Histoire de la société française depuis 1945 BORNE PDF

Title Histoire de la société française depuis 1945 BORNE
Course Préparation au CAPEPS
Institution Université de Montpellier
Pages 7
File Size 297.4 KB
File Type PDF
Total Downloads 80
Total Views 120

Summary

Histoire de la société française depuis 1945 BORNE...


Description

Histoire de la société française depuis 1945 Dominique Borne (1988 [1990]). Paris : Armand Colin. 185p. Page 5

7

Notes Chapitre I : le grand changement, constat est problème  changement de décor L'espace quotidien de la vie des Français est plus bouleversé en quarante ans auparavant en plusieurs siècles. 1946 : Le poids de l'immuable La polyculture domine. Quelques immeubles de brique ont été édifiés aux portes des grandes villes. Les paysages industriels sont ceux du XIXe siècle. Quarante ans après  1946 : 40,3 millions d'habitants. 1985 : 55 millions. Trois explications à la croissance de la population :  augmentation du taux de natalité  diminution relative de la mortalité et allongement de l'espérance de vie  augmentation de l'immigration  augmentation des urbains et diminutions des ruraux  les Français au travail :  croissance de la population active  davantage de cadres et d'employés  stabilité relative du monde ouvrier  moins de paysans, de petits commerçants et d’artisans L e confort domestique s'est installé. La machine est omniprésente. On a multiplié les grands ensembles pour loger hâtivement les populations qui affluaient des campagnes et de l'étranger.

8 10

13

16 17 19

20 21

23

 Méthodes et problèmes L'histoire de la société française depuis 1945 du lendemain de la guerre à la fin des années 1950, une société façonnée par les expériences de l'avant-guerre reçoit le premier choc de la modernité et semble hésiter entre l'ancienne le nouveau. Des années 1960 à la crise, la société française choisit la modernité. C'est le temps des grandes mutations : croissance, consommation, bouleversements des mentalités. La crise, depuis le milieu des années 1970, révèle encore social qui n'a pas toujours assumé la transformation des années précédentes. Société dans la crise ou crise de la société ?

Chapitre II : la société après 20 ans de crise et de tentative de renouveau De 1930 à 1950, mélange du conservatisme, dès tentative de repli sur soi, et de la volonté de changement, d'innovation sociale.  Le repli : un désarroi national et social Une société crispée sur ses valeurs Le monde paysan et les classes moyennes indépendantes (artisans, commerçants, rentier, professions libérales) se sentent menacés par les dangers extérieurs de l'évolution économique. Le repli démographique et la xénophobie Aux effets de la guerre s'ajoutent les conséquences d'un comportement malthusien : le modèle dominant est la famille de un ou deux enfants. Giraudoux (1939) met en accusation « le culte aveugle rendu aux qualités morales et spirituelles de la France » qui fait passer au second plan l'hygiène et le sport. Il dit encore : « le Français devient rare ». Recensement de 1931 : 3 millions d'étrangers (7 % de la population). Les ankyloses rurales De la ville sont venus le chemin de fer, l'école, le journal mais tout se passe comme si les campagnes subissaient les évolutions s'en prendre conscience des nécessités de modernisation qu'elles impliquaient. Sclérose bourgeoise la bourgeoisie, qui s'effondrera en 1940, menacée, entend cependant maintenir l'essentiel de son mode de vie et de ses pratiques culturelles : sa conception de la famille et de l'école.  La conjoncture de la libération Rationnement, pénurie, misère Un autre discours sur la société Préambule de la constitution de 1946 : « chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi ».  exaltation du travailleur, producteur essentiel de richesse. Condamnation de la politique malthusienne par tous les acteurs politiques.  Les forces du changement social le monde ouvrier

24 27 28 30

31

35

38

39

40 41

42 43

44

45 46

47 49

La lutte sociale renforce la cohésion ouvrière (grèves de 1947 et de 1948). L'inflation lui rend la vie difficile. Il se range du côté du PCF. La croissance démographique Augmentation de la natalité, diminution de la mortalité (surtout infantile)  45 millions d'habitants à la fin des années 50. En 1962, les moins de 20 ans représentent 33 % de l'ensemble des Français. Les campagnes en mouvement Exode du monde rural. Motorisation (tracteurs, moissonneuses-batteuses,…)  cela ne profite surtout qu'aux grands exploitants. La France change les Français consomment plus qu'ils n'épargnent production de la 4 CH par Renault (voiture populaire). La place consacrée aux loisirs augmente : 1956 : trois semaines de congés payés . L'économie s'organise : publicité, prêtà-porter,… Changements et résistances aux changements Attachement aux racines rurales ne s'associe pas au nouveau mode de vie (potage en poudre par exemple).

Chapitre III : les grandes mutations des années 1960  quinze ans de bouleversements sociaux La victoire des modernistes Préparées par la IVème république, les mutations sociales décisives s'effectuent sous l'autorité du général de Gaulle, jusqu'en 1969, puis pendant la présidence de Pompidou de 1969 à 1974. Ce dernier accentue le choix industriel. Cette politique, soutenue par une conjoncture économique internationale favorable, permet une très rapide croissance économique et l'élévation générale du niveau de vie des Français. La France et le monde Traité de Rome instituant la CEE est signé en 1957. À la vision d'une France crispée sur son empire succède une France plus ouverte (fin du colonialisme). Les voyages dans les pays voisins se multiplient. Dans ces années de croissance, la France hésite entre plusieurs modèles : l'attachement au passé, l'ouverture à l'Europe, l'américanisation. Générations Grands-parents, parents, enfants des années 1960 incarnent trois générations dont les expériences historiques, les mentalités sont profondément contrastées.  Grands-parents : culture traditionnelle, rurale, malthusienne, souvenir de la grande guerre.  Parents : peu nombreux, marqués par la pénurie, l'inconfort, c'est la génération de la rupture (avènement de la salle de séjour ou living).  Enfants : nombreux (baby-boom), consommateurs, adeptes de la modernité. Affrontements entre la modernité adoptée par les jeunes et le poids des valeurs qu’incarnent encore les parents comme les grands-parents. La crise de 1968 peut être analysée comme un ajustement des valeurs. L'ère de la consommation de masse et des loisirs De 1960 à 1975, le revenu national disponible par habitant a presque doublé. 1963 : premier hypermarché Carrefour à Sainte-Geneviève des Bois, le caddie est le symbole de l'époque (débordant). L'Institut National de la Consommation est créé en 1966. Dumazedier (1962) : vers une civilisation des loisirs. Mais l'idée du loisir n'est possible que dans une société qui abandonne des racines paysannes. Le loisir n'est pas intégré dans la vie quotidienne mais il est symbole d'une autre vie. Épanouissement du club Méditerranée, multiplication des résidences secondaires, pratique du week-end. Un paysage culturel renouvelé c'est le moment du tiers-mondisme, de la dénonciation de l'impérialisme américain, de la recherche de modèles (Che Guevara, Mao Zedong), le temps de la dénonciation de l'État français centralisateur et meurtrier des cultures régionales. C'est l'adieu à un certain marxisme. Sans doute le maître nom de tous ces courants est-il le mot aliénations (= asservissement). La jeunesse refuse désormais de reproduire une culture héritée. Elle impose sa mode, ces comportements sexuels et familiaux (l'émission Salut Les Copains).  Des cadre de vie bouleversés les Français déménagent, l'État aménage Croissance rapide des villes due à l'exode rural et à l'accélération de l'immigration (retour en métropole des rapatriés d'Afrique du Nord). La motorisation de l'agriculture permet un transfert de population du secteur primaire vers l'industrie et les services. L'état finance les HLM (habitations à loyer modéré). Le nouveau décor de vie des Français doit l'essentiel de ses caractéristiques à une action volontariste de l'état et fort peu aux désirs ou aux besoins des néo-citadins. Mort du village ? Dépeuplement rapide entraîne fermeture des classes (6500 classes supprimées à la rentrée de 71). Mais on assiste à une forme de résistance, de recomposition avec le développement du tourisme, le retour des retraités… Les transformations des villes Toutes les villes ne grandissent pas au même rythme : croissance importante dans le midi et stagnation voire déclinaison dans le nord. Les valeurs sociales sont véhiculées par la catégorie montant des cadres : souci d'efficacité économique, hygiénisme  la

50 52

55

56

57

59

61 62

64 67

69

70 71

73

74

circulation, la mobilité des automobiles, des produits et des hommes comptent plus que la sociabilité.  Les crises sociales, affrontements de l'ancienne et de la nouvelle société Colères rurales (Début des années 1960) Mineurs en grève Mai 1968 Les élèves réclament un lycée cogéré, la multiplication des possibilités de rencontre entre les parents et les professeurs comme entre les élèves et les professeurs, le pantalon pour les filles, le maquillage, la suppression de la blouse obligatoire… prise de conscience, responsabilité, esprit de dialogue, participation. Mai 68 est le moment où le corps social cherche à créer une nouvelle solidarité pour vivre dans ce monde nouveau où les groupes se sont effrités.  Bilan de quinze ans de déménagent De de Gaulle a Pompidou Le scrutin du mois d'avril 1969, sur la réforme régionale et sénatrice, est un échec pour de Gaulle. Il démissionne. Pompidou nomme Chaban-Delmas premier ministre qui souhaite faire bouger les structures archaïques et conservatrices alors que lui-même est convaincu qu'on ne change pas la société d'en haut. 1970 : création du SMIG (salaire minimum interprofessionnel de croissance) Incertitudes sociales du début des années 1970 la croissance se poursuit, les grands projets continuent (les autoroutes) mais de multiples conflits sociaux, l'apparition du chômage, l'inflation alourdissent le climat. Les nouvelles couches sociales restent encore partagées entre le conservatisme et la libéralisation sociale. Lors des élections présidentielles de 1974 après la disparition de Pompidou, Mitterrand et Giscard d'Estaing seront l'un et l'autre soutenus par une fraction de cette néo-bourgeoisie.

Chapitre IV : la société depuis le milieu des années 1970  la crise et ses conséquences sociales Le temps de la crise  portée et limites : 1981 : 2 millions de chômeurs (les femmes, les jeunes, les travailleurs non qualifiés). Même si on pensait que le premier choc pétrolier de 1973 ralentirait la consommation, on enregistre cependant une augmentation des achats de voiture, de télé, de magnétoscopes... Les Français n'entendent pas transformer leur style de vie.  fractures sociales croissance de la délinquance (insécurité)  thème du FN de Le Pen. Perte d'audience du PCF la crise accélère le démantèlement des grands ensembles industriels sur lesquels il avait fondé sur une originalité et son audience.  une société informatisée ? Informatisation de masse et plus seulement réservée à l'élite à la fin des années 70.  Un nouveau rôle pour l'État ? La victoire de la gauche en 81 semble marquer l'apogée de l'état protecteur est incitateur : nationalisations, lois sociales, réformes se multiplient.  Les étrangers dans la société française L’école, moins sûre d'elle-même, et surtout moins sûre du modèle qu’elle suffisait dans la certitude autrefois, remplit moins aisément sa fonction assimilatrice.  La société de Valéry Giscard d'Estaing à François Mitterrand Une société décrispée ? Volonté de Giscard de présider une France « décrispée », tant au plan politique qu'au plan social. Il choisit ainsi la réforme au lieu de l'affrontement. Il met en place un ministre des réformes, un ministre de la qualité de la vie et Françoise Giroud comme secrétaire d'État à la condition féminine.  Le pouvoir et les citoyens : volonté de désacralisation du pouvoir la loi et les moeurs : majorité à 18 ans en 1974 ; autorisation de l'IVG et simplification des procédures du divorce en 1975 la loi s'adapte aux mœurs. Même si l'État se désengage de la liberté des individus, il développe son rôle de protection : loi Haby de juillet 1975 donnant des chances égales à tous les enfants scolarisés. Les travailleurs face aux « dégâts du progrès » : les nouvelles organisations du travail (autoritarisme des petits chefs) et les progrès techniques modifient les conditions de travail, un certain « ras-le-bol » se fait entendre.  Les minorités prennent la parole : manifestation féministe, écologiste, corse, bretonne le droit à la différence. 1981 : la gauche, un autre projet social ?  Le retour du refoulé : retour en force de l'histoire. Mitterrand choisit Pierre Mauroy comme premier ministre, le créateur de la fédération Léo Lagrange, organisation de loisirs pour les jeunes. Jusqu'en 1983, c'est-à-dire au moment où le pouvoir choisit la pause et la rigueur (dues à l'inflation), la nouvelle majorité choisit d'accroître le rôle de l'état providence, d'en faire l’instrument d'une redistribution sociale en même temps que de libérer les forces de création individuelle.  Reformer la société ? Impôt sur les grandes fortunes (1 % des foyers fiscaux) supprimé en 1986 au retour de la droite au pouvoir. Généralisation de la cinquième semaine de congés payés, la retraite à soixante ans, l'instauration de la semaine de 39 heures, décentralisation (1982).  1984/1986:les manifestations sociales traduisent-elles l'émergence d'une nouvelle société ? Pour la liberté de l'enseignement

75

76 77

78

79

81

83

85

88

89 90

92

93

 l'enseignement privé dans la société française : loi Debré (1959) : les écoles privées peuvent conclure avec l'état des contrats d'association.  l'évolution de la querelle scolaire : entre les laïques et la hiérarchie catholique. La laïcité fait partie de la culture politique de la gauche. Elle est liée au patriotisme. La proposition 90 du candidat Mitterrand prévoyait : « un grand service public, unifié et laïc de l'éducation nationale sera constitué. Sa mise en place sera négociée sans spoliation ni monopole ». Cependant, le ministre Alain Savary attend la fin de 1983 pour faire connaître ses propositions. Rapidement, la tension monte et le 24 juin 1984 à Paris, un million de manifestants font dire à Mitterrand qu'il faut se débarrasser de ce dossier : démission de Savary et du premier ministre Mauroy.  Sens d'un conflit : le projet scolaire de la gauche appartenait au temps des idéologies. Une bonne partie de l'opinion est lasse de l'uniformité et de la centralisation. Les manifestations sociales apparaissent plus comme des manifestations d'individus qui réclament la liberté d'être différents. Les jeunes en décembre 1986 La presse ironise sur la « bof-génération », la génération de l'indifférence. Et puis décembre vient : point de départ le secrétaire d'État aux universités, Alain Devaquet, propose une modernisation de l'université. Le projet est compris comme voulons instaurer la sélection à l'entrée de l'université et augmenter massivement les droits d'inscription. Grandes manifestations. Monory, ministre de l'éducation nationale, supprime ce projet. Mais dans la nuit du 5 au 6 décembre, Malik Oussekine, un étudiant de 22 ans, meurt victime de brutalité policière. Manifestations (« plus jamais ça »). Recul du pouvoir face à la défense de son autonomie de la société civile, thème de l'égalité, opposition à la violence, solidarité, droits de l'homme. Des cheminots aux instituteurs fin 86, début 87 : les instits manifestent contre la décision du ministre d’instaurer dans les écoles primaires des directeurs aux pouvoirs renforcés : volonté d'égalité fondamentale et refus d'une hiérarchie.

Chapitre V : familles, femmes, générations  comportements démographiques, familles et idéologies familiales Comportements nouveaux et traditions, de la guerre aux années 1960 D e s mariages plus nombreux, une famille agrandie politique de la famille (allocations familiales généralisées, allocations logement, primes à la naissance...) a favorisé la reprise de la natalité. Un modèle bourgeois, une famille hiérarchisée : la place d'une mère est au foyer. La famille, unité économique : les petites exploitations rurales, les petits commerces et l'artisanat se fondent sur la famille. Depuis les années 1960 : la grande mutation des comportements Des familles plus réduites dues aux transformations des modes de vie, à l'urbanisation, à la vie dans les banlieues qui rendent plus difficiles la constitution de familles nombreuses. Les grands-parents ne sont souvent plus là pour s'occuper des enfants. L a limitation volontaire des naissances : pilule, stérilet, IVG en 75. Mais c'est surtout dû au rôle de la femme qui a conquis son indépendance par le travail. Son pouvoir familial est renforcé, c'est elle qui choisit d'avoir un enfant ou non, de l'élever seule ou en couple. Une révolution des moeurs ? Révolution accélérée des mentalités françaises quant à la sexualité : du secret conjugal, elle devient progressivement un moyen d'épanouissement de l'individu. Transformations du couple qui ne reste plus une cellule stable. La modernité des moeurs est introduite par les femmes dans la société française contemporaine.  Les femmes à la conquête de l'autonomie Il faut attendre à la fin des années 60 pour que le monde politique, essentiellement masculin, accorde un peu d'attention à la condition féminine, au moment où l'électorat féminin apparaît suffisamment fort pour que l'on cherche à le séduire. L'école Mixité généralisée dans les années 60, au moment même où le taux de scolarisation des filles rejoint celui des garçons (1965). Mais persistance d'une certaine inégalité dans l'enseignement supérieur notamment. Longtemps, l'enseignement professionnel a orienté les filles vers les métiers de la couture sans débouchés réels et vers les postes d'exécution du secteur tertiaire. Dans l'électronique, les femmes constituent ainsi la main-d'oeuvre essentielle alors qu'elles sont que 6 à 7 % à obtenir le CAP. Les femmes travaillent de plus en plus Moins qualifiées que les hommes, les femmes occupent en majorité les activités les moins rémunérées. Le féminisme « Le deuxième sexe » de Simone de Beauvoir (1949) s'attaque à tous les principes de la morale chrétienne. Il est soutenu par la presse féminine (Marie-Claire, Elle). 1968 entraîne une radicalisation du mouvement féministe. Fête des mères (1971). Dans les années 80, le féminisme s'essouffle. Conquêtes législatives et action politique Le modèle de la nouvelle femme, dessiné par les nouvelles classes moyennes, n'est-il pas exclusivement à leur image ? La disparition du secrétariat d'État à la condition féminine (créé en 1974) en 1986 est-il une disparition du sexisme ordinaire ?  Jeunes et vieux dans la société française Structures par âges et générations Désormais, le temps de vie de chacun s'articule en trois moments : l'apprentissage, l'activité et la retraite. Chaque temps

95 96 97 98

100

103

104

117 118 119 120 121

122

s'accompagnant d'un mode de vie, de loisirs spécifiques. Naître et mourir : une existence médicalisée  allongement de la durée de vie (de 60 ans en 1946 à 71 ans en 1982 pour les hommes et de 65 ans en 1946 à 79 ans en 1982 pour les femmes)  augmentation de la consommation médicale  inégalité devant la mort (inégalité sociale) L'enfance Socialisation précoce des enfants à travers le développement de l'enseignement préscolaire. La télévision, la bande dessinée, les jeux nouveaux leur donnent une culture et une ouverture au monde indépendantes du milieu familial. La famille n'est plus lieu d'apprentissage, elle devient une communauté affective et une communauté de loisirs. Des vieux au troisième âge

Chapitre VI : les Français au travail  La population active L'évolution d'ensemble Chaque Français consacre à ...


Similar Free PDFs