Les provinces Unis - Notes de cours 12 PDF

Title Les provinces Unis - Notes de cours 12
Course Histoire moderne
Institution Université de Lorraine
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Les provinces Unis ...


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CHAPITRE 2/ Les Provinces-Unies.

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Histoire des Pays-Bas des origines à nos jours. Amsterdam XVIIe siècle, Henry Méchoulan.

Introduction : Les Provinces-unies ont définis un état circonscrit dans l’espace. Ça représente une partie des PaysBas, qui se situe de la mer du Nord, et de la côté jusqu’au duché du Luxembourg. Province qui a construit son histoire, son identité. Ils sont unis grâce à la période dite « bourguignonne ». Avec l’accumulation de ces territoires, les princes de la maison de bourgogne dont l’héritage passe à Charles Quint. C’est lui qui rend les Pays-Bas indépendants en 1548-1549. Les Pays-Bas ont le même seigneur mais chaque Provences a ces cultures et sa politique. A partir de 1580, les Pays-Bas sont divisés. Au Sud on parle des Pays-Bas espagnols, sous les Habsbourg. La partie septentrional sont les Provinces-Unies : ensemble des 7 provinces qui se sont révoltées et sont devenues indépendantes. Ils revendiquent leur passé d’appartenance au Pays-Bas : république des 7 provinces-unies des Pays-Bas. Il y a une confusion entre les Provinces-Unies et une des Provinces, la Hollande qui est souvent désigné comme étant le tout, parce qu’elle la plus grande, riche, peuplé. On ne sait pas comment appeler les habitants. On ne peut pas dire hollandais parce que ça n’englobe pas tout le monde, ni néerlandais pour cette époque mais nous dirons cela. Les Pays-Bas sont transformés par la Guerre de Trente ans. Cette zone avec les Pays-Bas du Sud et l’Italie du Nord est la zone la plus urbanisée d’Europe. Elle est motrice à la fois du point de vue économique, mais aussi du point de vue culturelle puisque les Pays-Bas sont un centre d’imprimerie et d’humanisme précoce.

I. Un état original né une scission. A. La révolte contre l’Espagne. En 1556, Philippe II hérite des Pays-Bas lors de l’abdication de Charles Quint. Charles Quint avait un attachement à cette zone s’en était le « seigneur naturel ». Il avait conquit et unifié les Provinces en les mettant hors de l’empire et en garantissant leur intégrité territoriale. C’est à son fils, avec l’héritage espagnol que Charles Quint donne l’héritage plutôt qu’à son frère. A l’arrivée de Philippe II, des facteurs de tensions apparaissent. La première cause de tensions vient des questions confessionnelles. Pour des raisons culturelles et historiques, les Pays-Bas sont favorable aux réformes protestantes. Ces premières communautés protestantes ont été réprimées par Charles Quint, à partir de Philippe les communautés sont assimilées à une persécution. Cette crise religieuse est renforcée par une crise institutionnelle car le Nord des Pays-Bas souffre d’un déficit dans l’encadrement ecclésiastique avec qu’un seul diocèse dans le Nord, alors que le Sud est divisé entre nombreux diocèse. En 1559, les espagnols veulent redécouper les diocèses au Nord, ça sera un des départs des révoltes. Il y a également des raisons « nationaux » car Philippe est perçu comme une domination étrangère hostile. Il a notamment commençait à nommer gouvernante des Pays-Bas Marguerite de Parme→ sa demi-sœur, batarde de Charles Quint. Elle n’a jamais mit les pieds aux Pays-Bas et est mal vu. Les stathouders sont les gouverneurs militaires des Provinces qui s’opposent. Parmi eux : Guillaume de Nassau. En 1556-1557, il y a un premier pas vers la révolte appelé « la révoltes des Gueux. »  Nom qu’aurait donné la gouvernante aux représentants de la noblesse. Au départ, cette révolte n’est pas une sécession et n’est pas une révolte religieuse. C’est petit à petit qu’elle s’est transformée à partir de 1570 qui devient alors une révolte que l’on peut territorialisé. (Nord révolté, Sud fidèle alors qu’avant tout le monde se soulever, le Nord prend petit à petit un caractère calviniste hostile aux espagnols). On a à ce moment une immigration massive de ce qui voudrait devenir calviniste du Sud vers le Nord et inverssement pour les catholiques. On

parle d’une guerre de 80 ans → 1568 à 1648 avec le Traité de Westphalie. Il a cependant des trêves comme la trêve des 12 ans. B. Le modèle républicain confédéral. La réflexion sur la forme politique que prend la révolte s’amorce en 1579. C’est la formation de la ligue d’Utrecht. Une des principales villes des Provinces-Unies → Comprend les 7 provinces du Nord. Il devient claire que cette ligue cherche à s’émanciper. Dans un premier temps, la ligue évalue la possibilité d’avoir Philippe II comme souverain mais d’avoir une autonomie. En 1581 cependant, c’est l’acte de déchéance de Philippe II, ils proclament que Philippe II n’est plus le souverain de ces 7 provinces. Il faut se trouver un autre souverain. Le modèle républicain n’est pas encore là, ça ne sera qu’à l’échec d’avoir trouver un souverain. Au départ ils cherchent un souverain étranger. Il pense soit à la reine d’Angleterre, qui refuse ou soit le Duc d’Anjou, plus jeune frère de Charles III. Ils finissent par dire que ça doit être Guillaume de Nassau, mais en 1584 il se fait assassiner. Ils ont une incapacité à trouver un souverain alors ils adoptent le modèle républicain. La souveraineté est confiée de façon collective aux états généraux. Ils sont proclamés souverain. Pour leur écrire : « leur hautes puissance, les seigneurs des états généraux ». Cela est reconnu dans les faits en 1609 lorsque le roi d’Espagne Philippe III signe une trêve. Et définitivement en 1648 avec le traité de Westphalie. Il y a 7 provinces et 3 niveaux de prise de décision. Le niveau le plus important est celui de la Provinces qui jouit d’une grande autonomie. Chacune suit ses propres institutions avec ses propres états provinciaux, qui représentent la noblesse et les villes. Dans certaine provinces, les paysans sont représentés. Chaque provinces a un stathouder (gouverneur militaire), également un Pensionnaire= Représentant civils, organise la tenue des états provinciaux. Les différentes provinces ont une autonomie quasiment totale. Ils ont leurs propres lois, fiscalités, justices. C’est une forme de souveraineté. Au niveau inférieur, les provinces doivent compter avec les villes puisque chaque ville à son propre Magistrat (ensemble des hommes qui ont une charge municipale), sa propre justice, il a aussi une tradition d’autonomie locale. Au niveau confédéral, supérieur, la Généralité s’occupe de ce niveau. Les états généraux sont les souverains sélectifs des Provinces-Unies. Ils sont composés de chacun des 7 états provinciaux. Ils siègent à la Haye et siège de façon permanente depuis 1593. Chaque province à une voix= 7. Pour les décisions les plus importantes, il faut l’unanimité. Cette structure fait que les députés sont en perpétuels voyage. Le conseil d’état est composé d’un délégué par province et d’un stathouder par province. Il a aussi le grand pensionnaire, homme secrétaire des états généraux, nommé à vie et qui incarne la stabilité de l’état : Johan de Witt. Il n’y a pas de stathouder unifié, des provinces unies. Parfois plusieurs provinces peuvent avoir le même stathouders, mais pas de l’ensemble du territoire. Il y a trois grandes attributions au niveau confédéral : -

Attribution interne : régler les conflits entre les provinces. Attribution militaire : guerre avec les étrangers. Solidarité militaire entre les 7 provinces. Diplomatie qui ne peut pas être indépendante.

Il y a aussi les territoires conquis : pays de la Généralité. Territoire qui ne sont pas divisés en Provinces, qui ont été conquis pendant les guerres, catholique majoritairement et qui sont administré directement par les états généraux. Comme Breda et Maastricht. C. Factions et tensions. Beaucoup de risque de blocage. Lors des périodes de fortes tensions, il y a des factions dû : -

A la politique étrangère. A la religion. Division interne au calvinisme, division sur l’attitude face aux minorités religieuses. L’hégémonie de la Hollande = Province la plus riche, urbanisée, plus influente aux états généraux. Ce qui explique qu’en 1651, lors de l’Assemblée générale de La Haye, les députés refusent une fédéralisation de l’état= les décisions pourraient se prendre à la majorité et non à l’unanimité. = crainte de la Hollande.

Deux principaux partis s’opposent. Le premier est généralement soutenu par les grands Pensionnaire : le parti républicain, généralement puissant, tolérant au point de vue religieux, insiste sur l’équilibre nécessaire dans les états généraux. Le second est le parti orangiste. Généralement dirigé par le stathouder de la maison d’Orange, d’avantage tourné vers une centralisation du pouvoir, tendance monarchisante. A le soutient de la noblesse, d’avantage belliciste, et n’est pas tolérant vis-à-vis des minorités religieuses. On peut définir trois grandes période dans cette lutte/ 1609-1648= domination des Orangistes avec à leur tête Maurice de Nassau, stathouder jusqu’en 1625 à sa mort. Période où les calvinistes s’imposent face à leurs opposants, période au cours de laquelle Maurice de Nassau élimine son principal rival : Johan van Oldenbarnevelt → A la tête du parti républicain. Il fait condamner son adversaire et fait exécuter le pensionnaire en place public. Son fils Frédéric-Henri de Nassau va faire une forme de monarchisation. Son fils à lui, Guillaume II stathouder de Hollande et Zélande. Il veut aller plus loin que son père, veut une monarchie et finit tué. 2e période : 1648-1672 : le fils de Guillaume II, Guillaume III a alors -8 jours à la mort de son père. Il n’y a pas de stathouder, l’éducation est placé sous la tutelle des états généraux et s’ouvre une période favorable aux républicains. Le Grand Pensionnaire Johan de Witt a sa grande période. Il y a une pacification avec les états extérieurs, ce qui fait basculer les choses c’est l’invasion française en 1672. Johan de Witt est accusé de ne rien avoir fait pour préparer à cette invasion. Guillaume III est alors appelé à devenir stathouder, rétablissement vu indispensable. Guillaume III stoppe l’invasion française. Il s’impose comme un héro militaire. Il s’impose en 1674 et rend le stathoudérat officiellement héréditaire, ce qui bloque l’évolution vers la monarchie c’est qu’il a un vrai titre royale en Angleterre et préfère ne pas imposer ce titre aux Pays-Bas pour une meilleure approche des habitants. Il meurt sans enfants en 1702. Politiquement, c’est l’orangisme qui a gagné, mais il n’y a plus de stathouder. II. « L’âge d’or » néerlandais. A. Une république de marchands. Il y a des originalités comme une forte tradition urbaine. Différente d’une province à l’autre, dans la province de Hollande il y a plus d’un habitant sur deux vit en ville en Hollande au XVIIe siècle. Cette urbanisation a des effets sur la structure économique et sociale. L’essentiel est pour le commerce maritime. La population d’Amsterdam au XVe siècle c’est 3.000 habitants, en 1500 c’est 12.000, en 1600 c’est 60.000 et en 1700 c’est 200.000. Cela est soutenu par des structures économiques comme le système de polder. Travaille de lutte contre la mer avec des digues, les Provinces-Unies gagnent du terrain. Ainsi, la ville d’Amsterdam a la mer, les canaux comme un élément structurel. Le XVIIe siècle est le siècle d’or néerlandais, de l’étranger c’est vu comme un miracle, la propagande insiste est dit que les Provinces-Unies sont le nouveau peuple élu. Il y a de cela la domination des mers, avec un rôle de commerce de redistribution entre les produits venus de la baltique, du sud et des colonies. Ça ne se limite pas à cela, il y a aussi le marché intérieur grâce à l’urbanisation et la croissance démographique. A la fin du XVIe siècle, les espagnols ont fermé L’Escaut. Ça a pourtant permit la prospérité des ports qui deviennent des carrefours commerciaux incontournable. Amsterdam est majeur, en 1609 il y a l’ouverture de la bourse d’Amsterdam. Il y a pourtant un mouvement de panique, et beaucoup afflux pour échanger les titres avec de la monnaie métallique→ La banque a pu tout échanger. = force. En 1637, il y a le premier krach boursier de l’histoire, c’est l’affaire de la tulipe. B. L’aventure coloniale. Il est l’histoire d’une contestation d’un monopole espagnol et surtout portugais. A la fin du XVIe siècle, les néerlandais constate l’affaiblissement de l’empire colonial portugais et tente de le concurrencer sur place. Ils s’aperçoivent que les bénéfices sont meilleurs que les bénéfices liés au commerce européen. Ils profitent de l’expérience des explorateurs qui ont travaillé pour les portugais. Notamment Jan Huyghen van Linschoten. Il connait les techniques financière, des comptoirs coloniaux. La grande innovation néerlandaise c’est la création

du monopole d’état. Ils vont organiser le commerce, en 1602 c’est la création de la VOC, c’est le commerce avec les Indes dites orientales. C’est un acteur central en contrôlant la route des épices, à l’origine de la fondation de Batavia. Qui aujourd’hui est la ville de Djakarta. Pour les Indes occidentales, la WIC est plus compliqué. Ne parvient pas à ce maintenir, la nouvelle Amsterdam est perdu, elle devient New-York. Ils veulent se garantir des comptoirs, centres commerciaux implantés. C. Le rayonnement culturel. Héritage d’au moins deux siècles. Au XVe, les Pays-Bas compte des artistes majeurs qui révolutionnent certaine technique comme la peinture à l’huile : Jan van Eyck. Les époux Arnolfini. Il y a les primitifs flamands avec des sources majeurs. Pieter Bruegel fait rentrer la peinture dans les intérieurs. C’est aussi la naissance de la nature morte qu’il incarne. Au XVIIe siècle, le marché de l’art se trouve dans une période de transition. Dans un premier temps, il a été difficile de vivre le choc de la fin des commandes ecclésiastique pour les artistes. Ils ont moins de travail. En contrepartie, ils bénéficient de commandent de plus en plus importante de la part de la bourgeoisie qui s’enrichies grâce au commerce. Le marché de l’art né, relativement autonome et garantie la survie d’atelier nombreux. Il y a des peintres très connus, il y a des tableaux dans tous les intérieurs. Il y a différent niveau de coque des artistes, de pénétration dans les maisons. Johannes Vermeer, sera d’avantage côté après sa mort. Rembrandt Harmenszoon van Rjin. Ils font le choix fréquent de sujet du quotidien, avec souvent une scène d’intérieure qui propage l’image de maison propre et rangé comme la laitière de Vermeer. Il y a aussi une perfectonnalisation du portrait comme La jeune fille à la perle. On peut percevoir certaine affluence italienne maniérisme. On a par exemple la multiplication de sujet biblique comme l’adoration. Les paysages se perfectionnent également. Dans ces paysages, on a un rapport particulier à la mer, ce qui invite à peindre les batailles navales. La nature morte prend de l’ampleur. Il y a la nature qui vise à rappeler sa condition mortel à l’homme est les vanités. Il y a aussi celle qui montre la richesse, comme la Nature morte luxueuse. Il n’y a pas que du privé. Il y a des commandes publiques des magistrats qui font leur portrait, et des commandes publics qui ont des dimensions civiques. On a également des commandes religieuses, c’est l’état qui les commande pour décorer les salles de réunions et les églises comme la descente de Croix. Le dernier aspect est l’insistance sur la dimension civique de la défense. Visant à montrer que els Néerlandais se défendent seul. La compagnie de Frans Banning. Au niveau culturel, les néerlandais sont marqués par certain aspect tel que la tranquillité, la discipline et la propreté. Ces voyageurs étrangers notent l’avance des néerlandais dans le domaine culturel comme l’alphabétisation. Ils ont aussi l’accès à la liberté d’imprimer.  Bonheur des imprimeurs qui profitent de l’interdiction d’imprimer dans les autres pays. III. Un modèle confessionnel particulier. A. La liberté de conscience. Héritage clair de l’humanisme néerlandais. Défendu déjà par Erasme au début du XVIe siècle. On peut dire que l’attachement à la liberté de conscience est dû à la mémoire des persécutions, notamment espagnol. Pour ne pas reproduire la persécution. Elle n’est pas informelle. Elle est écrite dans l’article XIII dans l’union d’Utrecht en 1579 et qui dit que personne ne pourra l’abolir. Mais elle est vue comme purement individuelle est limitée à la sphère privée. La conséquence de cette liberté de conscience amène à être un refuge pour de nombreux individus. Concerne notamment des intellectuels qui en plus peuvent être publiés. C’est aux Provinces-Unies que né le concept politique de tolérance. L’auteur Pierre Bayle en est le précurseur. Un des premiers penseurs de la tolérance du point de vue positif. B. Une Eglise publique. Eglise calviniste, dont le texte est le catéchisme d’Heidelberg. Elles sont organisées sur un modèle synodal, avec plusieurs niveaux. Le premier est l’église locale qui se gouverne de façon assez indépendantes et sont gouvernées par un consistoire : composé des pasteurs et des laïcs élus. Ils ont pour mission d’assister les pauvres et contrôler les mœurs. Elles sont regroupées dans des synodes provinciaux et synodes nationaux.

La formation des pasteurs est assurée par des académies. Les universités sont des universités tenues par l’église. Il y en a 3, celle de Leyde, celle de Groningue et d’Utrecht. Ça créer une situation ambivalente. Officiellement, l’état des Provinces -Unies garantie l’accès à tout le monde aux actes civils. Mais il n’y a que l’église calviniste alors tout le monde y va. Pour être magistrat il faut être pourtant calviniste par exemple. On n’oblige par à y être au nom des libertés de conscience cependant. Cette ambigüité se perçoit dans la construction spatiale comme l’église de Westlerk. L’église calviniste est divisée. De 1605 à 1619 → deux courants s’opposent à l’intérieur du calvinisme. La première est la conception de Jacobus Arminius : les Arminiens disent que même s’il y a des saluts et des condamner, Jésus est mort pour tout le monde. A l’opposé les Gomariens, de Franciscus Gomarus disent qu’avant même la conception du monde Dieu à choisit les élus et les damnés. Les orangistes sont plus gomariens, les républicains arminiens. Ça créé des tensions. Le synode de Dordrecht donne la vérité aux gomariens, et des églises arminiennes se créée clandestinement. C. Des minorités tolérées dans le cadre privé. Il existe une tolérance passive de fait vis-à-vis des minorités confessionnelles. Il y a les arminiens, les luthériens, les anabaptistes, les juifs et puis les catholiques. Il y a une partie ne sont pas confessionnalisé. Les catholiques sont considérés comme agents de l’Espagne, et agents de la France plus tard. Ils développent des stratégies avec la création de paroisse informelle et la construction d’église cachée : intérieur privée transformé en Eglise. Ons’Lieve Heer op Solder. Ces catholiques sont nombreux dans certaines villes comme Utrecht où ils représentent 30% de la civilisation. Dans les pays de la généralité, ils sont même majoritaires.

CONCLUSION : Les Provinces-Unies sont un état important à l’échelle européenne voir nationale malgré ces faibles dimensions. Mais grâce à ses tactiques originales et inconnues en Europe ils parviennent à réussir....


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