LES Raisins DE LA Colere PDF

Title LES Raisins DE LA Colere
Course Histoire-géographie
Institution Lycée Général
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Summary

Résumé très détailler des raisins de la colère ainsi que du film. ...


Description

LES RAISINS DE LA COLERE DE JOHN FORD

INTR INTRODUCTION ODUCTION

En 1936, John Steinbeck, à la suite d’un séjour dans une exploitation écrira le roman « Les raisins de la colère ». Ce roman qui lui vaudra le prix Pulitzer en 1940, il reçoit également le prix Nobel de littérature en 1962 pour l'ensemble de son œuvre. Steinbeck est l'un des romanciers les plus importants du 20ème siècle, il passe toute son enfance en Californie. Nous retrouverons chez lui un grand attachement à sa terre natale où se dérouleront nombres de ses œuvres. Très jeune, il travaille comme garçon de ferme et apprend à y connaître le monde agricole, cela lui servira par la suite. Cette œuvre, montre les conséquences de la disette et de la grande dépression sur les familles de paysans de l'Est des Etats Unis et de leur exode vers la Californie, terre promise de l'époque. Steinbeck nous parle de la catastrophe économique et sociale qui s'est abattue sur les agriculteurs américains lors de la crise de 1929. La crise économique de 1929 n’épargne pas le monde rural : l’effondrement des prix de vente des produits agricoles ruine de nombreux agriculteurs américains, contraints à abandonner leurs terres. C’est la misère de ces petits agriculteurs des grandes plaines (Oklahoma...) que le romancier J. Steinbeck décrit en 1939 dans son roman. Il illustre ces faits à travers une famille de paysans d'Oklahoma, Les Joad. Tom Joad (le héros), après avoir purgé sa peine pour homicide de légitime défense retourne dans la ferme familiale. Tout juste arrivé, comme beaucoup d'autres paysans de l'Est, il se voit expulsé de ses terres avec sa famille par la banque. Le roman retrace l'histoire d'une famille pauvre de les Joad, obligés de quitter l'Oklahoma et leurs terres à cause des conditions climatiques désastreuses, du crash boursier et de l’industrialisation de l’agriculture. Les Joad, désespérée et sans abri, qui se mettent en route à bord d'un vieux camion chargé du peu qu'elle possède pour chercher un travail qui lui permettra de retrouver une vie paisible. Ils entreprennent alors un périple sur la route 66 vers la Californie, dans le but de trouver du travail. Tous leurs espoirs sont tournés vers la Californie où ils pensent trouver la fortune et une vie sereine mais tout cela ne se passa pas comme prévu. Le voyage entraine la mort des grands parents et la famille Joad, comme beaucoup d'autres victimes de la grande dépression, subissent l'exploitation capitaliste et ils se voient obligés de vivre dans des camps de réfugiés. Là-bas, Tom Joad retrouve son compagnon Casey qui se fera tuer par les miliciens d'un fermier pour avoir lutté contre l'oppression par la grève. Dans cette lutte, Tom en sortira vivant mais sera marqué au visage et tuera l'un des miliciens. Après ce drame, il devra alors prendre la fuite avec sa famille. Les Joad trouveront refuge provisoirement dans un camp gouvernemental, idyllique presque utopique et représentatif du régime rooseveltien. Joad devra partir étant traqué par la police pour meurtre, tandis que le reste de sa famille reprendra la route pour trouver du travail. Une grande partie du livre est consacrée au voyage, aux rencontres avec d'autres migrants et à l'aide qu'ils s'apportent. Mais le voyage est difficile. Certains meurent d'épuisement, d'autres quittent le voyage. Les plus forts restent ensemble. Dès 1940, le réalisateur John Ford, déjà célèbre pour ses nombreux westerns (La Chevauchée fantastique en 1939...), adapte le roman de Steinbeck dans le film du même nom que l'œuvre initiale. Dans son film Ford montrera le rapport de l'homme à la terre et tournera avec ses acteurs fétiches, Henri Fonda dans le rôle principal de Tom Joad et John Carradine dans le rôle de

Casey. Le fil conducteur de ce film est le trajet de la camionnette des Joad qui lie et délie les personnages entre eux. Ford construit alors son intrigue sur l'opposition de groupes d'hommes. Il montre dans sa mise en scène ce rapport à la terre et l'insertion de l'homme dans l'espace et le paysage. A l'aide de cette camionnette et de la route qui sont les piliers du film. Ford montre le voyage parcouru par ces pionniers qui se prenaient pour le peuple hébreu marchant vers leur terre promise, a la manière des Joad. Le réalisateur s'appuie sur la Bible qu'il transpose sur le mythe fondateur de l'Amérique dans le montage de son film. Son film ne soulève pourtant pas un problème d'ordre religieux ou sociétal mais un vrai problème économique. Ce film qui renferme tout le drame, l’émotion, l’action, les larmes et les rires du roman qui a remué toute une nation. John Ford a gardé l'esprit social et mythique du roman. Comme souvent, Ford nous raconte l’errance d'une communauté poussée par obligation. Le destin pèse sur la famille Joad, comme sur l'Amérique, comme sur l'humanité. Ce qui rend ce film extraordinaire. Nous étudierons ici le film « Les raisins de la colère » de John Ford que nous avons vu en cours, ainsi nous allons commencer par voir en quoi le film est un témoignage de son époque et enfin nous terminerons par montrer en quoi le film est aussi un discours sur une époque.

Le film, témoignage de son époque

Le film « Les Raisins de la colère » s’inscrit dans un contexte historique et social bien particulier, celui de l’Amérique des années trente, décennie de ce que l’on appelle la Grande Dépression aux Etats–Unis. Elle démarre en 1929, le 24 octobre 1929, autrement appelé le jeudi noir, les Etats-Unis connaissent un crash boursier d'envergure international. On assiste à la chute de la bourse du Wall Street Center à New York. Entraînant la faillite des banques puis de nombreuses entreprises. Le chômage explose. Démarre alors la crise économique la plus importante de l'histoire des Etats Unis, plus communément appelée la Grande Dépression. Cette crise perdurera sur une décennie soit de 1929 à 1939. En 1932, un tiers de la population est au chômage et les plus démunis afflux sur les routes de l'Est en quête de travail. Au début des années 1930, après quatre ans d’incarcération dans un pénitencier de l’Oklahoma, Tom Joad (Henry Fonda) s’apprête à rejoindre la ferme familiale. Les USA connaissent alors une crise économique majeure pendant laquelle les banques s’approprient les terres des paysans endettés. Comme tant d’autres, le clan Joad prend la route de la Californie, cette terre promise pour tous les délaissés de l’Amérique. Mais le chemin est long et l’Eldorado n’est qu’une belle utopie. Il faut se battre pour survivre et tenter d’y croire encore... Comme nous l’avons appris durant cette crise se sont les agriculteurs, les paysans qui sont attaqués et les banques deviennent alors propriétaires des terres. Dans les premières images du film, on y voit la représentation de la situation des paysans chassés de leur terre et des tracteurs qui détruisent en quelques minutes leurs maisons qui symbolisent toute une vie de labeur. Les Joad, une famille de fermiers, vivent précisément ces difficultés et sont contraints de migrer d’Oklahoma pour chercher du travail car ils ont été expulsés de leurs terres par la banque. L’expulsion permet aux banques endettées de rembourser leurs dettes et à l’Etat américain de mettre en place des grands travaux (construction de routes...) pour faire redémarrer l’économie. Ces tracteurs sont représentatifs des banques qui prennent les terres agricoles à leurs propriétaires ruinés. Cet exode est aussi dû pour beaucoup à la sécheresse, à l’érosion des terres et au « Dust bowl », série de tempêtes de poussière, véritable catastrophe écologique qui a touché les grandes plaines de Etats-Unis pendant près d’une décennie. Ainsi, le film raconte le périple des Joad qui quittent leur terre natale pour chercher un emploi. Comme des milliers de fermiers, ils vont arpenter la Route 66 pour regagner la Californie. La route 66 est la route-mère, la route de la fuite. Ford montre également à plusieurs reprises que dans les villes tout est payant avec des affiches a l'entrée des villes qui indique le prix de l'eau, des campings... Il illustre également le mépris des citadins à l’égard des ruraux avec les voitures modernes qui klaxonnent et bousculent le pauvre camion des Joad. Cette scène illustre la fuite et le refus du spectacle de la misère par les citadins. « Les raisins de la colère » montrent aussi le passage d’une civilisation vers un monde moderne qui s’avère être effrayant et barbare et qui laissent les plus démunis sur le bas côté. John Ford crée une opposition entre le monde citadin et celui de la campagne qui n’est pas juste au regard de l’histoire : dans chacune des scènes qui voient la famille Joad entrer en ville, Ford dépeint un monde riche et renfermé qui rejette et met en exergue la pauvreté des Joad et par extension celle du monde rural. La transformation d’une civilisation qui quitte un monde de tradition pour s’inscrire dans celui de la modernité.

Derrière l’injustice des populations touchées par la crise, le réalisateur dénonce également l'éclatement de l'unité familiale et un conflit générationnel sous jacent que la famille Joad représente. Les Raisins de la Colère traite de questions sociales et politiques, mais aussi de l’importance du groupe et de l’individu au sein du groupe. Il traite aussi de l’attachement à la terre et des difficultés de l’exil. On voit les grands parents de Tom succomber à cause de la dureté du voyage. Ford montre l’éclatement de la cellule familiale qui ne résiste pas à la crise, à la misère. La famille Joad est au début du film une famille soudée. Au fur et à mesure du voyage la famille Joad s’étiole perdant plusieurs de ses membres : le grand-père meurt suite à une crise cardiaque juste après avoir quitté la ferme, puis la grand-mère décède dans le camion et le mari Rosasharn s’enfuit et l’abandonne malgré sa grossesse. Avec leur disparition la flamme et l'attachement à leur terre va s’éteindre mais aussi le souvenir de leur maison construite par eux et qui a vu naitre quatre générations. Seuls les petits Joad, Ruthy et Winfield, perçoivent le voyage comme une nouvelle aventure pleine de découvertes. Pour eux l’avancée vers ce monde plus moderne est source de bonheur. L’aspect moral est ici mis en évidence. Ses thèmes de prédilection que sont l’homme face à l’injustice, l’éclatement de la famille ou encore le conflit des générations devant la modernisation de la société. Les petits Joad contrairement à leurs parents, grands-parents et arrières grands parents sont heureux d'aller en Californie et d'aller à la découverte du nouveau monde. Leur jeunesse fait qu'ils ne sont pas animés par la nostalgie d'une terre sur laquelle ils ont construit leur vie. Au contraire, ils sont heureux et curieux de découvrir de nouvelles choses. La scène la plus significative de leur enthousiasme et probablement celle où ils découvrent des lavabos. Cette découverte les fascine et symbolise ce monde tourné vers le futur et la modernité. Leur vision est en total opposition avec celle de leurs parents qui sont constamment dans la méfiance et la crainte. Dans le film, tout comme dans le roman, ce contexte de crise économique et sociale est très bien dépeint, notamment à travers la scène de l’expulsion de la famille Graves qui se fait chasser de ses propres terres par une grande société qui les a rachetées pour y développer une agriculture mécanisée, symbole du capitalisme.

Schéma de la crise de 1929 qui est représentée dans le film

Il n’est ici question de persécution ni communautaire ni religieuse, mais économique dont les personnages sont d’abord les témoins. Tom est celui qui nous introduit dans l’histoire, qui sert de relais entre le sujet traité et le spectateur, qui permet à ce dernier de découvrir par ses yeux l’ampleur du désastre économique, social et humain. À l’entame du film, Tom, qui renaît à la vie libre, et le spectateur, sont tous deux placés au même niveau d’ignorance. Comme le héros, le spectateur va voir. Les deux assistent simultanément au triste spectacle de l’expulsion, qui par les mots de Muley Graves. La séquence, qui passe par la mise en scène de la rencontre et de la peur, baigne dans une obscurité contrastant violemment avec les images lumineuses du récit au passé de Muley. Les ténèbres entourant ce dernier sont celles d’un peuple déchu et exclu du monde des vivants, mort socialement. La rencontre avec Muley, fondatrice du cheminement moral et intellectuel de Tom, est la première d’une série qui va éclairer le héros, allant de la sourde révolte un peu vaine au geste plus constructif de l’engagement pour l’évolution des mentalités. Les Raisins de la colère est considéré par la critique comme un chef-d’œuvre d’humanisme. Ce film aux valeurs universelles n’est pas le simple témoignage d’une crise sociale et économique, il va bien au-delà. Les Raisins de la Colère traite de questions sociales et politiques, mais aussi de l’importance du groupe et de l’individu au sein du groupe. Il traite aussi de l’attachement à la terre et des difficultés de l’exil. Dans le film, tout comme dans le roman, ce contexte de crise économique et sociale est très bien dépeint, notamment à travers la scène de l’expulsion de la famille Graves qui se fait chasser de ses propres terres par une grande société qui les a rachetées pour y développer une agriculture mécanisée, symbole du capitalisme.

Grand film social, Les Raisins de la colère l'est avant tout parce qu'il met davantage en scène des groupes que des individus. Au groupe ancestralement défini qu'est la famille rurale, dont il montre la décomposition sous les coups de la crise et de l'économie moderne, il substitue d'autres groupes, fondés davantage sur l'appartenance sociale. Au groupe des fermiers s'opposent les exploitants, les possédants. Ceux-ci sont présents de deux manières filmiques : d'abord comme individus, avec les hommes du tracteur, les hommes qui viennent embaucher dans des grosses voitures, l'automobiliste riche qui les envoie dans un ranch ressemblant à une prison...

Graphique qui montre le Krach boursier de 1929

Durant cette crise de 1929 il y aura une sorte de lancement de New deal ce que nous allons voir dans un second temps.

Le film, discour discours s sur une époque Le contexte du New Deal et de l'époque rooseveltienne n'a pas effacé le souvenir douloureux de la dépression et de ses conséquences quand Ford entreprend de tourner son film en 1939. Nous allons commencer par donner une définition du New deal (Nouvelle donne) qui est la suivante nom donné aux réformes mises en œuvre par Roosevelt à partir de 1933 qui consacrèrent une certaine intervention de l’Etat dans les domaines économique et social. Le président Hoover ne trouve pas de vraie parade à cette crise, il faut attendre le président Roosevelt et son fameux New Deal pour que l’économie redémarre. A partir de 1933, pour faire face à la crise, le président américain Roosevelt, met en place une politique interventionniste (le New deal) où l’Etat finance de grands chantiers pour relancer l’économie et réduire le chômage. Ceci est montré dans le film avec le camp gouvernemental propre et accueillant qui s’oppose aux « camps-prisons » des gros propriétaires terriens protégés par la complicité d’une police répressive. La crise s’achève en 1940. Quant à son aspiration politique, somme toute parasitée à la fin par le prêche à tonalité mystique de Tom à sa mère, elle est à comprendre en référence au New Deal du président Roosevelt. Reflet de sa politique du « housing », le camp gouvernemental, avec ses sanitaires rutilants (de simples toilettes dans le roman) et sa gestion en comités, s’oppose aux autres camps prisons. À l’heure où Roosevelt s’apprête à briguer un troisième mandat consécutif (nous sommes fin 1939 en pleine période électorale), Ford se positionne clairement en faveur de sa propagande. Et une fois encore, c’est la mise en scène qui se charge de dire symboliquement l’opposition entre les capitalistes qui s’introduisent sournoisement dans le bal pour saper l’union et le groupe de réfugiés qui absorbe sans violence les provocateurs hostiles. Binarité des forces : solidarité et défense non-violente d’une part, individualisme et violence meurtrière d’autre part (cf. la femme blessée par un policier zélé en 13). L’esprit du New Deal Ce chef-d’œuvre n’est pas seulement un apologue sur la déshumanisation et l’aliénation de la société industrielle taylorisée. Il est aussi un tableau de la misère et du chômage qui sévissent dans les centres urbains. Nombreux sont les plans où l’on voit le héros arpenter des paysages d’usines délabrées et fermées et où des masses de chômeurs se présentent à l’embauche. Certes, si les films sur la crise ne sont pas légion, l’esprit du New Deal souffle sur un certain nombre d’entre eux qui ont été réalisés durant les années 1930. « Nous sommes le peuple qui vit. On ne peut pas nous effacer. On ne peut pas nous battre. Nous irons toujours de l'avant, Pa, parce que nous sommes le peuple » C'est sur ces mots que se termine le film, un film qui rappelle, alors même que Franklin D. Roosevelt vient de bénéficier d'un nouveau mandat présidentiel, que tous les Américains ne vivent pas dans un rêve doré. La spéculation des entreprises et des banques ayant jeté sur les routes des fermiers désormais sans terre.

Conc Conclusi lusi lusion on

Le film « les raisins de la colère », est alors le premier Road trip et s’inscrit également dans le genre du western mais aussi du documentaire et reste dans la continuité des films de Chaplin qui dénoncent un fait dramatique. Il est remarquable que ces deux derniers films prennent le monde rural pour cadre de la dépression alors que celle-ci a d’abord été industrielle, comme l’expose si bien Les Temps modernes de Charles Chaplin (1936). Ce film montre bien le mécanisme de la crise à travers les mésaventures de la famille Joad. Le discours social du film pourrait se résumer à cette maxime : l’argent et la loi unis pour exploiter le peuple. Au niveau politique Ford fait référence au New Deal du président Roosevelt qu’il présente comme une solution possible, plus humaine face à l’individualisme et l’inhumanité qu’il voit dans le capitalisme. Cette famille devient l'emblème de tous ceux qui furent à la dérive dans l'Amérique en crise des années 1930. Elle incarne une vision à la fois symbolique et documentaire d'un monde où l'expérience individuelle est englobée dans un complexe de forces qui la dépassent et que la volonté humaine ne peut modifier. Parfaitement emblématique de leur destin, leur entrée est filmée de leur point de vue ce qui facilite l’identification du spectateur aux personnages. Ford, qui fonde une bonne partie de sa mise en scène sur le regard, fait de ses personnages les témoins d’une réalité sordide qu’ils découvrent en même temps que le spectateur. L’image est alors double. Fictionnelle et subjective, elle donne aux Joad l’occasion de se voir eux-mêmes ; documentaire et objective, elle offre au spectateur un regard sur une page d’histoire des États-Unis. Aussi les deux visions se fondent-elles en une seule quand on sait que cette image de l’entrée dans le camp n’est jamais que la projection dans le temps de ce que les Joad seront plus tard. À cet instant, les Joad apparaissent comme les spectateurs d’un reportage sur leur propre vie. L’effet de réalisme est d’ailleurs saisissant. À tel point que la fiction, reflet du réel, finira par se substituer à elle dans l’imagerie collective, et des photogrammes du film seront souvent utilisés dans les manuels scolaires pour illustrer la crise de 1929 et ses conséquences. Les deux discours de fin, celui de Tom, sacrificiel, et celui de sa mère, hymne au peuple véhiculent une idéologie marxiste d'une force qui étonne encore aujourd'hui.

BIBLIOGRAPHIE

https://www.histoire-image.org/etudes/crise-1929-etats-unis-allemagne La crise de 1929 aux Etats-Unis et en Allemagne http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/01/09/1878337_les-raisins-de-lacolere-the-grapes-of-wrath-john-steinbeck-john-ford.html Il résume le livre des raisins de la colère http://www.allocine.fr/film/fichefilm-1268/critiques/spectateurs/ http://www.dvdclassik.com/critique/les-raisins-de-la-colere-ford Critique du film https://www.ac-caen.fr/dsden61/ress/culture/cinem...


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