UE7 Histoire de l\'illustration pour la jeunesse PDF

Title UE7 Histoire de l\'illustration pour la jeunesse
Author Shana Coudeville
Course Littérature
Institution Université de Lille
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UE7 : HISTOIRE DE L’ILLUSTRATION POUR LA JEUNESSE Introduction 

Histoire : On s’intéresse au passé et au présent. Histoire fait référence à la science historique. Il faut avoir des documents pour comprendre le passé grâce à l’écriture. Date repère : Début -3500 ans car il n’y a pas d’écriture avant cette date.



Illustration : C’est une image qui entretient un rapport premier et complexe avec le texte qui l’accompagne. Texte qui est quantitativement plus important. Référence par excellence : Roman illustré pour la jeunesse. Type d’image qui dans un contexte particulier. On peut le trouver sur plusieurs supports : dans le roman, la presse écriture (19e), Internet.



Jeunesse : Therme générique qui regroupe de étapes, des âges de maturations humaine avec l’enfance, l’adolescence. Mais avec des problèmes de frontières avec les bambins. Le lien entre le bébé et le livre sont compliqué mais possible. L’adolescence commence environ vers 11-13 ans, l’entrée au collège. Le passage de la primaire au collège est très important. Car il y a une phase de sociabilisation différente à la place d’être familiale elle va être amicale. Qui s’arrête à la fin du lycée. Il y a également Adulescence. Qui reste encore dans l’adolescence. Et le monde de l’édition suit bien ce mouvement (ref : Harry Potter sous différent format, plus adulte). Il y a toujours eu des adolescences mais il n’était pas reconnu. Il y a pourtant une construction de l’identité. L’essentiel de la population était des campagnards. Du coup dans cette partie rurale, l’importance est de survivre et du coup tout le monde met la main à la pâte. On fait beaucoup d’enfants car mortalité importante et à partir de 8 ans ils sont assez grand pour travailler du coup il passe de l’enfance à l’adulte très rapidement. Qu’est ce qui va permettre de légitimer l’adolescence ? L’école obligatoire pour tous en 1960. Massification de l’enseignement secondaire. A partir de là, il y a une effervescence du genre. Cela va homogénéiser cette période.

Questions de méthode Sociologie des pratiques culturelles : Sociologie, c’est replacer dans la société et en quoi elle a ça place dans la société et comment la société s’est retrouvée dans cette chose. L’évite que les choses existent en elle-même. Même les illustrations sont conditionnées par la société. Il y a une influence de notre société et on doit faire l’effort de penser comme la société de l’époque en analysant une illustration. Pratique culturelle : le foot, les sorties avec les copains, cinéma, lire… Depuis 1973-2018, le ministère de la culture fait des recherches sur les pratiques culturelles. On a plus une vision hiérarchisée sur la culture. On a la capacité de poly lecture, on a plusieurs lecteurs à l’intérieur de nous (lire des revues de sports, lire Flaubert, Harry Potter…). Sémiotique des relations texte-image : il y a une science pour analyser l’image et du coup des codes. L’image est encodée autant que le texte. Il y a des notions à acquérir. 1

DOCUMENT : JOURNAL SECRET DU PETIT POUCET, ILLUSTRATION DE REBECCA DAUTREMER. Production contemporaine. Il y a du texte et de l’image. Adaptation des contes de Perrault, qui est une source importante de littérature de jeunesse. Une image qui s’étend, à bord perdu. DOCUMENT : BABAYAGA, ILLUSTRATION DE REBECCA DAUTREMER. Adaptation d’un comte Russes. On l’appelle aussi le petit chaperon Russe. A la place du loup, c’est une sorcière. Est-ce que vous voyez un point commun entre ses trois doubles pages ? Il y a un cohabitions entre le texte et l’image (pas de texte en blanc à part). Pas de frontière entre le texte et l’image. L’occupation entre le texte et l’image est redistribuée. L’illustration est au centre et le texte est poussé. Dans notre culture, on est très rationnel (influence de Descartes) même dans le positionnement de l’image. Ce qui est centrale est important. Il y a une mise en valeur de l’illustration. On a faire à deux logiques différentes. Logique centripète : mouvement vers l’intérieur et centrifuges : mouvement qui part vers l’extérieur. Il y a une gestion de l’espace différente. Dans le document A et C, c’est centrifuge car l’illustration est à corps perdu. La frontière entre l’image et notre monde est très fin. Le mouvement centrifuge est renforcé car il n’y a pas de vraie limite. Document C : Façon d’isoler un peu le texte avec le mur. Ce type de document : Album. L’album pour enfant, il y a une part de l’adulte car l’adulte l’achète également pour lui. Production au départ pour enfant mais qui sort de notre définition de la jeunesse. On a tendance à dire que c’est une image avec du texte. Elle a des particularités. Pratique de l’album pour aujourd’hui c’est comme les documents l’image plus important que le texte, alors qu’avant, la relation texte-image est très différent maintenant. Album est à la marge car ce n’est pas vraiment de l’illustration. Dans les années 1930, nouveau type de production et de relation texte-image : la bande dessinée. Il a eu du mal à se faire une place jusqu’en 1980.

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Cadre définitoire de l’objet « Illustration ».

DOC 1 : DENISE ESCARPIT, LA LITTÉRATURE DE JEUNESSE. ITINÉRAIRE D’HIER À AUJOURD’HUI Selon Locke : Les enfants entendent mais ne comprennent pas. L’image est support imitatif très important. Personne sauf Locke pense que l’image est très importante et à tout âge pour l’apprentissage. C’était une vue très moderne et pourtant non partagée. La BD était très stigmatisée et pourtant maintenant c’est considéré comme de la lecture. DOC 2 : MICHEL MELOT. Skira, éditeur suisse, publié des grands Formats consacré à l’illustration. Article de Michel Melot. On part au M-A avec les scribes. Les manuscrits, les illustrations étaient faite main. L’écriture et les illustrations, il y a un grand investissement. Innovation culturelle : 15e siècle, l’imprimerie et 20e, Internet. L’invention de l’imprimerie a permis à la crème d’avoir des livres. La culture populaire ça a commencé au 19e. L’essentiel de la culture, cela vient de la haute société (= « le crème »). 2

L’aspect technique de l’œuvre est très important. Re ségrégation du texte et l’image. Le texte et l’image étaient fabriqués à part. Gravure sur métal et l’impression du texte sont des techniques qui sont radicalement différentes et qui ne vont pas ensemble. L’écriture a perdu ce qui l’a rendu esthétiquement intéressante. La typographique se généralise au 19e siècle. Lithographie, la gravure sur pierre, c’est une fausse gravure, on va dessiner et écrire sur une pierre. Du coup, il y a moyen d’intermédiaire, on peut l’imprimer en plusieurs exemplaire et moins de frontière entre texte-image. La Litho va être un avantage pour les affiches. Le texte a retrouvé ses vertus esthétiques et devient une version iconique. Le cinéma a permis à l’image de reprendre du poil de la bête grâce à la séquentialisation.

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Premiers pas dans le temps et l’espace

2.1 L’Antiquité (-3500 – 500) (40 siècles) DOC 3 : L’ÉVOLUTION DE L’ÉCRITURE CUNÉIFORME. Tout premier moment de l’écriture. Cunéiforme : en forme de clou, de coin. C’est l’écriture la plus ancienne au monde. Mésopotamie, la terre entre deux fleuves, l’Irac. Pictogramme, le signe le plus ancien. Un signe mit pour un objet, une chose, un être. Au plus tôt de notre histoire, texte = image et image = texte. C’est la confusion. L’image a été le premier tremplin dans ce qui a été l’écriture. Ces signes sont mis en relation pour faire sens, pour faire des phrases. Cette écriture, qui l’utilise ? les scribes chez les égyptiens il a la même importance que le pharaon. L’écriture est directement sacralisée statutairement. Désacralisation du livre au 19e siècle en même temps que le dev de la culture populaire. 1953, Hachettes crée la collection livre de poche qui a été lancé le format. Le livre de mauvaise qualité mais pas très cher. Internet aussi a eu un effet sur la désacralisation de livre avec le pouvoir de modifier le livre. Dans l’antiquité, c’est un dieu qui donne l’écriture aux hommes. Du coup l’écriture est liée au sacré. En 3000 ans, l’écriture sumérienne va faire une double révolution. Elle va donner au texte un supplément de pouvoir qui est à l’origine du fait qu’on apprend plus l’écriture que l’image. Apprendre à lire et écrire c’est l’apprentissage de l’abstraction. L’image se rapproche plus du concret contrairement à l’abstrait. L’image est analogique et figurative. Les premiers codes de l’écriture : stylisation de l’écriture. On écrivait sur de l’argile molle du coup ça prend du temps. Le changement dans l’écriture c’était pour aller plus vite, c’est pour une raison technique du coup. Il y avait beaucoup de signes chez les sumériens du coup il fallait trouver une solution pour réduire le nombre de signe. Ils ont donc fixé les syllabes. Du coup le symbole « pain » et « pin » sont devenu les mêmes, ça s’appelle la phonétisation. Car l’oral ça revient au même son. L’écriture a été inventé pour gérer les stocks. Dans chaque civilisation a ses mythes pour gérer la société. Et l’écriture est toujours donné par un Dieu, ça sacralise l’écriture. L’écriture est figurative : ceux sont des pictogrammes. Les pictogrammes qui valent pour une idée : ceux sont des idéogrammes. La forme va être de plus en plus schématisé. Il faut donc avoir mémorisé le code. Ça repose sur un style figuratif, c’est esthétique. Par soucis d’économie, ils ont dû réduire le nombre de signe. On va faire la Phonétisation avant de réduire encore et que l’écriture devienne des lettres. Avec une abondance de

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consomme : 21 signes. L’écriture va faire repose sa supériorité sur l’image car elle est figurative et elle prend de la hauteur sur la réalité.

Écrire = dessiner

Texte

Texte = image

Image

DOC 4 : LISTE DE SIGNES CUNÉIFORMES. Les signes peuvent avoir une signification phonétique. Il y a toujours une lecture oralisée. DOC 5 : HIÉROGLYPHE ÉGYPTIEN Il y a plusieurs types d’écriture chez les égyptiens. Les Hiéroglyphes sont liés au sacré. On mettait un « Livre des Morts » avec les défunts. Ce livre était un genre de passeport pour l’autre vie. Chez les égyptiens, il y avait des épreuves, comme la pesée de l’âme. Les deux premiers signes sont des signes phonétiques. C’est un hiéroglyphe compliqué car il peut avoir plusieurs significations. Le 3e signes veut dire, bouche, boire, parler, du coup il faut rajouter un dernier signe pour déterminer la signification du 3e. On a compris la signification de ses écritures qu’au 19E siècle. On croit encore aujourd’hui, que l’écriture est pour expliciter le monde alors qu’il sert aussi à dissimuler. Ceux qui maitriser l’écriture, c’est avoir un pouvoir supplémentaire. L’écriture a été démocratiser très très lentement. Puisque le savoir, c’est le pouvoir. Pendant l’industrialisation, les industries se sont rendus comptes que les ouvriers devaient avoir un B.A.B.A sur l’écriture. Ref : « Le nom de la Rose », on tue pour un livre d’Aristote car les connaissances pourraient être dangereux pour la société.

2.2 Moyen âge (5e siècle – 15e siècle) L’appellation du Moyen Age vient du 16e siècle, qui ont voulu mettre entre parenthèse cette période obscur. Il y a une sorte de réactualisation du Moyen Age grâce à Tolkien et GOT avec une diffusion mondiale. 5e siècle, tsunami du peuple germanique. Il y a une invention d’armes. Et 15e siècle, il y a la redécouverte des textes de l’Antiquité. Dans ses textes, il y a la découverte du bonheur, le pouvoir politique (avec le Baptême de Clovis). L’église qui est très importante, les études se font autour des monastères, ce sont eux qui fabriquent les livres, des beaux livres. Si les livres sont fabriqué sous le contrôle de l’église donc les livres sous toujours en rapport avec la Bible. Pendant ce MA, on va écrire des livres mais aussi les illustrés. « Bible » = le livre par excellence, Dieu c’est du texte, relation corps et esprit. Le corps est mal et l’esprit c’est bien, on a cette pensée jusque 20e siècle. DOC 6: BOOK OF KELLS (VIIIE SIÈCLE) Livre d’Irlande, colonisé très tard mais bien colonisé. L’église est toujours très présente d’ailleurs. Avant que les missionnaires arrivent au 6e siècle. Avant il y avait une culture païenne, militaire et 4

guerrière. Le parchemin est de la peau de bête. La peau de bête était tellement chère qu’on le faisait de façon très esthétique. On a l’impression qu’il n’y a pas de texte. Il y a pourtant écrit en latin « Au commencement était le verbe » c’est un livre très religieux. C’est un phénomène anthropologique du 7e siècle. Quel que soit la culture elle est encore valable aujourd’hui. On a une culture religieuse qui s’impose sur une culture qui aime la décoration, le visuel. Il n’y a pas beaucoup de symboles décoratifs : des lignes, formes géométriques, des formes animalières. Une culture peut s’immiscer dans une autre la première culture va toujours se rebeller. On peut le voir ici car il y a beaucoup plus d’image que de texte. Ces lettres sont priées de passer sous la culture Irlandaise. On peut donc voir que l’image a eu un rôle de résistance culturelle. DOC 7 : MORALIA IN JOB (XIIE SIÈCLE). On est dans le livre de Samuel, le récit de Goliath et David. Relation texte/image : L’image va essayer de s’émanciper à partir du texte. Il y a une initiale « F » qui commence le texte. C’est une lettre, c’est du texte mais elle va jouer avec l’espace. Il y a un travail de la lettre qui passe le relais à l’image qui va s’accrocher au texte, il raconte dans ses médaillons des parties du texte. Ce qui est important quand on fait une relation entre le texte et l’image : l’immédiate de la relation. Le haut est plus important que le bas dans l’image. L’épisode centrale du texte est représentation dans le premier médaillon. Ref : Lessing différence entre le texte et l’image. Le texte c’est du temps. Livre = L’accocone DOC 8 : BIBLE DE SAINT ANDRÉ DU BOIS (2E ½ XIIE SIÈCLE) On est en Bourgogne. Personnages de l’ancien Testament. C’est un texte religieux. On est dans le même principe que le Doc 7 avec la lettre « I ». Mais il y a une différence car c’est une lettrine synthétique. L’image ressemble à un tronc d’arbre et c’est en rapport avec le texte. Il y a un souci à laïciser, on peut voir une partie de la vie quotidienne qui est mise en avant. On a une imprégnation de la religion dans les livres. DOC 9 : BIBLE DE CHARLES LE CHAUVE (MILIEU IX SIÈCLE) Région de Tours. Un texte religieux. Le livre est pour le roi, Charles le Chauves, fils de Charlemagne. On met en scène Saint-Jérôme qui a traduit la Bible en latin et qu’il distribue aux autres. L’image va aussi s’émanciper du texte de façon de plus en plus manifeste et rendre cette occupation cohérente = Processus de séquencialisation. La BD va d’ailleurs s’en inspirer. On peut voir que le décor n’est pas important car il y a un souci de proportion. On peut voir que tout ce qui sort du sacré est secondaire. L’occupation de l’espace est symbolique, ce qui est au centre est important. DOC 10 : GENÈSE DE VIENNE (VIE SIÈCLE), PREMIÈRE MOITIÉ DU CHAP 24. Les autres documents montraient une certaine évolution dans la relation texte/image. Là on est au tout début, très proche de l’antiquité. On n’a pas beaucoup de vestiges des écrits de l’Antiquités car ils étaient écrits sur des papyrus, qui est un matériel qui craint beaucoup l’humidité, du coup, il y avait beaucoup de perte. Égypte climat sec du coup on a trouvé des vestiges et les Grecs pas beaucoup car climat un peu humide. On sait que les Grecs aimaient bien l’image. L’image faisait même partie du quotidien du Grec moyen et supérieur. 5

Le parchemin a été teinté en pourpre pour montrer sont importance. On peut voir qu’il y a une influence présente de l’Antiquité. Moment de l’Ancien Testament où Isaac cherche une femme. Séquence sans morcèlement de la séquence. Et on le retrouve dans l’album pour enfant, c’est assez rare (ex : Babar premier récit). C’est une autre manière d’installer une continuité narrative. Soit on sépare bien les séquences ou on les met ensemble en les superposant sur la même image. On peut voir que l’antiquité n’est pas encore totalement partie car il y a une femme = nymphe qui sort de la mythologie grecque alors qu’on est dans un texte religieux. On peut donc voir que le texte et l’image on est des différences. Le dessinateur n’a pas la perspective, mais tout à coup, il va installer quelque chose qui vient de l’observation du narrateur : le pied de la dame quand elle donne à boire au voyageur. Doc 11 : Bois Portât (vers 1370) + Saint Christophe (1423) + Art moriendi (+/- 1450) Nous sommes au moment où l’imprimerie commence à faire des essais donc fin 14e siècle sur du bois Portât. Création du mot « Phylactère ». Texte est religieux. On affaire ici à de la xylographie (= qu’on grave sur du bois) et c’est une technique primitive. On prend une planche de bois de file, on peut donc graver des lettres, il n’y a pas de réutilisation possible. On fait la même chose avec l’image et on colle. Début de la culture populaire qui est scotché à la religion. Le dessin est fait au trait et c’est une technique primitive. Le bois est tendre, du coup si on fait des traits trop étroits ben la planche ne résiste pas il faut faire des traits larges. Si on veut faire un travail plus soigné, il faut un autre matériau. L’église veut dominer. Il fait tout pour que le Paysan après son travail fasse que des choses religieux. Comment bien mourir, préparer son âme a rencontré dieu. On pense église du matin au soir. Il ya des épisodes un peu dramatiques et après ca va se calmer. DOC 12 : BIBLE LATINE DE 42 LIGNES, DITE DE GUTENBERG (+/- 1455, MAYENCE). Livre religieux. A la base il devait avoir que 40 lignes mais il est passé à 42 pour avoir une page. Le texte s’installe en deux colonnes. Le gothique est très beau mais difficile à lire. Le type de caractère est super important. L’histoire avance lentement car c’est un livre imprimé mais qui se souvient de comment on écrit de façon manuscrite. Les décorations sont faites à la main après l’impression. Ca reste quand même un livre prestigieux.

2.3 Les temps modernes. (16-18e siècle) Ce sont des siècles de laïcisation lente mais en chemin. C’est l’âge de la réflexion avec une réponse aux questions qui font la force de la religion. La Joconde, portrait d’une femme qui se sent suffisamment importante pour être représenter sur un tableau seul. Alors qu’avant c’était seulement le sacré. Le classisme c’est l’apogée des temps moderne. Doc 13 : Songe de Poliphile (1499, Venise) + Architecture de Vitruve (1547, Paris). Doc 14 : Herbarius Latinus (1484, Mayence) + Herbarum vivae eicones (1530, Ausbourg) Doc 15 : Entrée du Roi à Paris (1498, Paris) + La Gazette (1631, Paris) + Le Journal de Paris (1777, Paris)

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RATTRAPER COURS – Lundi 4 Novembre pas cours, Lundi 11 Novembre non plus, Lundi 2 décembre, remplacés : mercredi 23 octobre (10h-12h), mercredi 6 Novembre (10h-12h),

2.4 Époque contemporaine Il y a un « embourgeoisement » de la société. Le 19e siècle est la période de l’avènement sociale de la bourgeoisie par le biais par l’économie et l’industrialisation. Grande révolution du 19e siècle. L’industrie c’est transformé la nature en objet. La machine plutôt que les mains. L’objet emblématique c’est le chemin de fer. Classe sociale dominante avec une tension entre les deux classes. On va avoir un gouvernement bourgeois et Républicain. Tout le 19e sera nécessaire pour que le gouvernement se stabilise. Moralement, la bourgeoisie va montrer ses valeurs : la famille, le travail, mariage. L’aristocrate ne travaille pas mais le bourgeois oui. Elle va défendre une esthétique qu’elle connait bien : le réalisme. Parce qu’elle la connait bien. Les bourgeois ont des enfants, ils font attentions à leur éducation. Du coup, ils poussent les éditeurs a créer des livres qui sont des distractions saines en dehors de l’école. Apprendre en s’amusant semble une évidence mais cela n’est pas le cas au 19e. 20-21e siècle, on peut parler d’une nouvelle vision du monde. Avant, c’est la tradition, on ramène le passé au présent. Alors que la modernité c’est trouvé une solution au présent qui va marcher dan...


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