Cours - Psychologie ergonomique PDF

Title Cours - Psychologie ergonomique
Course Psychologie ergonomique
Institution Université Libre de Bruxelles
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Summary

Notes de cours de la Partie 1 (Psychologie ergonomique) et de la Partie 2 (Analyse du travail)
...


Description

Examen écrit composé de questions ouvertes courtes et à développement. Questions d’examen de juin 2018 : • Tâche prescrite à tâche réalisée : étapes + exemples o Tâche à réaliser o o o o o o

Tâche prescrite Tâche prescrite pour l’agent Tâche redéfinie Tâche actualisée Tâche effective ou réalisée Tâche réalisée pour l’agent

• Observation o Qu’est-ce que la focalisation sur des faits saillants ? o Quelles sont les positions de l’observateur ? ▪ Auto-observation ▪ Observation distante ▪ Observation participante ▪ Observation enregistrée o Modes d’observation et dans quelles situations l’utiliser ▪ Observation ouverte (exploratoire, centrée sur le déroulement de l’activité) ▪ Observation outillée ou normalisée (grilles d’observation, éléments prédéterminés d’observation) ▪ Observation assistée (enregistrement, pour une observation ouverte ou outillée ou auto-confrontation) • Principes de prévention o Éviter les risques o Évaluer les risques qui ne peuvent être évités o o o o

Combattre les risques à la source Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l’est moins ou pas Favoriser la protection collective par priorité à la protection individuelle Adapter le travail à l’homme

• Logique d’utilisateur et logique de concepteur

1.1

L’ergonomie et la psychologie ergonomique

1.1.1 Qu’est-ce que la psychologie ergonomique ? La psychologie ergonomique est une branche de la psychologie qui analyse les conduites au travail et cherche à résoudre les problèmes ergonomiques en vue d’améliorer les conditions de travail. // C’est une association de technologies et de champs de problèmes ergonomiques qui se posent. // C’est un comportement humain dans un milieu de travail. Trois disciplines sont proches : la psychologie du travail, l’ergonomie et la psychologie ergonomique. 1.1.2 Définition de l’ergonomie À travers des congrès, des réunions, adéquation des décisions sur le plan international. L’association internationale d’ergonomie a élaboré, par consensus international, une définition dont chacun des termes soulignés qualifie précisément l’ergonomie. L’ergonomie

(ou

l’étude

des

facteurs

humains)

est

la

discipline

scientifique

(Sciences Technique) qui vise la compréhension fondamentale des interactions entre les humains et les autres composantes d’un système (au travail mais aussi en dehors), et l’application de méthodes, de théories et de données pertinentes pour améliorer le bien-être des Hommes et la performance globale des systèmes. 1.1.3 Double finalité de l’ergonomie L’ergonomie a une double finalité : • Améliorer le bien-être : o réduire la pénibilité du travail, o limiter la fatigue, o adapter le travail aux caractéristiques et aux attentes des travailleurs, o améliorer le confort au travail … • Améliorer les performances du système : o augmenter l’efficacité et l’efficience au travail, o diminuer les pertes de temps, les accidents, o accroître la qualité et la rentabilité … Pour réduire les antagonistes entre améliorer le bien-être et améliorer les performances du système, il faut considérer les deux objectifs comme indissociables. Cela entraine une synergie positive et fait gagner sur les deux tableaux.

• Améliorer la qualité de vie au travail devrait avoir des effets positifs sur le travailleur et l’engager plus favorablement dans son activité ce qui devrait entrainer une amélioration du rendement ou de la productivité. • Améliorer l’efficacité du système (rentabilité) devrait avoir des effets positifs sur la santé et la sécurité au travail (réduction des accidents) et offrir des conditions plus optimales de travail et entraîner une amélioration du bien-être. Le défi est réel pour chaque intervention dans les organisations. C’est plus confortable de travailler avec un système qui fonctionne, on sera dans de meilleures conditions de travail et on fera moins d’erreur, on sera, de ce fait, moins frustré, on aura moins de panne à gérer. Ex : Technologie pour l’UV avec le postage par les enseignants qui peuvent se faire passer pour un étudiant et peuvent donc contrôler si c’est bien publié. En cas d’erreur, il saura plus facilement analyser et comprendre la source du problème. Les erreurs seront plus facilement détectables et le problème sera plus vite réglé. En général, il est impossible de n’améliorer que le bien-être car on pense plus à la productivité donc à l’amélioration des performances viennent avant tout. Parfois, la performance peut avoir un impact sur la rémunération avec la rémunération de pénibilité. Ex : Les travailleurs de nuit sont mieux payés que ceux qui travaillent la journée, les convoyeurs de fond également, tout comme les éboueurs qui sont mieux payés que les balayeurs de rue dû à la pénibilité du travail. Par contre, à 50 ans, les risques sont plus élevés donc il faudra penser à changer de métier donc passer d’éboueur à balayeur de rue donc on améliore le bien-être mais ils perdent leur prime d’éboueur où ils travaillaient en équipe, maintenant, il s’agit d’un travail solitaire en tant que balayeur. On a supprimé la pénibilité mais pas le bien-être. 1.1.4 Définition ergonomie Les ergonomes contribuent à la conception et à l’évaluation des tâches, du travail, des produits, des environnements et des systèmes en vue de les rendre compatibles avec les besoins, les compétences et les limites des personnes. Le mot « ergonomie » provient du grec ergon (travail) et nomos (lois) désignant ainsi l’ergonomie comme la science du travail. L’ergonomie est une discipline orientée vers les systèmes qui s’étend, aujourd’hui, à tous les aspects de l’activité humaine. (approche systémique) Les ergonomes praticiens doivent posséder une large compréhension des champs de la discipline. (approche multidisciplinaire) Car l’ergonomie préconise une approche globale dans laquelle les facteurs physiques, cognitifs, sociaux, organisationnels, environnementaux (et autres facteurs pertinents) sont pris en compte.

Il est fréquent que les ergonomes œuvrent dans des secteurs économiques ou des domaines particuliers. Mais ces domaines ne sont pas mutuellement exclusifs et ils changent constamment : de nouveaux secteurs émergent, d’autres s’ouvrent à de nouvelles perspectives. 1.1.5 Ergonomie : une approche globale La démarche ergonomique se doit d’être systémique et holistique dans l’étude de tous les aspects de l’activité humaine. Approche globale et systémique. L’ergonomie se centre sur les difficultés rencontrées. Il faut une compatibilité des systèmes : • Les besoins : ce que les personnes souhaitent • Les compétences • Les limites : tout le monde a des limites Mais finalement, qu’est-ce qu’un objet ergonomique ? Ce clavier, est-il ergonomique ? On a une meilleure position du corps, plus naturelle, moins de tension, destiné à une frappe à deux mains mais tout cela est insuffisant pour déterminer que c’est destiné à être ergonomique. Car il faut plus de temps pour repérer les touches, n’est pas destiné aux personnes qui utilisent un clavier de manière ponctuelle, pas bon pour l’encodage. De plus, ce clavier est pour les droitiers puisqu’il va augmenter l’effet de latéralisation et peut donc être plus compliqué pour les gauchers. Ces chaises, sont-elles ergonomiques ? Au plus il y a de manettes de réglages, au plus c’est ergonomique mais au plus ça coûte cher. Mais pour que ces chaises soient ergonomiques, il faut avoir les compétences pour pouvoir les régler.

Il faut se demander : Pour qui ? ; Pour quoi ? ; Où ? Un objet ou une situation ergonomique ? • Les personnes (caractéristiques personnelles, compétences, caractéristiques organisationnelles et situées) • Les tâches et leurs conditions d’exécution • Les environnements

Ces éléments correspondent aux composantes du système : • Les travailleurs • Les outils/matériel de travail • Les conditions de travail (en ce compris les tâches) • Les structures d’organisation L’ergonomie est une approche globale et multidisciplinaire ce qui implique de près ou de loin des connaissances liées aux disciplines (anatomie, physiologie, toxicologie et hygiène, psychologie, linguistique, sociologie, kinésithérapie, économie, gestion, ingénierie, architecture..)

L’adaptation à l’homme

Il faut savoir s’adapter les dispositifs en fonction du travailleur.

Quelle hauteur pour un plan de travail dans une cuisine collective ?

Ex : Engager un travailleur selon le critère de la taille (1,70 m) n’est pas envisageable. Ergonomie se base sur le travail réel, donc aller sur le terrain et interroger les travailleurs amène à une démarche participative. • Multidisciplinaire • Globale : prise en compte de toutes les composantes de la situation étudiée • Participative : implication des différents acteurs de la situation étudiée L’ergonomie c’est du bon sens quand on vient observer, analyser et identifier les bonnes solutions. Ex : dans une chambre d’hôpital, différentes personnes y viennent (le personnel d’entretien, les médecins, les infirmières, les kinés, le patient, les visiteurs…). Il a donc fallu repenser et analyser l’espace pour qu’il soit ergonomique pour tous les acteurs. Il existe différents types d’ergonomie : • Ergonomie de correction (la plus fréquente) : modifier une situation existante suite à des dysfonctionnements (techniques, organisationnels, humains) Ex : la situation est dégradée, insatisfaisante alors on intervient • Ergonomie de conception : intervenir au stade de projet de production, construction, choix des matériels Ex : quand on crée une situation de travail pour pouvoir y intégrer un certain nombre de choses • Ergonomie d’aménagement : modalité intermédiaire, entre conception et correction, modularité, flexibilité dans l’exécution des projets

Quand on conçoit une situation de travail, on peut prévoir des choses mais pas tout. Il est donc préférable de laisser de la place pour les modifications. Pour cela, il faut combiner conception et aménagement. Lorsque la conception est très loin de la correction, les coûts seront élevés. Ex : développement d’un programme qui ne convient pas 1.1.6 Trois axes en ergonomie • Ergonomie physique :  S’intéresse aux caractéristiques anatomiques, anthropométriques, physiologiques et biomécaniques de l’homme en rapport avec le travail physique.  Les thèmes couverts comprennent les postures de travail, la manutention, les mouvements répétitifs, les troubles musculosquelettiques d’origine professionnelle, la conception du poste de travail, la sécurité et la santé. Ex : pour la manutention de charges, les kinés peuvent intervenir • Ergonomie cognitive :  S’intéresse aux processus mentaux, comme la perception, la mémoire, le raisonnement, les réponses motrices, qui affectent les interactions entre les hommes et les autres éléments d’un système.  Les thèmes couverts comprennent la charge de travail, la prise de décision, les compétences, l’interaction homme/ordinateur, le stress au travail et la formation (en rapport avec la conception des systèmes). Ex : pour une charge mentale, les psychologues peuvent intervenir

• Ergonomie organisationnelle :  S’intéresse à la question de l’optimalisation des systèmes sociotechniques, ce qui inclut leurs structures organisationnelles, les politiques d’entreprise, les processus  Les thèmes couverts comprennent les relations homme/système en matière de communications, de gestion des personnels, de conception du travail, de travail d’équipe, de conception participative, de travail coopératif, de gestion. Ex : relation dans le système, horaire, disposition, cadence, travail de collaboration 1.1.7 Définition Discipline datant d’une cinquantaine d’années, l’ergonomie est encore méconnue et souvent réduite à une adaptation physique des objets quotidiens. L’action ergonomique s’appuie sur des concepts, des modèles, des démarches, des méthodes et des techniques dont l’objectif est de contribuer à l’évaluation et à l’élaboration de solutions, d’agir sur les situations, de participer aux décisions de conception. (Falzon, 2004) 1.1.8 Facteurs influençant le développement de l’ergonomie Facteurs favorables • Séparation entre le concepteur et l’utilisateur • Accélération du développement technologique • Exigences accrues de sûreté de fonctionnement

Facteurs défavorables • La réduction des coûts de production • Le marché de l’emploi • Image réductrice de l’ergonomie • Coût financier et temporel • Le manque d’études sur la mesure de l’efficience de l’ergonomie

• Diffusion à grande échelle de produits manufacturés • Exigences accrues d’efficacité • Loi sur le bien-être nomme l’ergonomie Dans les facteurs favorables, le raccourcissement de la durée de vie de la technologie, les utilisateurs sont contraints de s’adapter très vite afin d’être efficaces. Les formations sont donc ciblées pour les utilisateurs et l’apprentissage est de courte durée. Notre société à une grande exigence de 0 défaut, de 0 erreur humaine. Alors que dans toute catastrophe, il y a forcément une erreur humaine quelque part. On est dans une société humaine. Il faut aussi connaitre les conditions d’utilisation. Globalement, la production se fait à grande échelle. On essaie de plaire au consommateur moyen avec des outils standardisés que l’on peut parfois personnaliser. Ex : dans le domaine des logiciels, certaines entreprises développaient leur propre système en fonction de leur besoin. A l’heure actuelle, on va prendre un produit existant sur le marché et l’adapter à nos besoins. Donc l’organisation s’adapte aux choses extérieures

Dans les facteurs défavorables, le fait de réduire les coûts de production et donc de prendre des choses externes standardisées entrainent un frein au développement de l’ergonomie. L’image réductrice fait que les entreprises ne veulent pas que l’ergonomie interfère dans leur organisation de travail. Le coût financier temporel freine le développement puisque les personnes sont craintives quant au retour sur investissement. Quelques études existent et montrent qu’avec ou sans l’intervention d’ergonomes les coûts sont différents. Il y a une mauvaise connaissance de l’ergonomie. Ex : STIB, un ergonome a été engagé et s’occupait des causes de conduite et il a remis le cahier des charges pour travailler et concevoir leurs besoins. Aujourd’hui, la production est standardisée/manufacturée. 1.1.9 La psychologie ergonomique Avant tout, une psychologie signifie qu’on s’intéresse, en priorité, aux individus, à leur activité, à leurs conduites et à leurs représentations. Les conduites englobent les éléments observables de l’activité humaine (actions, postures), les processus internes qui les accompagnent, au niveau cognitif (traitement des informations), affectif (émotions au travail), conatif (motivation). Une focalisation sur la relation entre un individu et son environnement (de travail). Mais aussi une certaine délimitation aux certains secteurs : activités professionnelles, transports, technologies… Les connaissances et les méthodes de la psychologie pertinentes à l’analyse des conduites de l’homme au travail et à la résolution des problèmes ergonomiques. Les valeurs fondatrices : • Validité écologique : elle est un vecteur essentiel de transfert de résultats fondamentaux en psychologie, souvent obtenus dans des situations simplifiées, vers des situations complexes. La psychologie ergonomique, à forte dominante cognitive, apporte à la psychologie des connaissances sur le fonctionnement cognitif en situation écologique et/ou technologique. • Activités expertes et développement de l’expertise (processus adaptatifs). • Compréhension de la performance • Étude des fonctions psychologiques dans les systèmes sociotechniques • Avec des extensions : vie domestique, sport, santé… 1.1.10 Quelques thématiques de la psychologie ergonomique • Étude psychologique de la charge de travail (cognitif et psychosociaux)  Diagnostic, prise de décision, contrôle cognitif et gestion des risques  Résolution de problème, panification et conception

 Aspects intensifs : émotions, charge mentale et vigilance • Étude des activités résultant de l’évolution technologique (informatisation, automatisation)  Activités cognitives liées aux systèmes d’information (IHM)  Coopération Homme-Homme & Coopération Homme-Machine  Intelligence artificielle, réalité augmentée, réalité virtuelle • Étude des compétences et des mécanismes d’apprentissage  Formation et gestion des compétences  Vieillissement, handicap et expérience 1.1.11 Historique des disciplines Le développement de la psychologie industrielle (et la psychologie du travail) se fait au début du 20ème siècle avec l’analyse et l’amélioration des conditions de travail et l’évaluation des aptitudes professionnelles. Le développement de l’ergonomie se fait un peu plus tard, au milieu du 20ème siècle et celui de la psychologie ergonomique dans les années 1980. On remarque un changement d’intérêts de la pénibilité à la charge mentale et de l’intérêt pour les situations de travail complexes. On se base sur des situations de terrain, ce n’est donc pas expérimental mais bien la réalité. L’informatisation, l’automatisation apparaissent aussi dans les années 80. Ces systèmes fournis vont aider l’expertise. Ex : Un médecin diagnostique en récoltant des informations et en les analysant. Il pourra alors donner un résultat. Mais quelle différence entre un médecin expérimenté et un médecin novice ? Il faut fournir des outils afin de résoudre le problème. Qu’est ce qui fait que quelque chose fonctionne. Deux courants existent en psychologie ergonomique : • Ergonomie du composant humain engineering psychology  Étude des équipements  Normes, standards  Étude des capacités humaines effectuant des tâches motrices et cognitives  Conception de postes, de sièges, de panneaux de commandes, de notices • Ergonomie centrée sur l’activité psychologie ergonomique  Étude du travail  Analyse globale et contextualisée de la situation (dynamique) de travail

1.2

Les conditions et situations de travail

1.2.1 Travail et conditions de travail Le travail est une activité productive, impliquant un effort orienté vers un but, dans un cadre contraint. C’est le cadre contraint qui différencie une même activité au travail et hors travail. On peut agir sur les conditions de travail mais différents types de contraintes existent • Contraint au travail : caractère forcé, obligation financière, morale, sociale … de travailler • Contraintes au travail : cadre contraignant du contexte, de la nature du travail, des matériels techniques, le respect des règles, d’échéances, hiérarchique … On fait une distinction entre contraintes (caractéristiques) - face aux contraintes chacun s’adapte selon les caractéristiques de son état fonctionnel, des facteurs extraprofessionnels - et astreintes (les effets de la contrainte) - le niveau d’astreinte est différent chez les individus. Ex : une astreinte pourrait être que le travailleur a mal aux jambes s’il doit travailler debout. Le travail est une activité consistant à mobiliser de l’énergie pour produire un bien ou délivrer un service et qui est contrainte par un cadre social et technique. Une condition joue un rôle dans l’activité du travailleur. Un élément qui fait que le travail est plus ou moins difficile ou pénible. Si les conditions sont mauvaises, elles ont ou auront des conséquences sur la santé des travailleurs. On a des contraintes liées à : • L’organisation des tâches  Répartition des tâches  Modes opératoires  Complexité  Diversité  Délais  Interruptions  Cadences  Autonomie • La conception du poste de travail  Aménagement  Dispositifs techniques  Organisation du poste • L’environnement physique  Espace  Bruit  Éclairage  Ventilation

 Toxicité  Vibration • L’environnement psychosocial  Relations collègues  Ligne hiérarchique  Clients  Statut  Reconnaissance • Des facteurs extraprofessionnels  Cadre de vie  Mobilité  Caractéristiques familiales Face à ces contraintes, les capacités humaines dépendent : • De ses caractéristiques  Âge  État de santé  Compétences  Personnalité • De son état fonctionnel  Fatigue  ...


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