Suite science-co-Harry-Harlow PDF

Title Suite science-co-Harry-Harlow
Course Sciences Cognitives
Institution Université Bordeaux-Montaigne
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Summary

suite des résumé des expériences en science cognitives de Harry Harlow...


Description

Harry Harlow – Théorie de l’attachement Harry Israel Harlow est né au Etats-Unis dans la ville de Fairfield dans l’état de l’Iowa le 31 octobre 1905, puis il est décédé le 6 décembre 1981 dans la ville de Tucson, ils vient d’une famille pauvre ou son père était plus intéressé par inventer des choses que par les affaires ; en 1930 il changea de nom, et devient Harry Harlow pour pas que son nom de famille ai des conséquences sur ses travaux. Sa profession principale était d’être un psychologue américain. Il fût ses études à l’université de Stanford jusqu’en 1930 ou il obtiendra un doctorat cette année-là et où il étudiera avec le psychologue Lewis Terman (qui a développé un test d’intelligence Stanfort-binet et qui l’a influencé pour son avenir aussi) ainsi qu’avec Calvin Perry Stone, qui est un comportementaliste animal bien connu et Walter Richard Miles aussi, un expert en vision. Par la suite il enseignera à l’université du Wisconsin-Madison ou il y créa son laboratoire avec ses étudiants et où il fera ses études sur les primates. Durant sa carrière il obtiendra plusieurs prix pour ses expériences réalisé et notamment le prix APA en 1960. De 1950 à 1952 il a dirigé le département des ressources humaine au sein de l’armée. De 1952 à 1955, il a dirigé la Division d'anthropologie et de psychologie du Conseil national de recherches, il a été membre du conseille du Groupe consultatif scientifique de l'Armée et il a été membre de l' American Psychological Association de 1958-1959. Il épouse une première femme Clara Mears, en 1932, qui a participé aux expériences de Harlow. Après son divorce il s’est remarié avec une psychologue pour enfants, Margaret Kuenne. Après la mort de sa deuxième femme, Harry Harlow est tombé dans la dépression et dans l’alcool. Les résultats de ses expériences ont été publiés dans le journal Psychologue américain dans un article intitulé « The Nature of Love ». Il a commencé sa carrière et ses travaux sur une étude sur les primates pour y étudier l’apprentissage, la mémoire. (Cette étude lui permettra de définir une notion cognitive, celle d’apprendre à apprendre). Harlow Harry est connu pour avoir réalisé plusieurs expériences sur la théorie de l’attachement avec des bébés macaques (macaques rhésus), qui consister à mettre en isolement de jeunes macaques et qui avait pour but de montré que les premiers moments de vie auprès de sa mère, dans la vie d’un bébé macaque était important dans son développement. Mais ses expériences ont posé problèmes par la suite à cause du côté éthique et ces méthodes ont souvent été condamnées par les

défenseurs des animaux, Car celui-ci voulait créer un choque chez l’être humain afin de nous faire prendre conscience sur la façon d’apprendre très tôt. La théorie d’attachement une théorie qui s’appuie sur les liens affectifs que nous créons avec d’autres personne. Cette théorie a besoins de la science la psychologie, philosophie pour être étudier. Sa motivation pour ces expérience a été de comprendre l’amour, il s’est appuyer sur les travaux du psychanalyste britannique Bowlby qui avait déjà étudié la notion d’attachement après la fin de la Seconde Guerre Mondiale et qui lui-même a était influencé par la théorie de Darwin, et aussi il s’est appuyer sur les travaux de René Spitz (qui est un psychiatre et psychanalyste américain), qui a étudié la relation mère enfant.

A partir des années 60 Harry Harlow réalisa plusieurs expériences que ce soit sur la période de privation et le substitut maternels.

Mais l’idée de faire des expériences sur l’attachement avec des bébés singes remonte à son doctorat. En effet, pour son doctorat, il a repris les travaux de son maître de thèse Calvin Stone, sur les préférences alimentaires des rats, lait de vache ou autre lait, ou autres boisson… Pour ces expériences il a du séparer les bébés de leurs mères. Il a ensuite remarqué que le bébé ne pouvait boire que si c’était à la température du corps de la mère. Harlow se posa la question de savoir si le fait d’être avec la mère permettait de se nourrir. Il décida donc de placer le bébé dans une cage et on séparer la cage aves un grillage avec d’un côté le bébé et de l’autre la maman rat. Harlow remarqua que la mère essayé de ronger le grillage pour rejoindre son enfant. Harlow décida de la laisser tourner en rond, la rendre affamé pour ensuit enlever le grillage et étudier le comportement de cette mère ratte affamé et en présence de proie potentiel. Mais celle-ci allait vers leur enfant, Harlow se demanda si c’était de l’instinct, un réflexe. Pour étudier ce fait, il refait la même expérience ou cette fois ci il enleva tout ce qui pouvait provoquer ce geste à la ratte. Il lui enleva la vue, pour ne plus avoir de stimulus sensoriel, il lui enleva les ovaires ainsi que leurs bulbes olfactifs pour supprimer tout ce qui pourrait permettre à la ratte d’être stimuler à la présence de son enfant. Malgré ceci les rattes continués de courir vers leur bébé. Harlow c’est alors posé la question du sentiment de l’amour.

C’est à la suite de ça que dans les années 50, il a décidé de faire des expériences sur des macaques rhésus sur ce besoin de toujours être en contact. Il a donc observé dans les premier temps que les bébés singes étaient seulement attirés par les couvertures qui étaient sur le sol de la cage. Il en suppose donc que les macaques ont un besoin absolue de toucher, être en contact avec quelque chose de doux. Et ils se mettaient en crise si la couverture leurs était retiré (pour la laver). C’est donc ce phénomène que Harlow a décidé d’étudier et c’est de là que lui est venue l’idée de créer des mères de substitution.

La Période de Privation : Tout d’abord au début de l’expérience sur la théorie de l’attachement, Harlow Harry décida de séparer les bébés macaques de leurs mères dans différents stades de leur développement. C’est-à-dire soit à partir de leur naissance où bien à partir de différents mois (3mois, 6mois, 12mois ou 24mois). En réalisant cela il souhaite les mettre en isolement et hors de tout contact de leurs espèces ou de d’autres formes de vies. On a pu constater que les bébés singes placé dans une cage avec une couverture s’y sont attaché et on développer une certaine résistance malgré le fait de plus avoir de repère maternel. Alors que ceux placé dans une cage vide n’ont pu résister que quelques jours et ils sont décédé par la suite. Il a réalisé plusieurs sortes d’isolement. L’isolement total, ou les sujets était enlevé à leur mère à la naissance et était placé dans une cage isolé de tout stimulus visuel, auditif avec des membres de leurs espèces pendant plusieurs mois. Ses singes ont rapidement présenté des comportements gestuelles anormaux ; des balancements, des sautillements ou bien des agressions à eux-mêmes en se griffant, se mordant, se tapant. Même si il a était montré qu’ils étaient sensible à la douleur. Ils ont étaient démuni de toute sociabilité et ont vécu un choc émotionnel. Lorsque que l’on les remettait en contact avec d’autre singes à l’âge de 2-3 ans, ils possédaient des comportements perturbé, ils ne pouvaient pas jouer, interagir avec les autres, se figeaient en une position et ne bougeaient plus dans la pièce, ils avaient des moments où ils devenaient violent.

Même à l’âge adulte, ces singes présentaient encore de trouble, sexuel et maternel, les femelles refuse de se faire approcher par un mâle, les mâles ne peuvent pas s’accouplaient. Et si on fait devenir mère une femelle par insémination artificielle, il y a un rejet total, une ignorance de l’enfant. Ils ont aussi un apprentissage retardé, lent On a pu remarquer que les singes mis en isolement totale, à leur sortie représente des symptômes d’autisme réel. Ensuit il a fait l’expérience avec un isolement partiel, ou cette fois ci les bébés singes sont toujours placé dans une cage mais cette fois ci ils ont la présence de stimulus visuel t auditifs, sans pouvoir rentrer en contact avec eux. Mais la présence de certain stimulus n’a pas permis de changer les résultats puisque une fois remis en présence d’autres singes de la même espèce, ils ont adopté le même comportement que ceux placé en isolement totale. Même si ils ont eu un rétablissement partiel au niveau de leur sociabilité. Même au niveau maternel il n’y a pas beaucoup de changement, mais les femelles de l’isolement partiel arrivent à avoir un comportement maternel avec leurs bébés acceptables en leur imposant la présence du nourrisson.

Le Substitut maternel : Il existe plusieurs étape à l’attachement, lorsque le bébé a moins de 2 mois il y a des signes d’attachement mais il ne différencie par les personnes avec qui il a de l’attachement. De 2 à 7 mois il commence à différencier les personnes et on peut encore substituer la personne qui reçoit l’affection. A partir de 7 mois il existe une relation d’affection franche et sincère et on ne peut plus la substituer, et lors des séparations de la détresse et de la peur s’opère

Après avoir réalisé une expérience sur la période de privation, Harry Harlow décida donc toujours dans le même principe de séparer les bébés macaques dès leurs naissances de leurs mères. Mais dans cette expérience il ne les place pas dans une cage seule. On le met dans une cage et on lui laisse le choix entre deux mères du substitution, une première qui est en fer mais recouvert d’une couverture douce, d’une tête en bois et d’une source de chaleur, ou la deuxième qui est en fer et qui propose de le nourrir au biberon. Harlow étudie avec cette expérience si le bébé singe préféré la nourriture avec une maman « fil de fer » ou une maman « sécurisante », qui remplace leur vrai mère.

En laissant le bébé macaque interagir à tour de rôle sur le premier substitut puis ensuite le second, l’expérience a montré que le bébé singe reste sur la mère avec la couverture qui lui procure de la douceur, sécurité et il va sur celle en fil de fer que quand sont instinct de faim se réveille et dès qu’il a fini de manger il retourne sur la « maman sécurisante ». Puisque la « maman fil de fer » ne lui procurant aucun sentiment de sécurité juste de la nourriture quand il sentait le besoin de manger, à travers ce substitut-là, le bébé vas trouver une source d’affection que le premier ne lui procurait pas et en même temps une source de réconfort et d’être à l’abri même si elle ne lui procuré pas de nourriture Harlow a montré que le bébé ne s’attache pas à sa mère pour le besoin de nourriture mais par le besoin de sécurité, il montre donc que le besoin de confort et le contact est une variable très importante dans le développement de l’affection. Le fait que la mère procure la nourriture renforce l’affection. Si on lui enlevé la mère, ils se mettaient au centre de la pièce et crié, pleuré suite au choc émotionnel, le fait d’être seul, abandonné.

Il a réalisé une deuxième expérience avec les mères de substitution. Cette expérience se fait en 3 étapes. Premièrement, il place le bébé singe dans un pièce avec plein d’objet dont un couverture douce, et étudie le comportement du singe. Celui-ci court immédiatement vers la couverture et ne bouge pas, n’explore pas la pièce, par peur. Deuxièmement, il place la « maman fil de fer » dans la pièce et fait entrer le bébé, celui-ci court encore vers la couverture et ne bouge pas, Harlow l’explique par le fait que cette mère ne lui procure pas de sentiment de sécurité. Troisièmement, il met à la place de la maman « fil de fer », la maman « sécurisante » et fait entrer le singes, cette fois ci il court d’un seul cout vers la mère pour se rassurer et ensuit il va commencer à explorer la pièce tout en revenant de temps en temps vers la maman« sécurisante ». Il a réalisé une troisième expérience avec les mères de substitution, le test « de la peur ». Il a d’abord mis le bébé singes dans une cage seule et a présenté un objet bougeant, faisant des bruits, et il a observé que le singes c’est replié sur lui-même. Ensuit il a placé le bébé singe dans une cage avec les deux mères de substitution, et a fait venir l’objet faisant peur, le bébé singe a immédiatement couru s’accrocher sur la mère « sécurisante », et Harlow a souvent remarqué que finalement le singes après se détaché de la mère et poussé des cris.

Ses découvertes ont été nombreuses et il a participer à trouver de nouvelle découverte pour plusieurs domaines, la philosophie, la psychologie, la science, dans le domaine de l’éducation maternel touchant ainsi les mères pour les aider à comprendre l’importance de l’attention porter à leur bébés. Et qu’elle n’était pas que source de nourriture lorsque le bébé et tout petit, mais elles sont source de repère pour son développement. En effet Harlow a remarqué que l’attention n’était pas la seule variable qui pourrait rentrer en jeu, il pense avoir découvert que le mouvement berçant et une autre variable à prendre en compte. Mais les expériences d’Harlow ont souvent était qualifié de cruel envers les animaux, qu’il avait créé des singes « psychopathes » (selon BARBOW). Mais pour Harlow, cette expérience a permis de comprendre que l’Homme ne vit pas que pour le besoin de se nourrir mais il a besoin de chaleur et de contact. Il reconnait que les singes ont souffert, mais il dit qu’il préfère sacrifier des singes pour pouvoir sauver les enfants du Monde. Ses études ont été utilisé partout dans le monde, dans les orphelinats, les éducateurs ont compris qu’il ne suffit pas de donner un biberon aux bébés mais il faut aussi leur faire des câlins, les bercé, les tenir pour aider à leur développement. Il a aussi montré que ce soit la mère de » substitution ou la mère réelle, le bébé développe un lien très fort entre l’enfant et la mère. Il pense qu’il semblerai que l’amour pour la mère réelle ou celle de substitution soit presque identique. Ses travaux convergent avec ceux de Bowlby qui pense qu’un enfant a besoin de s’attacher à au moins une personne pour pouvoir développer son comportement sociale et émotionnel. Et que l’enfant s’attache à sa famille qui lui procure de la sécurité et donc lui permet ensuite de découvrir le Monde. Donc l’enfant ne s’attache pas la mère pour pouvoir satisfaire sa pulsion de faim, mais il s’y attache pour pouvoir se développer.

L’importance de son domaine dans les sciences cognitives et son apport à celle-ci La nature de sa contribution aux sciences cognitives est le fait qu’il a réalisé plusieurs expériences sur la théorie de l’attachement avec des bébés macaques et qui avait pour but d’expliquer grâce à une étude psychologique le comportement de ceux-ci dans leurs premiers instants de vie. Cette expérience fut importante pour les sciences cognitives, car elle permit d’analyser et étudier le comportement des bébés macaques lorsque ceux-ci se retrouver en isolement et ensuite hors de l’isolement et livrer à eux-mêmes dans l’inconnu, et cette expérience a permis de comprendre l’affection chez les nouveaux né humain, puisque il n’y a aucune différence au niveau de l’affection, du contact, de la découverte auditive et visuelle entre les bébés singes et les « bébés humain ». Toute sa vie il a étudié la psychologie du comportement grâce à des expériences. La psychologie est une des matières phare des sciences cognitive puisqu’il permet d’étudier selon le Larousse la connaissance des activités mentales et des comportements en fonction des conditions de l'environnement, les sciences cognitives est l’étude des cognitions, des facultés et aptitudes mentales comme la vision, la connaissance, la mémoire. Harlow lui c’est intéressé au comportement des nouveaux nés face à l’isolement, la substitution de la mère maternel, ces expérience lui ont permis d’étudier comment il se développe face à une situation, tel que l’isolement. De plus pour ses expériences il a mêlé plusieurs matières, celle des sciences cognitives, tel que la philosophie, puisque il s’est inspiré de certain travaux qui eux même avait utilisé Freud, il a aussi utilisé la science scientifique Il a apporté aux sciences cognitives, en effet, ses découverte sur l’importance du contact, de l’affection dès le plus jeunes âges afin de permettre un bon développement sociale aux bébés, il a permis une évolution de la connaissance des sciences cognitives ainsi qu’à l’évolution de l’étude psychologique des vivants. Il a permis de découvrir que le manque d’attachement entraîne une perte mentale et une perte de la santé. Il a permis de découvrir qu’après une durée de 6 mois pour un être humain sans mère à partir de la naissance, il était trop tard pour inverser les réactions et ne peut compenser les dommages déjà survenu. Cela a donc permis d’adapter les travaux des autres matières scientifiques sur ce domaine en ayant de nouvelles connaissances. Harry Harlow a permis de compléter des recherches et donc a permis de renforcer la positivité de la parenté psychologique, celle d’aider pour améliorer le

comportement de la mère et de renforcer le fait négatif de la garde institutionnelle, celle des structures d’accueil des enfants hors horaires scolaire. Et que ‘adoption était une bonne chose quand il s’agit de sauver la santé mental de l’enfant, pour son bienêtre. Et donc a permis l’émergence de nouveaux travaux d’autres personnes, de nouvelles thèses… Il a permis cette évolution puisque avant ses découverte il y avait une position totalement différente des siennes sur le principe d’attachement, on pensait que les enfants ne devait pas être réconforté par leur parents par des câlins par exemple, c’est une position rendu populaire par John Watson un psychologue américain créateur du béhaviorisme (étude du comportement et interaction d’un individu dans son milieu, environnement) , il soutenait que la relation mère enfants n’est rien d’autres que une association de la mère à la nourriture. De plus les premiers psychologues américain pensait qu’une mère qui réconforter son bébé de geste tendre prenait le risque de faire de son bébé un individu incapable de vivre dans la société américaine, ce qui tout à fait le contraire des étude de Harlow qui prouve le contraire, qu’un bébé sans geste tendre, sans attachement de la part de sa mère, a le risque d’avoir des problème de vie en société. Même si apparemment les positions d’avant Harlow n’ont pas était prouvé, elles ont influencé le comportement parental, les comportements envers les enfants, mais les découverte de Harlow ont radicalement tout changé, et les comportements parental ont eux aussi radicalement changé, ainsi aussi le comportement des hôpitaux puisque ceux-ci avait adopté des règles en accord avec les pensait d’avant et interdisait donc aux parents d’enfant malade de les réconforté quand ils avaient peur. Mais Harlow a complétement démenti le béhaviorisme en prouvant avec ses expériences des singes que l’attachement et le contact d’une mère à son enfant a un impact sur le développement de l’enfant dans la société, et a donc modifié les façon de penser dans la psychologie et dans les sciences cognitives sur tous les sujets qui touche celui-ci....


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