7 et 8 - Une société entre permanences et mutations PDF

Title 7 et 8 - Une société entre permanences et mutations
Course Histoire
Institution Université de Bretagne Sud
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Une société entre permanences et mutations

Problématique de ce cours : Quelles sont les transformations de la société française au XIXème siècle, et en particulier commet sont-elles liées aux évolutions économiques ? Comment expliquent-elles certains événements politiques ?

I.

La démographie singulière d’un peuple malthusien

Malthusianisme : Thomas R. Malthus, prêtre, économiste préconise la réduction volontaire des naissances pour adapter la natalité aux ressources économiques d’un pays, et notamment à sa production agricole. Essai sur le principe de la population, 1798.

1. Le déclin démographique français et ses causes Une évolution au cours du 18ème siècle. Le pays le plus peuplé en Europe à la fin du 18ème siècle c’est la France. À la fin du 19ème siècle elle est dépassée par d’autre pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie. Contrairement aux autres pays la démographie de la France est en déclin.

En France la transition démographique est très lente. En conséquence on a qu’une augmentation relativement faible de la population. Le taux de moralité passe de 26 pour 1 000 en 1800 à 18 pour 1000 en 1910

On a un recul de la peste, l’apparition de nouvelles épidémies comme le cholérat (1830) qui sont moins meurtrières que celles d’avant l’air industriel. Les famines se font de plus en plus rare. Les populations sont mieux armée et resite mieux aux maladie. Au 19ème siècle, il y a des mesures d’hygiène qui sont prise (tout à l’égout), il y aussi des progrès dans la médecine, bien que certaine maladie perdure. On découvre des microbes, la bactèrie responsable de la tuberculose, le vaccin contre la rage et on fait attention à la transmision des maladies. Ce qui fait qu’en France on a une chute du taux de mortalité et également un faible taux de natalité. Le taux de natalité 34 pour 1000 en 1800 à 21 pour 1000 en 1900.

Les deux baises sauf en cas de guerre ou la moralité augemente. Cette diminution ne se produit pas dans les autres pays. En France depuis la révolution, l’héritage est partagé de part égale entre tous les enfants. Du coup on pratique le contrôle des naissances. L’autre raison c’est la volonté d’assurer un avenir meilleur à ses enfants. D’autre part on a un affaissement de la pratique religieuse catholique qui permet d’assurer ses pratiques. On a parlé de France malthusienne car on a voulu réduire volontairement les naissances pour adapter la natalité aux ressources économiques d’un pays.

Cette évolution démographique spécifique de la France a souvent été perçue par les pays voisins comme une faiblaisse.

Ce viellissement de la France est un constat qui fait que les politiques poussent les gens par la loi à faire des naissances avec moins de contrôle des naissance.

La population française est vieillissante alors que celle de l’Allemagne par exemple est relativement jeune, ce qui leur permet entre autre de battre la France en 1870.

Le veillissement n’est pas le seul aspect à observer en démographie…

2. Une population mobile La population française a toujours était mobile, notament avec des paysants qui partent travailler dans une autre région durant la région creuse (l’hiver). Il y aussi des compagnanonts, des domestiques qui migrent pour travailler à la ville. Il y aussi des femmes qui migrent en ville pour trouver du travail. Ces migrations peuvent parfois devenir définitif lorsque les ruraux s’installent en ville. En France l’exode rurale est relativement tardive car l’industrialisation se fait progressivement et demeure encore dans les campagnes. Ce qui fait que l’exode rurale est progressive. Ce qui fait qu’on a une diminution de la population qui vit dans l’espace rurale avec une diminution de 16%.

Si on a une forte augmentation de la population urbaine, pourquoi on a pas une forte dimunution de la population rurale. Ce qui pourrait expliquer ces chiffres c’est un fort taux de natalité dans les villes. Mais ce qui augmente beaucoup la popluation dans les villes c’est l’immigration.

En effet les villes offrent des emplois dans les services, l’industrie, le textile. Mais elle offre aussi un plus gros salaire. De plus l’augmentation des moyens de transports (train) permet de mieux se déplacer et donc d’aller plus facilement en ville. Il y a aussi une dimention culturel, à l’époque moderne les villes étaient craint, cependant elles deviennent une fascination pour les ruraux (notament avec l’Haussmanisation).

3. Le développement de l’immigration Le déclin démographique est en parti comblé par l’immigration. On a de forte migration dans les zones frontières. AU 19ème siècle ces migrations sont multiplié : -

Augmentation du besoin de main d’œuvre et manque de main d’œuvre en France D’autre part misère de certains pays voisin de la France. L’industrialisation de la France il y a un besoin en main d’œuvre nombreuse et peu qualifié et parfois même pas qualifié. Notamment dans l’industrie chimique et dans l’industrialisation

Ces migration son au début peu organisée et sont progressivement organisé avec des familles et parfois des régions se regroupent à Marseille par exemple l’immigration est régionale et familiale. La France met en place un réel système d’immigration pour récruter de la main d’œuvre masculine.

Dans cette main d’œuvre on trouve beaucoup d’Italiens mais aussi des Espagnols, des Belges ou encore des Polonais.

Cette arrivé de migrants a donnée lieu à des réactions xénophobe de rejet. Elles ont souvent lieu durant des périodes de crises, du coup cette main d’œuvre est vue comme une source de concurrence déloyale. Surtout que ces immigré accepte des mauvaises conditions de travail et un salaire moins élevés. Ce qui fait que les tensions montent avec des rixes qui éclatent avec des tirs de fusils et des coups de bâtons. Par exemple on a le massacre des ouvriers saliniers italiens à Aigues-Mortes en 1893. On peut aussi avoir des tensions entre les immigrés eux même (Italien et Espagnol, migrant ancien et récent…).

Cette population immigrée s’intégère avec plusieurs outils. Avec les syndicat Qui mênenent ensemble des grèves. Ça passe aussi par l’école. Il y aussi la nationalité pour les enfants d’immigrés qui naissent sur le territoire français.

La démographie est très particulière en France, car la France est malthusienne mais elle contrebalance avec une forte migration. Il faut aussi prendre en compte l’urbanisation.

II.

Une lente urbanisation de la population

1. Un pays de ruraux Est considéré comme rural tous ce qui est en dessous de 2 000 habitants.

Si on part de ce principe, la population ubraine est bien supèrieure à la population rurale. Mais il faut faire attention, la population rurale ne prend pas en compte seulement les paysants. En effet elle est assez hétérogéne. Cette population est très importante notamment lors de l’apparation du suffrage universel. Cette société rurale est un monde numériquement dominant, elle représente 75% des français jusqu’à la fin du 19ème siècle. D’autre part on a aussi une société une société hierachisée, avec des grands propriaitaire ou des nobles qui partagent leur temps entre leur résidence en ville et leur château et confient leur exploitation à des proches. Il est en ville souvent en contact avec les élites intelectuelle, à la campagne il est notable et est souvent maire ou député. C’est une bourgeoisie qui est souvent médecin, notaire ou pharmacien. On les distingue par leur costume (costume bourgeois), par leur niveau d’étude et leur posture. Le bourgeois a aussi des entreprises de charité en ville.

Il y a une grande masse qui cultive la terre, puisqu’il y a des paysants propriaitaire qui exploitent des terres ou qui les louent. On peut avoir des loyer fixes ou des loyer météyé avec des paysants qui donnent une partie de leur récolte en guise de loyé variable selon les récoltes. On peut aussi avoir des paysants artisant et qui a la fois pratique la terre et durant les saisons creuse pratique l’artisanat. Quoi qu’il en soit pour ce monde là la réalité est difficile avec beaucoup de misère et beaucoup d’enfanticide et de pauvreté.

D’autre part la vie à la campagne est particulière il y a toujours une forte présence religieuse. On a aussi un espace limité, le bourg, les champs et le clocher. Finalement il n’y a qu’à la fin du 19 ème siècle qui permet avec la révolution des transports d’avoir d’autre horizon. La campagne nourrit la ville en produit agricole mais aussi assure aux propriaitaire qui vivent à la ville, un revenue notament une rente. Elle fournit aussi de la main d’œuvre, des domestiques. La ville, elle propose des services administratifs à la campagne et surtout des débouché pour les produits de la campagne.

Pendant tout le 19ème siècle à la campagne on a l’impression que rien ne change. On a encore le même calendrier, les mêmes moyens de productions, les mêmes fêtes…

Mais à la fin du 19ème siècle on a une sorte d’évolution avec une sorte de proto industrialisation. On a d’autre part une mécanisation des modes de production des ruraux, avec l’apparation de machine agricole qui permettent de batte le grain, de le ramaser et de le planter. On commence à utiliser des pesticides et des engrais qui sont vue comme le progrès qui vont permettre de produire beaucoup plus sur des zones beaucoup plus petite et qui vont permettre de lutter contre la famine.

On a une spécialisation des cultures qui commencent à se profiler avec la révolution des transports. C’est durant la seconde moitié du 19ème siècle que cette spécialisation se décide.

En conclusion on peut voir que l’on a encore une société rurale importante qui se maintient, même si les campagnes se modernisent et peuvent parfois s’industrialiser, toutefois on a le début d’une réduction démographique.

2. La transformation de la société urbaine

Puisqu’il y a une augmentation de la poupluation urbaine, il y a une croisssance des villes. Ce sont surtout les grandes villes et les villes industrielles qui grandisent. Et ce qui fait grandir ces villes c’est l’immigration. Paris passe en un siècle de 547 000 à 2.7 millions d’habitants. Marseille aussi grandi avec une population multiplié par 1.5 (on passe de 200 000 habitants à 500 000 habitants). Cette augmentation qui concerne surtout les grandes villes, contribuent à déstabiliser l’équilibre urbain. Déjà à cette époque on a déjà une hierarchie qui est la suivante : Paris, Lyon et Marseille. Mais Paris reste nettement supérieur (population de Lyon + population Marseille < population de Paris). Dans ces villes qui grossisent on a à la fois une natalité fortent et une grande migration. À côté de ces villes fortes qui grossisent on a aussi des villes qui déclinent. On a des zones rurales qui connaissances un faible dévleoppement. On a donc eu la stagnation de certaines villes.

Cette arrivée de la population va poser des problèmes, avec notamment des problèmes de logement d’une part du point de vue technique et d’autre part du point de vue social. Au début de la seconde moitié du 19ème siècle on a pas de moyen de transport pour se déplacer, du coup les ouvriers pour se placer se logent au plus près de leur lieu de travail. L’autre problème c’est le contexte économique et idéologique du 19ème siècle. Le gouvernement ne doit pas faire de loi pour faire des logements, les propriétaire font se qu’ils veulent, il n’y a pas de lois pour gérer le logement. Il n’y a pas non plus de contrsuction sociale/logement sociaux avant la fin du 19ème siècle. Les seules innitiatives qui ont été prise ce sont celle des chef d’entreprise, ce sont des initivatives philantrophique, ou qui sont prise dans le cadre du paternalisme. On a des chef d’entreprise qui construisent des logements pour leur exmployés.

C’est l’exemple du Creusot de la famille Sheinder qui construit des logements ouvriers au sein de la fonderie royale. On y trouve une église, des cassernes pour les ouvriers. Les sheinder sont dans une politique partenalsite.

Avant la fin du 19ème siècle en France il n’y a pas de logement ouvrier. Dans ce contexte les nouveaux arrivant s’enttasent dans les villes avec des conditions difficiles. L’habitat des plus pauvre se trouvent soit dans les caves soit dans les sous pentes. D’autre part vue qu’il n’y a pas beaucoup de logement disponible, les habitants s’entassent sans que la place ne soit disponible. Et bien sûr les loyers augmentent. On a pas une totale ségrégation par quartier. On a une ségrégation sociale verticale (ex : immeuble bourgeois Gravure de l’llustration, 1850). On voit que plus on est en bas de l’immeuble plus on est riche. Avec les pauvres dans les sous pentes. Au RDC on a les gardiens de l’immeuble. On a dans les même quartiers des gens d’une classe sociale différente qui vivent dans le même quartier. Mais on a quand même des quartiers populaire avec l’Est parissien qui est populaire.

Avec l’urbanisation made in Hossman, on a de la ségragation par quartier qui apparait avec des quartiers de plus en plus bouregois et d’autres de plus en plus pauvres.

On a aussi une extension de l’espace urbain. Paris englobe progressivement plusieurs communes.

On a aussi des pauvres qui se mettent à habiter les banlieus Paris, avec des constructions enn bois (« Le haut de la rue Champlain (20ème arr.), 1872, musée). On dirait presque des bidonvilles. Mais on a aussi une banlieu riche, avec par exemple le Prado où l’on trouve les milieux privilégiés. À marseille on a donc la progression de la ségragation avec des quartiers suds plutôt riches et des quartiers nord plutôt pauvre. On a aussi le développement des transports avec le trame, les métros et le train. Avec l’augmentation des transports on a aussi l’augmentation des innégalités.

On a aussi l’augementation des problèmes lié à l’hygiène avec l’augmentation des déchets, les problèmes de distributions de l’eau et de récupération des eau usées. On voit apparaitre des problèmes de transports. On a aussi le problème d’usine qui polluent avec des fumées toxiques et des nuances sur les sols et les eaux. Au début du 19ème siècle la ville est souvent vue comme mal saine et on a souvent l’image d’une campagne qui elle serait saine et l’image de la ville qui propage les maladies, qui est mal saine et qui est sale.

L’autre problème des populations, c’est l’ordre. Les villes apparaisent comme des foyers de la criminalités. Pour les bourgeois les pauvres sont dangereux car ils apportent des criminels avec eux. De plus l’image à l’image des révoltes.

Des solutions commencent à se mettre en place dans la seconde moitié du 19ème siècle. Le préfet Haussman commence des projets d’urbanisation des villes avec des transofrmations des villes. Ces transformations sont déjà le percement de grandes avenues (exemple de la Rue Impériale aujourd’hui rue de la République). Des maisons des batiements sont construit avec des hotel visant à attirer les bourgeois (mais ça échoue). On a aussi la démolition du vieux centre, on détruit les anciens habitat, notement les anciens habitat ouvrier mis en place dans la prmeière moitié du 19 ème. On a aussi la construction de parcs. On a aussi la mise en place d’un réseau d’eau potable pour allimenter la population en eau. On a bien ce souci d’hygiène dans l’haussamnisation.

Cette ville nouvelle après les transformations, évoque une certaine fascinations et est vue comme une ville de la modernité. Les services se sont développés avec les grands maggasins comme Le bon marché à Paris. Finalement se développe aussi une image possitive de la ville et de la modernité.

III.

La structure de la société française en évolution

1. L’affirmation du monde ouvrier :

Les ouvriers semblent constituer une grande nouveauté sociale au 19ème siècle. Par définition les ouvriers ce sont ceux qui travaillent de leur mains, qui sont artisant qui produisent des biens, ce sont ces personnes qui travaillent dans les usines et c’est aussi des mineux qui travaillent dans les mines pour extraire les ressources minières. Les actifs représentent 20% de la population active de l’époque. On remarque l’augmentation des effectifs ouvriers.

On a aussi la catégorie des ouvriers artisants qui sont des ouvriers de formation. Par exemple les ouvriers de Canut à Lyon. Ils travaillent souvent seul et ils sont souvent à leur compte. Leur savoir fait est souvent acquis à la suite d’un apprentisage. Ce sont aussi des ouvriers typographe qui travaille dans des imprimerie. Ces ouvriers ont souvent été présenté comme l’élite du monde ouvrier, généralement ils savent lire et écrire et on fait des formations. Les ouvriers s’entre aide entre eux.

On a aussi les ouvriers prolétaire, ce sont les ouvriers des usines qui représentent en 1850, 25% des ouvriers. On a des ouvriers qui travaillent dans des grandes usines de fabrications, ils n’ont pas de formation, leur travail n’est pas très qualifié. Ils travaillent sur des machines sans grande distincons.

Ces prolétaires restent minoriataire, vers 1850 ils représentent 25% des ouvriers, mais comme c’est une population restreinte dans les usines c’est une population qui est resté dans les esprits. Souvent on fait l’erreur de confondre ouvrier et prolétaire, alors que prolétaire c’est seulement ceux qui travaillent dans les grandes usines de fabrications.

Le principale problème est la précarité de la vie des ouvriers. Ils travaillent souvent dans des conditions difficiles. Ils sont incapable d’epargner, car la plus grosse parti de leur salaire est dépensée pour fournir un logement et de la nourriture.

Les bourgeois vont demander des enquêtes pour évaluer la dangeresité de la classe ouvrière. Adolphe BLANQUI, va écrire le Rapport à l’Académie des sciences morales et politiques, 1849. Dans ce rapport on se rend bien compte que les prolétaire ne peuvent pas épargner et en cas de crise ils ne peuvent absolument pas s’en sortir.

Comme crise on peut avoir du chomage, des maladies, de vielleissaise ou en cas de grossesse et bien ce fragile équilibre financier se rompt et la famille ouvrière tombe dans des graves problèmes ouvriers.

Les autres catégories sociales portent un regard négatif sur ces ouvriers. Ils portent un regard de pitié ou de mérpis sur ces ouvriers. Et souvent la bourgeoisie juge les ouvriers comme bruto et inculte.

Pour Villermé L’explication que les bourgeois trouvent à la misère, c’est leur mauvais comportement, pour eux ils sont alcoolique, grossier et n’épargent pas. Alors qu’ils ne peuvent même pas épargner.

Villermé propose la solution de la charité et l’autre solution le paternalisme.

Le paternalisme a été mis en place dans les grandes entreprises en France. Il y a un double aspect à prendre en compte dans le paternalisme. Il y a une relation protectrice du patron pour ses ouvriers qui se place comme le père de ses ouvriers. Du coup il met en place un logement pour ses ouvriers. Dans ses logements on a des meilleurs conditions que dans les todilles cité plus haut. On a des caisses de secours qui sont mise ne place avec le patronat et les ouvriers qui cotisent dans ces dernières pour aider en cas de problème. On a aussi dans ces logements ouvriers, ou on trouve des hopitaux, des médecins, un groupe soclaire (une petite école d’entreprise pour former les jeunes enfants), on a aussi un magasin d’entreprise.

On a aussi des idées de loisir qui vienent au 19ème siècle avec des clubs de foot, club de cyclisme, des balles, des fêtes…. Les patrons sont convaincu d’agir pour le mieux envers leurs ouvrier. Sauf que c’est aussi une relation de domination.

Tout ceci a également pour objectif d’obtenir le bon fonctionnement de l’entreprise. Faire des logements permet par exemple de fixer la main d’œuvre sur les lieux de productions et d’avoir une main d’œuvre toujours là et rationelle pour l’entreprise. Par exe...


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