Sciences de l\'éducation PDF

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Fiche de lecture de l'ouvrage d'introduction aux sciences de l'éducation de Gaston Mialaret. ...

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Gaston Mialaret, « Les sciences de l’éducation », Que sais-je ? 2017 voir également « Introduction aux sciences de l’éducation » 1985 ou « Vocabulaire de l’éducation » 1979 ou « Histoire mondiale de l’éducation », 1981 et encore bien d’autres de ces œuvres. Les sciences de l’éducation intègre l’université française en 1967 D’après le dictionnaire Robert, le mot pédagogique est apparu en 1485. A l’académie en 1762 Pour Durkheim (« Éducation et Pédagogie » du Nouveau dictionnaire de Pédagogie et d’instruction primaire, 1911) la pédagogie est « la théorie pratique de l’éducation », « Science de l’éducation des enfants » Étymologie du mot Education : en latin dux, ducis = guide, chef ; d’où ducere = conduire, commander. Educere = conduire hors de ; et educare = élever, former, instruire. Paul Foulquié, « dictionnaire de la langue pédagogique », 1997 Donc Nourrir et élever. « Ne sont-ce pas là les deux tendances séculaires et souvent en conflit d’une éducation tantôt préoccupée avant tout de nourri l’enfant de connaissances, tantôt de l’élever pour en faire émerger toutes les possibilités ? » (Debesse et Mialaret, « Traité des sciences pédagogiques », 1970) Du même auteur, « L’étymologie suggère qu’éduquer consiste : soit à faire sortir l’enfant de son état premier ; soit à faire sortir de lui (à actualiser) ce qu’il possède virtuellement. » Terme Education apparait en 1327 dans le « Miroir historial » de Jean de Vignay Dictionnaire de Furetière en 1690, Education : « Soin qu’on prend d’élever, de nourrir les enfants ; se dit plus ordinairement du soin qu’on prend de cultiver leur esprit, soit pour la science, soit pour les bonnes mœurs » Durkheim (1911) : « L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter chez l’enfant un certain nombre d’états physiques, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu social auquel il est particulièrement destiné » Ligue internationale d’éducation nouvelle : « L’éducation consiste à favoriser le développement aussi complet que possible des aptitudes de chaque personne, à la fois comme individu et comme membre d’une société régie par la solidarité. L’éducation est inséparable de l’évolution sociale ; elle constitue une des forces qui la déterminent ». Crée en 1921 BILAN : on voit clairement l’évolution de la définition avec en premier lieu chez Durkheim cette notion « d’action exercée » donc de soumission alors que pour la ligue internationale de l’éducation nouvelle on est sur une notion de « favoriser le développement » avec une notion d’évolution au regard de la société. Donc ne peut rester bloquer sur un style d’éducation ou plutôt sur des finalités éducatives. « Le but de l’éducation et ses méthodes doivent donc être constamment révisés, à mesure que la science et l’expérience accroissent notre connaissance de l’enfant, de l’homme et de la société ». 1990 : sciences de l’éducation prend deux orientations « scientifiques » : Paradigme de l’explication et paradigme de la compréhension Possibilité d’examiner le terme éducation dans 4 directions différentes : -

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Institution : règles, fonctionnement, structures précises et explicites Système diffus d’éducation : radios, journaux, télé… éducation = résultat d’une action. On est le produit de telle éducation. Réforme de l’éducation système pour améliorer l’éducation produit car on dit que « le niveau baisse ». Education se référant au processus : l’éducation se réfère au processus qui relie de façon prévue deux ou plusieurs êtres humains et qui les met en communication, en situation d’échanges et de modifications réciproques

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Education et contenu : une éducation se caractérise aussi par le type d’activités qu’elle propose

Trois extensions de la définition et du sens d’éducation au cours de l’histoire : 1. L’éducation s’intéresse à l’enfant de plus en plus jeunes grâce aux travaux psychanalystes, bio et socio. L’intérêt pour l’éducation de l’adulte c’est beaucoup développé également à travers le filtre de la formation pour continuer d’éduquer l’adulte au cours de sa vie. Pareil pour personnes âgées (gérontologie). DONC éducation s’adresse à tous les âges contrairement aux premières définitions. Il s’agit à tout âge d’éducation dans au moins 1 des 4 directions/champs ci-dessus. 2. Friedman « L'école et les communications de masse : opinions, documents, débats », 1963  acquisitions et informations possédées par l’enfant à la sortie de l’école proviennent en grande majorité de « l’école parallèle » =domaine isolé, où l’enfant reçoit du milieu un ensemble de stimulus (radios, télé, internet, expérience de tous les jours). Le milieu l’éduque d’une certaine façon. On doit parler « d’actions éducatives » car elles transforment le sujet lui impriment certains de caractères de sa personnalité ultérieure. 3. Avant l’éducation s’intéressait qu’à l’intelligence ou la mémoire. Notre siècle a voulu étendre l’éducation à tous les domaines humains sans en négliger (éducation à la sensibilité au même titre que l’intelligence et celle du corps n’est plus reléguée au dernier rang) = formation totale de l’individue et l’éducation actuelle n’a plus de commune mesure avec l’instruction ou la formation de l’esprit de jadis. « L’éducation actuelle n’a plus pour but unique de faire del’enfant un homme intelligent, dont le raisonnement logique soit sans faille, mais de développer une personnalité équilibrée, riche de toutes les potentialités congénitales épanouies, améliorée par la création de nouvelles aptitudes ; cette personnalité devra être susceptible de s’adapter, de se transformer, de s’améliorer au contact des situations nouvelles rencontrées, choies ou subies par elle. » 4. Evolution des processus d’éducation. Les situations d’éducation ne se résument plus à un maitre devant un élève ou un professeur devant un groupe. Chef d’établissement, personnel et ministre ont une action éducative car ils cherchent à agir sur l’élève. On eut donc être au service de l’éducation-action ou l’éducation institution ou l’éducation animation (maison de jeunes par ex).

Quelqu’un ou un groupe (A)  Agit sur (M)  Quelqu’un ou un groupe (E) A : Action volontaire OU involontaire / consciente OU inconsciente M : Actions exercées allant de la contrainte pure et simple à l’effort pour associer le sujet à sa propre éducation. Différentes formes d’éducation. Ex : Education Montessorienne est « sensorielle » alors que la cartésienne est intellectuelle Au même titre le « learning by doing » de Dewey est différent des techniques de la pédagogie de Makarenko A : Enseignant s’adresse (M) aux élèves (E) A : Le chef d’établissement exerce une action en imposant un style de vie ( M) sur les classes et l’établissement ( E) A : penseurs, philosophes, hommes politiques exerce une action par des discours des écrits des actes ( M) sur toute une génération ou une partie de celle-ci Ci-dessus exemples des différentes échelles auxquelles peuvent d’apprêter l’acte d’éducation MAIS A  M  E fonctionne également dans l’autres sens. = action des élèves sur l’enseignant venant impacter son comportement façon de faire ect. DONC A M E « C’est peut-être le refus de reconnaître ces interactions qui a été un des éléments à l’origine des évènements de 1968 ».

Le schéma malgré sa simplicité peut avoir 7 ou 8 significations selon Ardoino, « Propos actuels sur l’éducation », 2004 : 1. A à la possibilité de changer la situation de E 2. A à le pouvooir de modifier le niveau d’information de E 3. A peut faire varier, dans un sens ou dans l’autre, les probabilités pour que E accomplisse une action donnée dans la situation où il se trouve inscrit 4. A a de quelque façon le pouvoir de changer les buts poursuivis par E 5. A peut exercer une action sur les facteurs « conducteurs » organisant et déterminant la conduite de E 6. A exerce une action sur la composante de satisfaction de E dans la situation 7. A possède la posssibilité de changer les caractères permanents de E 8. Système de relation fondé sur la perception de E par A en terme de pouvoir substantialisé Nouveau schéma A  M  E  R (réaction)  A « L’éducation est donc un processus qui suppose une certaine adaptation réciproque de A et E et, par contrecoup, une modification de A par l’exercice même de la fonction éducative ». Réciprocité dans l’éducation Possibilité de M refusé, ou reçu sans conséquence ou reçu et influence limitée à un segment du comportement (Idem avec désiré) ou reçu et désiré et leur influence amène le sujet E à utiliser une remise en question des associations existantes ou conduire à de nouvelles créations Quand E représente un groupe : « Les actions s’adressent à la fois aux individus et au groupe avec pour objet de provoquer la naissance de forces vives intragroupes. Là c’est donc le groupe entier qui se structure, qui est capable d’agir en retour sur les individus qui le composent et sur sa propre évolution en tant que groupe. » A ce stade nous pouvons dire que « le fait d’éducation est une action exercée sur un sujet ou sur un groupe de sujets, action acceptée et même recherchée par le sujet ou par le groupe ; le but de cette action est de provoquer des modifications profondes, de faire émerger de nouvelles forces vives afin que les sujets soient eux-mêmes les éléments actifs de ces modifications ». « Une bonne éducation est caractérisée : -

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Par un ensemble cohérent d’objectifs choisis et définis en commun accord par A et E Par le choix des processus M de telle sorte qu’il soit en adéquation avec les objectifs déterminés d’une part et d’autre part avec les lois biologiques, psychologiques et psychosociologiques qui régissent le fonctionnement de E. Considérer E comme partenaire actif de l’action exercée Par un système de rétroaction qui permette une constante rectification des itinéraires et une adaptation de plus en plus précise de A M et E avec une possible remise en question possible des objectifs choisis et de l’ensemble du système. »

« Les faits d’éducation s’inscrivent dans un contexte historico-social que nous appellerons une situation d’éducation »

« Les sciences de l’éducation sont donc constituées par l’ensemble des disciplines qui étudient, dans des perspectives différentes mais complémentaires et coordonnées, les conditions d’existence, de fonctionnement et d’évolution des situations et des faits d’éducation. » Trois groupes de facteurs pour analyser les situations d’éducation correspondant à différents niveaux d’enveloppes invisibles : -

Conditions générales de l’éducation institution Les conditions locales des situations d’éducation

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Les conditions de la relation éducative Schéma résumant le tout :

DONC : double complexité des situations d’éducation avec une complexité extérieure (nbr de facteurs et interactions avec autres facteurs éco, politique, géographique, historique) et une complexité intérieur liée à la complexité de chaque individu et des nombreuses relations qui se tissent entre eux. Ces deux types de complexité ne sont pas indépendantes !

Disciplines qui étudient les conditions générales et locales de l’éducation 1. L’histoire de l’éducation et de la pédagogie August Comte : « La partie historique de la philosophie sociale », 1841 : Un processus ne peut être compris que par son histoire Debesse, « Traité de sciences pédagogiques », 1979 : L’histoire de l’éducation permet alors de comprendre l’évolution, les processus de changement, les étapes, les accélérations, les ralentissements et permet de faire un bilan plus clair, et surtout plus intelligible, des situations d’éducation actuelles. « L’influence du rationalisme cartésien se traduit par la méthode syllabique d’apprentissage de la lecture codifiée au XVII par Demia ; au XVIII, sous la double influence de la philosophie sensualiste et des progrès techniques de l’impression, apparaissent les « Illustrations » ; les textes et les présentations se modifient ensuite sous l’influence des théories modernes de la philosophie psychologique et plus particulièrement de la théorie de la Forme » Montre qu’on peut associer à une évolution éducative (sur l’exemple le matériel péda) des courants et évolution de pensée scientifique. 2. La sociologie de l’éducation Les travaux de l’école de Bourdieu posent les problèmes de démocratisation de l’éducation et de l’inégalité des chances de réussite en fonction des origines sociales des élèves et des étudiants Bourdieu et Passeron  Conflictualistes = Ce sont les rapports sociaux qui détermineront l'orientation scolaire, la réussite ou l'échec. L'origine sociale a une importance mais pas uniquement. Il parle de l'école comme "Machine de reproduction des inégalités" Baudelot, Boudon  Externaliste = Les individus sont des êtres libres et rationnels qui font des calculs coûts/avantages pour s'orienter. L'origine sociale ne jouerait ici qu'en tant que facteur économique

Autre courant qui va s’intéresser au contenu d’enseignement, aux programmes, au curriculum et donc aux variations de ceux-ci en fonction des époques  Isambert-Jamati « Les savoirs scolaires », 1990. Courant qui se développe beaucoup en Angleterre et apporté en France par Forquin, « Ecole et culture, le point de vue des sociologues Britannique », 1990. 3. Ethnologie de l’éducation Approche de l’ethnologie de l’éducation/ethno-pédagogie : manière dont on élève les enfants en des milieux ethniques et socioculturels différents. En second lieu pour se demander par quelles voies et en quels domaines précis l’ethnologie se révèle utile à ceux qui ont pour fonction d’étudier les problèmes d’éducation. Coulon nous parle aussi d’ethnométhodologie. « Ethnométhodologie et éducation », 1993

Durkheim, « Education et sociologie », 1922 : éducation se fait à chaque instant au contact des ainés, il n’y a pas de moment à proprement parlé  « Il y a une éducation inconsciente qui ne cesse jamais »

4. Démographie scolaire 5. Economie de l’éducation 6. L’administration scolaire Citation intéressante sur les différentes expérimentations cherchant à contrer la logique industrielle en E1 deuxième partie : « Le collège diffère d’une entreprise en ce qu’il n’est pas orienté vers le profit ou la production, mais vers l’épanouissement intellectuel et affectif de l’élève » (Arguin, « Une théorie de l’organisation scolaire (les nouveaux collèges Québécois », 1972) 7. Education comparée Ovide Decroly affirmait que l’on pouvait comprendre une situation ou un phénomène que par comparaison à d’autres situations Les sciences qui étudient les situations et les faits d’éducation Sciences pédagogiques Les objectifs étant de mieux comprendre le dynamisme d’une situation d’éducation pour l’améliorer par rapport aux finalités choisies. Quatre disciplines : I.

Disciplines qui étudient les conditions et le déroulement de l’acte éducatif sous les angles Physio, psycho, psychosocio et pédagogique. Posent aussi les problèmes complexes de la relation au savoir

A. Être vivants impliqués dans l’éducation donc intérêt d’étudier les « conditions physiologiques » (bonne santé, sommeil suffisant, alimentation équilibrée) (Caston, « L’enfant et l’école : approche psychophysiologique », 1993). Quels éléments chimiques sont indispensables à l’attention, à la mémoire, à l’assimilation des connaissances ? Se pose également tous les problèmes liés à la fatigue, au surmenage, au rythme de la vie scolaire. Mais également tout ce qui est à la limite de la physiologie et de l’architecture (éclairage, insonorisation…)

B. La psychologie de l’éducation : Analyse sous l’angle psycho des structures, des institutions, des méthodes. Très bel exemple exprimant également une tension importante  Jacqueline Chobaux, « Un système de normes pédagogiques. Les IO dans l’enseignement élémentaire en France », 1967 : « L’enseignement est découpé et gradué en fonction de ce que l’esprit adulte conçoit dans l’ordre logique, et non en fonction des opérations mentales dont sont capables les enfants d’un âge donné ». Instructions officielles incohérentes : « Elles font appel à des théories psychologiques différentes sans les ne définir nettement ni les situer les unes par rapport aux autres ; théorie associationniste, théorie intuitive-empiriste, théorie fonctionnalise » S’intéresser également à la situation d’éducation : état des sujets avant, pendant et après l’acte éducatif et analyse. Domaines de la psychologie de l’éducation sont très nombreux : relation sujet avec le monde, langage (Vygotski, « pensée et langage », 1934), conditions du contact avec monde extérieur et environnement. Mais aussi tous les problèmes de l’apprentissage

C. L’acte éducatif lui-même (observer, comprendre  conduite des enseignants, des élèves, échanges, activités) Marguerite Altet poursuit les recherches de Marcel Postic en développant une méthode d’analyse des messages échangées au sein d’une situation d’éducation, soit entre enseignant élève ou élève élève. Ses recherches ont permis de mieux préciser ce qui se passe aux différents moments de l’action pédagogique, caractériser les styles d’enseignements, enrichir les processus de formation des enseignants (Altet, « La formation professionnelle des enseignants », 1994

 CF p66 : Schéma montrant évolution sur l’élève de la façon d’enseigner après un stage sur processus dialectique Enseignant-Apprentissage. Permet de voir le passage d’élève qui sont en réception consommation pendant le cours à des élèves en production Autre domaine : psychologie des méthodes et des techniques pédagogiques. L’évaluation en fait partie et donne lieu à des analyses psychologiques car elle crée « un stystème complexe entre l’élève, son travail, le maître, la famille, l’administration et chacune des composantes a un versant psycho ». Noizet et Caverni propose un modèle de l’activité psycho du correcteur en présence d’un paquet de copies (grosse importance de la note dans la relation enseignant élèves). Travaux pyscho sur évaluation  Noizet et Caverni, « Psychologie de l’évaluation scolaire », 1978 ; Barre de Mimac et al « Professeurs, parents et élèves face à l’évaluation » INRP, rapport de recherches n°4, 1985. D. Psychosociologie des petits groupes : Connaître toutes les lois de fonctionnement, d’évolution, de structuration d’un petit groupe, c'est-à-dire de la classe. Bany et Johnson « Conduite et animation de la classe », 1974 ; distinguent une liste de variable que Filloux résume ainsi in Debesse et Mialaret « Traité des sciences pédagogiques », 1977:  Les normes : règles réagissant les interactions, manières de se conduire…  Les buts du groupe : explicites ou implicites  Les communications : interpersonnelle (qui parle à qui), structurale (comment se constitue le réseau d’interactions), instrumentale, expressive  Les rôles : Types de comportement liés à la division du travail et à la structuration du groupe : rôle d’autorité, rôle de participants  Cohésion du groupe, esprit d’équipe E. Sciences de la communication et de l’information : Cherche à étudier les différentes conditions de l’établissement et du fonctionnement des communications au sein d’une situation d’éducation Quelles sont les conditions pour qu’un message puisse être transmis et reçu dans de bonnes conditions : caractéristiques de l’émission, difficulté de transmission, état des récepteurs… II.

La didactique et la théorie des programmes

Les contenus, 4 types de relation : -

« Une relation privilégiée avec les spécialistes de la discipline considérée Une autre avec les psychologues Une autre avec les pédagogues

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Une relation avec l’ensemble du monde scientifique de l’époque »

Les contenus : « Le contenu des programmes doit aussi être en rapport d’un coté, avec les attentes de la société et, d’un autre côté, permettre de satisfaire des besoins individuels » « Constituer une aider fertile et efficace à l’ensemble du développement »

Brousseau distingue trois types de situations didactiques :  « Celles dont l’enjeu est l’action et la réussite  Celles dont l’enjeu est la formu...