CM - Géo culturelle - Notes de cours Tous PDF

Title CM - Géo culturelle - Notes de cours Tous
Course Géographie culturel
Institution Université d'Orléans
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Totalité du cours du semestre numéro 1 de géographie culturel. Permet de comprendre les bases de la culture, que ce soit par notre milieux naturel, religions, histoire ou bien race etc. ...


Description

Géographie culturelle : Mr Bertrand Sajaloli

Géographie. 10 séances de 2heures.  Une dissertation/ commentaire pour les partiels (deux sujet au choix) PP envoyer très souvent Travail bcp en Afrique de l’ouest CM 1 : 11/09/18 L'objet du cours est d'initier à la lecture faite par la géographie du rôle de la culture (matérielle et immatérielle) dans la production et la transformation des territoires. Il s'agit pour cela de comprendre la culture comme facteur de médiation entre les êtres humains et leur condition géographique, puis comme facteur de différenciation et d'organisation territoriales. Ce cours cherche à démontrer pourquoi la géographie culturelle aborde les valeurs comme facteurs structurants de nos rapports à la nature et au territoire ; comment s'opèrent la répartition et l'évolution territoriales des cultures ; puis en quoi l'appropriation et l'identification à des territoires, paysages ou lieux participent de l'affirmation des individus, communautés, cultures et sociétés. À partir d'études de cas, seront explorés divers objets spécifiques de la géographie culturelle comme la diffusion culturelle ; la formation et l'évolution des paysages et régions ; l'ethnicité, la langue, la religion, la nation, la différence des genres, les orientations sexuelles et autres comme marqueurs identitaires et géoculturels ; le sentiment d'appartenance, les fonctions symboliques des paysages et lieux. En conclusion, l'évolution de la géographie culturelle sera retracée depuis les travaux de Sauer et l'école de Berkeley sur les paysages visibles jusqu'aux plus récentes recherches de l'approche culturelle sur le lieu, son sens et le non-figuratif. Afin de mieux saisir la complexité des enjeux culturels puis l'apport de la géographie culturelle pour les réfléchir, seront ainsi distingués les principaux courants de pensée, théories et concepts qui ont façonné ce champ disciplinaire. La culture* : est une manière d’être au monde. Par des gestes quotidiens : manger, boire, se déplacer et tous cela au quotidien ; c’est la manière que l’on est en société. Ex : Norvège : les toilettes communes, une grande planche (pour les grosse commissions) cela peut surprendre pour d’autre culture  La culture est le rapport que l’on a ensemble.  Mais aussi en ce que l’on croit, (le contexte aussi) ; les trois religions du livre très proche niveau croissances (les 10 commandements)  Les origines ethniques* : rapporte aux « racines » de la personne et ne doit pas être confondue avec la citoyenneté, la nationalité, la langue ou le lieu de naissance. Par exemple, une personne peut avoir la citoyenneté canadienne, parler le pendjabi, être née aux États-Unis et déclarer être d'origine ethnique guyanaise  Une manière d’être au monde. D’organiser la cité (dans certaines cités, au Cameroun certaines femmes ont tout le pouvoir foncier // dans d’autres à l’Est les femmes sont polygames.) Toute la culture (théâtres, musiques, cinéma etc.)  En quoi la culture va créer des paysages, des plans de maison, des territoires particuliers ? La culture est intéressante en tant que facteur : pourquoi j’ai ça ? elle analyse. La culture va intervenir  La culture est une médiation (élément du dialogue) entre la groupe et l’individu que l’entrouvre  Ça nous donne des réponses et des mieux comprendre.  Comment s’opérée : Mise en relation des religions De la nourriture etc. Et permet de comprendre mieux

Introduction : la culture, une clé de compréhension de la diversité du monde : I.

Culture, vie sociales et organisation de l’espace a. A l’origine des cultures, la transmission de l’expérience collective b. Culture et vie sociale : individu, groupe et institution c. Les systèmes culturels

II.

Expression de la culture dans le paysage et la société a. Culture, nature et environnement b. Le poids du sacré et des religions c. L’alimentation, une pratique culturelle

III.

Aires culturelles, cultures et civilisation a. Combien d’aires culturelles ? b. Des aires menacées par la modernisation et la mondialisation ? c. Les défis culturels du monde actuel

Conclusion : la diversité des approches culturelles en géographie Bibliographie : en anglais mais trois livres essentielles :  Claval Paul : La géographie culturelle. La nouvelle approche des sociétés et des milieux  Joël Bonnemaison (très bon géographe, pionnier de la géo culturelle) ) : la géographie culturelle (pas a lire en premier)  Jean Robert Pitte (spécialiste des territoires et de la bouffe) : géographie culturelle

Introduction : La culture, une clé de compréhension de la diversité du monde Partout dans le monde : des paysages, des cultures différentes  la FR extrêmes divers (6000 ans d’histoire, la nature n’est pas la même, les bretons diffèrent des alsaciens etc.) A la différence de l’Amérique du N c’est pratiquement les mêmes paysages partout, alors qu’en France il y a de nombreuse variation culturelle observable. Les géographes, et ce depuis longtemps (Hérodote) s’intéressent à l’extrême diversité des peuples et de leurs cultures. Extrême diversité : aménagement des campagnes :  Rizières étagées d’Asies :  Immenses damiers cultivés de l’Amériques du Nord :  Bocage normand : fait de pierre. Aucune raison naturelle.  Plantation sous forêt équatoriale en Afrique : sous le foret on va faire des champs (arachide, manioc, bananier etc.)  Culture en casier du Sahel : culture d’oignon dans des grosses bassiner. Diversité du monde rurale.

 Dans la morphologie* des villes : (désigne la forme urbaine ou son étude (formation, évolution, transformation, strates, structures…) c’est le résultat des conditions historiques, politiques, culturelles (et notamment architecturelles) dans lesquelles la ville a été créée et s’est agrandie. Elle est le fruit d’une évolutions spontanée ou planifiée par la volonté des pouvoir publics.

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Dans la morphologie des villes : - CBD nord américain avec plan orthogonal - Villes plates d’Afrique - Villes radio-concentriques d’Europe - Slums asiatiques et favella brésiliennes Les villes ne se ressemble pas ex : au US : des grandes CBD* (central business district) nord américano avec un plan orthogonal. Mais des villes qui se différencier quand même. ( Chicago ⌿ Washington) Plan orthogonal : c’est un plan de l’égalité : c’est à dire totalement perpendiculaire. On recherche la démocratie. Il n’y aurait donc plus en principe de ‘privilégier’

Le mythe : ‘combien tu gagnes’  la réussite personnelle est extrêmes importante Villes radioconcentriques (centre historique, faubourgs, lotissements résidentiels, commerces et loisirs) d’Europe : cathédrale, palais de justices, hôtel de ville : très luxe (en Espagne, la plaza majore) Les puissants et les riches au centres. Villes plates d’Afrique Ouagadougou (capitale du Burkina Faso): 1 Millions d’hab. Villes plates, des villes plus rurales. Lagos 15 Millions d’hab. Ville la plus peuplé d’Afrique (à cause de l’histoire Anglaise {buildings})

Slums asiatiques et favelas brésiliennes : habitas impromptue : très grandes précarités mais qui commence à évolué avec l’installation de l’eau et de l’électricité.  Cela se voit dans l’extraordinaire diversité des langues même si bcp sont menacées. Les mots sont très révélateurs de la manière dont on perçoit le monde. Ex ‘adieu’  à dieu (par l’approche de la chrétienté en FR) On qualifie tel ou tel élément : ‘compagnon’  com panom partage le pain ‘le pain du christ’ Les mots très lourds, fort d’une histoire. Derrière chaque langue il y a une culture. Au total, il y aurait 7.102 langues et dialectes connus à travers le monde. Un Singapourien arrive à parler 100 langues ... 10 langues déjà bcp mais ... Chinois L’espagno l Anglais

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1,2 milliard dont près de 848 millions attribués au seul mandarin 399 millions 335 Millions

Le plus parlé dans le monde

Les 23 langues (qui ont plus de 50 millions de locuteurs) sont parlées par environ 4,1 milliards de personnes sur 7,2 milliards de personnes vivant sur Terre à l’heur actuel. On estime que 5 % des quelque 7 000 langues actuelles sont parlées par 95 % de la population mondiale. Toutes les autres, c'est-à-dire 95 % d'entre elles, sont parlées par seulement 5 % des humains. Au Burkina Faso il y a en tout 62 langues : les enfants parlent la langue de la mère, du père. Le pays séparé diviser en deux (ouest et est). L’école est en français (langue officiel) donc au final un enfant parleras entre 4 à 5 langues au minimum. Mais les langues sont menacées on estime que (7 000 langues actuelles sont parlées par 95% de la population mondial.) Aujourd’hui environ 1 langues disparaissent par semaine. Mais le même cas en France : les bretons et les corses s’oppose niveau de la langue. Après les réformes favorisant le Français comme langue unique officiel en FR, de nombreux dialectes se sont vus disparaitre. (C’est aussi pourquoi il y a encore de conflit entre certaines langues comme les corses vis-à-vis des Français.) La diversité des religions : 2mililiards Christiani sme Islam Hindouis me Bouddhis me Animistes D’agnosie et d’athées

200 500 1,2 millions millions milliard catholiqu protestan orthodoxe s ts es 1,2 milliard de musulmans

Qui ne va saisisse d’augmenter avec un grand boum en Afrique de l’ouest

800 millions 33 millions d’adeptes 200 millions 1,2 milliard

Importante religion Moins connue en Europe Compliqué a réellement déterminer car ils sont dans un pays religieux

Actuellement il n’y pas qu’un simple problème avec l’Islam, d’autre payer aussi sont confronté aux problème religieux (inde, USA : Trump élue grâce aux évangéliste) En FR : 8 millions de musulman En Allemagne il faut dire ouvertement (sur la CI) en quoi l’on croit. La chine ; près de trois quarts de la population sont inscrit comme sans religion puisque la Chine est tjrs officiellement athée. Une seule religion : le communisme. Mais il existe tout de même bcp d’adeptes d’une religion qui mêle confucianisme, taoïsme, et bouddhisme. Pour donner une idée, si on connaissait précisément les données pour cette religion, cela aurait certainement une forte influence sur le nombre d’adeptes de cette dernière Les animistes (croyance en un esprit, une force vitale, qui anime les êtres vivants, les objets mais aussi les éléments naturels, comme les pierres ou le vent, ainsi qu'en des génies protecteurs) mais il mélange deux religions, on va par exemple à l’office le Dimanche matin et au retour on va faire un sacrifice pour l’un des génies protecteurs. Un pays reste un cas à part entière, il s’agit de la Chine. Là-bas, près des trois quarts de la population sont inscrits comme « sans religion » puisque la Chine, communiste, est officiellement athée. Mais il existe tout de même beaucoup d’adeptes d’une religion qui mêle confucianisme, taoïsme et bouddhisme. Si l’on connaissait précisément les données pour cette religion, cela aurait une forte influence sur le poids relatif des religions du monde.

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Les pratiques animistes, très variées, sont moins connues en Europe. Il s’agit d’une croyance pour laquelle l’ensemble des différents êtres vivants disposent d’une âme. Le nombre d’adeptes pourrait facilement doubler si on lui rajoutait les nombreux pratiquants de la religion japonaise, le shintoïsme, qui est un mélange de taoïsme et de bouddhisme. On ne compte pas non plus les nombreux chrétiens des continents Africains et d’Amérique latine, dont un grand nombre ont gardé des pratiques animistes  La question des sorciers (partout dans le monde) et même chez nous  A la formidable variété des types de musiques, Qu’elles soient classiques, ethniques électroniques, de variété, pop-rock ... avec des rythmes, des divisions du son (en demi ton chez nous), des organisation mélodiques très différents (tonal, modal , atonal) Au cœur de la musique indienne est le raga, qui est un état d'esprit, un sentiment, exprimé par une gamme microtonale. Il existe de nombreux ragas, et chacun a sa propre ambiance et sa propre gamme microtonale correspondante basée sur ce qu'on appelle la série harmonique naturelle - la loi naturelle des vibrations Le système tonal de la musique occidentale est basé sur une division artificielle de l'octave en douze intervalles égaux. Cela signifie que le nombre d'intervalles disponibles pour l'expression musicale est très limité par rapport aux possibilités infinies de la série harmonique naturelle La musique mongole utilise des gammes pentatoniques (5 hauteurs de sons différents) évoquant divers bruits de la nature. Elle est essentiellement vocale et liée à la steppe et au cheval, dont la tête orne tous les instruments. Elle colporte les histoires de ces populations très isolées et ayant subi peu d'influences.  La nourriture : A la non moins formidable variété des cuisines et gastronomie du monde  Culture différente : debout, assis, par terre)  Saveurs appréciées par les habitantes (sucrées, amer acide)  Brassage de goutes (pizza, couscous, hamburgers, sushi... macdo. )  Lors d’une étude en FR lorsque l’on demander ‘quel sont vos deux plats favoris la réponse a été : pizza et couscous… A la base trois civilisation : - blé : Europe, - riz : Asie, - mais : Amérique La géographie des saveurs : salé, acide, sucré, amer, Obstacles culturels : manger une tête de singe, ou bien manger du chien…

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On retrouve aussi, toujours dans le domaine alimentaire, des passions très différentes comme en témoigne les consommations d’alcool et de café Enfin, les rapports entre les hommes et les femmes sont très différents d’une aire culturelle à l’autre comme en témoigne la carte de l’âge du premier rapport sexuel ou encore la carte des

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Basquet Cricket (inde, Australie) Kick boixng chine 18/09/2018

inégalités homme-femme dans le monde. La géographie du sport totalement différente :  Foot Europe total, Amérique sud, Afrique  Foot American

Nous avons rapidement défini la culture comme une maniéré d’être au monde, c.-à-d. de se penser sois même, les autres, la nature, l’environnement, le cycle de vie. Nous avons insisté sur la diversité des cultures du monde qui se lit dans les langues, les religions, les relations inter et intra-genres, la gastronomie, la musique le sport, les gouts… Le deuxième temps de cette première partie est de comprendre cette diversité, et notamment d’en évacuer quelques explications simplistes, afin de cerner davantage ce que la notion de culture signifie. 1.2 Pourquoi de tels contrastes culturels ? C’est la nature, c’est la race, c’est l’histoire 

C’EST LA NATURE :

D’après cette hypothèse simpliste, ce serait la variété des conditions naturelles qui imposerait aux peuples leurs façons de se nourrir, de s’habiller, de construire leur maison, de se comporter. C’est ce qu’en géographie, on désigne par le déterminisme géographique. On ne vit pas de la même maniéré s’ils ont vit dans un Igloo inuit (il fait nuit pendant 6 mois par ans et il peut faire jusqu’à -40°C) on ne se nourrir plus de la même façon. Ces Igloos que l’on pourrait mettre en relation avec les Case africaine. Dans ces cases à l’extérieur il fait toujours chaud, donc la construction est très légère car il faut maintenir le froid. Habitat khmer (région centrale de la Thaïlande) lié à la mousson car chaque année il y a un voir deux mettre deux donc on s’adapte à la nature. Il y a donc un lien a la maniéré du vivre ensemble, la construction de bâtiment, de se vêtir. Dis-moi ou tu vis, je te dirais qui tu es. »

Ex FR : il y a évidemment un lien entre la diversité des conditions bioclimatiques et celle des habitats, de même que la nature géologique du sol influence considérablement le choix des matériaux de construction  L’habitat de Sologne : en brique  Des fermes de Beauce utilise les matériaux qui était sa disposition à cotés.

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 Chaumière du Velay : construit proche d’un volcan  Ferme des Cévennes en toi de lauze Ce n’est pas anodin comment est construit les maisons. Mais, d’une part l’examen attentif des habitats ou des modes de vie démontre que l’homme s’est souvent affranchi de la nature, surtout depuis l’époque contemporaine Mais il ne faut pas aller trop loin pour deux raisons :  La modernité : petit à petit il s’affranchie de la nature  vitrine de la modernité : Dubaï, Shanghai, Chicago, Johannesburg elle se ressemble tous alors même que le climats est complément diffèrent. La nature n’est donc plus présente (mais elle est un tout petit peu à Chicago un gratteciel en bois)

Et surtout, il ne faut pas céder à la tentation de relier conditions physiques des milieux et niveaux de développement. Et surtout, il ne pas céder à la tentation de relier conditions physiques des milieux et niveaux de dvp Et encore moins de relier ces mêmes conditions naturelles a des comportements individuels ou collectif  Le mongol avec un climats très compliqué et dur à vivre il serait forcément des barbares.  Ou le paysan indien : climat tropical humide les rendrais gentil doux attentif, alors que non totalement fausse  une violence en Inde extrêmement forte Mais il faut aussi les combattre chez nous : dans le midi tout est accueillent grâce au soleil (alors que les Corse ne sont pas forcément très accueillant cf. FLNC) alors que dans le nord tout est compliqué il ne fait pas beau, bien sûr que non comme la popularisé Dani Boune etc. 

Et surtout, il ne faut pas céder à la tentation de relier conditions physiques des milieux et niveaux de développement. On est en partie définit par la nature, le jour ou le vent dépasse les 7km/h le taux de suicide augmente, le taux de violence conjugale augment aussi. Les jours de pleine lune le t d’accouchement augmente.



C ’EST LA RACE

Selon les théories racistes nazies, l’aryen serait supérieur à tous les autres groupes humains, Ainsi des différences génétique et biologique entrainant des différences culturelles majeures, voire des aptitudes intellectuelles et morales dissemblables ! Cette différentes de race va induire des différences de culture. Ex : la race Arienne.

Les théories nazies détournent les théories scientifiques (Darwin, médecine) afin de construire une doctrine raciale où l’idée d’une hiérarchie des « races » prédomine. Cette doctrine affirme l’existence d’une « race supérieure », la race aryenne, dont les Allemands seraient les descendants. Il existerait également des « races » inférieures: • des « races » d’esclaves (les Slaves) • des « races » de sous-hommes (les Juifs, les Tziganes, les Roms, …) qui doivent être éliminées. 6 millions élimer) Selon le doctrine raciste: • le sang est la marque de l’identité ethnique et les caractères innés, hérités biologiquement, déterminent le comportement humain. 7 • la valeur d’un être humain est jugée, non d’après l’individu, mais uniquement en fonction de son appartenance à une “collectivité raciale”

Au quotidien : perceptions erronées à chaque ‘race’ correspondrait des aptitudes au travail ou à la moralité  Le noir serait fainéant  les maliens construisent 95% des routes française  L’asiatique travailleur  les coréens veulent travailler bcp moins  L’arabe voleur  il y a moins de vol dans l’ensemble des pays arabes que chez nous  Le juif cupide Or, le concept de race n’est pas scientifique ! Il existe plus de différences génétiques entre un basque et un breton qu’entre un picard et un wolof du Sénégal, ou, exprimé de manière plus exacte : la variété génétique entre individu d’un même sous-groupe est plus importante que la variabilité génétique moyenne entre sous-groupes géographiques. La notion de race est donc biologiquement erronée et avec elle toutes les théories racistes qui en découlent ! Le concept de race n’est pas scientifique. Il existe plus de différences génériques entre un basque et un breton qu’entre un picard et un wolof du Sénégal : la variété génétique entre individu d’un même sous-groupe est plus importante que la variabilité génétique lien entre sous-groupe géographique. La notion de race est donc biologique erroné et avec celles toutes les théori...


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