Rédiger compte rendu - Cours PDF

Title Rédiger compte rendu - Cours
Course PPP
Institution Université Paul-Valéry-Montpellier
Pages 10
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Cours...


Description

P.P.P. Semestre 2

Rédiger le dossier de compte rendu d’enquête

Voici un deuxième dossier explicatif concernant la rédaction de votre dossier de compte rendu. Ce document vous propose une structure type de dossier comprenant les différentes étapes constitutives d’un rapport d’enquête. Chacune de ces étapes est primordiale afin de rendre convenablement compte de votre travail, de la problématisation de votre sujet jusqu’à l’émission de votre hypothèse finale. Attention, ce travail s’effectuant en groupe, vous devez conserver à toutes les étapes de la rédaction une cohésion d’ensemble de votre dossier. Par exemple, le style d’écriture ne devra pas changer d’un chapitre à l’autre. Néanmoins, si vous n’avez pas tous / toutes vécu l’enquête de la même manière, n’hésitez pas à en faire mention. Cet exercice représente une introduction aux enquêtes plus approfondies que vous devrez mener par la suite dans vos études. Ainsi, il est plus que conseillé d’effectuer dans les différents chapitres attendus ici une prise de recul sur votre posture et sur votre expérience, y compris si vous n’en tirez rien de satisfaisant. Ce compte rendu vous encourage à mettre en perspective votre sujet, votre problématique, votre approche du terrain, vos résultats, mais aussi votre expérience lors de chacune de ces étapes.

ATTENTES ET PRINCIPE DE NOTATION



Vous devez préparer votre compte rendu entre les deux T.D. du semestre puis le remettre lors de la seconde séance sous la forme d’un mini mémoire de 10 pages environ, rédigé par ordinateur puis imprimé et relié.



Aucun dossier ne sera remis par email.



Veuillez respecter les normes typographiques suivantes : Police Times New Roman, taille de police 12, interligne 1.5, texte justifié, dossier paginé.



Une notation sur 20 sera effectuée après remise de votre dossier et se focalisera sur les points suivants : la précision de votre cadrage théorique, votre sens de la synthèse et de la problématisation, la cohérence de vos choix méthodologiques, votre capacité à rendre compte de votre expérience du terrain, votre aptitude à recueillir des données de terrain, votre sens de la lecture et de l’interprétation de vos données, la formulation d’une hypothèse d’arrivée en cohésion avec votre problématique de départ et enfin, évidemment, la qualité de votre syntaxe et le soin apporté à la présentation générale et à l’orthographe (relisez-vous!).



Vous devrez également préparer une présentation orale d’environ 15 minutes afin de rendre compte de vos différentes expériences devant le reste du groupe.

SOMMAIRE (Page de garde) -------------------------------------------------------------------------------------------------p.1 I: Introduction--------------------------------------------------------------------------------------------------p.2 II : Cadre théorique et problématique -----------------------------------------------------------------------p.3 III : Méthodologie ---------------------------------------------------------------------------------------------p.4 IV : Expérience de terrain ------------------------------------------------------------------------------------p.5 V : Résultats et hypothèse ------------------------------------------------------------------------------------p.6 VI : Bibliographie ---------------------------------------------------------------------------------------------p.7 VII : Annexes --------------------------------------------------------------------------------------------------p.8

0. PAGE DE GARDE La page de garde, ou couverture, doit être soignée et aérée. Elle doit contenir le titre de votre recherche de terrain, les noms et prénoms de chacun des membres du groupe de travail, l’année universitaire en cours et l’intitulé du TD (P.P.P). Vous pouvez proposer toutes sortes de couvertures. N’hésitez pas à l’agrémenter d’une illustration, par exemple d’une photographie prise sur le terrain lors de votre enquête. I. INTRODUCTION Paragraphe argumenté d’une trentaine de lignes Pourquoi cette recherche ? L’introduction est une étape capitale du dossier. Elle met à l’épreuve votre sens de la syntaxe, vos capacité d’écriture et d’expression ; autant de qualités fondamentales en sociologie. Elle représente les premiers mots, l’accroche destinée à donner à votre lecteur l’envie de poursuivre. Vous devez répondre aux questions suivantes : pourquoi cette enquête ? Pourquoi ce sujet, cette approche, ce questionnement de base ? Pour ce faire, partez de loin afin de proposer une réelle mise en perspective du contexte dans lequel vous avez mené votre enquête. N’hésitez pas à parler de vous, de vos affinités, de vos difficultés et des doutes rencontrés lors de la phase de discussion. Une enquête n’est pas un long fleuve tranquille. Elle est nécessairement parsemée d’embuches et d’épisodes imprévus. L’idée est de décrire le cheminement de votre pensée collective, des prémices de vos discussions jusqu’à votre choix définitif du sujet. Un maximum de précision et de détails sont attendus ici afin de proposer une introduction convenable à même de montrer au lecteur votre état d’esprit dès le début de votre travail. Quelles difficultés avez-vous rencontrées dans le choix du sujet ? Étiez-vous tous / toutes d’accord sur votre approche du sujet ? Cette phase fut-elle longue ? Fastidieuse ? Agréable ? Que tirez-vous de cette expérience de partage de vos idées et de vos méthodes de travail ? Ce travail représente une introduction aux véritables questionnements que se posent les sociologues sur le terrain. Ainsi, cette partie vous entraîne à parler de votre expérience d’apprenti sociologue. Pourquoi avez-vous mené cette enquête plutôt qu’une autre ? À vos plûmes.

II. CADRE THÉORIQUE ET PROBLÉMATIQUE Paragraphes argumentés (une page minimum) Qui ? Quand ? Où ? Après l’introduction générale, il est temps de plonger votre lecteur dans le vif du sujet. Vous devez donc entrer dans les détails constituant le cadre de votre enquête, son centre névralgique. Partons de la métaphore de l’entonnoir pour vous aider dans l’explication rédigée de votre cadre théorique et de la problématique mobilisée. Le haut de l’entonnoir est très large et constitue vos premières idées, larges, vagues, élaborées lors des phases de discussions. Ensuite, l’entonnoir se resserre – tout comme votre perception de votre sujet, votre approche, vos différents choix – et un cadre commence à se former. Petit à petit, ce cadre devient de plus en plus clair au fur et à mesure que l’entonnoir se resserre, jusqu’à ce que des concepts-clé viennent constituer ce que l’on appelle le cadre théorique. Enfin, lorsque vous arrivez à la base de l’entonnoir, une seule goutte de votre pensée s’en échappe. Cette goutte, c’est votre problématique. Cette partie a pour vocation de vous entraîner à rédiger cette phase de cadrage de votre sujet, une fois celui-ci clairement décidé. Partez de la base et décrivez le cheminement de votre pensée du plus vague au plus précis, du haut vers le bas de l’entonnoir de votre pensée. Pour commencer, décrivez les fondements de votre sujet en répondant aux questions suivantes avec un maximum de précision : sur qui porte cette enquête (public visé) ? Quand l’avezvous menée (horaires précis, jours précis, etc.) ? Où l’avez-vous menée (description du cadre) ? Vos réponses constitueront le haut de votre entonnoir, les fondements de votre enquête. Ensuite, vous devez affiner votre approche et mobiliser, expliquer et légitimer au minimum trois concepts-clé autour desquels gravite votre enquête de terrain. Ces concepts-clé permettent une approche purement sociologique et vous permettent de faire un lien permanent entre la théorie et le terrain. Ils sont la colonne vertébrale, le guide, les points de repère de votre enquête. Par exemple, dans le cadre de ma thèse sur le militantisme numérique, mon enquête de terrain se fonde sur les concepts-clé suivants : l’identité, l’alternative et la transmission. Lorsque je mène mes entretiens auprès de militants, j’ai en permanence en tête ces trois concepts. Ils constituent les raisons pour lesquelles je me retrouve sur le terrain – qu’est ce que je cherche ? – et guident ma manière d’interagir – ma méthodologie de recueil de données – avec les personnes que je rencontre. Enfin, vous devez décrire l’essence même de votre enquête de terrain, à savoir la problématique centrale, entourée des concepts-clé vous permettant de la mettre en mot. Souvent, les concepts-clé apparaissent dans la problématique. Elle prend la forme d’une question, généralement ouverte afin d’offrir un large panel d’interprétation lors de la formulation de l’hypothèse. Répondez

à cette question : si vous deviez résumer l’ensemble de votre questionnement à une seule phrase, qu’écririez-vous ? Cette phrase, c’est votre problématique. Elle englobe votre cadre théorique (Qui ? Quand ? Où?) et vos concepts-clé. En définitive, que cherchez-vous ?

III. MÉTHODOLOGIE Paragraphe argumenté d’une trentaine de lignes Comment ? Par quels moyens ? Maintenant que votre cadrage théorique et vos questionnements sont limpides aux yeux de votre lecteur, il est temps pour vous d’évoquer vos outils. Dans un premier temps, répondez à la question suivante : par quels moyens avez-vous mené votre enquête ? Pour cela, il vous faut décrire vos outils méthodologiques. Loin de la simple énumération, vous devez expliquer vos choix et montrer à votre lecteur que vous maîtrisez votre méthode de recueil de données. La sociologie exige une rigueur absolue en la matière. En effet, les outils méthodologiques d’enquête permettent au chercheur d’asseoir sa posture et la légitimité de sa démarche sur le terrain. Il vous faut donc faire preuve d’une certaine connaissance des outils que vous avez mobilisés et d’une capacité d’argumentation certaine permettant de légitimer ces choix. Par exemple, pourquoi avez-vous opté pour le questionnaire plutôt que l’entretien ? Pourquoi des questions seulement fermées ? Pourquoi un entretien semi-directif plutôt que compréhensif ? Pourquoi n’avez vous pas fait d’observation non-participante ? Pourquoi avoir focalisé votre approche sur des données exclusivement quantitatives ? Etc. Ces questionnements vous permettront de montrer à votre lecteur l’objectif sous-jacent de votre méthode. Dans certains cas, une méthodologie peut sembler particulièrement adaptée et propice à l’obtention de résultats satisfaisants. Encore faut-il l’expliquer de façon convaincante à votre lecteur. Comment pouvez-vous expliquer ce processus dans votre cas ? Ensuite, rédigez quelques lignes sur la mise en place de vos outils, la phase de préparation et d’élaboration de votre méthode. Cette phase de préparation est souvent intéressante mais fastidieuse. Évoquez donc vos doutes, vos difficultés, etc. Comment s’est passée dans votre groupe la phase de rédaction du questionnaire, de la grille d’observation, de la grille d’entretien ?

IV. EXPÉRIENCE DE TERRAIN Paragraphes argumentés (une page minimum) Rapport de faits : alors la sociologie de terrain, ça donne quoi ?

Cette partie vous entraîne à formaliser un rapport d’enquête. Vous devez décrire en détail votre expérience du terrain en lui-même et votre capacité à exploiter votre travail de repérage et de cadrage théoriques à des fins de recueil de données. Entamez ce chapitre par la description de la phase de prise de contact, en gardant toujours à l’esprit la prise de recul attendue de vous dans ce rapport écrit. Comment s’est passée la prise de contact ? Comment avez-vous organisé votre départ sur le terrain ? Avez-vous réussi à maintenir une cohésion de groupe jusqu’ici ? Avez-vous rencontré des difficultés ? Décrivez ensuite votre expérience des évènements en eux-mêmes sur le terrain, vos rencontres, vos surprises, bonnes et mauvaises, vos impressions, vos doutes, vos difficultés, etc. Vous pouvez par exemple rédiger un rapport journalier d’enquête sur une, deux ou trois semaines détaillant chacune de vos interventions de terrain, un peu comme un journal intime dédié à votre travail d’apprenti chercheur. Aller sur le terrain représente à chaque fois une sorte de défi, un moment intéressant mais parfois un peu effrayant selon les contextes et les personnalités de chacun. N’hésitez pas ici à confier vos propres expériences individuelles et votre approche de groupe. Il est également important ici de mettre l’accent sur votre capacité d’organisation dans le groupe. Comment êtes-vous parvenu à vous répartir les tâches afin de maximiser vos chances de recueillir des données ?

V. RÉSULTATS ET HYPOTHÈSE Paragraphes argumentés (minimum deux pages) Synthèse des données, traitement et analyse, hypothèse Voici la dernière étape de votre rédaction. Elle permet de boucler la boucle de votre enquête et de faire sens, d’expliquer à votre lecteur ce que vous retirez de votre travail de terrain. Le chapitre dédié aux résultats se divise en trois sous-parties : la synthèse des données, l’analyse des données et la formulation de l’hypothèse. Attention, cette phase est longue à mettre en place et exige un travail conséquent afin d’apparaître de façon limpide au lecteur. A. La synthèse des données Pour commencer, vous devez présenter vos résultats bruts dépourvus de toute interprétation de votre part, afin de montrer au lecteur sur quels matériaux vous allez fonder vos interprétations. Cette sous-partie met à l’épreuve votre sens de la synthèse et de l’organisation. Vous devez ici « ranger » vos données, qu’elles soient qualitatives ou quantitatives, et faire le tri afin de garder seulement celles qui seront susceptibles d’appuyer votre interprétation. N’hésitez pas à réellement

faire le tri. Cette phase est parfois délicate, et il faut accepter de « jeter » des données obtenues à la sueur de votre front. Dans le cadre de données quantitatives, élaborez vos statistiques et présentez une synthèse classée en catégories au moyen de médianes, de moyennes, de pourcentages, etc. Dans le cadre de données qualitatives, rapportez ici vos retranscriptions d’entretiens ou les réponses construites obtenues au moyen d’un questionnaire ouvert. Vous proposez ainsi une synthèse très appréciable de votre recherche du point de vue du lecteur profane. B. Le traitement des données Ensuite, vous devez développer une lecture interprétative de ces données fondée sur votre propre argumentation. Il est temps de vous replonger dans les rouages de votre enquête afin de faire le lien entre votre cadrage théorique, votre problématique et vos résultats bruts, synthétisés. Ces données sont là et elles éclairent forcément une partie de votre questionnement. Elles apportent des réponses, des illustrations, des exemples, des éclaircissements, etc. Simplement, votre travail est de formaliser ces phénomènes, de les mettre en mots et de les expliquer à votre lecteur qui lui n’a pas fait votre travail et n’est pas allé à la rencontre des personnes que vous avez rencontrées. Ici, prenez un temps de rédaction conséquent afin de réellement construire votre pensée. Cette phase fait appel à votre esprit critique, votre sens de la répartie et de la prise de recul. L’objectif est d’élaborer une réelle mise en perspective de vos données et de votre expérience du terrain. Partez des évidences, des éléments qui vous paraissent logiques au point de ne pas nécessiter votre attention et réitérez ici la méthode de l’entonnoir abordée lors de la phase de cadrage. Votre pensée se construira ainsi d’elle-même au fur et à mesure que votre lecture de vos résultats vous permettra de resserrer l’interprétation. Cet exercice vous permettra de faire des recoupements, de croiser vos résultats, de tout mélanger afin de constater des parallèles, des contradictions, des paradoxes ; tant d’éléments constitutifs d’une enquête de terrain et d’une recherche en sociologie. Au plus vous vous rapprocherez de la base de l’entonnoir de votre pensée, au plus ces recoupements s’affineront, vous permettront d’y voir clair et de répondre à la question suivante : ces résultats, qu’est ce qu’ils nous disent ? Quelles informations essentielles se cachent derrière ? Les réponses à ces questions constituent vos interprétations personnelles. C. La formulation de l’hypothèse La phase de lecture et d’interprétation des résultats touche à sa fin lorsque vous êtes en mesure de formuler une hypothèse globale. Votre pensée arrive à la base de l’entonnoir et vous voilà confronté à une interprétation générale issue de tous vos recoupements et analyses des résultats. L’hypothèse prend la forme d’une seule phrase en réponse à votre problématique. Elle permet en temps normal de continuer sa recherche de terrain au moyen de cadrages actualisés

pourvus des nuances nouvelles. Ici, ce travail est une introduction à l’exercice de l’enquête de terrain. L’hypothèse viendra ainsi clôturer votre recherche et la rédaction de ce dossier. Simplement, gardez ici encore à l’esprit que l’hypothèse n’est pas une vérité absolue et constitue un élément de réponse précis à la problématique, fondé sur votre approche du terrain. Un autre type de terrain ou une autre méthode liés à votre problématique auraient apporté des résultats différents mais tout aussi valable. Ainsi, l’hypothèse vous permet de garder à l’idée la dimension interprétative de votre réponse à la problématique et de vous assurer que votre lecteur n’omette pas le contexte dans lequel vos interprétations et réponses s’inscrivent.

VI. CONCLUSION Paragraphe argumenté. Chaque membre du groupe devra rédiger sa propre conclusion nominative, d’une quinzaine de lignes Et vous dans tout ça ? La conclusion générale de votre recherche a pour but de vous faire prendre du recul sur votre propre expérience, de la même manière que dans l’introduction. Comment avez-vous vécu cette expérience de sociologie de terrain ? Comment avez-vous appréhendé le travail en groupe ? Quelles difficultés avez-vous rencontrées dans la clôture de votre enquête, dans la rédaction du rapport écrit, etc ? Rédigez la conclusion de la même manière que votre dossier de P.P.P.

VII. BIBLIOGRAPHIE Inscrivez ici obligatoirement l’intégralité des sources mobilisées, y compris dans le cadre de la méthodologie. Dans le cadre d’une enquête de terrain, vous devez malgré tout puiser votre connaissance, notamment en matière de méthodologie, dans les ouvrages publiés par des chercheurs avertis. Vous ne pouvez tout simplement pas faire l’économie de ces lectures. Un dossier dépourvu de bibliographie ne mérite en aucun cas la moyenne, quelle que soit la qualité du travail. Une bonne recherche est fondée sur la curiosité. Cette curiosité prend sa source dans les livres. Voici quelques exemples de règles bibliographiques à respecter : Ouvrage : NOM, Prénom, Titre, Ville, Maison d’édition, année, page de la citation. Exemple : ELIAS, Norbert, La société des individus, Paris, Fayard, 1987, p.19.

Source Web (site) : URL complet (date de consultation). Exemple : https://www.univ-montp3.fr/fr (consulté le 01/01/2018). Source Web journalistique : NOM, Prénom, « titre », nom du journal [en ligne], date de consultation, disponible sur URL complet (date de consultation). Exemple : ANDUREAU, William, LELOUP, Damien, « De quoi “V for Vendetta” est-il le masque ? », Le Monde [en ligne] 17 mars 2016, disponible sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/03/17/de-quoi-v-for-vendetta-est-il-lemasque_4885078_4408996.html (consulté le 05/05/16).

VII : ANNEXES Insérez ici obligatoirement vos outils d’analyses développés en amont de votre travail de terrain, à savoir le questionnaire tel que vous l’avez transmis, vos grilles d’entretien, vos grilles d’observation, etc. Les réponses ne doivent pas apparaître ici, simplement les outils tels que vous les avez constitués avant de les présenter....


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