Td histoire philo kant - Résumé Critique of Pure Reason PDF

Title Td histoire philo kant - Résumé Critique of Pure Reason
Course Philosophie 2
Institution Université Bordeaux-Montaigne
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Summary

Comment les jugements synthétiques a priori sont-ils possibles ?...


Description

lundi 30 octobre 2017

TD Kant, Critique de la Raison Pure Introduction de la CRP : Introduction qui impose les concepts fondamentaux de l’édifice de la critique. Différence entre : La connaissance a priori

La connaissance empirique

Attitude innéiste. Nous possédons des structures de pensée innées et qui ne doivent rien à l’expérience.

L’expérience déclenche le processus de connaissance.

Kant pense que nous disposons de structures a priori (= intuitions pures de l’espace et du temps) dans l’entendement. Nous ne pouvons avoir de connaissance qu’avec l’expérience du monde. Mais cette expérience est possible car nous avons déjà des éléments a priori dans notre esprit. Il nous faut des capacités de connaissance pures. C’est un innéisme différent de chez Descartes car les formes pures ne se déclenchent qu’avec l’expérience. Différence entre : Les connaissances a priori pures

Les connaissances a priori non pures

Objets dont on ne peut faire l’expérience. (ex : le nombre).

Exemple : tout changement a une cause. Enoncé non pur car le concept de changement ne peut être acquis qu’avec l’expérience.

Chapitre II : Kant identifie les connaissances a priori à la connaissance scientifique qui répond à 2 critères : • Critère d’universalité. • Critère de la nécessité. Kant introduit une référence à Hume en disant que Hume l’a sorti de son sommeil dogmatique. Hume critique le concept de causalité qui met en danger la science car si on ne se base que sur l’expérience il n’y a plus de science. Hume veut briser la notion de commodité entre la répétition des évènements et la notion de causalité. Kant oppose à Hume que nous sommes capables d’une connaissance a priori en s’appuyant sur des sciences indiscutables comme les maths et la physique. Il va être nécessaire d’établir une science qui détermine la possibilité, l’étendue et les principes de toutes les connaissances a priori. Chapitre III : Révélation du statut a part de la méta. Les objets de l’arithmétique et de la géométrie seront des connaissances pures. La physique est une connaissance a priori qu’on rencontre dans l’expérience. On peut penser que l’enjeu pour Kant est une connaissance scientifique dans la méta mais il pose en fait la question de la possibilité de la connaissance scientifique en général = terme

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lundi 30 octobre 2017 transcendantal. Cette science que sera la philosophie transcendantale portera sur la possibilité de connaitre a priori des objets. Toute la CRP est le point de départ de la philosophie transcendantale. Différence entre : Jugements analytiques

Jugements synthétiques

«"Les corps sont étendus"» Dans le jugement analytique a lieu un développement du concept du sujet. Jugement tautologique.

«"Les corps sont pensants"» Jugement qui produit une augmentation de la connaissance. Le concept de prédicat n’est pas compris dans le concept de sujet. Pour avoir un gain de connaissance il faut faire appel a l’exp.

Sujet + prédicat dans les 2 cas. Connaissance = synthèse de représentations. Emettre un jugement = attribuer un prédicat. Le jugement analytique semble possible a priori, contrairement au jugement synthétique. Mais comment peut-on avoir un gain de connaissance sans expérience ? Chapitre V : 7+5=12. Enoncé entièrement a priori. Gain de connaissance qui ne passe pas par l’expérience. Recours à l’intuition pure. «"Toute matière reste la même"» = connaissance pure (universelle et nécessaire) mais pas pure car les concept de cet énoncé ne peuvent être connus que par l’expérience. Bref c super clair. Les 5 questions du problème général de la raison pure : • Comment des jugements a priori sont-ils possibles ? • Comment la mathématique pure est-elle possible ? • Comment la physique pure est-elle possible ? • Comment la méta est-elle possible en tant que disposition naturelle ? • Comment la méta est-elle possible en tant que science ? Pour Kant, une méta est possible comme science. Le projet de la raison pure est de rendre possible l’édification d’une méta scientifique. L’intro tend vers un but : formuler le pb général de la raison pure. Kant interroge la possibilité même des jugements et met sur le même plan les sciences positives (maths et physiques qui existent depuis des siècles et sont efficaces, indépendantes) et la méta (est encore un champ de bataille, discipline pas isolée). En quel sens la question des conditions de possibilités de la méta implique la question des conditions de possibilité des maths et de la physique ? = Comment une science est possible ? P.43 «"On gagne déjà beaucoup"» — p.45 «"scepticisme"». L.1 — l.21 = Pb général de la raison pure. L.22 — l.39 = Disposition naturelle de la raison à la méta. L.39 — Fin = La question de la possibilité de la méta comme science dans la position humienne.

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lundi 30 octobre 2017 Première partie : Pb général d’épistémologie. Nous avons des capacités de connaissance indépendantes de l’expérience. Qu’est-ce qui, en notre esprit, rend possible la connaissance ? En quoi consistent ces capacités de connaissance qui sont a priori dans notre esprit ? Si on en reste à Hume, la connaissance est universelle, nécessaire, et l’expérience est particulière. Deuxième partie : Positionnement vis-a-vis de Hume. Kant le critique en disant qu’il n’a pas pris en compte le fait qu’il y avait des sciences déjà existantes et réelles. C’est pour cela qu’il est resté au scepticisme alors que Kant est à la critique. Kant accorde un statut a part à la méta car pour les maths et la physique le pb va se formuler comme une question. Mais pour la méta : Est-elle possible ? L.20/21 : «"Que chacun a le droit de douter"». C’est donc tout de suite une question ambiguë car la méta n’est peut-être pas encore une science mais bien une disposition naturelle de la raison. Troisième partie : La disposition de la méta. Chapitre VI : Comment des jugements synthétiques a priori sont-ils possibles ? Kant admet 2 arguments : • La méta comme science. • La méta comme disposition naturelle. Disposition naturelle de la raison : cette tendance à la méta concède en un besoin de la raison. La raison se définit par ce besoin de méta. C’est un besoin universel. Il ne s’agit plus de savoir si la méta est possible mais comment elle existe en tant que disposition naturelle. Comment la méta est-elle elle-même possible comme science ? Kant interroge les conditions de la méta comme science et l’enjeu est de conjurer le scepticisme. La méta comme disposition naturelle mène toujours à une contradiction. Dans la méta scolastique = débats entre thèses et antithèses = illégitime et dont il faut se méfier. Quand on fait de la méta scolastique on arrive toujours à des contradictions, on doute de la raison. On n’arrive donc pas toujours à distinguer le vrai du faux. L’expérience possible chez Kant : hors du domaine de l’expérience possible, il n’y a pas d’expérience qui soit possible. Comment la méta va être possible en tant que science ? La terme de «"science"» va être modifié ou perdre de sa consistance. Il appelle à une inversion des formes méta, au-delà des phénomènes de la nature, elle portait sur le monde, sur nous et sur tout ce qui existe. Le prix que Kant est prêt à payer pour éviter le scepticisme est le prix de la restriction et la disciplinarisation de la méta. La philosophie jusqu’à Hume était dogmatique et ce dogmatisme ne pouvait mener qu’au scepticisme. Kant amène une étape critique dans la méta dans la voie d’une science. La CRP, qui s’ouvrait sur une question de la nature et les limites de la méta, devient une question sur la possibilité de la science en général alors que toute notre connaissance relève de l’expérience. Kant, dans le chap 7 de l’intro, va avancer qu’il faut une science particulière. Cette partie est un fondement à la méta et aura une utilité négative. C’est la philosophie transcendantale qui se définit comme une connaissance qui s’occupe moins des objets que de notre manière de connaitre a priori les objets. La CRP se veut aussi être une fondation de la connaissance scientifique.

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lundi 30 octobre 2017 «"Critique"» = on divise d’une manière scientifique les capacités de l’esprit humain. «"Raison"» = la faculté suprême de l’esprit humain. Ce que Kant appelle l’inconditionné. Elle ne se développe que pcq il y a sensibilité + entendement. On dresse l’anatomie complète de l’esprit en partant de la sensibilité, en passant par l’entendement et en concluant par la raison. «"Raison pure"» = pléonasme. On devrait dire «"Critique de la raison pure spéculative"». ____________________________________________________________________________ Le but de la CRP va être de trouver comment il y a des éléments purs dans l’esprit humain. I.

Théorie transcendantale des évènements a) Esthétique transcendantale

Comment la mathématique pure est-elle possible ? Comment les éléments purs de la sensibilité sont-ils possibles ? Esthétique transcendantale = science dans tous les principes de la sensibilité a priori. Il y a des conditions de possibilité qui sont les intuitions pures de l’espace et du temps. Distinction entre phénomène et choses en soi (= réalités auxquelles nous n’avons pas accès). b) Logique transcendantale Passe à l’entendement. 1) analytique transcendantale Fonctionnement de l’entendement. Comment des éléments purs de l’entendement sont-ils possibles ? • Quels sont les concepts purs de l’entendement ? • Comment les concepts purs de l’entendement peuvent s’appliquer aux éléments purs de la sensibilité ? = Comment la physique pure est-elle possible ? Les 5 questions dans le chapitre 6 de l’intro renvoient chacune à une partie du livre. Est-ce que les jugements qui portent sur des objets qui sont au-dessus de l’expérience sont légitimes ou pas ? = Comment la méta est possible en tant que disposition naturelle ? 2) dialectique transcendantale Ce que Kant retient de la dialectique, c’est que c’est un art de représenter un discours mais dont le contenu est faux. 2 prémisses —> une conclusion. Mais si une prémisse est fausse, le raisonnement n’est plus valide. De la vérité du syllogisme ne découle pas forcément la vérité de la conclusion. Dialectique transcendantale = Etude des raisonnements dialectiques comme tendance de faire passer la validité du raisonnement pour la vérité du contenu. PLAN A RETROUVER MDR :/ Esthétique transcendantale : L’espace comme forme pure de l’intuition : Quand il parle de l’être humain, il ne parle que de l’intuition sensible, contrairement à l’entendement = médiat. Kant considère que l’intuition humaine est sensible. ____________________________________________________________________________

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lundi 30 octobre 2017 P.53 à p.55 : 1. Intuition humaine : sensible. 2. Formes pures de l’intuition. 3. Plan de TTE. Il fait une expérience de pensée par abstraction, conclut : il existe dans toute expérience une forme de sensibilité = formes pures de l’intuition. La philosophie a besoin d’une science qui détermine l’étendue de nos connaissances a priori. Comment l’Homme qui connait par l’expérience peut être capable de formuler des jugements synthétiques a priori ? Kant va tenter d’affirmer qu’il existe des formes pures de l’intuition. Commentaire : Ce texte couvre les éléments essentiels de la méthode et annonce la méthode. —> 2 sources de connaissance : le sensibilité et l’entendement (= capacité de formuler des concepts qui correspondent à l’intuition). Les concepts de la raison, les idées, correspondent à des objets dont elle ne peut avoir d’intuition. Le pouvoir d’intuitioner pour l’Homme est un pouvoir sensible. Intuition = intuition de sensation. On pourrait croire qu’elle est seulement empirique. Comment de tels jugements sont possibles si deux sources de connaissance humaine sont déterminés par l’expérience ? Pour contrer cette impossibilité, Kant affirme à la fois le caractère sensible et la possibilité a priori de la connaissance. Pour résoudre cette apparente contradiction : L.1 — l.22 : Affirme que l’intuition humaine est sensible. L. 23 — l.46 : Existence de formes pures de l’intuition. Jusqu’à la fin : Plan partiel de la théorie transcendantale des évènements. Première partie : Kant commence par présenter l’intuition comme intuition sensible. Il y a aussi l’intuition divine = connaissance exhaustive de chaque objet. Evoque ensuite le rôle de l’entendement, c’est là que la logique transcendantale apparait. Evoque la sensation qui est la matière de la sensibilité, et l’intuition qui contient la sensation est empirique. Concept de phénomène (= ce que l’on peut connaitre) qui amène 2 types de réalités : la réalité phénoménale et la réalité des choses en soi. Kant vient d’affirmer que l’intuition humaine est empirique, ce qui met en péril la connaissance scientifique universelle. C’est pour cela que dans la deuxième partie, Kant va affirmer que nous pouvons avoir une connaissance pure de l’intuition. Deuxième partie : Opposition matière (= contenu d’une chose) ≠ forme (= son agencement). Il associe cette distinction à la distinction a priori ≠ a posteriori. La sensation n’est possible que dans la mesure où nous disposons, indépendamment de l’expérience, d’une forme qui soit possible de la recevoir. Platon établit une théorie des formes = il existe des entités innuables et parfaites. Kant reprend une opposition classique. Il ne fait pas table rase de tous les anciens concepts mais leur donne une def qui est entièrement nouvelle = réalité entièrement subjective et qui rend possible l’appréhension sensible de la matière. Il existe une structure commune à tous les esprits humains qui rend possible l’expérience. Kant fait une expérience de pensée qui procède par abstraction. Il va s’agir de faire abstraction de 2 espèces de choses présentes dans notre pensée : • Abstraction des choses apportées dans l’entendement, abstraction de la force et de la divisibilité. • Abstraction de ce que l’on doit à la sensibilité. Il va alors rester deux choses : - L’étendue : ce que prend la chose dans l’espace. - La figure : Le contour, la silhouette.

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lundi 30 octobre 2017 Pour Kant, si on procède à cette abstraction, il y a un reste qui est indépendant du concept et de l’expérience. Kant affirme alors l’existence d’une intuition pure indépendamment des objets réels des sens, ou de toute sensation. Si toute expérience comporte qqch de pur, la possibilité de jugements synthétiques a priori commence à s’estomper. Kant ouvre la possibilité d’une connaissance universelle = troisième partie dans laquelle Kant montrer comment il va procéder à sa recherche sur l’esprit humain. Science de l’esthétique transcendantale : science de tous les principes de la sensibilité a priori. Troisième partie : Fait abstraction de tout ce que l’entendement pense par concepts puis de tout ce qui est ressorti de la sensation, de telle sorte qu’il ne reste que l’intuition pure. Il existe 2 formes pures de l’intuition : Comment peut-on définir les notions d’espaces et de temps ? 2 propriétés de notre esprit, une sensible aux corps extérieurs car nous disposons d’une dimension pure de l’espace (sens externe d’un côté et sens externe de l’autre). Hétérogénéité entre ces deux domaines pcq le temps ne peut être considéré extérieurement. Il envisage plusieurs options, p.55 «"De l’espace"» : • St Augustin = Je sais ce qu’est le temps mais je ne saurais l’expliquer. L’espace et le temps sont des êtres réels (position de Newton) qui existent indépendamment de ce qu’ils contiennent et du fait qu’ils soient oui ou non intuitionés. D’un point de vue ontologique, ils ont une consistance plus forte que les objets matériels. • Leibniz = L’espace et le temps ne sont pas comme des contenants indépendants des choses mais sont des rapports entre les choses. • Kant = Va considérer que l’espace et le temps sont des données subjectives, ils existent comme des données des objets, ils sont dépendants de l’intuition. Dans la mesure où il établit une conception de l’espace et du temps, il s’inscrit dans une méta. Ce texte se conclut sur une précision où Kant distingue 2 modes d’exposition des intuitions pures : - l’exposition méta : espace et temps sont a priori. - l’exposition transcendantale : ce que l’espace et le temps rendent possible. Comment l’espace et le temps sont des conditions de possibilités a priori de l’expérience ? p.55 «"De l’espace"» : Argument de distinction : l’espace : si on ne dispose pas de l’espace, alors pas d’intuition. Distinction entre : - les différents objets. - le soi et les objets extérieurs dans un espace. On peut avoir une représentation d’un objet dans un espace vide mais pas d’objet vide dans un espace. On se représente toujours une figure étendue, on ne peut se représenter un objet vide. L’espace est une représentation a priori et transcendantale. Elle plus d’être a priori, il est condition de la représentation des objets externes. C’est pas un contenu qui existe indépendamment de notre intuition. C’est une projection subjective qui rend possible notre sensation des objets. L’espace n’est pas une réalité conceptuelle mais une intuition. Il est une réalité unique et non une réalité divisée. Si nous sommes capables d’établir des différences entre différentes choses, alors nous avons l’intuition d’une unité spatiale. On forme alors des concepts concernant l’espace. On ne peut faire des jugements synthétiques (= jugements de connaissance) seulement par ces concepts, il faut un recours à l’intuition qui fournit une certitude apodictique. Ce recours aux maths s’appelle la construction de concepts. Maths d’une part, philo de l’autre. La philo procède seulement par concepts et n’a pas recours aux intuitions, les maths ont recours aux intuitions de l’espace et du temps. Pour qu’on puisse avoir un concept, il faut un support infini dans lequel les choses se donnent à se connaitre. Le concept procède en attrayant des caractères communs perçus dans ce divers.

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lundi 30 octobre 2017 Intuition = intuition dans laquelle se donne le divers. Rend possible l’appréhension de la multiplicité. Kant développe 4 arguments pour dire que l’espace est une dimension transcendantale a priori. Des jugements synthétiques a priori sont possibles en maths (géométrie). Dans ce domaine, analyser les concepts géométriques ne permet pas la connaissance. (fonction, vide, unicité, infinité). Séance 5 : Le temps nous permet de nous representer différentes choses simultanément et successivement. «"Le temps est la condition a priori des phénomènes en général"» = Kant définit une objectivité subjective. Cette réalité est liée à «"l’idéalité transcendantale"». Méthodologie : Fonction du pb dans un commentaire. Face à un texte descriptif, l’enjeu est de produire un pb qui va fournir un fil conducteur, on suscite la qst à laquelle le texte répond. Comment peut-on dire d’une même chose qu’elle une valeur et objective et subjective ? Reprise : Kant dit que l’espace = condition subjective de l’expérience. En revanche, le temps = condition du sens interne. Rend possible l’appréhension des phénomènes intérieurs ou des états intérieurs au sujet. En même temps, le temps = condition de l’appréhension de tous les phénomènes dans la mesure où les sensations externes sont vécues de façon interne par le sujet. Il n’y a rien que l’on puisse connaitre indépendamment de détermination subjective. Toute notre connaissance = déterminée subjectivement. Le point de départ de Kant est la possibilité de la connaissance objective des phénomènes. Le temps = donnée subjective, forme pure de notre intuition. Il n’existe pas dans les choses mais seulement pour nous. Il a une valeur objective, permet une connaissance conforme à une réalité. p.63 : Plan : L.1 — l.18 : Le temps est la condition subjective de tous les phénomènes. L.19 — l.42 : Pas de réalité en soi mais seulement en nous (objectif seulement). Jusqu’à la fin : N’a de réalité qu’en nous mais n’est pas illusoire. Procède à la fois d’un idéalisme empirique et transcendantal. a) «"Ce qui apparait"» Phénomène = réel, ce qui apparait, réel phénoménal en général. Conception selon laquelle l’objet de la représentation est toujours pris dans des rapports (cadre spatial et temporel) que nous projetons sur ce qui nous enviro...


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