TD Analyse Economique PDF

Title TD Analyse Economique
Course Environnement économique
Institution Université de Brest
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TD d'analyse économique L2 AES...


Description

Analyse économique Bibliographie:

- Jacques Généreux explique l’économie - Introduction générale à l’économie L1 (gros livre bleu) TD N°1: L’Analyse économique Exercice 1 1°) Définition de l’économie:

- L’économie est la discipline qui s’intéresse à l’accumulation des richesses et des biens ainsi qu’a leur échange.

- L’économie est la discipline qui s’intéresse à l’allocation-répartition des biens est des ressources limités (rares) afin de satisfaire des besoins illimités. Elle étudie les actes de la vie qui sont susceptibles de réduire les tensions qui apparaissent entre les ressources limités des agents et les besoins illimités. 2°) Définition et différence entre économie positive et économie normative Economie positive: Elle décrit les faits et cherche à expliquer pourquoi les comportements sont tels qu’on les observe. Economie normative: Elle consiste à déterminer comment les choses et les comportements devraient êtres. La différence majeure entre les deux approches est que l’approche positive est basée sur l’observation des comportements sans porter de jugement de valeur. Tandis que l’économie normative nécessite de définir des valeurs fondamentales de la société et implique la définition de précepte épique et de norme éthique. 3°) Proposition positive ou normative a. Proposition positive car elle avance un constat basé sur des observations empiriques, factuelles (les machines {…} ne fonctionnent pas correctement) et normative car elle porte un jugement de valeur (politique qualifiée de mauvaise). b. Proposition positive car elle décrit la conséquence attendue d’une action dont il est possible de vérifier la pertinence grâce à l’observation. c. Proposition normative car elle décrit comment devrait être, ce sont des valeurs. d. Proposition positive car elle se limite à décrire ce qui sera dans l’avenir. Elle pourra être confirmée ou infirmée. e. Proposition positive car la réponse pourra être vérifiée. f. Proposition normative car elle produit un conseil sur ce qui devrait être. g. Proposition normative car elle induit l’équité et des valeurs morales et positive car elle avance une promesse qu’il est possible de vérifier. h. Proposition normative car elle préconise un choix ou une ligne de conduite. Exercice 2 Analyse économique: (cf exercice 1) C’est la science de l’administration des ressources rares. Les questions traitées en analyse éco correspondent soit à des analyses micro-économiques, soit macro-économiques. Analyse micro-économique: Analyse des comportements individuels, choix individuels. Analyse macro-économique: Analyse des agrégats (ex: le chômage,la monnaie, la régulation…). Science: Une discipline quelconque est dite scientifique quand elle s’appuie sur une démarche scientifique.

Démarche scientifique: Elle est dite scientifique si elle se base sur des critères de réfutabilité. C’est à dire un corps d’hypothèses et de lois déduit de ces hypothèses est considéré comme acceptable tant qu’il n’a pas été possible de mettre en évidence que ces loi sont contredites ou réfutés par les faits. Argumentaire: - Introduction: définir l’analyse économique et la science - Développement: Première partie : la démarche positive en analyse économique (définition exemple et limite) Deuxième partie: la démarche normative en analyse économique (définition, exemples, mettre en évidence l’idée selon laquelle l’AE se définit à travers la complémentarité entre démarche positive et démarche normative et non a travers sa subsidiarité. Exercice 3 L’approche classique Elle trouve ses origines dans les travaux des économistes classiques comme Adam Smith 18è, Jean-Baptiste Say 19è, David Ricardo 19è. Elle à été complétée par les travaux d’économistes comme Marshall 19è, Léon Walras 19è, Cécile Pigou 20è. L’approche classique à pour objectif d’étudier la formation des prix, la production et la distribution des revenus à travers le mécanisme d’offre et de demande sur un marché. Elle considéré que les mécanismes de marché permettent d’assurer les équilibres et la croissance économique et elle prône le libre échange. Il y a trois natures:

- C’est une économie d’échange, toute activité économique peut y être appréhendée comme une activité -

marchande et la coordination des activités économiques et la conciliation entre intérêt individuel et optimum social s’y effectue sur les marchés. C’est une économie réelle. La monnaie est considérée comme un simple instrument d’échange. Elle n’internet qu’au moment des transactions pouvant faciliter l’occurence. Elle est neutre et n’est jamais demandée pour elle même mais uniquement pour réaliser des transactions. C’est une économie certaine, il n’y a pas d’incertitudes exogènes, ni d’incertitudes endogènes. L’incertitude exogène désigne l’incertitude qui résulte de phénomènes aléatoires qui pourront survenir et affecter la réalisation des plans des agents économiques, elle découle des phénomènes extérieurs à la société. L’incertitude endogène est provoquée par le comportement des autres agents économiques.

Les principes fondamentaux :

- La loi des débouchés dite aussi la loi de Say en 1803, selon elle, l’offre créé toujours sa propre demande

-

de sorte que l’économie ne peut jamais connaitre de crise de surproduction. Autre version, associée à l’hypothèse de flexibilité des prix, elle garantie que le niveau d’activité sera toujours maximal. ( Pas toujours vrai, exemple actuel, la surproduction de lait) La théorie quantitative de la monnaie, de Irving Fisher, elle stipule que la monnaie n’a pas d’effet réel mais affecte seulement le niveau général des prix. Ce postulat repose sur l’idée que la monnaie n’est pas demandé pour elle même (constance de la vitesse de circulation de la monnaie).

Ex: fabrication du pain, nécessite du blé, sur le marché du blé on peut être affecté si l’un des producteurs de blé est frappé par une sécheresse. Car cela entraine une baisse prévisible. L’approche keynésienne Elle s’intéresse notamment à l’emploi, elle cherche à expliquer le mécanisme qui permet d’aboutir à la determination du niveau de l’emploi. Plus précisément, Keynes veut montrer que le fonctionnement spontané des économies capitalistes peut déboucher sur des situations de sous emplois massifs. En particulier, le marché du travail peut se clore sur une situation de chômage involontaire, et ce en dépit d’une flexibilité des salaires, réelle. Selon Keynes, le niveau d’emploi, d’équilibre ne résulte pas de la confrontation entre offre et demande de travail, mais des seules décisions unilatérales des employeurs.

Il y a trois natures:

- C’est une économie de production, l’activité économique s’organise autour de l’acte de production.

-

-

Production et emploi sont déterminés sur la base des anticipations de court terme des entrepreneurs de la demande globale qui leur sera adressée. Le marché représente ainsi le lieu où se confirme ou s’infirme les anticipations. Il n’y a donc pas d’économie de marché. C’est une économie monétaire, la monnaie est une unité de compte, un moyen de paiement, et un moyen de détention privilégiée de la richesse. Les agents affichent une préférence pour la liquidité et la monnaie n’étant plus neutre. Les comportements vis a vis de la monnaie vont influencer le niveau de l’ensemble des grandeurs économiques et en particulier ceux de l’emploi et de la production. C’est une économie incertaine, il existe une incertitude non probabiliste, qui provient de la non harmonisation des comportements des agents économiques, c’est à dire, de l’incertitude endogène. D’autre part les anticipations qui jouent un rôle essentiel dans le raisonnement keynésien économique contribue à augmenter le degrés d’incertitude des systèmes économiques.

Dans l’économie de production, la production et l’emploi sont déterminés sur la base de l’anticipation, tandis que chez les classiques, pas d’anticipation, l’équilibre s’obtient par l’offre et la demande. Les anticipations se basent sur la demande globale. Le marché va ensuite confirmer ou infirmer les anticipations. Le rôle de la monnaie est un débat sans fin entre classiques et keynésiens. Chez les classiques, elle ne fait que les transactions, chez les keynésiens, elle ne sert pas qu’à échanger. Il existe chez les keynésiens une incertitude face à l’économie car dès lors que l’on se base sur l’anticipation il y aura des calculs et des incertitudes puisque l’on se base sur le passé pour déterminer l’avenir. Chez les classiques, il n’y a pas ce problème là. Les deux principes fondamentaux:

- La demande effective, selon cette loi qui représente une remise en cause de la loi des débouchés, les anticipations de débouchés permettent de déterminer le niveau de la production et de l’emploi.

- La préférence pour la liquidité, ce principe représente une remise en cause de la théorie quantitative de la monnaie. Si le taux d’intérêt apparait comme le prix de renonciation à la consommation et comme une variable d’ajustement entre l’offre de l’épargne et la demande d’investissement sur le marché des fonds traitables dans l’approche classique. Le principe de la préférence pour la liquidité implique que le taux d’intérêt représente le prix de la renonciation à la liquidité et une variable d’ajustement entre préférence pour la liquidité et la quantité de monnaie disponible. Le taux d’intérêt sur le marché part de la BCE (banque centrale européenne). Il est fixé selon plusieurs critères. Exercice 4 1°) 1,6x + 2y < 22,8 2°) 3x + 2y < 34 3°) cf plaquette 4°) Parmi les combinaisons réalisables, celle qui utilise à la fois les deux contraintes est celle qui utilise x et y, qui vérifie le système d’équation 1,6x + 2y = 22,8 3x + 2y = 34 Ce couple correspond au coordonnées du point d’intersection entre les deux droites ayant une équation. 5°) Bien que le point A permet d’utiliser la totalité des ressources, il ne correspond pas forcement à la combinaison de production qui permet de maximiser le profit de l’entreprise. Ce dernier dépend des prix de vente relatifs des pantalons et des t-shirts.

TD N°2: L’économie comme circuit Exercice 1: Stock: On appel stock d’un bien le total dont dispose un agent économique à un instant donné. Un stock est nécessairement positif ou nul. Flux: On appel flux la variation du stock d’un bien dont dispose un agent économique entre deux dates. Il peut être positif, négatif ou nul. a. b. c. d. e. f. g. h. i.

Stock Flux Stock Stock : déterminé à une date précise Flux : déterminé entre deux dates, pas à l’instant précis Stock Flux Stock Flux : différent au cours d’une année car il y a les recettes et les dépenses publiques

Exercice 2: 1°) Approche circuitiste: Elle a ses origines anciennes qui remontent au 18è mais elle s’est développée au 20è siècle avec le développement de la pensée de Keynes et le développement de la comptabilité nationale. Elle analyse l’économie nationale dans son ensemble et s’inscrit dans une logique d’analyse macroéconomique. De manière plus précise elle a pour objectif d’identifier et d’étudier les relations entre les agents économiques à l’échelle d’une économie nationale ainsi qu’a l’international a travers la représentation théorique de l’économie réelle sous forme d’un circuit et l’écriture d’identité comptable déduite à partir de ce circuit. 2°) Il y a 4 pôles dans cette économie car il s’agit d’une économie fermée: - Ménages - Banques - Entreprises - Administrations 3°) cf schéma 4°) A taux 0 on a w = 5000 et y = 7000 A taux 1 on a w1 = 2000 et y1 = 7000

Donc:

II = y - w = 7000 - 5000 = 2000 II1 = y - w1 = 7000 - 2000 = 5000

A revenu égal, la baisse des salaires versés engendre une augmentation de dividende. La dividende est la rémunération des actionnaires, les actionnaires bénéficient de la dividende du placement qu’ils ont fait. 5°) G - T désigne le solde budgétaire qui peut, selon le signe de alpha être déficitaire ou excédentaire. S - I désigne, selon le signe de alpha, un besoin ou une capacité de financement. Selon le signe de alpha, nous pouvons déterminer la flèche. Si alpha est supérieur à 0 alors G est supérieur à T et S est inférieur à I, il y un déficit budgétaire. L’état va emprunter sur le marché financier pour combler son déficit. Si alpha est inférieur à 0 alors G est inférieur à T et S est supérieur à I, il y a donc un excédent budgétaire. L’état va placer ce qui lui reste en banque. Il se comporte comme un ménage disposant d’une épargne qu’il va placer sur le marché financier. Il y a quelques états à qui cela arrive. 6°) S = I = 1400 et G = T = 1300 Lorsque tout est égal, épargne et investissement sont égaux et versements et taxe aussi, on parle d’équilibre budgétaire. Cette situation explique l’absence de flèche entre les deux pôles, c’est à dire que les administrations n’ont ni besoin d’emprunter ni d’épargner.

Exercice 3: 1°) - Pôle ménage : Y (revenus des ménages) = C (consommation) + S (épargne) + T (taxe) - Pôle marché des biens et services: Y + M = C + I + G + X et Y = C + I + G + X - M - Pôle Etat: G = T + alpha , donc incertitude quand au signe de alpha - Pôle financier: S = I + alpha, donc incertitude quand au signe de alpha - Pôle entreprises: ce pôle perd de sa pertinence pour le circuit en économie ouverte car la demande des biens et des services s’adresse au marché ouvert, non seulement aux entreprises nationales, mais aussi à celles du reste du monde. 2°) a. D’après l’équation, on a S = Y - C - T, donc S = 8000 - 5000 - 1200, S = 1800. Nous avons Y = C + I + G + X + M, donc 8000 = 5000 + 2500 + 1500 + 2000 - M, M = 3000 b. Solde balance commerciale: X - M = 2000 - 3000 = - 1000 Il y a un déficit de la balance commerciale, graphiquement, la flèche reliant reste du monde et marché financier sera représentée en direction du marché financier. Solde épargne-investissement: S - I = 1800 - 2500 = - 700 Solde déficitaire, si l’on considère le comportement des agents privés uniquement, on peut évoquer une situation de besoin de financement. L’épargne des agents ne suffit pas à couvrir le besoin de financement des entreprises. Solde budgétaire: T - G = 1200 - 1500 = - 300 Nous sommes en déficit budgétaire, graphiquement parlant, la flèche reliant l’état au marché financier sera représentée en direction de l’état. d. L’économie nationale présentée dans cet exemple présente un déficit budgétaire conjugué à un déficit de la balance commerciale. On parle alors de déficit jumeaux. Aussi, dans cette économie, l’investissement est supérieur à l’épargne, cette situation n’est possible que parce que l’économie est ouverte d’un point de vue commercial et financier. Il s’agit d ‘une économie endettée, sa situation n’est pas viable sur le long terme, l’économie doit rembourser ses dettes, alourdies par les intérêts, pour rétablir son équilibre budgétaire. (Une telle économie aura du mal à attirer les capitaux, notamment dans le cas ou l’endettement s’étale sur plusieurs périodes.)

TD N°3: Principes de comptabilité nationale et agrégats macroéconomiques Première partie:

Exercice 1, 2 : [Voir dossier TD] Exercice 3 : 1) 2)

Ressources institution sans but lucratif. Ressources, emploi ménage car un don est un transfert sans contrepartie 3) Ressources 4) emploi 5) ressources des ménages, emplois des SNF 6) emploi ménage, ressources SF 7) ressources SNF 8) emploi des APU, ressources des ménages 9) production non marchande 10) emploi ménage, ressources SNF

Exercice 4 : 1. Compte d'opérations courantes Emploi:

Ressource:

VA = P – CI P = VA + CI P = 1381,4 + 956,3 P = 2337,7 Compte de production Consommation Inter. : 1381,4 Solde : VAB : 956,3 VAB = P – CI = 2337,7 – 1381,4

Production : 2337,7

Compte d'exploitation Sal. et trait. Bruts (versés) : 634,5 Impôts sur la production versés : 55,4 Subv. D'exploitation reçus : 18,2 Solde : EBE : 284,6 = 956,3 – (634,5+55,4-18,2)

VAB = 956,3

Compte d'Affection des revenus primaire Rev. de la prop. Versés : 326,2

EBE!: 284,6 Rev. de la prop. (reçus)!: 212,4

Solde : solde des rev. Primaires (SRP) = 170,8 = (284,6+212,4)-326,2 Compte de distribution secondaire de rev. Impôts sur le revenu des soc versées: 17,7 Transferts courants versés : 52,7 Solde : rev. dispo brut (RDB) : = 121,9 = (170,8+21,5)-(17,7+52,7)

SRP : 170,8 Transferts courants reçus : 21,5

Compte d'utilisation du rev. Dispo Solde: épargne brut (EB) : 121,8

RDB : 121,9 Compte d'accumulation

Variation des actifs

Variations des passifs

Compte de capital FBCF: 191,9 Variation de stocks : -32,7 Solde : capacité (+) ou besoin (-) de financement: -23,1

EB : 121,9 Transfert en capital nets (à moins à payer) : 14,2

Les SNF ne sont pas concernés par le compte de redistribution

Les SNF n'ont pas consommation finale c'est à dire que RDB = EB 2. Le compte de capital: Il décrit les opérations d’accumulation. son solde peut être définit de la manière suivante, le solde du compte de capital représente la capacité ou le besoin de financement des différents agents économiques. Il indique dans quelle mesure l’épargne des agents leurs permet de financer ou non leurs investissements. Dans le cas d’un besoin de financement, les agents doivent recourir à l’emprunt pour compléter leur épargne et financer ainsi leur investissement. Dans le cas d’une capacité de financement, ils peuvent placer leur épargne, permettant ainsi de financer les agents à besoin de financement. 3. La comparaison des comptes des FNS françaises de 2010 par rapport à ceux de 2011 permet de dégager les enseignements suivants: - En 2011, l’activité des SNF à fortement reculé. En effet, la production ainsi que la valeur ajoutée ont régressé (toute chose = par ailleurs). Ce qui permet d’expliquer la baisse de l’EBE.

- En 2011, le solde net des revenus de la propriété des SNF s’est détérioré. Il est passé de moins 103 en 2010 à moins 113,8 en 2011 (en milliards d’euros).

- En 2011, la forte réduction des impôts sur les sociétés permet de compenser la baisse de l’EBE. -

Cette forte réduction des impôts résulte mécaniquement de la baisse de l’activité (les impôts sont assis sur l’EBE). EN 2011, l’épargne des SNF à baissé comme c’est souvent le cas en période de baisse d’activité. Cette baisse est associée à une réduction des investissements (baisse de la formation brute de capital fixe, FBCF), et à une forte réduction des stocks. EN 2011, on constate une baisse du besoin de financement des FNS. Cela s’explique notamment par la baisse des besoins en FBCF et par le recours au destockage.

4.

- 284,6 x 10% = 28,5 -> 284,6 = EB de 2011 -> 10% = Taux d’importation On constate que l’état s’est approprié une partie de l’épargne des SNF, soit 11 milliards d’euros, d’où un besoin de financement qui augmente et qui passe de -23,1 milliards à - 33,9 milliards d’euros après la hausse des impôts. L’état peut utiliser la somme collectée pour financer un plan de relance de l’économie et/ou un plan de redistribution sociale. CF feuille tableau - CP: on prend la production et on enlève la valeur intermédiaire = 956,3 - CE: on déduit les salaires, impôts, subventions = 284,6 - CARP : on prend l’EBE et on ajoute les revenus de la propriété = 170,8 - CDSR: on prend le solde de revenu primaire et on soustrait les emplois = 111,1 - CC: revenu de -33,9 au lieu de -23,1 On calcul tout à partir de l’EBE 5. Pour ne creuser le besoin de financement les FNS peuvent agir sur les leviers suivants : - Baisser les salaires, toutefois cela présente l’inconvénient d’augmenter l’ EBE et par conséquent les impôts à payer. - Baisser les dividendes versés aux actionnaires - Diminuer les investissements EBE: excédent brut d’exploitation Deuxième partie: Exercice 1: Ex: Emploi pour les restes du monde 145 est une ressource pour les biens et services en exportation Emploi en biens et services pour les importations sont des ressources pour le reste du monde

- Le compte de production: la production des APU est ...


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