Diapo 10. S2 UE2.6 Cours - Les mécanismes de défense PDF

Title Diapo 10. S2 UE2.6 Cours - Les mécanismes de défense
Course IFSI S2 UE4.5 Soins infirmiers et gestion des risques
Institution Université de Limoges
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Description

Les mécanismes de défense Définition Avant tout une notion psychanalytique : 

Les mécanismes de défense sont les différents types d’opérations psychiques, ayant pour finalité la réduction de la tension psychique interne. Ils sont généralement utiles pour la protection de la cohésion de l’appareil psychique, afin de sauvegarder son équilibre, des pressions et contradictions qui proviennent des conflits entre le Ca et le Surmoi Le fonctionnement mental est conflictuel (opposition principe de réalité et principe de plaisir) produisant de l’angoisse (qui peut être évidente ou latente). Cette angoisse représente un signal de danger, adressé au Moi, pour le prévenir des dangers provenant du Ca ou du Surmoi. Face à cette menace, le Moi va essayer de se débarrasser de l’angoisse, tout en restant adapté à la réalité, par le recours à des mécanismes de défense.

Autrement dit, ils servent à protéger la conscience d’une émotion/pensée douloureuse ou inacceptable et ils ont pour objectif de réduire les tensions psychiques 

Ils constituent des marqueurs du fonctionnement psychique du sujet



Le choix d’un mécanisme de défense est généralement inconscient, et dépend des fixations de la personnalité au cours de son développement (depuis la naissance) ainsi que du conflit traversé.



Ils n’ont pas tous la même valeur adaptative et ne donnent pas tous la même satisfaction à l’individu



Ils sont nombreux et variables d’un sujet (équilibré ou malade) à l’autre et, chez un même individu, d’un moment à l’autre.



Beaucoup de mécanismes de défense apparaissent sous une forme psychopathologique mais beaucoup sont courants et utilisés aussi de façon permanente et banale.



Ils sont également des indices diagnostiques et d’évolution des troubles psychopathologiques. Dans ce sens, savoir les repérer peut s’avérer très important/utile pour un soignant.



Savoir les repérer est aussi important pour se connaître soi même.

Quelques notions psychanalytiques : 1. L’appareil psychique. FREUD est à l’origine de ce terme qui désigne la représentation théorique des processus psychiques. La vie mentale d’un Sujet est répartie en 3 lieux et systèmes selon un point de vue topique, économique et dynamique.



Le point de vue topique

Il concerne la séparation de l’appareil psychique en systèmes différents possédant chacun des propriétés spécifiques et des modes de fonctionnement distincts, avec 2 topiques :  1ère topique : - Le système Inconscient : C’est tout ce qui n’a jamais été conscient ou qui a été conscient puis refoulé. Il est dynamique et influence constamment la pensée, les actes et les affects et il cherche une expression consciente. Il est gouverné par le principe de plaisir et soumis aux processus primaires. Les éléments qui le composent (désirs, représentations…) tentent de se manifester à la conscience et se heurtent à la censure entre les 2 systèmes ( inconscient et conscient-préconscient). Les processus primaires ont un rôle de satisfaction des désirs, ils ne sont pas régis par la réalité externe et obéissent au principe de plaisir qui vise la satisfaction immédiate des pulsions. Ils ne sont pas influencés par le passage du temps et n’ont pas de séquence temporelle réaliste et ne sont pas non plus soumis aux règles logiques. - Le système Préconscient : C’est le lieu psychique où l’on a partiellement accès, ce qui s’y trouve n’est pas conscient mais peu potentiellement le devenir sans susciter anxiété ou sans être refoulé par un effort de volonté ou d’attention, une association d’idée ou une question. - Le système Conscient : C’est ce qui est présent à l’instant, par la perception, les symboles ou la remémoration. Il fonctionne selon le principe de réalité et est soumis aux processus secondaires. Ceux –ci se caractérisent par une « liaison » de l’énergie psychique avec des représentations qui sont investies de manière plus stable et par un ajournement de la satisfaction. Certains contenus inconscients peuvent arriver à la conscience de façon détournée et camouflée dans les rêves et les symboles (lapsus, actes manqués…)  2ème topique : - Le ça : Il est conçu comme le réservoir premier de l’énergie psychique, pôle pulsionnel de la personnalité. Ses contenus, expression psychique des pulsions, sont inconscients. Il est lié aux processus biologiques. Il est source et réservoir des énergies instinctuelles (pulsion), qui sont libres, mobiles et plastiques. Le ça obéit au principe de plaisir et ne peut tolérer aucun délai de satisfaction. Celle-ci doit être immédiate, qu’un objet externe adéquat soit présent ou non et quelles que soient les conséquences sociales de la satisfaction. - Le Moi : C’est une partie du ça qui a subi des modifications sous l’influence du monde extérieur. Il est un agent d’adaptation et médiateur mais il est soumis à 3 exigences, celles de la réalité extérieure, du ça et du Surmoi. Il nait au cours du développement et obéit au principe de réalité et fonctionne selon les processus secondaires (pensée logique et rationnelle). - Le Surmoi : Il dérive du Moi par intériorisation des normes (interdiction et exigences) parentales et sociales que l’enfant rencontre au cours de son développement et surtout au moment de la résolution du complexe d’Œdipe. Il est l’agent interne de

moralité, conscience du Bien et du Mal, cause de nos sentiments d’infériorité et de culpabilité. Son rôle est triple : il inhibe les pulsions inacceptables du ça, il persuade le Moi de suivre les normes morales et il recherche l’idéal. Il est en bonne partie inconscient. Illustration : Tout se passe dans une forêt où se trouve au milieu, un immense et beau château (Moi) Dans cette forêt vit un petit bonhomme tout bizarre, plein de pulsions, un bonhomme sale, pas coiffé, qui crie tout le temps, qui est très sexuel, nu et qui fait n’importe quoi. Il est couvert de sang et d’excréments. ( incarne la Pulsion = le çA) Un soir, une soirée est organisée dans le grand et beau château. Tout le monde est invité et tous arrivent avec leur plus belle tenue et plein de jolies manières. Sur une des tours du château, le chef des vigiles ( incarne la loi =le SURMOI) surveille les entrées avec sur son carnet toutes les règles que les invités doivent respecter : être propre, sentir bon, être bien élevé, ne pas enfreindre les interdits fondamentaux (pas de meurtre et pas d’inceste)… Quand le chef de la sécurité voit le bonhomme arriver, il ordonne aux vigiles de lui interdire l’entrée car il ne respecte aucune règles ( refoulement) Vexé, le bonhomme retourne dans la forêt, bien décidé à revenir et à rentrer au château. Il prend donc un manteau de vison, se parfume, arrête de crier et se présente au château, et de loin, le chef des vigiles ne voit rien qui cloche chez ce nouvel invité. Il le laisse donc entrer, alors qu’il est le même, sous le manteau et le parfum (retour du refoulé).

(Pulsion : Un des concepts les plus importants de la pensée Freudienne puis ce qu’elle est le moteur de l’activité psychique. Elle désigne une poussée constante qui a sa source dans une excitation corporelle. Son but est de supprimer cet état de tension Une pulsion possède une poussée, un but qui est la satisfaction liée à la suppression de l’état de tension émanant de la source pulsionnelle, une source (processus somatique dans un organe ou une partie du corps) , et un objet qui permet à la pulsion d’atteindre son but. ( Objet: en tant que corrélatif de la pulsion : il est ce en quoi et par quoi celle-ci cherche à atteindre son but, à savoir un certain type de satisfaction. Il peut s’agir d’une personne ou d’un objet partiel, d’un objet réel, ou d’un objet fantasmatique. !!! Il n’évoque pas la notion de chose, d’objet inanimé et manipulable. )

Résumé des structures psychiques : On distingue 2 grandes lignées structurelles de la Personnalité : la lignée névrotique et la lignée psychotique.

Freud dans ses « Nouvelles conférences » compare la structure de personnalité à un bloc de cristal. Il explique : si nous laissons tomber un bloc de minéral sous forme cristallisé, il se brise ; mais pas d’une façon quelconque, les cassures s’opéreront selon des lignes de clivage dont les limites, les directions, les angles, bien qu’invisibles extérieurement jusque là, se trouvaient déjà déterminées de façon originale et immuable par le mode de structure préalable dudit cristal. Il en serait de même pour la structure psychique : Peu à peu, à partir de la naissance, en fonction de l’hérédité pour certains facteurs mais surtout de la relation aux parents dés les touts premiers moments de la vie, des frustrations, des traumatismes et des conflits rencontrés, et aussi en fonction des défenses organisées pour résister aux poussées internes et externes des pulsions, peu à peu, le psychisme individuel s’organise, se « cristallise », tout comme un corps chimique complexe, avec des lignes de clivage originales et ne pouvant plus varier par la suite. On aboutirait ainsi à une véritable structure stable dont les 2 modèles spécifiques sont représentés par la structure névrotique et la structure psychotique. Tant qu’un Sujet répondant à l’une ou l’autre des structures n’est pas soumis à de trop fortes épreuves (trauma, frustration, conflit), il ne sera pas malade et le cristal tiendra bon. Mais s’il vient à se briser (décompensation ), il le fera selon des lignes de rupture préétablies dans le jeune âge. Le sujet de structure névrotique ne pourra développer qu’une névrose et le sujet psychotique qu’une psychose et inversement, pris en traitement à temps et correctement soigné, le premier ne pourra se retrouver en bonne santé qu’en tant que structure névrotique à nouveau bien compensée et idem pour le psychotique. Névrose : La névrose est une structure mentale qui ne comporte pas d’étiologie organique démontrable. Elle est ressentie comme un trouble et entraine une souffrance psychique dont le sujet a conscience. - L’aspect clinique de l’organisation et de la symptomatologie névrotiques ultérieures dépend du stade (oral, anal, génital) auquel s’est produite la fixation. - Le conflit inconscient producteur de mal être et de symptôme provient de l’opposition entre principe de plaisir et principe de réalité et de la nécessité pour le Moi d’une réélaboration, parfois épuisante des conflits.

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Le Moi existe

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Le conflit se situe entre le surMoi et le ça (pulsion)

Conception Freudienne des névroses : - Origine infantile (dans les avatars du Complexe d’Œdipe), - Le rôle du refoulement des désirs Oedipiens qui restent actifs et tendent à réapparaitre, notamment sous l’effet de la sexualité adolescente ou adulte, - Le retour du refoulé qui met en péril le moi, - L’apparition des symptômes de la maladie proprement dite comme l’effet de la tentative pour résoudre le conflit entre le retour du refoulé et le moi, entre le désir et l’interdit, - L’utilisation de mécanismes de défense (secondaires) contre les effets négatifs de la tentative de résolution du conflit,

- Le sens inconscient des symptômes, sens auquel le malade n’a pas accès - La névrose est donc une tentative (erronée) de résolution d’un conflit. Classification : 

Névrose hystérique



Névrose obsessionnelle



Névrose phobique (ou hystérie d’angoisse)

Psychose : La psychose est une affection mentale dont le malade n'est que partiellement conscient et qui altère son sens de la réalité. -

Absence de conscience du caractère morbide des troubles ; Le trouble de l’identité et de la relation identité/altérité : c’est à dire qu’il y a perturbation de la conscience de soi, de là le flou et les pertes de limite entre Soi et l’autre La perte de sens de la réalité. La rupture avec la réalité est cependant, le plus souvent partielle (la réalité relèvant de l’Œdipe et de la réalisation du complexe d’Œedipe) Les expressions symptomatiques de la psychose vont usuellement être le délire, les hallucinations, la dissociation. (!!! Tout délire n’est pas psychose)

Classifications :  Psychose dissociative : les schizophrénies (schizophrénie simple, paranoïde, paraphrénie, catatonie, hébéphrénie, héboïdophrénie)  Psychose non dissociative : paranoïa  PMD : psychose maniaco dépressive (pathologie classifiée désormais dans les troubles de l’humeur : bipolarité)

Etat-limite La présentation clinique du patient état-limite peut poser problème et faire évoquer, successivement, une psychose, une névrose, une personnalité pathologique (histrionique, schizotypique, paranoïaque, narcissique, dyssociale, dépendante), une psychopathie… On repère pour établir le diagnostic : -

l’angoisse et le sentiment d’insécurité ; la pathologie de l’intériorité ; les symptômes d’apparence névrotique ; la dépression, le sentiment d’infériorité et la désertification psychique ; le passage à l’acte ; la relation de dépendance à la drogue, alcoolisme, à l’autre ; les épisodes psychiatriques aigus ; les réactions thérapeutiques négatives

De manière générale, l’état-limite est comme son nom l’indique une pathologie des limites (dedans-dehors / soi-autre) avec un important vide intérieur où l’autre est investit pour remplir ce vide, comme une sorte de béquille pour vivre. Pathologie du narcissisme :  Psychopathie : Le terme de psychopathie est ambigu dans la mesure ou il recouvre des notions à la fois clinique, comportementales et morales. Si elle a été démembrée dans les classifications anglo-saxones, cette entité paraît toujours pertinente en tant qu’elle se distingue des états-limites comme des différentes psychoses avec agir (héboïdophrénie)

 Perversion : sexuelle, narcissique

Retour au mécanisme de défense 

Dans les organisations névrotiques, le conflit se situe entre les pulsions sexuelles et leurs interdictions. L’angoisse est celle de la castration et les mécanismes de défenses tendent à diminuer cette angoisse par des régressions



Dans les organisations psychotiques, le conflit se joue avec la réalité et l’angoisse est celle du morcellement. Contre cette angoisse, les mécanismes de défense névrotiques sont le plus souvent insuffisants, ce qui nécessite le recours à des mécanismes de défense propre à la structure psychotique ( déni de la réalité, délire…)



Dans les organisations limites, le conflit se situe entre les pulsions agressives contre l’objet frustrant et l’immense désir que ce dernier réparer la blessure narcissique. L’angoisse est celle de la perte de l’objet.

L’étude des mécanismes de défense dépasse aujourd’hui le champ de la psychanalyse et de la psychopathologie

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Contre quoi le moi se défend-il ?

Il se défend des pulsions inconscientes et des affects liés à ces pulsions. Il se défend contre les affects déplaisants, les pulsions déplaisantes pour le Moi -

Pourquoi le Moi se défend ?

Car il tente d’échapper à toute forme de déplaisir. Empêcher la pulsion interdite d’entrer dans la conscience, écarter l’angoisse connexe à la pulsion -

Qu’est ce qu’une défense réussie ?

La réussite d’une défense est plus considérée du point de vue du Moi plutôt que du point de vue du monde externe Une défense réussie est toujours quelque chose de dangereux car elle restreint excessivement le domaine de la conscience ou de la compétence du Moi, ou elle falsifie la réalité. Cela peut avoir des conséquences néfastes pour la santé ou le développement ultérieur Elle réussie quand elle calme l’angoisse et permet une adaptation à la réalité -

Qu’est ce qu’une défense pathologique?

Les défenses qui échouent sont pathogènes parce que le Moi les utilise de manière trop fréquente ou continue pour prévenir la percée de la pulsion écartée, détournée de la conscience. Elles mobilisent beaucoup d’énergie et sont maintenues au prix d’un grand effort.

Les défenses pathologiques peuvent être identifiées par leur caractéristiques de rigidité, d’intensité et de surgénéralisation. Le fonctionnement mental se voit ainsi entravé dans sa souplesse, son harmonie et son adaptation Les défenses sont nécessaires au développement de la pathologie mais ne conduisent pas nécessairement à la pathologie. Un sujet n’est pas malade car il a des défenses mais parce que les défenses sont : inefficaces, trop rigides, pas assez variées, trop fréquentes, mal adaptées à la réalité interne et externe. Dans ce cas, les mécanismes de défense perturbent le fonctionnement psychique au lieu de le protéger

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Quelles sont-elles ?

Il est difficile de les classifier car il n’y a pas de consensus sur leur nombre, selon les auteurs leur nombre peut varier entre une dizaine et une cinquantaine. Les principaux mécanismes de défense : 

Refoulement : c’est le fait de repousser et de maintenir hors de la conscience (dans l’inconscient), les pulsions interdites et les représentations inacceptables. Il est lié au travail du Surmoi, qui va rejeter dans l’inconscient, toute idée inacceptable par la société. Le sujet pense et dit que « tout va bien » mais ce qui a été refoulé reste actif dans l’inconscient et cherche à réintégrer la conscience (ce qu’on nomme, le retour du refoulé). Le sujet va alors ressentir des symptômes (angoisse, troubles du sommeil, somatisation) sans faire de lien avec sa situation. Exemple : « Je dors mal mais c’est sans doute à cause de mon dos, de mon âge (plutôt que lié au deuil que j’ai vécu il y a quelques mois …» « Oublier une période pénible de sa vie » Le refoulement est un processus normal et indispensable à l’équilibre psychologique. C’est aussi le mécanisme le plus utilisé. Mais lorsqu’il fonctionne de manière trop rigide, ne laissant percevoir que des interdits, l’angoisse va naître et le sujet tendra vers une névrose plus pathologique.



Dénégation : la pulsion gênante n’est pas refoulée, elle apparaît dans la conscience, mais le sujet s’en défend en niant (en refusant d’admettre) qu’elle le concerne personnellement. Le sujet a intégré la réalité mais il la nie et le refuse. Ex : « Je me sens énervé mais ce n’est pas à cause de la dispute », « Je n’ai pas pensé, du tout, à cela », « La femme qui apparait dans mon rêve, non, ce n’est pas ma mère » Nécessité de laisser le sujet accepter la situation difficile. Conflit entre le Moi et le Ca



Le déni : c’est le refus de reconnaître un fait (ou émotion) réel existant (en niant la réalité même de la perception) Le sujet refuse totalement la réalité. Exemple : « Je ne suis pas malade ! » Ce n’est pas du refoulement , c’est un déni pur et simple de la réalité. Nécessité de respecter le déni et d’éviter de ramener le sujet à la réalité de façon trop brutale car il peut y avoir un risque d’effondrement. Conflit entre le moi et le monde extérieur



Le clivage : action de séparation, de division du moi, ou de l’objet sous l’influence angoissante d’une menace, de façon à faire coexister les deux parties ainsi séparées qui se méconnaissent sous formation de compromis possible Mécanisme de défense propre à la psychose et à la perversion. Il n’y a pas d’épreuve de la réalité, le bon est dedans et le mauvais est dehors. Ex : un homme, bon mari, bon père de famille, étrangle plusieurs femmes en quelques mois puis va se dénoncer dans l’espoir de faire cesser les cauchemars où il voit apparaître ces femmes. Il fut très étonné qu’on l’arrête immédiatement car il ne pensait pas avoir commis quelque chose de grave (une partie tient compte de la réalité et l’autre non)



Formation réactionnelle : lorsque l’on transforme à des tendances inacceptables des tendances opposées, qui deviennent permanentes. C’est adopter un comportement contraire aux désirs pulsionnels. Se retrouve essentiellement dans la névrose obsessionnelle Ex : une personne qui aurait des TOC de propreté dés qu’il y...


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