Note de cours examen final Comportements ET Relations Humaines AU Travail PDF

Title Note de cours examen final Comportements ET Relations Humaines AU Travail
Course Comportements et relations humaines au travail
Institution HEC Montréal
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5- APPRENTISSAGE L’approche béhaviorale : Les déterminants premier de cette approche sont les stimulus présents dans l'environnement. Il y a deux conditionnements possibles: le conditionnement répondant et le conditionnement opérant. Cette perspective travaille avec ce qui est observable; les comportements. L'approche béhavioriste veut changer les comportements par apprentissage dans l'environnement. Un apprentissage est un changement de comportement qui survient lorsqu'il y a une association de deux stimulus. L’approche cognitive, en particulier l’équilibration des structures mentales : Ce qui intéresse particulièrement l'approche cognitive, c'est notre manière de penser. Cette approche permet de comprendre nos processus cognitifs et mentaux, qu'ils agissent de manière inconsciente (automatique et hors de notre contrôle) ou consciente (non automatique et contrôlable). De manière générale, dans cette approche, la psychopathologie résulte d'une interprétation inadaptée de soi-même, de la situation présente et des évènements passés et futurs. Selon cette approche, notre détresse psychologique est possiblement liée à une manière inadéquate, irrationnelle, dysfonctionnelle, non organisée ou problématique de traiter ou d'interpréter l'information. Les thérapies cognitives sont alors orientées vers la réorganisation, le changement ou la rééducation des cognitions (pensées) inadaptées, souvent automatiques. L’approche expérientielle : le cycle de Kolb et les 4 styles d’apprentissage. Les 4 phases du cycle d'apprentissage, ils sont ancrés dans les fonctions cognitives suivantes: percevoir, penser, agir et sentir.  L’expérience concrète représente le moment où l’étudiant effectue une tâche, vit une expérience. Celle-ci se doit d’être le plus près possible de la réalité vécue dans le monde du travail. Lors de cette expérience, l’étudiant doit utiliser les connaissances qu’il possède, son savoir-faire et son savoir-vivre pour vivre l’expérience qui lui est proposée.  L’observation réfléchie amène l’étudiant à réfléchir sur l’expérience qu’il a vécue. Il doit prendre du recul et rapporter comment il a vécu l’expérience : attitude, aptitude. Le professeur peut guider l’étudiant ou lui proposer des outils pour l’aider dans sa démarche.  La conceptualisation permet à l’étudiant de construire des concepts généraux, issus de l’expérience vécue précédemment, ceux-ci devraient s’appliquer à des situations différentes.  Lors de la dernière étape, celle de l’émission d'hypothèses l’étudiant devra déduire des hypothèses qui pourront être confirmées dans une nouvelle expérience concrète. Les 4 types d'apprenants: les 4 styles d'apprentissage  Divergent : l’étudiant qui préfère l’expérimentation et la réflexion sur cette expérimentation. Il apprécie apprendre par l’expérience, il est intéressé par les gens et tend à être imaginatif et à suivre ses intuitions.  Assimilateur : l’étudiant qui préfère l’observation réfléchie de l’expérience et sa conceptualisation. Il aime créer des modèles théoriques et est plus intéressé par les idées et les concepts abstraits que par les personnes.  Convergent : l’étudiant qui préfère la conceptualisation et l’émission d’hypothèse. Il apprécie la résolution de problème et les applications pratiques d’idées et préfère les tâches techniques aux relations interpersonnelles.  Accommodateur : l’étudiant qui préfère l’émission d’hypothèse et l’expérimentation de cette hypothèse. Il utilise la méthode « essai-erreur » pour résoudre un problème plutôt que de suivre un plan. Il est à l’aise avec les autres.

6- RELATION HUMAINE L’attachement (p.336, 340) est perçu comme un besoin inné universel, un système comportemental inné, visant au rapprochement du bébé avec la personne répondant à ses besoins, soit la figure d’attachement. 1. Attachement sécurisant : Les résultats ont démontré que l’adulte qui a bénéficié d’un style sécurisant exprime ses émotions ouvertement et honnêtement à son partenaire.

2. Attachement ambivalent : L’adulte ayant le style ambivalent tend quant à lui à vouloir une relation fusionnelle. En effet, lorsqu’il ressent de l’insécurité face aux sentiments de l’autre, il devient pot de colle et exigeant, ce qui peut entraîner une relation conflictuelle dans le couple et à nuire à la relation. 3. Attachement évitant: l’adulte ayant le style anxieux-évitant tend à se méfier et à se distancer émotionnellement de son partenaire, voulant être très indépendant. 4. Attachement désorganisé-désorienté: L’adulte ayant un style désorganisé a souvent peur d’être trop proche ou loin de son partenaire. Il est pris dans un tourbillon d’émotions qu’il ne comprend pas, ce qui peut rendre sa relation imprévisible et très instable.

Collaborer avec les autres : écouter de façon empathique, s’affirmer de façon respectueuse, gérer les conflits S’affirmer de façon respectueuse (p.364-365) Gérer les conflits p.366 Écouter de façon empathique (P.359-362) : L’écoute active est une technique de communication qui consiste à utiliser le questionnement et la reformulation afin de s’assurer que l’on a compris au mieux le message de son interlocuteur et de le lui démontrer. Cette approche se caractérise par la manifestation d’un respect et une confiance chaleureuse envers l’interlocuteur, pour qu’il brise ses défenses et s’exprime librement. Savoir écouter pour Rogers repose sur le respect strict de cinq impératifs :    



L’accueil: Savoir accepter l’autre comme il est. Être centré sur ce que l’autre vit et non sur ce qu’il dit: C’est aller au-delà des faits pour s’ouvrir à la façon dont l’autre ressent les choses avec « ses tripes ». S’intéresser à l’autre plus qu’au problème lui-même: Plutôt que de voir le problème en soi, il s’agit de voir le problème du point de vue de l’autre. Montrer à l’autre qu’on le respecte: C’est donner à l’autre l’assurance que l’on respecte sa manière de vivre ou de voir les choses sans empiéter sur son domaine et sans se transformer en apprenti psychologue qui « voit » dans l’inconscient de l’autre Être un véritable miroir: Il s’agit, non pas d’interpréter « votre problème c’est cela » mais de se faire l’écho de ce qu’il ressent: « ainsi, vous ressentez profondément que… ».

Les deux attitudes fondamentales de la non-directivité et de l’empathie, devraient être prises en considération dans le contexte de l’écoute active. I. La non-directivité: L’essentiel de son approche est d’être centré sur « l’autre » sans toutefois mettre de la pression ou influencer l’attitude de l’autre. Selon Rogers (dans le domaine du conseil d’entreprise), le « conseiller » ne doit pas conseiller ni interpréter, mais créer les conditions pour que le « individu » règle lui-même son problème car, selon lui, la personne qui consulte détient les solutions à ses problèmes. Être non-directif ne veut pas dire être inactif ou non-impliqué. Il s’agit plutôt de « sentir avec » l’autre, car cela est plus important que de partager une idée. II. L’empathie: L’empathie est « la capacité de s’inscrire dans le monde subjectif d’autrui pour le comprendre de l’intérieur ». Cette attitude d’acceptation inconditionnelle donne une chance d’exposer pleinement son propos. Elle laisse à autrui le temps de son expression, la possibilité de dire.

Les attitudes fondamentales (p.357) reposent sur une prémisse fondamentale : tout individu est animé d’une tendance inhérente à développer toutes ses potentialités et à les développer de manière à favoriser sa conservation

et son enrichissement. Les trois attitudes fondamentales que propose Carl Rogers dans son approche centrée sur la personne : 

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La congruence : Cela concerne sa capacité à être correctement en contact avec la complexité des sentiments, des pensées, des attitudes qui sont en train de circuler en lui tandis qu’il cherchera à suivre à la trace les pensées, les sentiments de son individu. La considération positive inconditionnelle acceptation totale et inconditionnelle de l’individu tel qu’il apparaît à lui-même dans le présent. Elle ne dépend en aucune façon de critères moraux, éthiques ou sociaux. La compréhension empathique : La compréhension empathique est issue de la préoccupation du thérapeute pour le monde perceptif et subjectif de l’individu. Le thérapeute essaie de percevoir le monde de l’individu sans se laisser submerger par celui-ci. Il en accepte toutes les colorations, les contradictions, en faisant abstraction de tous ses préjugés, de toutes ses valeurs. Il aura pour objectif de transmettre à l’individu sa compréhension de ce qui se passe à un moment précis.

La socialisation, en particulier le processus de socialisation (P. 343-344) La socialisation désigne le processus par lequel un individu apprend à intérioriser les valeurs et les normes sociétales pour faciliter sa construction identitaire et son intégration sociale, toute une réflexion peut être menée à partir de leurs représentations pour savoir comment l’individu devient un être social ayant des statuts et des rôles. La socialisation est un processus « ouvert » qui laisse des marges de manœuvres individuelles. Ces dernières permettent à l’individu de se construire une personnalité et une identité propres. La variance et la déviance qui transpirent de la personnalisation du processus de socialisation ne signifient pas anticonformité : les constructions identitaires se font rarement dans une perspective atomistique, car elles sont toujours réalisées en référence à un groupe. Dans le processus de socialisation : Les valeurs, les normes et les rôles :   

Les valeurs représentent ce qui est considéré comme désirable, juste ou encore important ans une société. Ce sont des idéaux qui s’illustrent à travers les normes. Les normes sont des règles de conduites fondées sur les valeurs et qui marquent l’appartenance d’un individu à une société. Elles peuvent être formelles ou informelle. Les rôles sont un ensemble de comportements qui sont socialement attendus d’un individu, notamment en fonction de son statut.

7- INFLUENCE SOCIALE Les 5 formes de pouvoir Pouvoir légitime : pouvoir d’un individu ou d’un groupe grâce à la position et aux obligations du chef au sein d’une organisation ou d’une société. Le pouvoir légitimé confère à celui qui l’exerce une autorité formelle déléguée. Pouvoir de référence : capacité de certaines personnes à persuader ou à influencer les autres. Il est basé sur le charisme et les compétences interpersonnelles de celui qui détient le pouvoir. Ici la personne soumise au pouvoir prend comme modèle celui qui exerce le pouvoir et tente d’agir comme lui. Pouvoir expert : il dérive des compétences ou de l’expertise de certaines personnes et des besoins de l’organisation ou de la société en matière de compétences. Contrairement aux autres catégories, ce type de pouvoir est généralement très spécifique et limité au domaine particulier dans lequel l’expert est qualifié. Pouvoir de récompense : il dépend de la capacité du leader à accorder des récompenses matérielles . Il se réfère à la façon dont l’individu peut donner aux autres certains types d’avantages en récompense, tels que : du temps libre, des cadeaux, des promotions, des augmentations de salaire ou de responsabilité. Pouvoir de punition: il se base sur la capacité d’imposer une punition par celui qui le détient. Il peut être assimilé à la capacité d’éliminer ou de ne pas donner de récompenses et trouve sa source dans le désir de ceux qui s’y soumettent d’obtenir des récompenses avec courage, mais influencé négativement par la peur de les perdre. Cette peur est ce qui, finalement, assure l’efficacité de ce genre de pouvoir.

La normalisation, en particulier les enjeux du consensus. C’est l’influence réciproque exercée par les individus dans les groupes. C’est la loi du compromis. L’être humain est constitué de la sorte que la plupart du temps, quand il y a consultation de groupe, tout le monde tente de se rapprocher de l’opinion des autres afin d’éventuellement faire consensus. 

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Quand il y a divergence d’opinions, trois instances sociales permettent de trancher les différences : La tradition (c’est les expériences du passé), la science (documentation scientifique sur le sujet et le consensus (décision commune). Le problème principal avec le consensus, c’est qu’il tend à se polariser autour des positions dominantes, qu’elles soient modérées ou extrêmes. P.384 Le groupe fait des compromis jusqu’à rejoindre la position de la personne qui exerce la plus grande influence au sein du groupe même si son point de vue est dénué de raison. On parle de la concentration des activités, de l’influence, de l’attention sur un même sujet. Une autre problématique du consensus réside dans le phénomène d’abstention. Certains individus renoncent à leur pouvoir d’action en comptant sur le fait que quelqu’un d’autre prendra la décision à leur place. Certains individus s’abstiennent en signe de protestation mais le résultat demeure le même, il ne participe pas au consensus. Le groupe exerce parfois sur les individus qui le composent une emprise similaire au phénomène d’hypnose. Dans les groupes l’esprit critique et le sens de la responsabilité personnelle est affaibli et d’autres parts les réactions émotionnelles sont stimulées. Il arrive donc parfois que des gens adoptent en groupe des normes de conduite qu’ils pourraient juger inacceptables de manière individuelle. Pourquoi est-ce que nous normalisons notre conduite? Par désir d’acceptabilité et par peur du rejet.

La conformité Modifier sa conduite ou son attitude pour l’harmoniser avec celle du groupe, c’est ce qu’on appelle se conformer. Encore une fois ici, la conformité peut se produire sans même que les membres du groupe ne soient conscients de son influence. La conformité implique que quelqu’un change d’opinion pour appartenir à un groupe donc qu’il cède sous la pression sociale pour être accepté. 1. Une position de groupe fortement intériorisée par ses membres et activement partagée par chacun; 2. L’existence d’une norme d’objectivité, c’est-à-dire l’existence d’un critère vérifiable ou d’un consensus très fort concernant une croyance, une attitude ou une conduite; 3. Le fait que l’individu n’a pas encore pris position sur la question. Plusieurs facteurs peuvent influencer votre tendance ou non à la conformité.   

Les caractéristiques personnelles (votre niveau d’estime de soi, être extra ou introverti) Les caractéristiques du groupe (la taille, l’influence, son degré d’attraction) La relation de l’individu avec le groupe : Un groupe qui a beaucoup de valeur à tes yeux suscitera un plus grand désir de conformité.

La conformité facilite l’adaptation, permet d’être accepté et valorisé. Du côté sombre de la conformité nous retrouvons par contre une réduction des possibilités d’innovation et d’expression de l’individualité. À long terme, la conformité nuit à l’efficacité du groupe et de l’individu.

L’obéissance

C’est le résultat de l’exercice de l’autorité et du consentement des personnes à qui elle s’adresse. C’est en quelque sorte le statut quo. L’obéissance, c’est aussi quand une personne modifie son attitude ou sa conduite pour obéir ou se soumettre aux ordres directs d’une autorité qu’elle juge légitime. Il a démontré que l’autorité est une source d’influence extrêmement vigoureuse. L’autorité peut se cacher dans une personne, dans un symbole comme un uniforme par exemple ou dans un ensemble social comme le gouvernement. Même dans des cas extrêmes, où une figure d’autorité demande à quelqu’un de faire des choses qui vont à l’encontre de toute moralité, la grande majorité des gens vont obéir. Innovation Influence des minorités sur la majorité (vecteur de changements). En gestion, quand on parle d’innovation en terme « d’individus novateurs » on parle des personnes qui s’écartent des limites et des règles établis par le groupe. Une multitude d’auteurs qualifient ses individus dotés de la faculté de penser en dehors du groupe de «déviants». On utilise le terme déviant dans sa signification première soit « qui dévie de la norme » L’innovation et les individus innovateurs sont souvent des acteurs de changement au sein d’un groupe. Dans la mesure où l’individu déviant se retrouve dans un cadre de travail assez souple pour accepter de revoir les normes, un groupe peut tirer profit de ces gens qui « think outside the box ». L’innovation constitue un cas particulier d’influence sociale. Les créateurs sont souvent des gens qui ont appris, de par leur pratique, à penser en dehors des cadres. Évidemment l’innovation n’est pas toujours un gage de succès et toutes les idées novatrices ne sont pas bonnes.

Le leadership, en particulier les 5 grandes idées sur le leadership. (P406 A 413)

8- ÉQUIPES DE TRAVAIL L’efficacité des équipes de travail L’évaluation implique de porter un jugement sur les résultats produits en tenant compte des résultats attendus. Plus les résultats générés sont conformes aux attentes, plus les équipes sont jugées efficaces. Dans le cas des équipes de travail, l’efficacité est généralement envisagée selon trois types de critères, à savoir la performance de l’équipe, la qualité de l’expérience de groupe et la viabilité de l’équipe. Tout d’abord, la performance de l’équipe consiste à évaluer dans quelle mesure les biens ou les services produits par l’équipe satisfont aux normes établies par l’organisation et/ou par les utilisateurs de ces produits ou services. Quant à la qualité de l’expérience de groupe, ce critère d’efficacité indique dans quelle mesure le climat social au sein de l’équipe est positif. Ainsi, une équipe peut être jugée efficace lorsque l’expérience de groupe comble globalement les besoins personnels des membres de l’équipe et ne suscite pas de frustration chez ces derniers. La qualité de l’expérience de groupe peut s’évaluer en fonction de plusieurs indicateurs, dont la satisfaction des membres envers l’équipe, le développement professionnel au sein de l’équipe, le niveau d’absentéisme dans l’équipe et le roulement volontaire. Finalement, la viabilité de l’équipe est un critère d’efficacité qui révèle dans quelle mesure les membres se montrent capables de continuer à travailler ensemble. Ce critère comporte deux facettes, à savoir la capacité d’adaptation de l’équipe et l’intention des membres de rester dans l’équipe. La capacité d’adaptation de l’équipe désigne l’aptitude à faire face à des changements internes (par exemple, l’intégration de nouveaux membres) et externes (par exemple, l’introduction d’une nouvelle technologie) de manière à permettre aux membres de continuer à travailler ensemble dans l’avenir. La performance de l’équipe, la qualité de l’expérience de groupe et la viabilité de l’équipe sont des critères d’efficacité complémentaires les uns par rapport aux autres. Sachant que les équipes sont mises en place pour produire des biens ou des services, la performance de l’équipe est souvent considérée comme le critère d’efficacité prépondérant. Cela dit, un

niveau de performance élevé pourra difficilement être maintenu si la qualité de l’expérience de groupe ou la viabilité de l’équipe est faible. De même, un niveau élevé de qualité de l’expérience de groupe ou de viabilité de l’équipe est insuffisant lorsque la performance de l’équipe est déficiente. En conséquence, une équipe de travail est globalement jugée efficace lorsqu’elle satisfait à des critères de performance, de qualité de l’expérience de groupe et de viabilité de l’équipe. Le fonctionnement interne (déterminant de l’efficacité), en particulier les comportements productifs et contreproductifs, les 5 dysfonctions et les stades de développement. Le fonctionnement interne des équipes de travail se caractérise par la présence de comportements productifs et de comportements contre-productifs. (p.436) Alors que les comportements productifs favorisent l’efficacité de l’équipe, les comportements contre-productifs y nuisent. La présence de comportements productifs n’exclut pas la présence de comportements contre-productifs, et vice versa. Par ailleurs, il appert que la présence de comportements contre-productifs risque de décourager la ma...


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