Dossier Culture PDF

Title Dossier Culture
Author Valentine Meyer
Course Librairie et Métiers du Livre
Institution Université de Haute-Alsace
Pages 24
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Dossier répertoriant les activités et événements culturels auxquels j'ai participé durant mon année de Licence Professionnelle Librairie et Métiers du Livre...


Description

Table des matières Conférence Helvétique, le 28/09/2017.............................................................................................2 Conférence « Le théâtre et ses doubles », le 18/10/2017.................................................................3 Festival Sans Nom, les 20, 21, 22/10/2017......................................................................................4 Je n’ai pas encore commencé à vivre, le 7/11/2017.........................................................................7 Conférence Helvétique, le 8/10/2017...............................................................................................7 Salon du livre de Colmar, le 25/11/2017..........................................................................................8 Jury du Prix du Roman des Étudiants France-Culture/Télérama.....................................................9 Danse mémoire, danse, le 10/01/2018............................................................................................10 La Divine Comédie, le 16/01/2018.................................................................................................11 Les Bacchantes, le 31/01/2018.......................................................................................................12 La Nuit Harry Potter, le 3/02/2018.................................................................................................14 Conférence Helvétique, le 14/02/2018...........................................................................................16 Portes ouvertes de l’Université et projet Babel, le 17/02/2018......................................................17 Conférence Helvétique, le 14/03/2018...........................................................................................20 47 Degrés Nord, du 15/03/2018 au 17/03/2018.............................................................................20 Salon du Livre de Paris, le 18/03/2018..........................................................................................21 Conférence Helvétique, le 11/04/2018...........................................................................................22

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Conférence Helvétique, le 28/09/2017 Nous avons assisté à la conférence de l’auteur Lukas Bärfuss, animée par Peter Schnyder à l’occasion de la traduction du roman Koala, paru trois ans plus tôt en Allemagne. L’auteur commence par parler de Heinrich von Kleist qui est, selon lui, le meilleur dramaturge allemand et il s’inspire beaucoup de lui dans ses œuvres. Concernant le roman Koala, le narrateur apprend que son frère s’est suicidé et qu’il avait tout préparé pour que sa mort ne cause aucun souci à la postérité. Le narrateur fait donc face à des questions violentes sur les raisons du suicide. Les questions sont violentes car on refuse la réalité, il y a toujours une offense dans chaque question, quelque chose qu’on ne comprend pas. Malgré le fait que le suicide soit très présent dans la littérature, lorsqu’on doit y faire face, c’est comme si on était le premier à le vivre. Concernant le titre, « Koala » était le nom de scout de son frère, ce qui va amener le narrateur jusqu’en Australie pour comprendre les raisons de son suicide. Lukas Bärfuss s’interroge donc sur la vie et la mort car son roman s’inspire de sa propre expérience. Pour Bärfuss, le travail est une sanction, une souffrance qu’on nous impose, tandis que le koala, un animal très passif et peu actif, vit très bien. La mort serait-elle alors une opportunité pour échapper au travail ? Ne serait-ce pas mieux que de souffrir tous les jours ? C’est une question qu’on se pose et pourtant, Bärfuss n’est pas catégorique : le koala devient un totem sous la conception de Freud : Pourquoi est-ce qu’on ne se tue pas ? On est puni par l’existence, le travail et le fait de savoir qu’on va mourir. Mais il reste une joie de vivre quand on accepte la souffrance face à la mort. On le sait, tout le monde sait qu’on va mourir, c’est une vérité à laquelle on ne peut pas échapper et pourtant, il ne faut pas qu’elle nous ronge (à l’image de La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette). La mort viendra un jour mais, pour l’instant, profitons de la vie.

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Conférence « Le 18/10/2017

théâtre et

ses doubles », le

Le 18 octobre, j’ai assisté à une conférence intitulée le Théâtre et ses doubles et animées par Bastien Gallet. L’enjeu de cette conférence était de s’interroger sur l’écrit théâtral, de définir le rapport entre l’écriture des mots et l’écriture scénique. On note une véritable révolution de l’écriture au XXe siècle. Dans l’écriture classique dramaturgique, les mots ont un sens immédiat, or au XXe siècle, l’écriture scénique se construit lors des répétitions, le sens se prend en jeu. Le théâtre n’est donc pas uniquement un écrit de mot, mais un écrit de corps (sans forcément se référer aux didascalies). Cela se remarque notamment dans des pièces comme Quad (1980) de Samuel Beckett. Elle est composée de quatre interprètes sans nom, accompagnés de lumières et percussions. J’avais déjà vu la pièce En Attendant Godot de Samuel Beckett et j’avais noté l’originalité de l’auteur dans le traitement des personnages et des actions. Néanmoins, je n’avais pas vraiment apprécié. J’affectionne davantage le théâtre classique que le moderne et ne suis donc pas très réactive aux expérimentations littéraires. Nous avons ensuite parlé de la pièces Les Suppliantes de Elfriede Julinek qui raconte l’accueil des femmes qui demandent l’hospitalité et qui doivent faire face à une certaine animosité car elles fuient un mariage obligé. Ici, le caractère double du théâtre se fait dans les pronoms, en effet, le « nous » employé permet un glissement des voix, on bascule de la parole des migrantes, à un ‘nous’ général. Ce travail sur les voix n’est pas vraiment novateur dans le théâtre, en effet il est récurrent que les paroles d’un personnage ou d’un groupe doivent représenter la parole des spectateurs ou des hommes en général. Puis, nous avons parlé de la pièce Manque (1998) de Sarah Kane. Il s’agit d’un quatuor où les personnages prennent la parole à la suite des autres, mais ne se répondent pas, comme s’il s’agissait de quatre monologues entrecoupés. Peu à peu, on devine des caractères, et à la fin, on a une esquisse de personnages. Cela marque une destruction du sens et de l’interaction, il n’y a Valentine Meyer

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aucune intersubjectivité, aucun personnage n’a de rapport. Quatre étudiants ont joué un extrait de la pièce devant nous, et, j’avais beau chercher un sens à leurs paroles, je ne parvenais à aucune logique. La pièce de Sarah Kane m'a fait penser à la pièce de Valère Novarina Le Drame de la Vie étudié en L3 avec Madame Toudoire-Surlapierre dans le cadre du cours de littérature moderne. Les personnages sont dépersonnalisés et enchaînent les répliques sans qu'elles n'aient de sens les unes avec les autres. Alors j'ai compris que je n’étais vraiment pas sensible au théâtre contemporain, je cherche toujours une logique, un sens et le théâtre moderne cherche justement à détruire les sens et ça ne me plaît pas. Je n'aime pas ne pas comprendre. En conclusion, le travail effectué par les auteurs de théâtre moderne est très recherché. Il y a une volonté de casser les codes du théâtre pour en créer de nouveaux. On ne recherche plus le sens mais on fonctionne sur des sous-entendus, des interprétations. Ainsi, chacun peut y voir ce qu’il veut. J’admire ce travail, malheureusement, je n’arrive pas à apprécier les pièces modernes, parce que j’aime que la pièce ait une histoire à raconter, que la pièce soit une suite logique de péripéties, que je sois guidée.

Festival Sans Nom, les 20, 21, 22/10/2017 VENDREDI 20 OCTOBRE : Nous sommes arrivés à 17h pour préparer la salle de dédicace à la SIM. Grâce au personnel de la SIM, les tables et les chaises étaient déjà mis en place. Nous avons disposé les livres sur les tables de signature de sorte que les visiteurs aient une bonne visibilité des livres des auteurs, en veillant à ce que le plan de table soit équilibré. Nous avons fait en sorte que les auteurs avec des affinités soient placés côté à côte. Il nous a fallu près de deux heures pour tout organiser, mais à la fin de la journée, la salle de dédicace était parfaite. SOIRÉE DU 20/10 À L'HÔTEL MERCURE : C'était la première soirée littéraire à laquelle je participais. Je ne me sentais pas vraiment à ma place, d'autant que je ne suis pas une grande amatrice de polar. J'ai été étonnée de l'ouverture des auteurs qui se sont mêlés aux visiteurs et aux étudiants, qui ont discuté avec nous tranquilement. Nous avons écouté la distribution des prix et les livres des lauréats ont piqué ma curiosité ... de Nicolas Lebel et Elastique Nègre de Stéphane Valentine Meyer

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Pair. SAMEDI 21 OCTOBRE : Arrivée à 8h30, Myrina Branthomme nous a fait visiter la SIM en nous expliquant chacun des postes qu'on allait occuper à tour de rôle pour le week-end ainsi que les missions concernant nos auteurs assignés. Les auteurs sont arrivés un peu avant 10h et nous sommes chacun allés nous présenter à nos deux auteurs respectifs. Comme Françoise n'était pas là le matin, Amandine et moi nous sommes occupées de ses auteurs en plus des nôtres. Tout s'est bien passé au niveau des animations, des interviews, des tables rondes. Chaque étudiant a travaillé d'arrache-pied pour faire de ce festival une réussite. Pourtant, malgré toute notre bonne volonté et le travail fourni, les autres bénévoles extérieurs à la Licence ont passé la journée à nous critiquer, nous donner des ordres et nous ont même supprimé la pause du repas de midi. Notre heure réservée au repas s'est vue réduite à 8 pauvres minutes pour manger (toujours debout bien sûr). Malgré ça, pour ne pas troubler la bonne humeur des visiteurs et des auteurs, nous avons continué d'accueillir les gens avec le sourire. A 18h, nous fermions les portes au public. Il fallait, alors, débarrasser tous les livres et les tables afin de mettre en place les sièges pour le concert de l'Orchestre Symphonique de Mulhouse qui commençait à 19h30. Kim avait préparé un plan de rangement des livres que nous avons tous suivis. En une heure, tout était en place et, malgré la fatigue, j'étais fière de tout ce que j'avais accompli dans la journée car, en plus de mes tâches assignées par Myrina Branthomme, je m'étais occupée du planning d'Olivier Norek (l'auteur de Françoise que j'avais récupéré) et j'avais donné un coup de main à plusieurs de mes camarades overbookés. DIMANCHE 22 OCTOBRE : Arrivée à 8h30 pour ranger la salle du concert de la veille et remettre en place toutes les tables de livre pour une nouvelle journée de dédicace. Ce matin-là, nous avons prévenu Myrina Branthomme ainsi que Luc Widmaier des comportements et remarques désagréables, voire déplacés, des autres membres du staff à notre égard. Ceux-ci se sont engagés personnellement à remettre les choses au clair avec eux. La journée s’est déroulée sans problème, les visiteurs étaient, encore une fois, nombreux et ont Valentine Meyer

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semblé apprécier le festival. Nous avons suivi le programme établi par Myrina Branthomme dans les grandes lignes et y avons fait quelques modifications mineures en fonction de ce qui arrangeait les uns et les autres. Ce jour-là, nous avons bénéficié d’une véritable pause déjeunée, même si l’organisation n’était toujours pas au rendez-vous et que le nombre de places assises était très restreint. Les conférences de Jacques Pradel sur l’affaire Grégory et de Bob Garcia sur Tintin à Baker Street ont eu énormément de succès. A la fin de la journée, nous avons eu la possibilité de nous faire prendre en photo gratuitement devant le fond du Festival San Nom. Ce qui me laisse un bon souvenir de cette expérience qui représente une facette du métier de libraire. Enfin, vers 18h, nous avons dit au revoir et souhaité bon retour aux auteurs qui nous on

chaudement

remercié

pour notre travail et notre bonne humeur. Nous avons rangé les livres invendus et classés selon les librairies d’où ils provenaient. Nous avons ensuite descendu les cartons et les avons stockés dans le camion qui devait les ramener à la librairie. Myrina Branthomme ainsi que Luc Widmaier nous ont encore une fois remercié pour nos efforts et c’est vers 19h30 que l’expérience du Festival Sans Nom prit fin. Je suis, cependant, un peu déçue par rapport au Bilan Festival Sans Nom que nous avons fait au courant du mois de novembre. En effet, nous avons été pris au dépourvu avec un devoir sur table. De plus, je ne comprends pas très bien comment on peut noter un devoir si subjectif puisque les questions étaient basées sur nos impressions concernant festival. Ce dernier événement me laisse un goût amer dans la bouche.

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Je n’ai pas encore commencé à vivre, le 7/11/2017 Le mardi 7 novembre, nous avons assisté à la représentation de la pièce de Tatiana Frolova Je n’ai pas encore commencé à vivre. J’étais un peu réticente au début, ça m’ennuyait

beaucoup

que

le

spectacle soit en russe sur-titré. Mais si ce spectacle n’avait pas été en russe, il n’aurait sans doute pas dégagé autant de puissance. La première chose à laquelle j’ai pensé en sortant, c’est que cette pièce m’avait blessée. J’adore l’Histoire, et pour avoir étudié l’Histoire de la Russie en cours de géopolitique, je pensais la connaitre. Ce qui m’a blessée c’était de me rendre compte qu’en fait, je ne savais rien. Ce que j’avais appris n’était qu’un écran de fumée qui dissimulait la réalité. Une terrible réalité. Ce spectacle m’a fait peur. J’ai plusieurs fois été tentée de m’accrocher au bras de ma voisine, parce que faire face à la réalité était terrifiant, trop dur. Cette pièce disait la vérité et c’est ce qui la rendait si belle et si terrible à la fois.

Conférence Helvétique, le 8/10/2017 Le mercredi 8 novembre, nous avons rencontré Alex Capus à l’occasion du cycle de conférence helvétique à la Bibliothèque Grand Rue. L’auteur est venu nous parler de son roman Voyageur sous les étoiles. Le maître mot de son œuvre était « la valeur ». En effet, tout au long de la conférence, l’auteur a fait un parallèle entre son œuvre et L’île au trésor de Robert Louis Stevenson.

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L’œuvre se présente comme une chasse au trésor, en effet, des chasseurs de trésor se rendent sur une île depuis plus de deux siècles à la recherche d’un fabuleux trésor, mais personne ne trouve rien, se pose alors la question : Y aurait-il une autre île qui abrite le trésor ? L’enjeu de l’œuvre, en fait, n’est pas de rechercher un trésor concret constitué de pièces d’or, mais de trouver le trésor, c’est-à-dire, le bonheur. Le topos de l’œuvre étant que l’or physique a disparu, que le véritable but de cette recherche est de trouver le bonheur. Ce livre est né sur le conseil d’un lecteur qui lui a écrit des lettres et envoyé des photocopies de cartes navales qui ont titillées l’intérêt de l’auteur. Il s’est alors lancé dans de longues recherchent afin d’écrire le plus vraisemblablement possible. L’auteur compare ainsi son travail avec celui d’un sculpteur. En effet, il démarre avec beaucoup d’informations et de documents, et étaie au fur et à mesure, il ôte le superflu pour ne laisser que la sculpture qui prend forme. Ainsi, il se documente beaucoup et voyage beaucoup pour ses romans, à la manière des naturalistes du XIXe siècle. Pour conclure, l’œuvre d’Alex Capus se pose comme étant une chasse au trésor des temps moderne ou l’intérêt ne se porte pas sur la matérialité mais sur le but de tout homme : le bonheur.

Salon du livre de Colmar, le 25/11/2017 Le 25 novembre, nous avons visité la 28e édition du salon du livre de Colmar. Je m’y suis rendue à 10h, afin de pouvoir faire un tour du salon seule, prendre un peu mes marques et voir les auteurs en dédicace ce jour-là. J’ai particulièrement apprécié le hall dédié à la littérature de jeunesse, où j’ai pu trouver le cadeau d’anniversaire de mon cousin que j’ai même pu faire dédicacer par l’illustratrice présente sur place (pardonnez mon manque d’originalité, mais le livre était P’tit Loup fête son anniversaire). J’ai également pu retrouver Julia M Tean, auteure de la saga Angela aux éditions Rebelle, qui Valentine Meyer

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était également mon professeur assistant en littérature au lycée Jean-Henri Lambert de Mulhouse. Sur les coups de 11h, j’ai rejoint le groupe de la Licence Professionnelle au stand 314, le stand de la Région Grand Est, qui nous a expliqué l’intérêt de sa présence sur un salon comme celui-ci. Nous nous sommes ensuite rendus sur le stand de la librairie Hartmann de Colmar où l’un des libraires nous a expliqué la nécessité pour les librairies de participer à ces événements. Il nous a également donné les chiffres du salon pour sa librairie, notamment le nombre d’auteurs invités et, en conséquence, le nombre de livres commandés pour le salon ainsi que le nombre de retours envisagés à la fin du week-end. Cela m’a permis de prendre conscience de l’impact d’un salon pour une librairie : cela lui permet de tisser des liens entre les auteurs et les libraires, mais également avec leur maison d’édition. Cela permet également à la librairie de se faire connaître des visiteurs qui ne seraient pas de la région. Nous avons ensuite eu quartier libre et j’en ai profité pour assister à la conférence d’une bloggeuse qui nous présentait ses coups de cœur littéraires du moment. Les ouvrages présentés étaient variés et nombreux des auteurs qu’elle citait étaient présents au salon. En conclusion, la visite du salon du livre de Colmar s’est avérée très enrichissante pour moi. J’avais déjà visité des salons du livre, mais en tant que simple visiteur et non pas en tant que professionnelle du livre. Je comprends maintenant les enjeux et les intérêts de participer à un tel événement pour un libraire et apprécie vraiment l’atmosphère qui s’en dégage. Les salons du livre, pour un libraire, ne sont pas que des endroits où l’on travaille, c’est également un lieu de convivialité, de rencontre avec lecteurs et auteurs, et surtout, un moyen de promouvoir le formidable objet qu’est le livre.

Jury du Prix du Roman des Étudiants FranceCulture/Télérama Au mois d'août, j'ai participé au concours lancé par France Culture afin de faire partie du jury du Prix du Roman des Étudiants. J'ai donc rédigé la critique du dernier roman que j'avais lu : Ce qui nous lie de Samantha Bailly, publié aux éditions Milady. Valentine Meyer

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A la mi-octobre les résultats du concours sont tombés : ma candidature était retenue, je faisais partie du jury du prix. J'ai donc reçu une liste de cinq titres parus dans l'année à lire pour début décembre afin, ensuite, de voter pour le livre qu'on a préféré. Les cinq finalistes étaient : Un Certain Mr Piekielny de François-Henri Désérable aux éditions Gallimard Mercy Mary Patty de Lola Lafon aux éditions Acte Sud Point Cardinal de Léonor de Récondo aux éditions Sabine Wespieser Summer de Monica Sabolo aux éditions JC Lattès Souvenirs de la marée basse de Chantal Thomas aux éditions du Seuil Le roman que j'ai préféré parmi les cinq était Point Cardinal de Léonor de Récondo et j’ai été ravie d’apprendre, le 12 décembre, à l’annonce des résultats, que c’était celui-ci qui avait remporté le prix. Faire partie du jury du prix m’a montré une autre facette du monde du livre. La lecture, ce n’est pas que la lecture plaisir, c’est parfois aussi des lectures imposées, qui peuvent se révéler décevantes ou extraordinaires. Dans le cadre du roman des étudiants, j’ai aimé ce travail de discipline qui était de lire sérieusement et en temps limité les cinq ouvrages proposés. Bien sûr, parmi les cinq livres, certains étaient plus difficiles à lire que d’autre, parce que le style de l’auteur ne me convenait pas, ou que le sujet du livre n’éveillait pas forcément mon intérêt. Néanmoins, je suis vraiment contente que le lauréat du prix ait été Point Cardinal, car j’ai vraiment apprécié cette lecture et ...


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