II. Le désespoir de la vieille PDF

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comentario de un poema de Baudelaire....

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Carlota Rivas Planchenault. II. Le désespoir de la vieille. Ce poème qu’on va analyser appartienne au recueil Le Spleen de Paris de Baudelaire. Le Spleen de Paris paraît en 1869 à titre posthume parce que Baudelaire meurt en 1867, il était intitulé Pétits poèmes en prose. Comme on peut percevoir grâce au titre du recueil, l’auteur a choisit la prose pour donner vie à ses poèmes. « Le poème en prose éclate la forme de la poésie, le vers et lui préfère la prose pour épouser les formes que peuvent prendre l’irrationalité. En épousant les fluctuations et les états d’âme, le poème en prose fait le choix de suivre la subjectivité jusque dans sa forme », Georges Blin. Georges Blin a dit aussi du poème en prose, qu’il doit contenir l’essence d’un roman en quelques lignes. Cet affirmation du Georges Blin on peut la percevoir dans ce poème parce qu’il raconte la pétite histoire de la vieille dame qui voit un pétit enfant et veut aussi le voir sourir, et rigoler comme tout le monde qui le voyait.

Pour continuer avec cet analyse, on va aborder la modernité du sujet de ce poème. Pour Baudelaire, le style, la forme, doit épouser la psyché, les mouvements de l’âme. La nouveauté du Spleen de Paris se découvre dans l’effort tout poétique de faire épouser le style aux états d’âme de ces figures toutes modernes qui hantent ces pages. Il s’agit de découvrir au sein de la vulgarité, de la trivialité du contemporain, leur part de poésie. La modernité ce comprend ici d’un point de vue culturel comme la contemporanéité. Sujet nouveau par essence puisqu’il s’applique au temps. C’est la raison pour laquelle ce poème est consacré à des figures modernes. Donc on peut considérer avec tous ces affirmations que ce poème est un reflet de la société. Baudelaire s’a inspiré en la société pour faire ce poème, en les choses que ses yeux voient, en histoires qu’autres personnes vivent au cotidien. Aussi on peut imaginer que pour écrire ce poème, Baudelaire a comme inspiration la vie, le cycle de la vie : « ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux. » Ce joli être symbolise la nouvelle vie et la petite vieille la fin de la vie, et la peur du pétit envers la vieille dame, pourrait symboliser la peur que l’Être humain à vieillir et à la mort.

Pour finir avec cet analyse, on veut dire que ce poème nous fait voir un changement de culture et un changement en la mannière de voir la culture et la vie. Les yeux de Baudelaire sont le reflet de la société. Une partie de la société prendre vie à travers de ce poème et nous fait voir la difficulté de la vie au vieillir.

Comme on avait dit dans cet analyse, le sujet s’applique au temps, dans ce cas, le temps de la vie, le cycle de la vie une nouvelle vie qui voit dans ces yeux la fin d’autre vie....