Étude SST PDF - Résumé Santé et sécurité du travail PDF

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Résumé de la matière du premier examen...

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Étude SST (partie 1)

Questions de rvision : Semaine 1 : Introduction  la sant et scurit du travail LAROCHE, DIONNE-PROULX et LEGAULT, 2012 : ch.1, questions de rvision 2, 3, 5 et 7.

Question 1 : Un adage populaire affirme que le travail, c’est la sant! Selon ce que nous avons vu dans le cours, qu’en est-il réellement? Le travail est un déterminant de la santé, il peut autant être un apport positif qu’un apport négatif. Celui-ci influence les choix et les habitudes de vie des individus et ainsi leur espérance de vie. Il y a des corrélations entre le travail/l’emploi et principalement ses conditions et l’espérance de vie.

Commented [ad1]: Travail = habitude de vie Habitude de vie = espérance de vie Espérance de vie = santé

Question 2 : Les statistique de la CNESST dmontrent une certaine baisse des lsions professionnelles. Quels sont les facteurs qui peuvent expliquer une diminution relle des lsions professionnelles? •

Sous déclaration (assurances privés, assignation temporaire, peur du jugement, …)

•

Non reconnaissance du lien travail/accident (par l’employé).

Question 3: Certaines donnes dmontrent que s’il y a une diminution des lsions indemnises, il n’y a pas ncessairement de diminution du nombre réelle de lsions professionnelles. Quelles sont ces donnes? •

Facteurs structurels -

Augmentation des emplois dans des secteurs moins à risques (manufactures vers services) Vieillissement de la population active (diminution fréquence d’accident, mais augmentation durée des absences)

•

Effort de prévention

•

Pratiques de contrôle des coûts -

Généralisation de l’utilisation de l’assignation temporaire Utilisation de l’assurance salaire (privée) pour l’indemnisation de lésions qui pourraient être reconnues comme professionnelles

Commented [ad2]: SP-CC-T

•

Transformation du marché du travail et pratiques de gestion des ressources humaines -

Augmentation des emplois autonomes Augmentation des emplois à temps partiel

Question 4 : Nous avons parls de l’EQCOTESST en classe. Qu’est-ce que c’est exactement? Ce rapport présente les premiers résultats de l’Enquête québécoise sur des conditions de travail, d’emploi et de santé et sécurité du travail (EQCOTESST) réalisée conjointement par l’IRSST, l’INSPQ et l’ISQ, avec la collaboration de la CNT et du MTQ. Cette étude vise à produire une meilleure connaissance des conditions de travail, d’emploi et de santé et sécurité du travail (SST) des travailleurs québécois ainsi que des facteurs de risque auxquels ils sont exposés dans le cadre de leur emploi afin de pouvoir soutenir stratégiquement les orientations de recherche et d’intervention en santé et sécurité du travail au Québec.

Question 5 : Donnez au moins trois exemples de la différence entre un problème de sant ou de sécurit au travail selon les statistiques de la CNESST et des données de l’ECQOTESST. •

Troubles musculosquelettiques •

ECQOTESST:

•

CNESST:

•

Baisse d’Indemnités selon la CNESST, mais selon ECQOTESST tous ne font pas de déclaration d’accident (Assignation temporaire, …)

•

Accident travail: 265 000 accidents selon ECQOTESST et 45 000 indemnisés par la CNESST.

Question 6 : Quelle est la diffrence entre les cots directs et les cots indirects? p:8 Coût direct : Facture de la CNESST + ambulance Coût indirect : Frais de Ressources-humaine, embaucher un autre travailleur, perte de productivité, arrêt de la production, bris d’équipement, etc.

Commented [ad3]: Meilleure connaissance de : -Conditions de travail, d’emploi et de santé et sécurité du travail. -Facteurs de risque auxquels ils sont exposésas

Question 7 : Du point de vue de la gestion des ressources humaines, quelle est l’importance de la SST? · Les conditions difficiles augmentent le roulement et rendent difficile l’attraction de nouveaux employés. · Le roulement augmente les risques pour la SST (employés plus à risque dans les premiers 6 mois). ·

Le vieillissement augmente le besoin de prévention.

· La pénurie de main-d’œuvre amène une variété de possibilité et donc une difficulté de rétention des employés dans des conditions plus difficile. · Plusieurs entreprises ne font que gérer l’indemnisation et de tenter de réduire les coûts avec des conséquences sur les employés. Exemple : conteste toutes les lésions, difficile de croire à la démarche de valorisation des ressources humaines

Question 8 : Quel est l’impact de l’action syndicale sur la sant des travailleurs? L’action syndicale est tournée vers l’amélioration des conditions, les conditions de travailles influent sur la santé des travailleurs de manière positive ou négative. L’action syndicale permet donc d’améliorer (théoriquement) la santé des travailleurs.

Question 9 : On parle du rgime d’indemnisation mis en place en 1931 au Qubec comme d’un « compromis ». Expliquez ce que les travailleurs ont perdu dans ce compromis. Expliquez ce que les travailleurs ont gagn. Les travailleurs ont perdu le droit de poursuivre leur employeur au Civil suite à un accident de travails. Ils ont gagné un régime d’assurance collective financé par l’employeur sans égard à la faute.

Question 10 : Nous avons vu dans le cours qu’il y a une diffrence entre la logique de l’indemnisation et la logique de la prvention. Qu’est-ce que a signifie? La logique d’indemnisation vise à corriger, c’est-à-dire à compenser pour la lésion une fois que celle-ci survient tandis que la logique de prévention vise à prévenir les accidents avant qu’ils surviennent, elle est donc pro-active.

Question 11 (livre) : Quelle distinction fondamentale faut-il faire entre les accidents du travail et les maladies professionnelles? Accident du travail : événement imprévu et soudain, attribuable à tout cause, survenant à une personne par le fait ou à l’occasion de son travail et qui entraîne pour elle une lésion professionnelle. Maladies professionnelles : maladie contractée par le fait ou à l'occasion du travail et qui est caractérisée de ce travail ou reliée directement aux risques particuliers de ce travail. La maladie survienne sur le long terme.

Question 12 (livre) : Quelles sont les grandes catégories de risques qui se trouvent dans le livre blanc de 1977 sur la santé et la sécurité au travail (SST)? Chimiques, Biologiques, Mécaniques, Physiques et Psychosociaux

Question 13 (livre) : Quelles sont les compétences à posséder pour occuper efficacement le poste de professionnel en SST? •

Connaissance de la gestion d’entreprise

•

Compréhension des phénomènes économiques

•

Capacité d’adaptation

•

Attitude analytique et la propension à l’action

•

Habiletés relationnelles

Question 7 (livre)-Expliquez en quoi diffère le rôle d’agent du changement de celui d’assistance et de conseil. Le rôle d’agent de changement est plus porté vers l’évolution de l’entreprise vers l’élimination des problématiques tandis que celui d’assistance et de conseil est porté vers l’analyse de la situation actuelle de l’entreprise dans le but d’apporter le changement.

Commented [ad4]: CBMPP

RLT-2002 – Introduction à la santé et à la sécurité du travail Questions de révision : Semaine 2 : Facteurs de risque

Question 1 : Alain Vinet, dans le chapitre 7 de son ouvrage « Travail, organisation et santé » (p. 15-49 du recueil), présente les facteurs de risque psychosociaux du travail les mieux documentés par les études, et propose un modèle succinct intégrant ces facteurs, pour en comprendre les effets sur la santé. Nommez et décrivez ces facteurs compris dans ce modèle. Demande psychologique : l’évolution du travail créer un modèle dans lequel le travail est toujours en surplus, la demande psychologique est donc sans cesse. Une autonomie insuffisante : l’autonomie dans le contrôle de sa prestation de travail est rare (présence, congé), pour la majorité des salariés l’accroissement de la charge de travail n’est pas synonyme d’augmentation de l’autonomie. Besoin de soutient : l’augmentation de la tâche devrait s’accompagner d’une augmentation du soutien social. S’il n’y a pas de soutien social, cela amplifie les besoins d’autonomie et la demande psychologique. S’il y a un bon soutien social, il va mitiger les deux autres. Besoin de reconnaissance : Avoir les bonnes récompenses (physiques et psychologiques) selon les efforts mis dans le travail.

Question 2 : Nous avons vu dans le cours qu’il y a une diffrence entre la logique de L’indemnisation et la logique de la prvention. Qu’est-ce que ça signifie?

• Logique de prévention : développer la santé physique mental et sociale. Pas seulement qu’il n’y ait pas d’accidents reconnus mais que les risques soient diminués. • Selon la logique de l’indemnisation : la santé est l’absence de blessure ou de maladies reconnues. La sécurité est l’absence d’accidents reconnus.

Question 3 : Qu’est-ce qu’une substance ototoxique? Est dite ototoxique toute substance chimique exogène qui est toxique pour les structures de l'oreille interne, que ce soit la cochlée (ou les premiers neurones du nerf auditif), le système vestibulaire ou les deux.

Question 4 : Pourquoi dit-on en ergonomie que les travailleurs font le travail « malgré tout »? Car malgré tout, les travailleurs doivent travailler. Ils doivent produire et faire le travail malgré les risques, malgré les blessures et malgré les maladies.

Question 5 : Quelle est la différence entre un problème de santé et un problème de sécurité? Un problème de santé est une maladie professionnelle, tandis qu’un problème de sécurité est un accident professionnel. Un accident arrive et cause une blessure, il y a une relation de cause à effet (tomber de haut et se casser la jambe, se fouler la jambe, …). Une maladie professionnelle arrive à long terme et peut être la cause de plusieurs facteurs, plus difficile à indemnisé, car souvent il n'y a pas de cause à effet.

Question 6 : Lorsqu’on regarde le nombre de rclamations acceptes et refuses auprès de la CNESST  la suite d’un accident du travail et d’une maladie professionnelle, que peut-on en conclure ? Les réclamations sont plus souvent acceptées pour les accidents professionnels que pour les maladies professionnelles, car les accidents ont souvent une cause prouvable, donc il y a une relation directe de cause à effet entre le travail et l’accident. Les maladies

professionnelles n’ont souvent pas de cause à effet direct prouvable en lien direct avec le travail donc, elles sont moins souvent indemnisées.

Question 7 : La surdit est l’une des consquences de l’exposition au bruit. Expliquez d’autres consquences au travail et hors travail de ce facteur de risque? La surdité peut occasionner des dangers au travail, le travailleur ne pouvait pas entendre les différents dangers. Les gens vont finir par s’exclure quand ils sont atteints de surdité, puisque certains ne sont pas capable de comprendre ce que les gens leur disent quand ils sont entourés de plusieurs personnes qui parlent en même temps. De plus, certaines personnes n’arrivent pas à comprendre ce que des personnes à un mètre d’eux leur cri, ce qui peut rendre difficile la communication.

Question 8 : Plusieurs électriciens travaillent directement sur le courant. Pourquoi estil inefficace de simplement leur demander d’arrêter de faire ça? Il est inefficace de simplement leur demander, car ils ont souvent de la pression de la part de leur employeur et des clients pour accomplir leur travail rapidement et efficacement. La pression sociale est forte et des pistes de solutions devront être données plutôt que simplement dire à un individu d’arrêter de faire ce qu’il a l’habitude de faire puisqu’il se dira: Je le fais déjà et ça fonctionne donc, pourquoi j’arrêterais?

Question 9 : Expliquez le concept d’homothermie. À quel moment nous parlons de contrainte thermique chaude ou de contrainte thermique froide? Le corps tend à maintenir la température centrale (homéothermie) entre 36,5°et 37,5. Nous parlons de contraintes thermiques lorsque les températures font varier la température de notre corps. Le corps possède ses propres mécanismes pour prévenir que la température centrale change (frisson, sueur, etc.). À certain extrêmes, des coups de chaleurs (qui sont plus propice à arriver si on en a déjà eu un) et l’hypothermie peuvent être des contraintes thermiques dangereuses.

Question 10 : Normalement, l’on s’attendrait que les maux de dos affectent principalement les manutentionnaires. Est-ce bien le cas? Qu’est-ce que rend l’humain complexe à « manutentionner » ? Non, ce sont les infirmières auxiliaires qui sont le plus affectées par les maux de dos. L’humain est imprévisible, déplacer une personne peut occasionner des faux

mouvements. Les personnes peuvent résister ou se laisser tomber. Les boîtes sont prévisibles, elles ont moins de chances de provoquer des blessures.

Question 11 : Il y a plusieurs typologies des facteurs de risque de TMS. Expliquez la différence entre les risques biomécaniques, les risques psychosociaux et les risques organisationnels. Risques biomécaniques : provenant de l’humain, de son exécution du travail. Ex. : facteurs biomécaniques, la répétitivité des gestes, les efforts excessifs, le travail statique de faible niveau maintenu dans le temps, les positions articulaires extrêmes. Sollicitations biomécaniques augmentées par: port de gants vibrations froid éclairage déficient Risques psychosociaux : Ex. : charge de travail, soutien social, pression temporelle, autocontrôle sur le travail, etc. Risques organisationnels : proviennent du travail, de l’organisation de celui-ci. Ex. : Processus de production, horaire de travail, travail d’équipe, horaire des pauses, chaînes des déterminants(un facteur en tant que tel peut ne pas créer un TMS, mais plusieurs facteurs peuvent créer le TMS, etc.)

Question 12 : Expliquez la différence entre le modèle de Karasek et le modèle de Siegrist Quels sont les concepts clés de chacun? Les deux composantes principales du modèle de Karasek sont la demande psychologique (charge de travail et exigence imposée) et la latitude décisionnel (autonomie dans l’exécution des tâches).

Le modèle effort-reconnaissance de Siegrist vise à rendre explicit la différence entre les efforts d’une personne et la rétribution auxquels il aura droit. Un emploi qui combine des efforts élevés et peu de reconnaissance entraînera des réactions émotives ayant un impact sur la santé et le bien-être des travailleurs.

1. Tous les travailleurs québécois sont-ils protégés en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité des travailleurs? Expliquez votre réponse. Non, elle protège tous les travailleurs au sens de l’article 2 de la LSST (La présente loi a pour objet l’élimination à la source même des dangers pour la santé, la sécurité et l’intégrité physique des travailleurs). Elle établit les mécanismes de participation des travailleurs et de leurs associations, ainsi que des employeurs et de leurs associations à la réalisation de cet objet. Les travailleurs des secteurs d’activités de compétences fédérales sont protégés par une législation différente qui est le Code canadien du travail. Les représentants des employeurs ne sont généralement pas protégés par la majorité des lois sur la santé et sécurité du travail.

6. Dans le cadre du Système d’information sur les matières dangereuses utilises au travail, quelle est la différence fondamentale entre une étiquette et une fiche de données de sécurité? Fiche de données de sécurité SIMDUT 2015: Fiche d’information d’un produit dangereux respectant la présentation internationale des pays ayant adopté le SGH. La fiche de données de sécurité est fournie par les fournisseurs.

L’étiquette, qui doit être conforme aux normes du SIMDUT 2015 doit être apposée sur tous les produits dangereux qui se trouvent dans les milieux de travail.

7.

Quelles sont les responsabilits propres au fournisseur et  l’employeur?

Fournisseur: Fournir des fiches de données de sécurité SIMDUT 2015 et apposer, sur les produits, des étiquettes conformes aux normes du SIMDUT 2015 pour les produits dangereux vendus ou importés qui se trouvent dans les milieux de travail du Canada. Employeur: Veillez à ce que les produits dangereux utilisés dans son entreprise soient étiquetés et accompagnés d’une fiche de données de sécurité accessible à tous. Élaborer un programme de formation et d’information à l’intention du personnel afin que tous soient conscients des dangers liés à l’utilisation de certaines matières et des précautions à prendre pour les manipuler.

1.

À qui s’adresse le Règlement sur la sant et la scurit du travail (RSST)?

S’adresse à toutes les entreprises, peu importe leur domaine d’activité ou leur taille. S’applique à tous les établissements régis par la LSST. Les entreprises du domaine de la construction et celles de compétences fédérales n’y sont toutefois pas soumises.

2.

Comment le RSST se distingue-il de la Loi sur la santé et la sécurité du travail?

Le RSST offre donc des informations précises quant aux façons de faire en diverses situations de travail. La LSST a une portée plus générale.

3. Définissez la politique de tolérance zéro de la Commission des normes, de l’quit de la sant et de la sécurité au travail (CNESST) en ce qui a trait à la sécurité associe aux machines. Quelles en sont les grandes lignes? À quoi s’exposent les employeurs fautifs ? Avant, la CSST accordait des délais pour la correction des lacunes, maintenant c’est la politique de tolérance zéro qui s’applique. Politique de tolérance zéro: Politique appliquée par la CNESST qui, lorsque certaines règles ne sont pas respectées, fait intervenir immédiatement un inspecteur, par exemple par l’arrêt du travail, l’apposition d’un scellé ou l’mission d’un constat d’infraction.

4. Expliquez pourquoi les normes doivent être considérées comme des guides et non comme des valeurs absolues en matière de prévention. Les normes représentent un seuil maximal d’exposition sous lequel de tels polluants n'entraînent pas de risques d’atteinte à la santé et à l’intégrité physique pour la majorité des travailleurs. Il ne faut donc pas exclure que certaines personnes, plus fragiles que d’autres, puissent être incommodés par ces substance, même en deçà des seuils prescrits. L’utilisation simultanée de plusieurs produits toxiques , présentant tous des concentrations inférieures à la normes prescrite, pourrait devenir nocive pour la santé des travailleurs.

5. Le respect des normes inscrites au RSST est-il suffisant pour l’identification de tous les risques présents dans milieux de travail? Non, les substance présentes dans les milieux de travail ne sont pas toutes normalisées. Cela ne signifie pas qu’elles sont sans danger.

6. Quelle est la principale amélioration apportée au SIMDUT lors de la refonte de 2015 ? Uniformisation des logos, des étiquettes et des informations contenues dans le Système de gestion harmonisée (SGH) de l’Office des Nations Unies (ONU). Par le passé, il était fréquent que les produits achetés dans d’autres pays ne soient pas conformes aux normes d’étiquetages canadiennes, ou encore que les informations figurant sur l’emballage soient insuffisantes.

Question 1 : Dans le régime québécois, quelles sont les lois qui traitent de la santé et la sécurité du travail? Les organisations de compétences québécoises sont assujetties à la LSST, loi visant le régime de prévention. Elle établit les principes de l’engagement paritaire de la direction et des travailleurs dans le repéra...