UE3 - Classification des champignons PDF

Title UE3 - Classification des champignons
Author Anton Chatelot
Course Mycologie
Institution Université de Paris-Cité
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Summary

Cours sur la classification des macromycètes dans le cadre des études de pharmacie...


Description

UE3 Champignons toxiques – Risques de confusions, syndromes d'intoxication.

8h consacrées aux macromycètes toxiques. Questions à la fois sur description macroscopiques, et classifications, et symptomes associés. Q à part égales à l'examen avec son collègue. Le cours est enregistré et sera disponible. Le cours va paraître abstrait, il y a une sortie au parc floral vers le 16 octobre, ou il y a une exposition sur les champignons.

I- Généralités - Classification Les macromycètes appartiennent à l'embranchement des Basidiomycota. plus particulièrement au sous-embranchement des Agaricomycotina. • au sein de ceux ci, on a environ 20 000 espèces de macromycètes qui sont décris. • on va trouver 3 classes : - Tremellomycètes (tout ce qui est tremelles) - Dacrymycètes (champignons souvent un peu atypiques) - et surtout Agaricomycètes (tout les champignons classiques, coprins, amanite phalloide ..) Il y a quand meme quelques Macromycètes qui appartiennent aux Ascomycota (Ascomycètes). Il y a énormément de champignons microscoqiues, mais quelques gros champignons, avec les Pezizomycotina (→ Pezizomycètes (avec les Helvelles, les morilles...) et Léotiomycètes (chlorocibolia joli champignon turquoise...))

Mode de vie des champignons. Le cycle de vie d'une champignon se passe à 90% sous la forme de mycelium (forme végétative), généralement souterraine, souvent impropre à l'identification. Et à un moment la champignon met en place sa reproduction sexuée : met en place des structures visibles à l'oeil nu = le carpophore = sporocarpe (ascocarpe/ascorpores, et basiodiocarpes/basidiospores) = structure qui porte les spores de la reproduction sexuée, c'est ce que l'on ramasse, souvent à l'automne. Au niveau de ces carpophores, on va avoir les spores, qui sont portée sur un tissu important pour l'identification qui est l'Hyménium.

II- Critères de reconnaissance On hiérarchise les observations macroscopiques : • Localisation de l'hyménium Sa localisation caractérise la forme du champignon. → Hyménium interne, et le restant jusqu'à maturité (puis il y aura éclatement et libération des spores). Ont des formes particulières, existe chez agaricomycotina, pezizomycotina ... → Hyménium externe non protégé par un chapeau (la libération des spores à maturité est plus facile). Ont des formes particulières, existe chez agaricomycotina, pezizomycotina … (avec les Morilles, Helvelles ...) → Hyménium externe protégé par un chapeau (macromycètes classiques). • Sous le chapeau, il y a l'hyménium, au niveau du pied = stype il peut y avoir un anneau, et à la base du champignon il peut y avoir un sac qui entoure le bas = volve. • Ces champignons appartiennent à la classe est Agaricomycètes. •

Caractères macroscopiques des espèces à chapeau Aspect de l'hyménium

Donc du fameux tissu sous le chapeau qui porte les spores. • à plis (les gyrolles, avec les chanterelles) • à tubes ou à pores (les bolet (botélacées), et les polypores) • en aiguillons (le pied de mouton), sous le chapeau il y a des petits pics.. • à lames (le gros des champignons à chapeau) • (et lisse)

Texture du stipe

Le stipe est le pied du champignon, on regarde sa consistance. Quand on casse le pied d'un champignon, craie • si il casse comme de la crème c'est une trame grenue • si ça casse en faisant des fibres = trame fibreuse

Insertions des lames sur le stipe

→ pour les champignons à lame, pas évident, mais assez utile pour l'identification des genres. En jaune hyménium : • si il s'arrete avent le stype = libre, • si il s'insère par encoche = échancré, • si il s'insère de façon verticale = adnée, • et récurrente = si l'hyménium redescend sur le stype.

Couleur de la sporée

Très important, mais pas évident à identifier, quelques fois elles sont colorée, quelques fois blanches, c'est avec la pratique, et avidement il faut que le champigon soit mature. Une technique est de faire une sporée : prendre le chapeau, le poser sur un papier, et laisser le temps au spores de tomber.

Présence chez Il n'y en a pas sur tous les champignons. certaines espèce de volve Origine : - Formé à partir d'un voile général/universel (que chez et anneau. les amanites et volvulaires) entoure l'embryon de champignon, et quand il grandit le voile général se casse, mais il peut du coup laisser une volve (= critère majeur pour identifier les amanites qui peuvent etre très toxiques), ou laisser des squames vélaires sur le chapeau. - Formé à partir d'un voile partiel : au niveau embryonnaire il y a un petit voile qui relie le bord du chapeau avec le stype (sert à protéger l'hyménium), quand il grandit il en laisse un peu sur le stype → anneau/cortine (espèce de toile d'araigné autour du stype) et parfois lambeaux au bord du chapeau. Chez les amanites il y a les deux types de voiles : ont donc une volve et un anneau (et des lames blanches). Cas particulier : si le voile général qui se déchire seulement sous le chapeau : donne armille, qui a la meme couleur et consistance que le dessus du chapeau. → Les volves peuvent etre différentes les unes des autres : peuvent être en sac → dans ce cas le voile se déchire uniquement par le haut), donc aucun squame vélaire. → Les anneaux : soit il y a une cortine, soit de vrais anneaux, qui peuvent etre de types différents (simple descendant, ascendant, mixte …) → permettent d'identifier au moins les groupes Pour aller un peu plus loin Silhouette, revetement et marge du chapeau

revetement : - il y a des squames vélaires (amanites, qui viennent du voile, et s'envève dans on gratte un peu) - et des squames innés (qui si on essaie de les elever ça abime le chapeau)

Forme du stype

Disposition des lames



Typiquement chez les bolet peut aider, par exemple le bolet de satan a un pied obèse.

En particulier si les lames sont serrées, ou espacées.

Autres caractères. → On peut faire des observations des caractères microscopiques → Certains mycologues utilisent des réactifs colorés ou des odeurs qui peuvent aider. → Connaissance des habitats et des période de récolte (morilles au printemps par exemple) • on peut regarde où poussent les espèces, quels arbres étaient aurout, -sur du bois mort vivant (=espèces lignicoles), sont parasites -sur le sol = espèces terrestres. - cas des mycorhizes

Suite du cours

III- Principaux genres et espèces à connaître. Les Agaricomycotina 1- Hyménium à tubes ou à lames : les bolétales, russulales, et agaricales. Bolétales

→ Ce sont des champignons qui présentent un hyménium en tube (= les bolets) ou à lames (les Paxilles et Gomphides) → Ont un hyménium qui se sépare facilement du chapeau Les bolets

Seule espèce vraiment toxique dans le groupe des bolet : Bolet de satan (chapeau BLANC)

Les Paxilles, Les Gomphides

→ Se caractérisent par un hyménium en tubes, séparable du chapeau (ne pas confondre avec polyporacées, hyménium soudé au chapeau). → Se sont des espèces terrestres (sauf Xerocomus parasiticus qui parasite un autre champignon, le Scléroderme) → Se sont des espèces charnues, avec stype et chapeau imposant → Le stype est central, cylindrique, assez renflé, et facilement séparable du chapeau → Microscopiquement : dans les tubes il y a des basides à 4 spores blanchatres. → A retenir : • d'un façon générale, ils sont comestibles, peu de risques de graves intoxications, mais certains sont imangeables : - comme le Bolet de satan, TOXIQUE, qui est acre et peut donner un syndrome résinoidien (syndrome gastro-intestinal assez grave, de temps d'apparition court). - le tylopilus felleus : très amer - le chalciporus piperatus = bolet poivré : très poivré. → Il y a des : • Bolets à anneaux, dont il y a peu d'espèces, comme suillus lutéus (syndrome intestinal possible si la pellicule qui est sur le chapeau n'est pas enlevée) • Bolets sans anneaux : on regarde la couleur des pores → pores blancs gris ou rosé (comme le cèpe marron, le bolet amer, le bolet orangé, le bolet dur, ou l'indigotier (qui bleuis ou toucher ou quand on le coupe) → pores jaunes, verdatres, olivatres (suillus granulatus ou bovinus (idem S g-i par pellicule) Le bolet Bai bon comestible il bleui, le Cèpe de Bordeaux comestible réputé avec pied obèse) → pores rouges ou orangés - Bolet poivré à rejeter - Bolet de satan toxique est impliqué dans syndrome résinoïdien son chapeau est blanc, ne pas confondre avec boletus blafard qui a un chapeau marron clair, ni avec le Bolet pourpre qui est un comestible réputé à chapeau rose/marron) - Bolet à pied rouge comestible (bien faire cuire), il bleui beaucoup à la manipulation → Résumé : • Le bleuissement intense est sans rapport avec la toxicité • Les Bolets à chapeau blanc sont souvent des espèce indigeste, amères ou toxiques • Les pèces visqueuses (avec pellicule luissante), souvent du genre Suillus, ont souvent des propriétés laxatives (pour l'éviter il faut enlever la pellicule) • Les pores roses indiquent une amertume souvent insupportable Savoir que ce sont des chapignons à chapeau épais, dont le bord est enroulé à l'intérieur. Le stype n'est pas séparable du chapeau (car les lames sont décurrentes) Les Paxilles = spores brunes Les Gomphides = spores noires.

Conseil : , ne juste pas consommer les → Espèce à connaître : Paxilles - Paxille enroulé (Paxillus involutus), TOXIQUE, responsable du syndrome paxillien, qui a un délai d'apparition court, mais seulement après une 2e ingestion (hémolyse aigue ..??). Sont assez fréquents, pour les reconnaitre, lames décurrentes, qui font des taches marrons dès qu'on les touche, lames séparable facilement du chapeau (caractéristique des bolétales) - Paxille à pied noir lui ressemble, mais il y a pas de taches marron qui apparaissent au toucher.

Russulales Ont un hyménium à lames non séparables du chapeau Ont une trame grenue (la chair est cassante, comme de la craie) : le chair est fromé de cellules rondes, très dense qui sont les sclérocystes, de filaments grpeles, et de canaux laticèfères ( de lait), et donc quand on casse on va avoir du lait chez certains genres. Les spores sont échinulées (spores qui ont comme des petits pointes à l'observation microscopique) Il y a le groupe • des Russules : pas de latex, les lames sont fourchues (font se séparer au bout). Genre Russula • des Lactaires : ont du lait, produisent du latex, et les lames sont décurrentes (retombent sur le stype). Genre Lactarius Leur chapeau est d'abord convexe, puis plan puis en entonnoir au fur et à mesure de la croissance. Il est souvent très coloré Les lames sont libres, adnées ou décurrentes (dépend des genres) De façon g les spores sont blanches Lactaires Pas d'espèces vraiment toxiques

Russules

Blancs

- Lactaire velouté : entièrement blanc, produit du lait blanc, à rejeter (pas de saveur)

Orangés/roux/ocres

→ à lait coloré, à lait blanc qui peut etre acre ou assez doux - Lactaire délicieux bon comestible, quand on blesse les lames le lait est coloré orangé, de la meme couleur que le reste du champignon. - Lactaire roux, à lait blanc âcre, à rejeter. - Lactaire douceatre, comestible, à lait blanc doux

Brun vert

- Lactaire couleur de Plomb, à rejeter, quand on case les lames le latex est brun/olive.

Identification : • Pas de lait • Surtout par la saveur : il y a des russules douces (généralement comestibles), et piquantes (à rejeter souvent responsable de S g-i ou résinoidien) • Couleur de la sporée Exemples : • Russule émétique, TOXIQUE, à saveur acre, à une odeur dite de noix de coco, la pellicule rouge peut facilement etre enlevée → syndrome résinoidien • Russule fragile, à rejeter, odeur prnante de 'bonbon anglais' • Russule jolie, elle rebondie, est très compacte, le pied peut se colorer d'un coté en rose, à rejeter. • Russule blanc ochrocée, elle est blanc jaune, à rejeter • Russule fellea, elle a une odeur de compote de pomme. • Russule noircissante, comestible moyen. Quand on la coupe, elle rougit, puis elle noircit completmeent après quelques minutes. • Russule verdoyante, c'est la plus appréciable à la consommation, a une saveur très agréable de noisette, assez fréquente et peu connue, son chapeau a un aspect de moisissure verte. • Russule charbonnière, sa couleur est variable gris/violet/verdatre, bon comestible, a des lames vraiment blanche, à ne pas confondre avec Russule acre qui a des lames jaunatres.

Agaricales Groupe le plus important de champignons à chapeau Caractéristiques principales ! : • Hyménium en lames pas séparable du chapeau • Trame est fibreuse • Organisation des lames (épaisses et espacées, ou minces) → Lames épaisses et espacées : • « Hygrophores » poussent le long de chemins, ou les pelouses, généralement comestibles, et pas toxiques. • « Laccaires », comme Clitocybes laqué et améthyste, dont seul le chapeau est comestible (coupés au ciseau) pleurotus ostreatus

→ Lames minces : • Stype latéral ou nul : ( Toutes poussent sur su bois = espèces lignicoles) → « Pleurotes » lames décurrentes, des spores blanches, avec stype - Pleurote en forme d'huitre, bon comestible, qu'on arrive à cultiver à grande échelle. schizophyllu → « Schyzophylles » lames fendue en 2, et spores blanches m commune → « Crépidotes » qui ont des spores ocres, et pas de stype • Stype central : pour aller plus loin on regarde la couleur des spores. Crepidotus → Spores brun-pourpre/violettes/noires : Agarics, Coprins, Psathyrelles et Panéoles, Stropahires, Psilocybes, Hypholomes mollis Espèces charnues, présente un anneau qui en général est bien développé, les sprores sont violettes à Les Agarics l'état adulte (plutot roses si plus jeune). Touts comsommables sauf : - Agaricus Xanthoderma :TOXIQUE, responsable d'un syndrome résinoidien (trouble g-i plus ou moins violent). L'anneau est à roue dentée complexe, quand on le manipule, il a un jaunissement vif et rapide. A une odeur d'encre assez particulière. Avant de s'ouvrir il a une forme caract. trapézoïdale. Autres : • Agaricus silvicola, bon comestibla,e jaunissnet lent, mais intense à la fin odeur anisé, l'anneau est fragile. Ne pas confondre avec l'amanite blanche, ou d'autres amanites blanches qui sont toxiques ou mortelles. • Agaricus arvensis : jeunissent lent, odeur fongique. Aussi risque de confusion avec les Agaricus amanites mortelles. Xanthoderma • Agaricus campestris, bon comestible, ne jauni pas, anneau assez fragile Les Coprins

Chapeau souvent conique, qui s'ouvre largement à maturité, et ornée de plaque/flocons (voile général), le stipe est souvent séparable du chapeau, lames libres, spores noires, chair délisquescente à maturité (elle deviens un peu liquide, noire, dégouline un peu partout) Exemples :



• • •

Coprin noir d'encre

Les psathyrelles et Panéoles Les Strophaires Les psilocybes

Les Hypholomes

Coprin noir d'encre : TOXIQUE responsable du syndrome coprinien, c'est un « comestile toxique » : toxique si consommé en meme temps que de l'alcool. Effet antabuse (céphalés, naussée ,vomissements, tachycardie qui peuvent durer 3 à 5 heures). Coprin chevelu : bon comestible à l'état jeune, a des mèches caractéristiques sur le chapeau Coprin pie/blanc et noir, à rejeter Coprin micacé, a des petit squames au niveua du chapeau (brille à la lumière), à rejeter

– – Ont un chapeau souvent visqueux, les lames sont adnées, spores brun-pourpre. A connaître en temps que pharmacien, interdis au transport, ramassage, et à la vente. - Psylocibe lancéole/ et d'autre, sont repsonsable d'un syndrome narcotien ou psilocybien, et a des effet psychotropes, chapeau en forme de bonnet de lutin. On en trouve beaucoup dans la région parisienne, on un chapeau sec et nu, lames échancrés, spores brun violet, espèce lignicoles, qui poussent en touffe, mais sont en général à rejeter. Peuvent causer des S i-g dans certains cas.

→ Spores ocres : Les Galères, Pholiotes, Cortinaires, Hébélomes, Inocybes Les Galères

Les Pholiotes

Espèce toxique : → Galère marginée : MORTELLE, • confondue avec pholiote changeante • responsable du syndrome phaloïdien, d'apparition long (6h à 48h après la consommation, souvent fatal, atteinte hépatique et rénale grave) Aspect général proche de la galère marginée → Pholiote changeante : comestible, a une armille ce qui n'est pas le cas de la galère marginée.

Les Cortinaires

D'une façon générale, elles sont toutes à rejeter (il y a des espèce très toxiques voire mortelles) Elles sont homogène, pas trop diff à ID, en particulier par présence d'une cortine (qui prend la couleur des spores qui lui tombent dessus → elle est donc ocre) relativement persistante (alors qu'elle a tendance à etre eliminée, ou disparaître chez d'autres groupes), les lames sont adnées, ce sont des espèces terrestres. Exemple : • Cortinaire des montagnes (cortinaire orellanus), MORTEL→ syndorme orellaninen (d'apparition longue (jusqu'à 14 jours → diagnostic difficile), l'un des plus grave syndrome suite à la consommation de macromycètes : lésion sévère au niveau du foie, rien et de la moelle épinière). Syndorme très souvent mortel. • Cortinère très joli (Cortinarius speciosissimus) MORTEL → syndrome orellanien. • Cortinère élevé, comestible médiocre, de taille imposante. • Cortinère violet, comestible médiocre

Les Hébélomes

A rejeter : responsable de syndrom GI plus ou moins important, ils sont relativemetn ID facilement : ils sont assez charnus, les lames osnt échancrés, mais surtout les spores sont café au lait beige/marron. Il y a une cortine, qui est très fugace. Ce sont des espèces terrestre Exemple - Hébélome échaudé, à rejeter, S GI associé en général

Les Inocybes

La quasi totalité sont toxiques. Présentent un chapeau souvent sec, conique, mamlonné, et fibrilleux ( se déchire sur les bords), les lames sont adnées, avec ou sans cortine (si oui elle est fugace), les spores sont beiges « brun-tabac ». Exemple : • Inocybe de Patouillard, TOXIQUE. Attentino à la confusion avec le tricholome de la st Georges → syndorm muscarinien, qui peut etre mortel si la quantitée de champignon consommé est importantn (pour un sujet adulte, environ 500g) → rare car on en ramasse rarement autant en une seule fois. Champignon qui renferme une toxine : la muscarine → 1er symptome est une sudation très importante, on peut predre plusieurs litres d'eau en une seule nuit, déshydrationtation sévère, vomissements, nausées... • Inocybe à spores étoilées, TOXIQUE → syndrome muscarinien • Inocybe fastigié, TOXIQUE → syndrome muscarinien

→ Spores roses : Les entolomes, Les Plutées, Les Volvaires, Les Clitopiles. Les Entolomes

Globalement beaucoup d'espèces toxiques. Chapeau charnu et sec, pas de squames sur le chapeau, les lames sont échancrées ; spores (jeunes claires puis deviennet franchement roses). Espèces terrestres. Exemple : • Entolome livide, TOXIQUE : syndrome résinoidien. Confondu avec clitocybe nébuleurs et le clitopile qui est comestible. • Entolome à odeur de nitre, à rejeter.

Les Plutées

Pas de volves, mais on des lames libres (les lames s'arrtent avant d'arriver au stype). Espèces lignicoles Exemple : Plutée sous de cerf

Les Volvaires

Caractérisée par la présece d'un volve, les lames sont libres. Epsèces terrestres. Exemple : • Volvaire élgante, comestible, très rose au niveau des lames, et volve q cours de la croissance

Les Clitopiles

Spores rose, lames décurrentes. Relativemnt faciles à identifier. Exemple : • Le clitopile, bon comestible, a une bonne odeur de farine fraiche

→ Spores blanches : Amanites, Armaillaires, Lépiotes, Tricholomes, Clitocybes, Collybies, Mycènes, Marames Le plus grand groupe, la couleur des spores n'est pas facile à déterminer. 3 caratériques Les Amanites • Spores et lames blanches (libres) Toutes les espèce sont a savoir à • Volve à la base du stipe contrario du reste • Anneau autour du stipe. Espèces terrestres. (* Quelques espèces ont une volve mais pas d'...


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