Politique et religion PDF

Title Politique et religion
Course Politique et religion
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
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Politique et religion...


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Politique et religion Reprise de l'introduction en S1 L'imbrication du politique et du religieux est universelle, pour toute les sociétés humaines. La théocratie a d'ailleurs été la première forme de gouvernement. C'est le plus souvent le politique qui définit le religieux, qui instrumentalise le sacré, et c'est rarement le contraire, c'est a dire la religion qui instrumentalise la politique. Pourquoi le politique a besoin du sacré et du religieux : pour pérenniser l'autorité, pour mettre a l'abri l'autorité et l'ordre. Il s'agit alors de faire du désordre une hérésie = (définition : un sacrilège) (lecture minoritaire = calvinisme) (contraire = une obédience qui admet plusieurs religion dans une religion) ou une apostasie = (définition : abandon d'une doctrine) (lecture majoritaire = le plus grave au yeux des religions c'est une lecture déviante). Même si le religieux n'est pas toujours à l'origine de sa politisation, il y a dans toute les religions une dimension qui permet une politisation, c'est la dimension normative (individuelle et collective). C'est la que la religion se retrouve sur le même terrain que la politique, soit en concurrence, soit en « complémentarité ». Quels sont les conditions pour la politisation de la dimension normative religieuse ? Déjà, il faut une certaine stabilité du système politique. Toutes normes de toutes religions sont des normes morales ou juridiques. Ce qui les différencie : –

Une règle juridique indique une sanction pour celui qui ne la respecte pas et désigne une autorité pour l'appliquer. Elle concerne la vie dans la société.



Tandis que s'il n'y a pas de sanction ou d'autorité, c'est une norme morale. Elle devient juridique quand elle trouve un preneur politique. Elle devient aussi juridique quand elle devient majoritaire hégémonique au sein de la société. Quand un croyant n'appartient pas a la norme majoritaire, il devient tolérant. Mais s'il devient majoritaire, il perd cette tolérance.

La dimension normative de la religion est politisable mais pas forcement politisé. On peut les analyser par le processus de politisation et de dépolitisation. La laïcité et la sécularisation font partie d'un processus de dépolitisation. C'est une approche historique, comparatiste. Il faut éviter l'ethnocentrisme, et prendre les normes de notre culture en centre. Il faut éviter de considérer l'analyse des autres culture comme étant subordonnée à la notre. Car on considère alors notre culture comme étalon de l'universel. Le contraire de ce piège est le culturalisme . C'est à dire considérer les cultures comme essences éternelles et irréductible ne permettant alors pas de comparaison entre elles. C'est l'impossible communication entre les cultures.

I) Des formes antiques de l'imbrication du politique et du religieux et de leur théorisation théologique et philosophique. L'Égypte ancienne s'est distingué de son monde environnant. En Afrique du proche et du moyen orient, les systèmes politiques étaient lié à des cités, des principauté, des tribus et des chefferies. L'Égypte a émergé comme un système s'étendant à un vaste territoire unifié autour d'un institution politique et religieuse : la Pharaon. Et contrairement au cité état qui sont apparut dans leur

environnement, le système de l’Égypte a marqué par sa stabilité (des siècles ou des millénaires). Une stabilité qui n'est pas sans rapport avec ce lien, cette imbrication entre le politique et le religieux. Dans la culture égyptienne ancienne, ce sont les dieux qui ont créé la terre. Terre qui est composé d'une vallée verte et de désert. Cette conception est lié a une cosmogonie, une représentation de la genèse du cosmos. Dans les grands systèmes religieux, il y a articulé une cosmogonie (théorie de la création de l'univers), une biogonie (théorie de la création de la vie), une anthropogonie (théorie de l'apparition de l’espèce humaine). La cosmogonie englobe les deux autres. L'escathologie réponds aux autre questions : la fin du monde. C'est l'imbrication de la cosmogonie et de l'escathologie qui donne du sens. Toute idée nouvelle est considérée comme une hérésie. Le terme gourou vient d’Indonésie, ou gourou veut dire maître. Ainsi toutes les religions étaient à la base des secte persécutées, elles ont réussi à devenir des religions en ayant assez de croyants. Ainsi les philosophes, peuvent aussi être considéré comme des gourou. A la différence que la philosophie confronte l'esprit à la contradiction des points de vue et incite à réfléchir. On devient zombie d'un gourou lorsqu'on ne réfléchit pas, lorsque l'on accepte sans poser de question. Dans la pensée égyptienne, ce sont les dieux qui ont établit un ordre harmonieux qui est : maât. (qui est depuis et jusqu’aujourd’hui en Égypte le symbole de la justice). C'est le maintient de cet ordre qui permet le « miracle » de la reproduction de la vie. Le gardien de cet ordre c'est le pharaon lui même car il est descendant des dieux. Il est chargé de garantir la pérennité de l'harmonie. C'est en son nom qu l'on combat les forces du mal. C'est lui que l'on vénère. C'est le seul intermédiaire entre les dieux et les humains. Il peut déléguer, et nommer des prêtres qui sont l’intermédiaire entre le peuple et lui. Il a une double nature, une humain et une divine. Ce qui s'est transmis chez les chrétiens, et chez les musulmans. Il est la figure centrale de l’État monarchique, et il est responsable de ce qui se passe sur terre. Les catastrophes sont issu d'une désobéissance à l'ordre. Dans cette civilisation, politique, religion et culture se confondent. C'est une conception du monde appelé mythologie. Ce sont les dieux qui ont instauré les institutions. Les contester c'est aller à l'encontre de la volonté des dieux. Les pharaons étaient tous associé a la figure d’Horus. Il a été confié la région de Seth à Osiris. Le pharaon est considéré soit comme fils de dieux soit comme un dieu vivant, il est le monarque et le prêtre suprême. Le choix du successeur se faisait au fil des guerres, par succession filiale ou encore il pouvait y avoir des désignation par rêve. Au départ, il y avait un pharaon par région puis il y eut unification, Empire, puis desunification. En Mésopotamie, c’était un système de cité état. Si il y a une guerre entre deux cités, le vainqueur imposait sa divinité à la cité vaincue, et la défaite est de la faute du dieu protecteur de la cité. Il y aurait eut 5 cité touché par les dieux qui leurs ont donné les lois. Avec la bonté, la vérité, la loi et l'ordre les Sumériens étaient préoccupés par l'existence du mal dans le monde. Et ils disait que la seule façon c'est accepter le mal comme une épreuve de dieu. Adage des sumériens : La voix de dieu est incompréhensible... La sagesse chez les sumériens c'est d'accepter ce qui arrive, accepter ses limites. Sinon c'est l’épopée de Gilgamesh.

II) Judaïsme christianisme et islam, le rapport au politique avant la modernité. (s3) Il y a une distinction entre la société civile qui est la société politique et la societé domestique qui est la famille.

Dans la société civile, la femme n'est pas l’égal de l'homme, l'esclave n'est pas l’égal de l'homme. Ce qui est accepté comme élément fondamental de la conception du monde, et permis par la religion. Il n'y a pas de religion d’état, c'est une religion cité. La religion est obligatoire et célébré par les magistrats de l’état. La croyance en un dieu est lié en la croyance en son rôle de protecteur de la cité. Les dieu doivent défendre la cité contre les ennemis. Chaque cité a sa divinité. Leur fonction principale est de secourir l’état. Les panthéons sont apparut quand il y a eut unification (guerre, une cité l'emporte sur une autre). La divinité vaincu est intégré comme divinité inférieur dans le panthéon. La hiérarchie des dieux traduit les vainqueurs/ vaincus. Donc l'unification d'un panthéon est éphémère et superficielle. Dans les cité grecque, patriotisme et religion se confondait. Ainsi, ne pas participer à la cérémonie religieuse c'est être indifférent au devenir de la cité. Ce qui est considéré comme une trahison. Et les dieux susceptible et jaloux ne l'accepteraient pas. Du fait de leur caractère, ils ne donnent leurs protection qu'à condition de les observer de façon scrupuleuse. La moindre réticence dans le corps des citoyens est considéré comme pouvant attirer des conséquences fâcheuse pour le sort de la cité. Un mauvais comportement aurait des conséquences sur tout le monde. Cette foi pose des problèmes à différentes catégories de personnes (2) : - les intellectuels qui se posent des questions, qui ne peuvent pas se satisfaire d'une religion qui présente une théologie rudimentaire, une répétition de génération en génération, les mythes etc.. sur l'origine du monde etc.. pour leur faire accepter leur statut. En fait ces philosophes sont plus des theosophistes (qui visent à la connaissance spirituelle par la recherche intérieure et à l'action sur le monde par des moyens spirituels, qui interprètent les mythes et légendes par une logique analogique). Ils sont inquiets dans cette religiosité de l'absence d'ethique. Il n'y a pas de principe moral au dessus des rapports de forces. C'est par sa dimension philosophique que le culte va prendre de l'importance. Socrate a été condamné pour cela, pour s’être moqué des dieux, du manque de morale de la religion. Les philosophes considéraient que ces religions ne donnait pas d'explication cohérente sur le monde. L'oiseau de minerve : c'est lors d'une crise de civilisation que commencent a se poser des questions. Cette forme de religiosité n'arrivait pas a combler les questions de certains grecs sur l'escathologie. (pourquoi les esclaves et les femmes ne sont pas concerné par la vie après la mort ?) Des le 4eme siècle avant JC, on assiste au déclin des cités, de leurs pouvoirs politiques. Ce qui va être le déclin des religions aussi. Les dieux n'ayant pas pu protéger les cités, ils « perdent de la valeur ». Il y a donc declin du patriotisme aussi. Ethnos : peuple en tant qu'entité culturelle, aussi bien les perses que les grecs Laïkos (laos): peuple sans distinction d'homme libre ou non, femme etc, peuple indéterminé Demos : les citoyens, seulement les hommes libres. Aristote a offert ses services de conseillé à Alexandre le grand. Ces religions sont lié a la précarité de la cité (qui peut être vaincu). Cela engendre un repli sur des formes de religiosités destinés à répondre aux interrogations individuelles. On assiste a des formes de cérémonies organisées en dehors des cités voire contre les cités. C'est des communautés confessionnelle appelé les thiases (on les appellerais aujourd'hui des secte) réunis autour de ce qui est mystérieux. Ils se sont multiplié en l'absence d'une religion unissant toute la cité. Il y a effritement de l'unité politique et religieuse. Avec ce déclin, développement d'un commerce lié au cérémonies. Puis il y a l'arrivée des romains qui n'imposait pas leurs religion pour éliminer les autres. Ils ont

subordonné les autres religions à Rome. La cité-monde c'est Rome qui est aussi une divinité. Cette superposition des croyances romaines aux vieilles croyances de la Grèce antique va perdurer jusqu'à l’avènement du christianisme. Le christianisme a comblé les failles du système de croyance alors présent grâce à : une réponse universelle. Le christianisme est mal accepté dans les cités ou on avait du mal a considérer l'homme et l'esclave égaux au niveau religieux. C'est parce qu'il répond aux questions de manière universelle qu'il est mal accepté. Nous avons peu d'indice sur la religion des romains avant la république. Selon George Dumezil : « la religion n'est devenu essentiellement politique que vers la fin de la république ». Il attache l'origine des croyances de la religion de Rome à sa préhistoire dans l’héritage indoeuropéen. Pour lui la religion et la société s'organisaient sur la base de trois fonctions essentielles: la loyauté (répondant aux question existentielle), la fonction militaire et la fécondité. Il y associe les trois grandes divinité qui étaient Jupiter, mars, quirinus. C'est une triade qui va exister en dehors de Rome. Après des influences, a cette triade succédera la plus connue Jupiter Junon et minerve. Mais cela est propre à Rome ou aux régions conquit par Rome après. A la fin de la république à Rome, il y a une religion politique c'est un état sous la protection de dieu mais aussi une divinité. Les dieux sont avant tout les dieux de la cité, les prêtre étaient des fonctionnaires de l’état. Pas de fonction sacerdotale (relatif a la dignité et a la fonction du ministre du culte) mais distingués par leurs fonctions dans l’état. Ainsi les prêtre pouvait se marier et avoir une vie politique. Toutes les prêtrise n’étaient pas des fonction à vie. Sous Rome : deux collège de prêtre : un collège féminin et un collège masculin. Le collège masculin : les pontifex (prêtres) exercent des fonctions générales lié à l'ensemble de la religion, et d'autres prêtre sont lié à une divinité en particulier : les flamins. Aussi les flamins de Jupiter sont supérieurs aux autres flamins. Les pontifex veillent au respect des pratiques religieuses, ils surveillaient les innovation (dans de nouveaux cultes), les hérésies. Le souverain pontife, appelé grand pontife (pontifex maximus), est élu à vie. Sa fonction est de nommer les autres prêtres. Donc il y a centralisation poussée de la fonction sacerdotale. Les flamins : veillent à ce que les mariage soit exclusivement religieux. Exemple de contraintes lié a la fonction : les flamins de Jupiter ne peuvent sortir de la ville plus de 3 jours, ils ne peuvent travailler pendant leurs périodes de prêtrise. Il ne sont pas élu à vie. Les empereurs ont créé des flamins relié au culte de césar : le culte impérial. L'empereur est représenté comme un dieu vivant. Ce qui était divinisé c’était son génie, qui est son dieu protecteur (genius) et non son corps. L'empereur en tant que tel est divinisé après sa mort par le sénat. La cérémonie de divinisation est appelé l’apothéose. Le collège féminin s'appelle les vestales lié à la déesse Vesta (le foyer ou le feu sacré). Les vestales ont pour fonction d'entretenir le feu sacré dans le collège, elles ont un statut prestigieux, vivaient au frais de l’état, en communauté et habillé de façon somptueuse. Elle étaient choisit dès l'enfance par le grand pontif. Elles deviennent vestales qu'à l'adolescence à condition d’être vierge. Si elles ne respectent pas cette condition elles peuvent faire l'objet de châtiments terribles qui peuvent aller jusqu'à la peine capitale. Elle peuvent se marier après. Il y avait deux pratiques religieuses : Les pratiques publiques, qui devait être accompagnées de sacrifices (au début c’était des sacrifices humains sauf en cas de grand danger), des sacrifices d'animaux très ritualisé, le type, la taille, la couleur, sont choisi avec soin. La viande de l'animal était cuite et mangée par les prêtre et les dieux se nourrissaient de la fumée. Il y avait des prêtres spécialisé la dedans. Les pratiques privées : les funérailles, ou il y a des sacrifices aussi. Les romains pratiquaient la

crémation. Vers la fin de l'empire romain se sont multipliées les secta (secte) qui n'avait pas une connotation péjorative. Culte romain est un culte commun qui se superpose, mais il n'y a pas de suppression des cultes particuliers. Cela a favorisé le mélange des croyances (= syncrétisme). Les cultes orientaux et autres cultes exotiques ont été introduit à Rome jusqu'à la fin. Parmi celle la il y a la religion égyptienne introduite par les commerçants, la déesse Isis était très connue à Rome ainsi que son époux Sérapis, et il était très apprécié par les romains. L'idée de résurrection fascinait les romain dans les traditions égyptiennes. Il y avait aussi des cultes perses : le culte de Mithra. C'est par cette acceptation que le judaïsme et le christianisme s'introduisent à Rome. La persécution des romain vient de l’exclusivisme des religions monothéiste. La guerre civile et les séismes politiques vont être à l'origine du déclin de l'empire romain et à la faveur du christianisme. Au 4em siècle il y a la conversion de l'empereur Constantin romain suite a l’édit arrêtant la persécution des chrétiens : édit de milan. Il y a transition sur la vénération des roi qui sont concret, c'est quelqu'un de réel qui protège la cité et ses habitants, qui élabore des stratégies, etc.. Le judaïsme (s4) Auteur : Regine Azria Le judaïsme est indissociable d'un livre : la torah et de la notion de monothéisme (notion qui a été façonné et réinterprété par le christianisme et par l'islam. C'est indissociable de l'histoire d'un peuple qui a su se conserver, se préserver de la diaspora grâce a son attachement à un code moral éthique, juridique et religieux, grâce à son attachement à un mode de vie, un cadre social qu'il n'a pas inventé mais qui a été prescrit par la religion par un texte. C'est grâce au cadre social qu'il s'est donné pour pallier a l'autorité centrale, que ce peuple a pu survivre, ne pas disparaître. La notion de communauté est fondamentale dans le judaïsme. Cela leurs a servit de refuge car ils ont fait face à l'hostilité des gentils, des goys (les non juifs). C'est a la fois un moyen face a la séduction d'autres communautés, et à la disparition par l'assimilation. Il y a une réalité contemporaine qui s'attache a trouver des réponses aux défi de la modernité. (modernité : distinction des champ ou la religion qui devient un champ parmi d'autres). Ils font face a l’émancipation, la sécularisation, l'assimilation, l'intégration. C'est l'apparition de l’état d’Israël qui a donné une nouvelle réalité au judaïsme. Deux récits différents sur Israël : le récit biblique et le récit historique : Le récit biblique : 3 millénaires avant JC avec la période des patriarches (Pour d'autres : les débuts du judaïsme sont au début du monde : il y a 6013 ans.) Dans ce récit il y a la création du monde, la création d’Adam et depuis sa fausse cote, Ève , lutte fratricide entre les deux enfants, Noé, le déluge etc.. Dans ce récit, il y a les descendants de l'enfant béni, et les descendants de l'enfant maudit, un mythe qui justifie Israël-Palestine. Hébreux vient d'un terme qui veut dire traverser (l'Euphrate pour arriver a la terre promise ou coule du miel). Arabe vient d'un terme qui est en lien avec une vallée aride et accidenté (barbare) qui a été repris pour signifier l’éloquence Joseph a été acheté par un ismaélien (un arabe) et vendu par ses frère pour aller en Égypte ou il rendra service. Puis Moise libère les siens de leurs sort en Égypte A partir du 13 ème siècle avant JC, des indications des peuples voisins, des info sur cette population. (acadien, sumérien etc..) identifié comme étant cananéenne. L’hébreu et l'arabe sont des langue de la même famille

La « vrai » histoire (le récit historique) commence réellement au 9 ème siècle avant JC avec les royaume de Judée et de ????, le récit historique commence la. Ils sont identifié comme un peuple d'origine cananéenne habitant les hautes terre cananéenne (Cisjordanie actuelle). La ou le récit biblique rejoint le récit historique. - 880 jusque – 722 : période des antiques royaume de Judée et de Samalie (disparaît avant la Judée, royaume d’Israël, Israël qui est le surnom de Jacob) – au sud avec Jérusalem comme capitale, le royaume de judas, la Judée – ils ont rompu avec le polythéisme pour croire en un seul dieu : yahvé Les royaumes de Judée et d’Israël entre le 8em et le 7em siècle était polythéistes avec un dieu principal, exemple Baal (le seigneur), yahvé (écrit YHV) avait aussi une épouse Ashera (l'accompagnatrice). C'est ce dieu principal qu'il faut adoré, ils ne sont pas dans le monothéisme mais dans la monolâtrie (de l'adoration). Mais le monothéisme avait déjà commencé avant avec Akhenaton. Ont été établit des filiations des ancêtres des différentes tribu pour en faire une généalogie descendante d’Abraham,. Il faut un ancêtre, une figure religieuse, politique commune de la conception patriarcale, patriarche vénéré, confondu avec la figure de dieu. L'existence du judaïsme en tant que religion est indissociable du pouvoir politique. Destruction du royaume par les araméen, et commence l'exode pour Babylone. Au retour de l'exil, c'et le roi Josias qui a régné a Jéru...


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