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TD de Sophie RAUX - Histoire de la création de musées en france et en europe ...

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L’étude du ou des musées et non pas la pratique qui lest la muséographie. L’étude du musée, def de Georges Henri Rivière en 1981 : la science du musée ; elle en étudie l’histoire et le rôle dans la société, les formes spécifiques des recherches, ls formes d’animation, de diffusion, d’orga et de fctment d’archi neuve ou muséalisée (on transforme en musée), les sites reçurent ou choisis, la typo et la déontologie. On peut y ajouter tout ce qui fait partie de la théorisation et de la réflexion muséale qui oriente davantage dans le champ des sciences sociales. « Muséum studios ». Questions que posent les musées. Expressions de nvlles muséologies : concept des années 1980 qui s’et internationalisé et qui se concentre sur la dimension sociale du musée et du public + interdisciplinarités. Et renouvellement de ses modes d’expression. « Nouveaux musées » qui apparaissent dans les 80 et qui sont conçu en opposition au modèle classique (éco musées, musées de sociétés, musées de techniques ?) -

Séance 1 à 5 : ok Séance 6 : 24 octobre absence Séance 7 : 7 novembre absence Reportés : s6 le 14 novembre et s7 21 nov. Séance 8 + 9 : 28 novembre absence Reporté le S8 : 12 décembre DEVOIR Séance 9 : 19 décembre : Séance 10 musée des moulages ?

Travaux : exposés (par 1 ou 2) environ 30 minutes OU compte rendus d’exposition -

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3oct : Ctr des collections : saisis et spoliation : revendication de la Grèce pour la frise du Parthénon, rapporté en uk par l’ambassadeur uk en 1801 sous prétexte que la Grèce n’a pas les ressources de conservation. Gd débat depuis lg temps. Sortir les œuvres se leur contexte déjà d’actualité au 19e. Unesco soutient la Grèce (qu’est-ce que l’Unesco ?). Georges Clooney qui prend parti. Surtout que le musée est sur place depuis 2009 ce qui réduit l’argument des uk Führer muséum : 1940 armistice avec les pays annexées (pays bas, Belgique fr) et en vertu de la convention au moment de l’armistice ; réquisitions puisque ces pays doivent 400 millions de francs par jours.au départ on cible les juifs gds collectionneurs puis on entend. Pose des questions : des musées ont protégés des œuvres de collections de Richfield par ex, on tente de cacher ou on coopère. Le führer muséum est ctr (mais jamais ouvert) on voulait ctr un usée en réponse à l’art dégénéré condamné par les nazis et les pv de restitution que cela pose ajd. 10 oct. : expo temporaire : quand on commence ? 10 oct. : Expo des primitifs français à paris en 1901 : 1ère expo du genre très tendu par un discours nationaliste. // primitifs flamands en Belgique. Quel discours sur ses expos Magicien de la terre 1989 hall de la villette, conservateur jean Huber martin : choc car art contemplons ouverte a des aristés et créateur qui n’étaient pas occidentaux 1 ère fois que cela arrive dans un musée contempo 17 oct. : ateliers d’artistes et maisons d’artistes transformés en musée : quel imaginaire on y projette ? mise en scène, quelle image de l’artiste on nous donne, la part de mythe ? Rubenshuis Anvers Période room : réfléchir au contexte d’exposition 14 nov. : fction éducative des musées a l’intention des artistes tt d’abord

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Création du musée des moulages : intérêt nv. Celui de Lyon est avec niv Lyon 2moulages en plâtres Musée et le faux : cas de Han van Mégère : que ce passe-t-il lorsqu’un usée à un faux ? à l’occasion d’un procès d’un intermédiaire a l’acquisition de la peinture. 21 nov. : musée et collections en ligne. Regard critique. Présenter des collections intéressantes. Est-ce que cela détourne les gens des originaux ?? Dispositifs numériques et médiation : qu’est ce qui se fait ou se fera de manière innovante ? 12 déc. : redynamiser un territoire avec de nvx musées : Musée Guggenheim à Bilbao Le Louvre Lens : marche pas ? collectons ? réception ? architecte ? discours tenus par la tutelle ? + Louvre a Aboudabien

Exposition Louvre : 16 octobre : dessiner en plein air, variation du dessin sur nature dans la première moitié du 19e

Exposé : vrai intro avec problématique exposée qui doit accrocher toute suite : susciter l’intérêt 2 / 3 / 4 parties il faut que ce soit cohérant avec des liaisons « bon bin on va passer à » il faut être plus fin. Etre professionnel et pas familier. Conclu comme synthèse et ouvre éventuellement la perspective pour prolonger la perception. Accompagné d’une biblio : quelques titres pas trop de façon à savoir sur quoi on a basé les rechch. Pster dans les formes et normes !!! si on a repéré des titres intéressants mais pas dispo : le signaler Iconographie : pas trop de choses, il faut bien choisir et en parler LEGENDER : nom de l’artiste date œuvre technique ville musée. Photos d’archives : quel journal, photographe Clarté du propos, présentation spontanéité et le soin du power point. Originalité important notemment par exemple dans la conclusion ? Comptes rendus d’expo : petit dossier. « Super critique d’art » : résumer le propos de l’exposition, qu’est ce qu’elle apporte du pt de vue de la connaissance ? résumer le propos, quantitatifs (nb d’œuvres) et regard du pt de vue de la station ! lumière affichage ? scénographie de l’exposition. Outils d’accompagnement du musée (cartouches, explications, fiches). Produits dérivés. Succès de l’expo ? retombée dans les médias, critiques ? et impression personnelle (positif ou négatif) et photos

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Jean DVALLON : musée et rechch colloque a paris 93, Dijon. Bernard DELLOCHE : le musée visuel paris 2001 ‘’ ‘’ ‘’ : définition du musée paris 2007 GOB et DROUGET : la muséologie histoire, développement enjeux actuels. Edward POMMIER : les musées en Europe, acte colloque 93 paris. Dominique POULOT : Une histoire des musées de fr, 18e 20e paris 2005 ‘’ ‘’ ‘’ : musée, nation, patrimoine 1789-1815 : paris 1997 George Henri Rivière : la muse cèle GHR paris 1989

Pas plus de 3 auteurs, sinon on met le 1er et alii sinon (dira) (Ed)

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Séance 1 : La génèse des Musées de France Au départ le mot Museum vient du temple des muses : conservatoire du patrimoine de cultures et des civilisations, et lieu de ctr des savoirs. Def de l’icom 1974 (international : « le m est une institution permanant sans but lucratif au service de la société et de son dev, ouverte au public et qui fait des rechch concernant les témoins matériels de l’homme et de son env acquiert ceux-là, les conserve les communique les expose à des fins d’études d’éducation et de délectation. Empire néo babylonien (-VIIe av JC) : but de la collection est de manifester la puissance et richesse du souverain. Les cités grecques rivalisent pour récupérer des trésors et au -Ve création d’une pinacothèque sur l’acropole. C’est la plus ancienne galerie publique. A Rome époque hellénistique le gout pour la collection se dev, on acquiert des bustes en marbres et à la renaissance dev d’importantes collections qui se dev dans toute l’Europe (Habsbourg en Germanie) Rudolph à Prague est le plus gd coll. Vasari, florence : com Médicis. Il fait réaliser un ensemble de bureaux (offices, fini) et Come venait d’acheter le palais pitié et voulais re levier de l’autre côté de la rive au pupazzi Vecchio. Il com à Vasari un passage entre les deux. Donc les Médicis pouvaient circuler de l’un a l’autre sans passer par la rue et donc pour éviter les attentats. Quand il est inauguré en 1585 ce n’est plus come, donc François de Médicis décide qu’au 2nd étage se trouvera la collection de la famille. Pas un musée public, il faut faire une demande pour visiter à l’époque. Les gds princes de l’époque collectionnaient également des Naturalia (objets de la natures) et les instruments scientifiques avec des animaux. Ce sont des cabinets de curiosité. Ici intéressant car séparation avec l’art. le couloir existe tjs (1km) depuis la fin du 17e lieu ou on expose des autoportrait (plus imp du monde) : Lippi, Rembrandt, Delacroix et 20e … il va ouvrir en 2018 avec une nvlle muséographie. A Rome : pape Sixt 4 veut restituer au peuple des sculptures antiques conservés au Latran. Elles sont pentées dans la gallérie des conservateurs et ap jules 2 installe le Laocoon et l’apollon du belvédère au Vatican qui fixe l’origine du musée du Vatican. Encore une foi pas ouverte ! (1775 ouverture). Courant 16e toute l’Europe se met à collectionner. Nait un nv style de peinture qui nait dans les Flandre ou on a des peintures dans les peintur es puisque l’on y voit les collectionneurs et leurs œuvres. Par envers et Amsterdam plaque tournante du marché de l’art donc pas un hasard si sa nait là-bas. 17e en Angleterre crée d’un musée par un amateur. Idée de collection pas seulement pr les amateurs de beaux-arts, les académies, hôpitaux, universitaires. ***David Tergnier, galerie de l’Archiduc Leopold Guillaume mi 17 e : spécialisé de scènes villageoises. Le peintre était conservateur : garde des musées du prince. Il garde son chapeau pour l’étiquette. Les tableaux rpz existent tjs. Il y en a 50 sur cette œuvre mais il en avait 800. La rpz n’est pas fidèle : pas de tableaux collés les uns aux autres. Mais on voit des rideaux pour les protéger de l’éclairage a la chandelle et de la poussière. En plus les particuliers aimaient cacher leurs œuvres pour l’effet d’étonnement. 18e idée de musée se généralise. A Dresde gallérie très imp avec catalogue de gravures : m notre une approche érudite de la collection et du musée.

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1753 : british muséum fondé après le don d’un particulier. Accès encre une fois limiter aux artistes pour études ou amateurs. En France petits musées dans les provinces : académie de Toulouse organise des expos d’artistes contempo et maitres des écoles plus ancienne. Dijon école de dessin école publique complétée d’un petit musée en 1798 pour exposer le travail es élevés.

2 précurseurs du Louvres très important : -

Palais du Luxembourg qui était à l’époque une résidence royale. Ctr au début du 17 e par l’Arch Salomon DEBROSSE avec 2 gdes ailes qui sert dès le départ de galerie. Cycle de peinture commandé par marie de Médicis à Rubens. Tout cet ensemble a été enlevé et déplacé dans une salle du Louvres. Au 18e les œuvres ont tjs la, on vient y étudier Rubens. En 1750 on décide d’utiliser les 2 ailes comme galerie d’art publique PREMIERE EN FR ! elle fctionne jusqu’en 1779 elle va fermer à cause du compte de Provence frère du roi le récupère comme résidence. Collections de la monarchie. Ce qui est imp c’est le théâtre de 1eres tentatives de restaurations d’œuvre : On voit se professionnaliser le restaurateur. On voit aussi apparaitre des réflexions de plus en pls imp pour le côté technique (cadres, vers, éclairage). Nouveauté technique = la transposition = très délicat qui fait transférer la couche picturale d’un support a un autre. Souvent pour les œuvres sur bois puisque se détériore. Très périlleux puisque l’on peut totalement détruire l’œuvre. Cette invention date du début 18 e et une personne s’impose comme spécialiste : robert PICAULT. Il est détenteur du secret (il garde le monopole de l’opération) qu’il montre à la royauté et obtint une pension. *** Andréa Del Sarto, la charité début 16e : ajd huile sur toile mais au départ panneau de bois. Gd format : 1.85x1.37. Donc c’est un progrès énorme. On expose au Luxembourg le support et la toile pour montrer la performance. il a existé un catalogue par Louis Nicolas L’épicier en 1752 ou il parle de l’anecdote. Intention politique : l’état est en mesure de s’occuper de la conservation. Donc Pinault s’occupe d’une autre œuvre, Raphael st Michel.

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// on commence à vouloir mettre des œuvres au Louvre (avant la révo) on en parle en 1747. Avec l’ouvrage de Lafont de Saint Yenne, première critique d’art. il y propose de récupérer les œuvres des monarchies qui ne sont pas visible pour rehausser la peinture de l’époque. Il parle déjà d’entretiens et d’un « rangement dans un bel ordre ». 20 ans plus tard on en reparle dans la notice de l’encyclopédie. Donc dès le mi 18 e on exprime cette volonté de rassembler tout en séparant les œuvres et collections de la monarchie. Le fait est que les finances de l’état n’étaient pas suffisent donc on ne peut Ps ouvrir si tôt. Compte D’Angivillers (=ministre de la culture), 1774 accélère le processus. Contexte des lumières qui veut éduquer et réveiller l’esprit du public et entreteniez l’amour de la patrie. Très actif sur le plan des arts, promoteur du néo classisme, du retour du style a ‘antique et c’est lui qui commande le serment des Horaces. Dans son esprit le Louvre doit être une gloire royale et fierté nationale. Son idée englobe plus de champs et une universalités (objets, ethnographie). En phase avec l’esprit de l’encyclopédie. Pb financier encore une fois, fr très affaiblie ap la guerre de 7ans (de 1756 – 63) mais bcp de séquelles et même l’académie royale a failli fermer on ne pouvait plus payer les model. Louvre pb de toiture qu’on a pas les moy de réparer.

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= adapter au l’ouvre pour y exposer des œuvres. La galerie a la base exposait les plans et reliefs des villes de fr 1770. Ajd aux invalides car fction militaire réalisées par louis 14. On récupère l’espace de ses 127 plans et reliefs. On y entre avec autorisation et ces en 1776 qu’on réussît à faire déménager les reliefs. On demande à un archi SOUFLEAU a réfléchira a la conception de cette galerie. 3 q : - Faut-il diviser l’espace ? - Quand l’espace est déjà occupé d’œuvre qu’on ne peut pas bouger ? les voutes sont peintes par poussin. - Eclairage : comment faire pour ce si grand volume ? 7 Très débattit. Ralentit les projets. On tranche : on décidé de conserver le volume énorme (réflexions a l » époques d l’archi idéales) et on garde l’impression d’immensité. Pour l’éclairage il fallait Etrurie les peintures de poussin, on supprime les fresques de poussin qui sont plus ancien. Danguviler veut que ce soit un monument national qui serait le plus imp du monde et d’aurore et flatterait le roi. Entre 1775 – 89 200 pointures très imp sont acquise. 1800 tableaux dans la collec. Danguviler s’entoure du 1 er peintre du rois et Hubert robert peintre de ruines de Rome qui va avoir un rôle très imp ; il devient gardien des œuvres du roi = conservateur. Un 3e : Alexandre joseph paye qui est un marchand, lui doit négocier pour l’acquisition des œuvres. ***Hubert Robert, galerie de tableaux qui n’est pas le Louvres 1789 : un peintre en admiration devant des œuvres. Mais imp c’est le plafond avec un éclairage zénithal (par le haut) et verrier, pas la 1e fois qu’on voit notemment chez Lebrun. Dans cette vue imaginaire il propose de percer le toit de la galerie *** HR, projet d’aménagement de la gde galerie : on voit des ouvertures dans la voute et un accrochage d’œuvres avec une variété de spectateurs avec de tous les gares et même des étrangers : dimension cosmopolite.

Donc le projet existait avant la revo mais n’a pas aboutie par manque d’argent et lenteur administrative. Spécificité du musée fr grâce à la révo, car ici très brillant cariée a l’idée de naissance d’une nation. Les étapes : -

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Confiscation des biens du clergé, le 2 nov. 1789. On récupère toi les objets ^précieux avec les statues ext = désacralisations objets de cultes. Au départ on les vend mais on arrête car fait partie du patrimoine 1792 objets de la couronne le 10 aout prise des tuileries résidence du roi. Moment où la monarchie est définitivement prise. Le l’ouvre devient un palais républicain ? plus à la monarchie. Les collec Roy sont déclarées proprettes nationales, et en Mme temps on prend les objets de émigrés. On pose la q de ce qu’on fait de ses objets. 19 jours ap on déclare l’urgence de rassembler toutes les ouvrent au même endroit : on se préoccupe du patrimoine. Le 19 septembre on décrète le l’ouvre devenue muséum central des arts inaugurés 1 an plus tard le 10 aout 1793 = jour anniversaire de la chute de la monarchie. Ouvert au public en novembre. Ce musée est unique par le contexte revo, la motivation po qui préside à sa création (cette mise à disposition e la nation), empileur de la nation, symbolique du lieu siège de pv royale et enfin caractère universaliste. *Hubert Robert, design for the grande galerie in the Louvre : encore q d’éclairage, psce d’un publique avec femme et enfant et personnage qui viennent dessiner et copier. Fonction D’EDUCATION ET D’EMULATION.

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*Hubert R, projection du l’ouvre en ruine. Tjs un artiste en train de dessiner devant l’apollon du belvédère mais en bronze. Galerie en ruine sans tableau. A cette époque on s’intéresse a la perte et a la détérioration du patrimoine. Vue étonnante avec vue visionnaire des rages du temps sur les œuvres d’art. L’enrichissement des collections du Louvre : avant on avait saisies les œuvres d’a monarchie et du clergé et maintenant on a des saisies à l’étranger avec un grande administration qui se met en place. Dominique vivant de nom jusqu’en 1805 et qui va cataloguer les œuvres. A paris de 1794, la victoire de la rep à l’étranger va commencer à récupérer des œuvres en Belgique, hollande, Italie. Des grands tableaux flamands se trouve dans des musées français que l’on réclame et encore pire en Italie. L’arrivée des œuvres à Rome fait l’objet d’une grande fête patriotique, qui défilent sur le champ de mars. Sur des chars de triomphes à la romaine et on rebâtisse le musée e=centrale des arts « musée napoléon » 1804 qui exalte la France comme la parie des arts et de la liberté. On estime que c’est le droit du vainqueur de s’approprier les œuvres et en opus on s’est libéré du despotisme donc seul capable de recueillir les fruits du génie de l’humanité. L’abbé Grégoire : « lions ont donc le génie au culte d’a liberté ». En aout 94 Il utilise le therme néologisme, ce mot apparaît avec ce discours. *** Prise des œuvres de parme : destruction parfois, vue imagée ***benjamin zip : amis du 1e conservateur qui accompagne napoléon et un des premiers lithographes, dans cette vue, accrochage dans le salon rond du Louvre le 4 oct. 1807 pour le 1 e anniversaire de la bataille d’Iéna de napoléon : glorification de l’empereur, buste en bronze colossal, couronné d’une couronne de laurier dorée, symbole de l’immortalité. Autour trophées de la victoire et pièces saisies dans les pays germaniques. Cuirasses, casques, œuvés de collections allemande, notemment la joueuse d’osselet époque hellénistique très connue actuellement au musée de Berlin. Thème de la victoire très imp même tableau allégorique de Rubens saisi en Allemagne : victoire couronnant mars. Qd le musée ouvre on publie des catalogues entre 1802 15, on a 10 volumes. Produits dérivés avec les chefs d’œuvres. Vase en porcelaine de chèvre avec de défilé du champ de mars, choses bcp plus modestes, avec des épingles aux effigies de l’apollon par exemple. « Populux » luxe pour le peuple. Orga chrono : en bas l’antique et moderne en haut mais toute la période médiévale est « inintéressante » donc pas d’expo. Déracinement des œuvres : elles sont sorties de leur lieux d’origine. 1796 Roederer lance la polémique. C’est un journaliste et il parle de l’apollon qui deviendra un « meuble » après son arrachement a sa patrie. Puis ouvrage : Quatemère de Quincy. Il écrit un texte « lettre au générale Miranda » 1836 parle de spoliation à l’Italie. Très peut diffuser en 96 donc autre publication plus tard. Pour lui le musée est un lieu virtuel qui sacralise comme si on rendait un culte aux œuvres. Une cinquantaine d’artiste comme David signent une pétition qui demande que soit ccs une commission d’artiste et d’œuvre de lettre pour participer aux spoliations. Position monarchique également de l’auteur anti napoléonienne. Vision européenne de la connumauté européenne ce qui est impressionnant pour l’époque. Très pertinent même de nos jours. Création des musées de provinces : afflux Douvres très imp et on est débordé. Les musées du Louvres et napoléo...