entre les puissances mondiales). il précise qu’il faut unir et rassembler l’ensemble des pratiquants et dirigeants du sport français : réunir aristocrates et bourgeois. But : relever la france. 23 juin 1994 : renouvele les jo. Mais on a une vertu internationale. C’est une rénovation. Il va créer un organisme : comité international des jo qui va devenir le cio (comité international des jo) - prôner la lutte pour l’autonomie et la prise de responsabilité Fondation de l’USFSA -création de l’USFCP, le 28 novembre 1897. G. Saint Clair président - création de l’USFSA, le 31 janvier 1889. organisme multisports. Coubertin secrétaire-général en 1890 - fortes tensions entre Saint Clair et Coubertin empêchent tout rapprochement - l’USFSA en sort vainqueur et la France se rapproche du modèle anglais : multisports Sport : critère de notre civilisation occidentale

Anneau : politique élitiste (aristocrates) et politique social (bourgeoisie) 2e anneau : 2 anneau qui fusionnent (logo). affirmation d’un modèle français. Sport français est multisports, à la fois sportif disciplinaire et en même temps, basée sur la domination physique. Eu, Angleterre, France et Italie. B. Les autres mouvements 1) la ligue nationale d’éducation physique - paschal Grousset journaliste appelé philippe darryll. Fondateur de la ligue nationale d’éducation physique. - il crée le 14 octobre 1888, la ligue nationale d’éducation physique - volonté de rétablir lui aussi les JO, mais sous une forme de jeux traditionnels et bien différente de l’Antiquité - organisation au printemps d’un grand concours athlétique scolaire (les lendits jo de P.Grousset) : course, saut, jeux de balle, natation, aviron. Basée sur l’activité musculaire. Héritage de jeux basée sur la course. Jeux de balle : agilité (savoir esquiver, réceptionner, lancer). natation : débrouillardise (survivre). but physique et militaire à chacune des épreuves. Tous ces jeux sont traditionnels, sont construits dans un héritage historique et pour former des citoyens dans l’histoire de france. Ce sont des jeux qui enferme la france dans son héritage. Ils sont considérés commes patriotiques et nationalistes. - la ligue est présidée par le savant Marcellin Berthelot (scientifique qui met en avant une référence : l’homme peut progresser si il souhaite améliorer sa motricité et le référent de l’homme doit être l’animal) - se compose de 36.8% d’hommes politiques (de gauche ou d’extrême gauche), 30% d’hommes de lettres, artistes, journalistes et 16% d’hommes de l’enseignement - le comité Jules Simon présidé par Pierre de Coubertin se compose à peu près de 10% de membres de l’enseignement, savants, docteurs, hommes politiques, hommes de lettres, artistes, armée, représentants des sociétés de sports et de l’industrie. Paschal brousset a écrit des livres avec jules vernes (50% de ces oeuvres). début de la colonisation, conquérir des marchés (exploiter ces colonies avec des hommes endurants et musclés construits par l’éducation physique). les instituteurs veulent l’éducation physique. Optique de l’homme machine = formation et éducation d’un citoyen Le lycée distingue ceux qui ont de l’argent et ceux qui n’en ont pas. 2) Philippe Tissié et la Ligue Girondine d’EP Éducation physique vision scientifique et de santé. Il est bordelais, il va mettre en avant que desormais l’état doit prendre soin des corps : arrêter la gym militaire qui blesse, mais une gym d’aplication raisonné. La gym militaire devient une gym de developpement : dvpmt musculaire. Il ne soppose pas, il complete la gym de dvpmt militaire par une gym suédoise, médicale appellée encore gym d’application. Finalité : la santé. L’objectif : prendre soin des corps. 2e objectif : ouverture de l’éducation physique aux filles. 3e obj : graduer les exercices physiques. -fondation à Bordeaux, le 19 décembre 1888, de la Ligue Girondine d’Education Physique - but : de faire aimer les jeux de plein air et de remettre en faveur dans notre pays qui les connut jadis, ceux de la paume, du criquet, du ballon, de la grande thèque etc..., de donner une nouvelle impulsion à l’escrime, au canotage, à l’équitation, à la vélocipédie, à la natation, à la boxe, aux courses pédestres car on a su s’amuser en France et il est faux de croire que tout ceci est nouveau” Il démontre la tradition française, les liens de la continuité avec paschal brousset. Il s’inscrit surtt dans une démarche politique. La france se reconstruit par elle, grace à sa potentialité interne. Fort nationalisme. La france ne veut pas subir la force exterieure. La france se replit sur soi dans le domaine culturel car elle a peur de l’exterieur. Les jo d’athènes sont un exploit pour le gouvernement grec et indirectement pour la france. Car la france est l’une des meilleures nations en terme de médailles. Elle est l’un des puissances sportives mondiales. L’état français doit reconsidérer la place du sport dans sa culture. Manuel des exercices gymniques et des jeux solaires. Esprit de compétition sain. Jeux traditionnels : courses en sacs, ...

2016 : la france n’a pas de culture sportive, elle n’arrive pas à s’imposer en France. 1908 : le sport s’impose à l’échelle internationale et française. Les jo de londres imposent un programme spécifiquement sportif : sports collectifs, sports athlétiques La france impose un manuel pour le primaire et secondaire.

2. la gloire de la république (1890-1914) -La belle époque : l’ère du spiromètre - Gilbert Andrieu, “du gymnase au stade”, science et motricité, 1988 Introduction : - la belle époque, expression postérieure (1919), une période faste et heureuse qui démarre plus ou moins avec la naissance du siècle - période de croissance, (colonies, régime politique stable, progrès technologiques et sociaux) - france pourtant encore largement agraire et inégalitaire - spectre de la guerre plane ... (1905 et 1911) - plus d’un million de personnes s’exerce aux activités physiques (gymnastique, conscriptive, hygiénique, plaisirs de pratiques de loisirs ) - le “sport” depuis les années 1880 - Pratiques compétitives - Cadre d’associations plus ou moins amateurs “démocratiquement” - Fédérations nationales, plus internationales, - Spectacles de plus en plus médiatisés - Recherche du record - “morale” sportive, éducative -cette modernité sportive oeuvre de Français - Jean-François Loudcher, “la France au centre de la modernité sportive, in Philippe Tétart, Histoire du sport en France, Le temps de la Conquête (1850-1945), préface de Michel Winock, Vuilbert-Musée National du SPort, 2007, pp.107-129. - Le “sport” et la gymnastique une réaction à une dégénérescence de la France ? - 1872, 36 103 000 habitants - 1886, 38 517 000 habitants - progressions est minime - pourtant, taux de natalité diminue régulièrement. 26.2 pour mille en 1872 à 21.9 pour mille de 1896 à 1900. - en 1896, nombre moyen d’enfants par famille . disparités féographiques très grandes (la France est un pays rural). - causes ; - mauvaises conditions de vie et industrialisation du pays - idéologiques, nouvelle conception de la famille émerge. Le malthusianisme (réduction des familles nombreuses), semble s’opposer à l’égalité citoyenne - a partir de 1985 taux de mortalité décroît - augmentation du niveau de vie et progrès de la médecine (diminution de l’alcoolisme et de la tuberculose : cf Zola) - augmentation de l’espérance de vie - l’école centre de beaucoup d’attention - sur le banc des accusés de la dégénérescence 1975 : loi Habby ouverture d’un collège

2.1. le manuel d’exercices gymnastiques et de jeux scolaires de 1891

L’école primaire : symbole de la discipline scolaire. Jeux entrainent la mise en place de l’esprit de compétition. Jeux : tir ou instruction militaire - une période favorable à l’évolution de la gymnastique scolaire - 7 juillet 1890 : circulaire Bourgeois : 1890, Léon Bourgeois-les cours de gymnastique ne se font plus sur le temps des récréations mais dans un créneau horaire déterminé - droit d’associations sportives au sein des établissements scolaires - résultat de la Commission Marey : Demeny rédacteur, en 1891, du nouveau : Manuel d’exercices gymnastiques et de jeux scolaires (IP) - une évolution majeure, la fin des exercices militaires. Des asso sportives ont parfois été crées au sein des établissements scolaires du secondaire. Ne peut pas se mettre dans le primaire car il faut du matériel et donc de l’argent. L’état n’a pas d’argent donc le sport ne peut pas s’imposer dans le domaine primaire. L’école primaire 15% inf (budget) au secondaire qui est l’école des riches. On privilégie le lycée. Une compétition entre les gens appartenant à la même classe sociale. Pas de compétition entre catégories sociales : car on peut se rendre compte que les pauvres peuvent prendre la tête de la compétition, ce qui énerverait les riches. Les écoles créent une filiation : - publique gratuite pour les pauvres - secondaire pour les riches Jules Etienne Marey : Georges Demeny (faire biographie) : gymnaste, devenu une aide scientifique. Le père des jeux scolaires, de la gym adaptée dans le milieu scolaire. Rédacteur de ce manuel. 1891 : évolution majeures. Fin des exos militaires. Fin des bataillons scolaires. Experience du maniement d’arme. Bataillons scolaires : crées en 1882 auprès des écoles primaires. Devoir manier, porter, courir, nettoyer, monter et démonter son arme. But : discipliner un esprit et un corps. Juin 1871 : empire allemand crée à versailles, esprit revengeur car alsace et lorraine ont été pris. Survive jusqu’en 1891. Georges demeny : rapporteur de la Commission et du Manuel de 1891, collabore avec P.Tissié et les...


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