CM Espace ET Mobilite - Cours complet, L2 Géographie, Mme Ducournau PDF

Title CM Espace ET Mobilite - Cours complet, L2 Géographie, Mme Ducournau
Course Espaces Et Mobilités À L'Échelle Du Monde
Institution Université de Pau et des Pays de l'Adour
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Cours complet, L2 Géographie, Mme Ducournau...


Description

CM ESPACE ET MOBILITE examen terminal de 2h penser à lire les textes qu'elles nous donnent et les comprendre, qualité de l'écrit important.

INTRODUCTION La géographie humaine son rôle est de produire une connaissance qui analyses le comportement des humains dans l'espace, qu'elles interaction ces comportements vont avoir avec l'espace. Qu'elles transformation vont ils susciter, comment il transforme aussi le rapport à l'espace de l'individu. L'objectif du cour est de souligner pourquoi et comment les géographes vont aborder la question de la mobilité spatiale.Une familiarisation avec un phénomène temporelle. Qu'est ce que la communauté scientifique met derrière le concept. Se rendre compte de la diversité des approches et des travaux universitaire, la diversité est le reflet d'un réalité social qui se complexifie. L'évolution de ce questionnement, le communauté scientifique ne cesse d'évoluer sur sa façon de présenter les choses. La mobilité est un phénomène social qui a une inscription spatiale mais ce n'est pas un objet d’étude spécifique à lé géographie. De plus elle impact toute la société donc l'ensemble des sciences humaine pose son regard sur cette objet. C'est aussi une question qui va intéresser les historiens, mais eux étudient l'impact de la mobilité sur le long terme. Mais aussi les sociologues qui s'intéresse à la mobilité, surtout la manière dont le phénomène de mobilité transforme les relations, ne pas confondre leurs champs disciplinaire et le notre. Mobilité sociale => désigne les parcours d'un individu dans l'espace social. Tout le monde puisse bénéficier du même accès à l'éducation exemple de mobilité sociale. Les sociologues se posent aussi la question de l'égalité des individu face à la mobilité géographique. Chaque discipline a ses propres outils conceptuelle, un concept est un outil c'est plus large qu'une définition, donc chacun a les siens, il faut savoir qu'il n'existe pas de concepts transversale. Cependant on trouve de plus en plus d'exemple transdisciplinaire. Le propre de la géographie c'est donc de travailler le concept de mobilité spatiale, comment les mobilités vont transformer l'organisation de l'espace ou comment les mobilité vont modifier notre rapport à l'espace. La différence de l'historien travaille lui sur le temps long du territoire, comment ce la va transformer la vie des société sur le long terme. Et il se pose parfois la question par exemple de comment on réduit la distance temps. Le but de l'historien et d'expliquer sur le long terme. Commet l'évolution des transports va modifier les mobilité donc parfois la distance temps va contracter l'espace, on constate de plus que on a des inégalité des régions autour de la modernisation des transports. On parle ici des transport et non uniquement de la mobilité. Par exemple les parking de l'université de Pau ne font que se remplir, alors que les lignes de bus sont encore plus nombreuse et vont plus loin, de fait les aménagement de transports ne suffisent pas à changer le comportement des mobilités.

« Si l'on considère l'usage du terme de « mobilité » en géographie on a faire à un double sens : celui de processus avéré (qui se traduit en mouvement effectifs) et celui de potentiel, de virtualité non actualisé qui est ce qui autorise le mouvement réalisé c'est à dire le déplacement » processus avéré résulte d'une enquête social potentiel => il y aurai un potentiel sur les bus de Pau par exemple, cette géographie la va chercher pourquoi si un individu peut se mouvoir pourquoi il ne le fait pas. La mobilité des européens ou des jeunes qui bouge essayer de vendre et ou alors d'obtenir des diplômes. Il faut aussi se poser la question des formes de mobilités de plus on fait souvent l’amalgame entre mobilité et transports. La mobilité en géographie peut prendre deux sens => un processus avérée que l'on mesure mais la mobilité interroge aussi les chercheur en tant que potentiel.

La mobilité comme une maîtrise de la distance et processus d'allongement des distance Croissance continue des distance parcourues et ceci à toute les échelles, ceci est un tendance qui n'est plus à démontrer. La vitesse s’accroît et la distance parcourues également => « sans cesse et toujours plus vite la mobilité s'accroît » La combinaison de plusieurs facteurs depuis la fin du 20 œuvre à l'augmentation des déplacements à toute les échelles notamment la libre circulation des personnes. C'est seulement à partir de 1789 que nous avons le droit de nous installer la ou on le veut. Ce n'est que depuis les années 80 que les pays autorise ses résident à s'expatrier. Autres facteurs l'accroissement de la vitesse des transports et enfin l'élévation globale du niveau de vie. Évidemment le transport et la capacité de migrer à un coût et donc cela n'est pas accessible à tout le monde par exemple en France c'est cela qui a permis l'élévation de l'automobile. Il faut noter aussi l'impact des TIC, qui nous permettent d'accéder à une ailleurs avoir des contacts et des images. Cette capacité à recevoir ou diffuser de l'image va motiver le déplacement chez certaine catégorie de personnes. Les représentations et les images, est quelque chose de prégnant et de fort dans la construction de l'imaginaire spatiale. Donc cette image motive le déplacement ou au contraire le restreint mais le fait de recevoir ces images nous permet de réduire les appréhension que l'on peut avoir d'un territoire car les TIC nous permettent de rester en contact de fait tout ceci modifie notre rapport à l'espace. La mobilité dans certaine circonstance était vécue comme définitive, par exemple dans les Pyrénées la vie était tellement dur que beaucoup de personnes ont fait le choix de quitter les régions de fait de nos jours on peut trouver des noms français ou basque en Amérique du Sud par exemple. Cependant à cet époque le fait de partir était un choix car rien que pour changer de continent il fallait des semaines voir des mois. Si cet combinaison de facteurs à produit un allongement des déplacement c'est surtout le progression de l'allongement des distance parcourue qui est remarquable. En 30 ans la distance moyennes parcourue dans les pays en développement mais aussi en Europe cette distance moyenne a était multipliée par 3,5. Alors que l'Amérique du Nord elle n'augmente que de 1,5 simplement car cette distance moyenne était déjà très élevée au E.U Parler aussi des sources qui permettent de quantifiée et de cartographier les mobilités, ces source sont mobilisé par les pays, par exemple l'INSEE => on peut trouver des donnée brut

(déplacement résidentiel) ; on peut voir aussi les mobilité journalières pour aller au travail ; savoir le nombre de véhicule disponible par foyer. Solde migratoire => différence entre les arrivées et les départs dans un espace donné et au cour d'un période donnée en générale c'est l'année. Il est ou positif ou négatif. Migration nette => le rapport entre le solde migratoire moyen annuel et le nombre d'habitant de la région •

Une expansion généralisée des déplacements

Les déplacement vont faire des lieux entre des lieux différent mais aussi qui sont dispersés dans l'espace. Le fait est que la mobilité est parfois discriminante. Ce sont nos modes de vie qui on était transformer surtout dans les pays occidentaux. De plus on voit émerger une classe moyennes qui elle va accéder à toute les formes de mobilités car elle à les moyens de choisir où elle veut vivre. Il y a aussi un démocratisation des transports notamment lorsque l'automobile fut industrialisée son coût fur fortement réduit. De plus l'amélioration et la connexion entre toute ces infrastructures fait que les pays entre eu sont mieux desservit donc plus de mobilités. •

La temporalité du déplacement :

◦ la temporalité du quotidien => les mobilités dite habituelle donc qui s'inscrivent dans uns rythme quotidien, mobilité de travail. En ce qui concerne la France le temps de déplacement pour aller au travail par les actifs est de 1 heures. Durée relativement stable depuis le 20 siècle, ce qui change est que la distance parcourue en une heure est plus longue que dans le passé, cela change donc la cartographie et montre que l'on habite de plus en plus loin de leur lieux de travail donc choix de résidence par rapport au travail plus simple. Dans les années 50 un parisien fessait une heures de déplacement d'une banlieue proche à une autre alors que aujourd'hui en une heure on peut faire Paris le Mans en TGV. ◦ Temporalité saisonnière => déplacement pour les vacances, les distances peuvent être plus longue selon les moyens ◦ temporalité de longue durée => mobilité longue mais avec l'idée de retour sinon on parlerai de migration. Cette transformation des mobilité temps à brouiller nos mobilité et catégorie temporel actuelle et une catégorie de mobilité outre les catégories traditionnel est dit que ce sont des mobilité de vagabondage. La transformation de notre rapport à l'espace fait que l'on a des espace de vie éclaté, avec une diversification des lieux fréquentés. Jean Viard => « nous vivons dans une société d'archipel ». Nous fonctionnons de moins en moins dans des espaces de proximité de manière systématique. La proximité n'est plus une priorité ni une nécessité, nous avons le choix en fonction de la ou nous habitons de nous inscrire en géographie à Bordeaux Pau Rennes par exemple. On nous propose de nous inscrire les enfants dans le institution de proximité mais parfois cela est problématique donc on peut être inscrit ailleurs sur le chemin tu travail par exemple. Donc on va s'affranchir de cette contrainte de proximité. Logiquement lorsque nous n'avons pas les service nécessaire dans nos communes ont passé à l'échelle supérieur donc préfectorale et même parfois national. Donc les services de proximité ne sont pas toujours assez satisfaisante donc certains service n'existait pas de fait il fallait passer à l'échelle au dessus.

Ces changement de comportement liée à la mobilité ou au changement de mobilité on modifier les actions des organisateur spatiaux donc il a fallut s'adapter. Mais cependant de nos jours on peut se déplacer donc les services sont placé dans la région comme par exemple Ikea à Bayonne. Par exemple pour savoir les modifications de mobilité on peut interroger différente génération pour voir comment on évoluer les mobilités. A partir des année 70 les choses s'accélère pour cause la mondialisation l'augmentation du niveau de vie et l'accès à l'automobile et donc on se rend compte que avant on était sédentaire. Aujourd'hui le rayon des lieux fréquentées sont de plus en plus dissocier, et les mobilités font que les gens bougent beaucoup plus. En effet on fait nos vie dans des lieux très espacée différent et dans des régions différentes, on commencer à voir du Pays comme on dit. Les pratique de mobilité des péri-urbain en étudiant le rôle de l'encrage. Ils ont essayer de mesurer l'importance de la proximité. On remarque que dans le passé on essayer de s'éloigner des villes pour avoir un meilleur cadre de vie mais de nos ours on essaye de moins bouger donc cela s'accompagne d'une économie résidentiel => ce qui se développe dans les petits village tel que les carrefours contact donc on essaye de vendre nos service au gens qui ont des mobilité dites résidentiel. Le tissu local a subit des transformation économique => économie résidentiel qui fait que l'on voit apparaître des emploies de services, et donc les habitants du péri-urbain se mette à repenser les mobilités péri-urbaine => donc on préfère faire nos course dans l'épicerie du coin plutôt que dans les grandes surface des grosse villes. Carte ENT On cherche les motifs des mobilités mais aussi quels sont les endroits fréquentée avec qu'elle fréquence ce qui traduit sur la carte un éclatement des lieux fréquentée en tant que pratique spatiales. Cette trajectoire qui relie ces lieux elles forment un effet tunnel => par exemple le train avant on s’arrêter partout donc on avait plusieurs lieux familiaux fréquentée alors que le TGV lui ne s'arrête que dans les grandes villes donc moins de lieux connue familier. Donc en terme de représentation subjective on à des zone de vides il y a beaucoup de chose que l'on ne voit plus entre les grandes villes par exemple. Donc l'effet tunnel sur la carte serait que la personne étudier ne connaît aucune commune entre ces lieux qu'ils fréquentes. Espace de vie => « ensemble des lieux avec lesquels les individu est en rapport » (Robette 2012) • « il englobe non seulement les lieux de passage et de séjour, mais également tout les autres lieux avec lesquels l'individue est en rapport » (Courgeau 1988) • les espaces imaginaux, les représentations d'un espace ou une personne vie par exemple donc je vie cet espace par procuration car j'en entant parler. Donc cela fait partie des lieux que je m'approprie de manière idéelle (Colette le sang). •

Les disparité spatiales Est ce que nos pratique sont homogènes, alors aujourd'hui cela est totalement faux car il y a des disparités spatiales quelque soit le niveau de la société. La distance journalière parcourue par un habitant des états unis reste supérieurs à celle d'un européen alors que nous avons atteint le même niveua automobile. La distance moyenne parcouru par jour et par habitant chute dans les pays asiatique car le parc de deux roues peut être équivalent à celui des voitures et cette distance serait de 15 km dans le monde avec cependant des disparité spatiales car elle est de 6km par jour en Inde et elle est de 45 km en Amérique du Nord.

L'accessibilité n'est pas équitable sur l’ensemble du continent (Inde) au moyens de transport rapide et donc on a parfois des zones qui sont marginalisée. Il n'y a pas que les problèmes technique mais aussi le coût que représente les transport et aussi la capacité à utiliser ces transports. • • •

Qu'elle forme de mobilité ? la même mobilité qu'ailleurs ? pourquoi cette mobilité fonctionne ici et pas ailleurs ?

Cattan. Nadine « La mobilité est une composant essentiel de l'organisation des espace par les sociétés. Elle est incontestablement à la base des société modernes. En permettent au population de s'affranchir de la distance, la mobilité rapproche les lieux et perturbe les principes de continuité territoriales. » La mobilité fût souhaitée, elle a était impulsé, on a veiller à ce que tout les zones soit équiper pour la mobilité et donc pour essayer de relier les zones les plus reculée des zones les plus actives. Donc le but est de désenclaver certaines régions par exemple le massif centrale donc on a essayer de détruire cet idée de marginalisation de l'espace. L'observation de l'échelle locale selon Cattan, les individu grâce à la mobilité change le rapport à la proximité. Et donc on essaye d’adapter les services de la commune et fonction des mobilités.A l'échelle des villes on voudrait éviter le tout automobile à cause du taux de pollution et de l'engorgement de la voiture dans les rues, donc on met en place des plans de déplacement urbain par exemple qui privilégierai les voies de communication pour les bus par exemple. C'est une question centrale pour les gestionnaire d'espace, que ce soit dans le rural profond de l'urbain ou du péri-urbain donc la question reste aussi comment mieux gérer la mobilité en limitant sont impact sur l’environnement sans gêner la mobilité elle même. Il faut donc penser une mobilité durable. L’équité sociale il faut que la mobilité soit durable mais aussi accessible pour tous, il ne faut pas de marginalisation face au mobilité ni d'inégalité.

Du concept de mobilité à celui de Motilité Jacque Lévy et Michel Lussault « Pour les géographes la mobilité est avant tout un déplacement de personnes » Ce concept n'est pas synonyme de flux ou de transport qui nous dit que la mobilité est un concepts « dont il importe de décliner toute les notions qui en découlent (déplacement migration, transports) et que trop souvent on confond avec lui » La mobilité englobe tout les déplacement d'individu ou de groupe quelque soit la distance parcourue, la temporalité et que cette mobilité soit perçut comme définitive ou exceptionnel. Il existe différent manière de distinguer les formes de mobilités les unes des autres, d'abord l'entée par • la question des distances (locale nationale internationale), • distinguer les formes de mobilités en fonction de l'échelle (mobilité interne ou externe) • la nature des déplacements (loisir, travail, politique) • entrée des groupes sociaux (étudiant reste de la population ou homme /femme ou classe d'âge) • les mobilité volontaire ou forcée Toute ces typologies sont des cloisonnement virtuel mais nécessaire pour catégoriser d'un point de vue méthodologique. Ces catégories ne sont pas toujours satisfaisante ou immuable, parfois les catégories ne fonctionnent plus, car les définition concepts catégorisation ne sont pas immuable en effet tout ceci évolue en fonction de l'évolution de la société. Donc cela amène à proposer de nouveau regard on parle donc de changement de paradigme => nouveau outil conceptuel ou appréhender d'une autre façon. La mobilité c'est s'intéresser à la motivation de la mobilité, c'est aussi s'intéresser aux stratégies qu'est ce que je met en place pour entrer ne mobilité et aussi s'intéresse à la finalité. • • • •

Dans quel contexte social, géographique, culturel, politique ? La mobilité quelle valeurs social ? (mobilité induite ou interdite) quels dispositif technique ? (accessibilité) quel coût social ?

Cette mobilité cette injonction à la mobilité si on bouge pas c'est suspect voir dévalorisant donc la non mobilité devient un élément discriminant. La question du sens de la mobilité qu'est ce que cela représente aujourd'hui de renter en mobilité. La mobilité est différente de la migration car la migration n'est en quelque sorte qu'une sous partie des mobilité on fait des catégorisation de mobilité. Dans la géographie classique : La mobilité avéré qui correspond à une approche classique, elles sont antérieur ou très proches des années 2000 qui est centré sur le déplacement entre un point A (espace de départ) et un point B (espace d'accueil). On observe donc des trajectoires directs entre espace de départ et d'accueil, qui peut être le milieux rural vers l'urbain, ou d'un ville vers une autre ville ou d'un pays vers un autres. On analyse les trajectoire la concentration et la dispersion des individu mobiles, est

ce que la répartition est homogène et donc cela nous permet d'établir une typologie des mobilités. Mobilité temporaire ou définitive, le nombre et catégorie d'individu en déplacement les mobilité interne et externe. De plus on étudie le nombre d'entrée et de sortie ou encore la direction des trajectoires et la durée du déplacement. Une définition classique trop restrictive A partir des année 2000 les publication scientifique font le point des nouvelles mobilités elle nous donne à voir ces nouvelles forme de mobilité, qui sont liée à la mondialisation ou qui donne à voir des nouvelles trajectoires. Les configurations spatial deviennent aussi des configuration décrite par les trajectoires et deviennent plus complexe. Et donc à partir de la les mobilités sont différentes car le départ définitif n'est plus systématique et donc on a des échange entre le point A et B par exemple des déplacement pendulaire intermittent ou cyclique et ceci que ce soit entre deux lieux ou entre deux villes ou encore des continents. Les mobilités aujourd'hui peuvent avoir un prolongement au delà de ce premier point d'arriver donc sur notre schéma le point B n'est plus seulement un point d'arriver mais aussi un point de transit. Et donc les pratique mobilitaires d'aujourd'hui échappe au rythme et mobilités traditionnel. Aujourd'hui avec l'augmentation de la vitesse des transport cela enlève le notion d'un très loin d'un lieux vraiment inaccessible à cause de la distance. Nadin cattan « on évoque des situation d'entre deux » « la mobilité devient un style de vie qui hybride nos catégorie spatial et social » • • • • •

A quel projet répond la mobilité ? comment est appréhender la mobilité, son sens ? a partir de quand elle est perçue comme réalisable souhaitable ? quelles rapport au lieux ? quelles prolongements et selon qu'elles modalités ?

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