Bac 1 - Economie - Notes de cours TOUS PDF

Title Bac 1 - Economie - Notes de cours TOUS
Course Droit et économie
Institution Université Libre de Bruxelles
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M. Gathon...


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Bac 1 – Economie Introduction : Examen écrit de 4-5 pages avec des questions ouvertes sur la matière vue au cours. Plan du cours : 1. Introduction générale. 2. La mesure de l’activité économique. 3. La détermination du niveau de l’activité économique. 4. Chômage, inflation et monnaie. 5. La politique économique. 6. Les relations économiques internationales. Cours : 1. INTRODUCTION GENERALE : - Economie politique (=science économique) : on se préoccupe, à l’origine, d’un thème simple, celui de donner des conseils à ceux qui gouvernent la cité. Les économistes sont des conseillers des princes. Dans l’environnement franco-français, ce mot veut parfois dire science politique appliquée à l’économie mais ce n’est pas ce que nous allons faire. DEF : Science qui analyse et explique les modalités selon lesquelles un individu ou une collectivité affecte des moyens limités à la satisfaction de besoins illimités. - L’économie est « la science des choix ». Il faut choisir, parmi nos besoins, ceux pour lesquels on doit se satisfaire et on doit choisir ceux que l’on va sacrifier. On doit choisir l’affectation de notre temps, de manière à en sortir la plus grande satisfaction possible. - L’économie observe, analyse, explique les comportements économiques, c’est-à-dire les comportements humains par rapport aux choses rares. LE COMPORTEMENT DES MENAGES : - Dans un ménage, la plupart du temps, les occupants sont des travailleurs. - Le travailleur : comment répartir son temps ?  Loisir  Repos  Travail  Offre de travail : la quantité d’heures que je vais vouloir travailler en fonction du salaire qui est offert par l’employeur. Le lien entre le taux de salaire et l’offre de travail est une question que les économistes tentent d’expliquer. L’offre de travail émane des travailleurs, des ménages qui souhaitent vendre leur qualification en échange d’un taux de salaire. - Le consommateur : comment affecter son revenu entre une multitude de biens ou services qu’il pourrait acquérir ?  Epargne  Consommation Choisir entre ces deux concepts, c’est faire le choix entre consommer aujourd’hui ou consommer demain. Une affectation entre épargne et consommation est une question que

nous allons nous poser. Quand nous avons décidé de notre consommation pour aujourd’hui, nous allons effectuer une demande pour des biens, des produits, c’est ce que l’on appelle une demande de produits. Nous allons analyser le lien entre la demande d’un bien et son prix. Quel est ce lien ? Quand le prix d’un bien augmente, on en demande moins. On peut aussi parler du lien entre la demande d’un bien et le revenu ? Quand le revenu augmente, on va laisser certains biens de côté et nous allons utiliser davantage d’autres biens. La demande va varier en fonction du revenu, mais pas forcément de manière linéaire. LES AGENTS ECONOMIQUES : - Il existe différents types d’agents économiques : le ménage, comme vu ci-dessus, mais il existe aussi l’entreprise, la firme. - Dans ces entreprises, ces firmes, on va distinguer différents acteurs :  Le chef d’entreprise va se poser différentes questions. - Que vais-je produire ? - En quelle quantité ?  De ces trois questions va émaner une offre de produits. - A quel prix ? Qui fixe le prix ? C’est le marché, c’est nous. Les marchés financiers déterminent les prix des denrées et des biens. Mais qui est derrière les marchés financiers ? Une multitude de gens comme nous - Comment produire ?  Selon quelle technique ?  Avec quelle quantité de capital (machines,…) ?  Demande de biens de capital  investissement.  Avec quelle quantité de travail ?  Demande de travail. Le plus dur est d’établir un équilibre cohérent entre le facteur travail et le facteur capital pour que le rendement soit maximal et que les coûts de productions soient les plus faibles possible. Pour ce faire, il faut regarder le prix du capital et le prix de la main d’œuvre. Dans les pays où la main d’œuvre est abondante, on va favoriser le facteur travail tandis que dans des pays où la main d’œuvre est rare, il faudra favoriser le facteur capital. LE MARCHE : - C’est le lieu où se rencontrent l’offre et la demande d’un produit ou d’un facteur déterminé à un moment déterminé. - Il existe le marché des produits (bien1, bien 2,…). - Il existe aussi le marché des facteurs (main d’œuvre, capital). - Les comportements observés dépendent de la structure du marché - Nous allons analyser les différents types de marchés en fonctions de leur structure. Quelles sont les structures du marché ? - Il existe un marché qui est un marché concurrentiel, dans lequel chaque intervenant, chaque acheteur, chaque vendeur prend le prix du marché comme une donnée sur laquelle il n’a aucune influence. A titre individuel, il y a un certain nombre de marchés sur lesquels nous n’avons pas d’influence. Le marché concurrentiel est un marché où les intervenants prennent le prix tel qu’il est défini par le marché comme une donnée et sur laquelle il nous est

impossible d’agir. Au sein des marchés concurrentiels, il y a un marché qui est la forme la plus aboutie des marchés concurrentiels, qui est dit de concurrence parfaite. - Le marché de concurrence parfaite (parfait est une étiquette que l’on a choisi de donner à un marché qui est caractérisé par un certain nombre de caractéristiques) :  Atomicité (nombreux vendeurs et nombreux acheteurs). Le marché est donc atomistique. Il y a une multitude d’acheteurs et une multitude de vendeurs. Aucun acheteur ou vendeur ne représente une grande part de ce qui est échangé. Chaque acteur n’est qu’une goutte d’eau d’un immense océan.  Homogénéité du produit (produits identiques) : le produit qui sort de la firme numéro un est perçu comme étant identique à celui qui sort de la firme numéro 2 ou 3. Dès lors, nous allons acheter le moins cher des produits.  Absence de barrière à l’entrée dans la branche : il n’y a aucune réglementation d’aucun genre qui empêche quelqu’un de venir proposer son bien sur le marché. Toute personne qui peut produire peut produire et vendre. Par exemple, en Belgique, il existe une barrière à l’entrée au niveau de l’exploitation ferroviaire, où la SNCB a le monopole et aucune autre firme ne peut se proposer.  Transparence (information totale des acteurs) : je ne vais pas échanger le bien à un prix supérieur au marché par hasard. Je suis parfaitement informé du prix pratiqué par chaque offreur. Tous les vendeurs sont aussi bien au courant du prix qui est pratiqué par les autres vendeurs.  Mobilité parfaite des facteurs (travail-capital). - Il y a rarement des marchés qui réunissent toutes ces conditions. Ceci est donc un exemple bien théorique. Dans ce marché, s’il n’y a pas de coalition, il sera impossible pour personne de faire changer le prix du marché. C’est un marché dans lequel le prix fluctue au fur et à mesure des jours, des mois et des saisons. Seul le marché du blé aux USA remplit toutes ces caractéristiques. - Le marché de concurrence monopolistique : c’est une sorte de mélange de marché de concurrence et de monopole.  On a aussi de nombreux acheteurs. Malgré cela, il faut essayer de faire en sorte que son produit soit plus impressionnant que celui des concurrents et ce même s’il est un tout petit peu plus cher. Il faut essayer de différencier son produit par rapport à celui de mes concurrents.  C’est ce que l’on appelle la différenciation du produit.  Egalement de nombreux vendeurs. - Cela reste quand même un marché concurrentiel car il existe une multitude de vendeurs et d’acheteurs mais la différence va se faire dans l’appropriation que se font les acheteurs et les vendeurs des différents produits. Par exemple, le marché du Cola est un marché de concurrence monopolistique, car il nous est possible d’acheter du Cola de toutes les marques et avec une différence de prix, mais que nous allons choisir en fonction de la qualité et de la spécificité des produits. C’est donc un marché dans lequel nous avons un choix qui peut être plus ou moins large. - Qu’est-ce qu’un monopole ? C’est quand nous nous situons dans une situation dans laquelle il y a un seul vendeur (qui va disposer d’un pouvoir de marché, autant dire qu’il est capable de décider de son prix en fonction du meilleur profit qu’il pourra engendrer) et de nombreux acheteurs. « Je suis un chercheur et j’invente une molécule qui permet de guérir une grave maladie », je vais disposer, de par la loi, d’un monopole sur mon invention. Pourquoi ? On a décidé que pour inciter à la recherche, il fallait protéger les inventions et

donc il faut établir un monopole sur les inventions. Ce marché n’est plus un marché concurrentiel. Le rapport de force se situe du côté de l’unique producteur. - Qu’est-ce qu’un oligopole ? C’est une situation dans laquelle il y a de nombreux acheteurs, quelques vendeurs, où il se peut que l’on trouve une guerre des prix, mais il existe plus souvent des ententes entre les différents vendeurs (soit tacites ou pas), ce qui leur permet de pouvoir fixer leurs prix les uns en fonction des autres. Les guerres de prix dans ce type de marché sont donc extrêmement rares et on va uniquement faire des changements vis-à-vis des emballages, des packs, etc. Il existe de réels cartels, dans lesquels les firmes s’arrangent et se répartissent les marchés pour pouvoir faire un maximum de profit. Ce marché n’est plus non plus un marché concurrentiel. - Qu’est-ce qu’un duopole ? C’est un système dans lequel on va retrouver de nombreux acheteurs et uniquement deux vendeurs. - Qu’est-ce qu’un monopsone ? C’est une situation dans laquelle on va avoir de nombreux vendeurs mais un seul acheteur. Par exemple, en Belgique, il y a des dizaines de jeunes qui rêvent de devenir pilotes de chasse. Cependant, seule la force aérienne de La Défense peut leur permettre de faire ce job, donc ils vont devoir s’aligner aux conditions qui leur sont imposées par leur employeur. Autre exemple : nous sommes dans une République bananière, je produis des bananes, mon voisin produit des bananes, mon cousin produit des bananes. A qui vais-je pouvoir vendre des bananes ? Pas à mon cousin ni avec mon voisin car eux en produisent aussi. Le seul débouché est donc l’exportation et comme il n’y a qu’une seule multinationale présente, je vais être obligé de commercer avec elle. Le rapport de force est donc le seul acheteur. - Qu’est-ce qu’un monopole bilatéral ? C’est quand il y a un seul acheteur et un seul vendeur. - Qui a fait le plus de bien aux automobilistes américains ?  Henry Ford ? : Ford T destinée à la classe moyenne, c’est lui qui a motorisé la classe moyenne. C’est lui qui a posé les bases de la chaine. On va produire une grande quantité de produits assez standardisés.  Alfred Sloan (General Motors) ? : c’est l’homme qui a fondé cet empire industriel centré autour de l’automobile qui a pour habitude de proposer un type de voiture en fonction des moyens et des envies de l’acheteur. Le même producteur propose différents types de produits en fonction du profil des acheteurs.  Walter Chrysler ? : Il a proposé le design automobile, il crée un design qui prend en compte l’aérodynamisme et il veut faire les voitures les plus belles possibles. - Alors, qui a fait le plus de bien aux automobilistes ? Les 3 ! Ils forment un marché oligopolistique aux Etats-Unis, ils s’entendent bien et fixent leurs prix les uns en fonction des autres. Ils avaient décidé que c’était GMC qui fixe les prix. Les autres s’alignaient aux prix que définit GMC.  Kiichiro et Eiji Toyada : ils sont arrivés avec des modèles de voitures différents mais ils ne s’entendent pas avec les autres producteurs et ils vont progressivement établir une concurrence loyale entre les entreprises. Ce sont donc eux qui ont fait le plus de bien aux automobilistes américains car ils vont faire passer un système qui était oligopolistique à un marché de concurrence monopolistique. MICROECONOMIE ET MACROECONOMIE : - Microéconomie : étude du comportement des agents économiques envisagés individuellement

- Etude du comportement du consommateur - Etude du comportement de la firme - Etude des marchés - Macroéconomie : étude du SYSTEME économique envisagé dans son ensemble. Ces systèmes sont appelés agrégats macroéconomiques. - Le PIB - Le Revenu National - La Consommation Intérieure - La Formation Intérieure de Capital - L’inflation - Le chômage -…  Les grands thèmes abordés dans les nouvelles sont des thèmes qui ont attrait à la macroéconomie. On va donc étudier ça. On va trouver dans les origines de la macroéconomie des éléments de la microéconomie. On aura donc un cours orienté sur la macroéconomie avec quelques notions de la microéconomie. Tous ce que l’on a vu avant était de la microéconomie mais il faut les savoir parce que ce sont eux qui vont influencer la macroéconomie. L’ECONOMIE EST UNE SCIENCE : - Une science, c’est un ensemble de connaissances, d’études d’une valeur universelle. La science est un domaine organisé du savoir.  Elle est caractérisée par un objet et une méthode.  Elle est fondée sur des relation objectives et vérifiables. - La science économique est une science humaine et sociale. On va pouvoir établir des « lois « économiques », mais il faut prendre cette notion avec de la distance car ce n’est pas une science exacte. Elle ne peut pas prétendre à un degré d’exactitude élevé. Elle exige de raisonner avec rigueur, méthode et objectivité. Pourquoi cette inexactitude ? On ne peut pas imaginer prendre un pays et se dire « ok, on va doubler la masse monétaire pour voir ce qui se passe ». C’est pas possible. Et même si ça l’était, ça ne voudrait pas dire que le doublage de la masse monétaire est la seule origine de l’inflation, on ne peut pas affirmer cela et donc l’étude n’a pas trop de crédit.  Quel consensus scientifique ? En fonction de la marge d’erreur liée aux sciences sociales et économiques, on peut choisir de voir ce que l’on veut voir. Tous les économistes ne vont donc pas donner la même réponse à la même question. Parfois, des aspects idéologiques vont altérer des aspects scientifiques. Il n’y a pas de consensus scientifique en sciences économiques ! SCIENCE, DOCTRINE ET POLITIQUE : - La science économique explique les faits économiques (approche positive).  EXPLICATION. - La doctrine économique marque des jugements de valeur sur l’économique (et le social) et propose d’éventuelles transformations (approche normative).  OPINION - La politique économique tente d’atteindre certains objectifs économiques (et sociaux) à l’aide d’instruments.  ACTION

LA SCIENCE ECONOMIQUE EST LA SCIENCE DES CHOIX : - Nous vivons dans un univers où les ressources sont rares comparées à l’ampleur des besoins. - Le bien-être des humains est limité par l’insuffisance des ressources comparée à l’ampleur des besoins. - Individuellement ou collectivement, il faut choisir. Que l’on soit seul ou en groupe, il faut choisir entre différentes choses car tout n’est pas possible, que ce soit seul ou en groupe. - Choisir, c’est renoncer.  Exemple qui atteste du caractère de sens des choix de la science économique : Imaginons un pays et l’économie de ce pays qui vit en autarcie. On ne consomme donc que ce que l’on a produit. On suppose que dans cette économie, il y a une dotation en facteurs donnée. Il y a tout un équipement qui est donné. Il y a aussi une quantité déterminée de ressources naturelles. C’est la dotation. Nous supposons que la technique de production est donnée aussi. On suppose le plein emploi des facteurs (toute la main d’œuvre est utilisée, toutes les terres cultivables sont utilisées,… On suppose que l’on produit deux choses, du pain et du vain.  Possibilités de production : A

B

C

D

E

F

Pain (millions de Kg)

0

2

4

6

8

10

Vin (millions de litres)

5

4

3

2

1

0

Ici, on va voir que si on veut avoir deux choses, il faut jouer entre la répartition des facteurs. Si on oriente tous les facteurs vers l’industrie qui produit le pain, on n’aura pas de vin. Le contraire est aussi vrai. Si on veut les deux, il faut établir un équilibre entre les facteurs que l’on utilise pour le vin et ceux que l’on utilise pour le pain

Le taux de substitution technique entre deux biens est le rapport entre la diminution de la production d’un bien et l’augmentation de la production de l’autre bien obtenue en contrepartie, soit dans cet exemple -1/2.

 Possibilités de production graphiquement :

Quel point va-t-on choisir ? Pour le dire, il faudrait choisir les préférences de la population. Dans tous les cas, on ne peut pas produire plus des deux choses. Si on veut produire plus de quelque chose, on va diminuer l’autre produit. On ne peut pas améliorer les deux sinon on le ferait. Il y a donc une rivalité entre la production de vin et la production de pain. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. a) Si jamais nous ne nous situions pas dans une situation de plein emploi des moyens, on pourrait dire que l’on se prive de pain et de vin car on est en sous-emploi. C’est en sortant du sous-emploi et en combattant le chômage que l’on permettre de produire à la fois plus de vin et à la fois plus de vin. b) Imaginons que dans ce système économique, on connaisse du progrès technique, qui permet de produire plus avec la même quantité de facteurs  Le progrès technique va permettre d’avoir plus de pain et plus de vin. c) Si on retire le fait que le système économique soit en autarcie, la courbe des possibilités de consommation va différer de celle de la courbe de production car d’autres pays interviennent dans le système économique.  Comme nous sommes en autarcie, les possibilités de consommation sont les mêmes que les conditions de production.  On associe souvent le nombre et la disponibilité de facteurs et le bien-être d’une population. La spécialisation est importante. En effet, il faut spécialiser sa production pour laquelle nous avons le plus d’avantages comme ça on produit beaucoup avec peu. Ensuite on échange les denrées entre les pays. C’est ce que l’on appelle la théorie d’avantages. On partage ensuite les gains et ce partage dépend des rapports de force qui existent entre les pays. Les échanges entre les pays permettent de déplacer la courbe de production et c’est potentiellement source de bien-être.

QUELQUES NOTIONS : - Les grands acteurs de l’économie : - les entreprises : elles produisent des biens et des services en vue de les vendre à un prix qui couvre leur coût de production. Il existe des entreprises individuelles, commerçants, artisans, agriculteurs ET des sociétés commerciales (SA, SPRL,…) ET des entreprises publiques, qui sont placées sous l’influence prépondérante des pouvoirs publics. Les entreprises publiques (STIB, SNCB,…) poursuivent un objectif qui leur est assigné par l’Etat. - les ménages : le secteur des ménages (ou des particuliers) regroupe tous les individus résidant dans l’économie et considérés dans leur fonction de consommateurs (demande de produits), d’épargnants (offre d’épargne) ou de travailleurs (offre de travail). - l’Etat : Il est doté d’un pouvoir coercitif. C’est l’ensemble des pouvoirs publics (dotés d’un certain pouvoir coercitif) dont une activité est de mettre à la disposition du public des biens ou des services gratuitement ou à un prix sans relation avec le coût de production. Il est doté de certaines fonctions régaliennes :  Définir les règles de droit : rôle du pouvoir législatif.  Assurer la sécurité intérieure (Police) : rôle du pouvoir exécutif.  Assurer la sécurité extérieure (Diplomatie et Défense) : rôle du pouvoir exécutif.  Rendre la justice : rôle du pouvoir judiciaire.  Battre monnaie : l’Etat a un rôle économique important. - le reste du monde : cela regroupe tous les acteurs économiques (entreprises, ménages, pouvoirs publics) résidant dans des économies autres que l’économie considérée. EXAMEN : ATTENTION AUX FONCTIONS ECONOMIQUES DE L’ETAT = FONCTIONS DE MUSGRAE LES BIENS : - Le bien est ce qui peut satisfaire un besoin. L’utilité d’un bien est déterminée par sa capacité à satisfaire un besoin (très subjectif  cela dépend de l’individu concerné). a) un bien libre : c’est un bien e...


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