Licence 2 CM cognitive Semestre 2 PDF

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Psychologie Cognitive Semestre 2 ...

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Cognitive CM1 Mail prof: [email protected] [email protected]

Introduction: Connaissance intuitive / introspective de la mémoire, au quotidien expérience de notre mémoire. Comme l’évocation de: - Souvenirs - Examens Actualisation de contenu de la mémoire. Il y a des phénomènes d’oubli. Mémoire et activité mnésique:

- Activité mnésique, amnésie, procédès mnémotechniques… Quelques ancrages historiques:

-

Antiquité/Renaissance: période faste: mémoire lieu de connaissance. Descartes 1600: Le raisonnement, mémoire au second plan, subalterne. Ebbinghaus 1885: Pionnier des études expérimentales de la mémoire. Behaviorisme 1920: L’apprentissage La théorie du traitement de l’information 1950

La perspective du traitement de l’information:

-

Cybernétique: N. Wiener Intelligence artificielle: Neuman Théories mathématiques des communications: Shannon et Weaver Nouvelles théories linguistiques: Chomsky Développement de techniques expérimentales Développement d’études appliquées à l’industrie.

La psychologie Cognitive:

-

Comment notre systeme capte des informations Comment notre systeme transforme, represente, stocke ces infos. Comment ces infos permettent d’élaborer des connaissances. Comments ces connaissances sont utilisées pour guider, orienter notre conduite.

La mémoire permet d’actualiser des infos alors qu’elles sont absentes La mémoire correspond aux mécanismes, aux systemes, aux structures impliqués dans le codage, le stockage, et la récupération des informations.

La mémoire en 3 étapes: - Encodage des infos - Stockage d’infos - Récupération d’info

Cognitive CM1 Différentes modalités de récupération:

- Rappel: on presente des images au sujet et il doit les rappeler - Rappel indicé: tache de rappel et au moment du rappel on lui fourni des indices. grace aux indices on favorise la recupération

- Reconnaissance: juger des infos et à dire si les infos qu’on nous presente ont deja ete presenté ou pas.

- Réapprentissage: phase: apprentissage et une seconde phase: réapprentissage. Ebbinghaus: Le précursseur de la méthode. Apprentissage d’une suite de syllabes sans signification et il mesure le nb d’essai necessaire pour aboutir à une recitation sans hésitation. Apres un delais, réapprentrissage de la même suite de syllabes. Et il va à nouveau compter le nb d’essai necessaire pour une récitation sans hésitation. Mise en évidence du phénomène d’économie au réapprentissage: on réapprend plus vite.

Cognitive CM2 Mémoire explicite ≠ implicite: Explicite: recupération volontaire , ex: racontez un souvenir, Implicite: Manifestation involontaire, pas de recupération volontaire, «!vous comprenez ce que je verbalise sans effort!». Claparede aiguille main serré à une patiente amnésique au debut de scéance. A la fin clapparede veut lui serrer a main, elle la retire brusquement en lui disant que parfois il y a des choses caché dans les mains, qu’on est pas obligé … Patient amnésique peuvent toujours assimilé lors d’émotions intense. Des modes d’éval ≠: Epreuves directes de mémoire (recuperation volontaire) Epreuve indirectes de mémoire (pas de récupération volontaire)

Mémoire Rétrospective et prospective: Stockage des evenements qu’on a rencontrer, situation vecu, et de cette façon on peut actualiser ces info là. Stockage d’info concernant des evenements à venir. Par ex: lundi matin reveil, cet a-m j’ai cours de psycho cog, à ce moment on actualise qlq chose qui va se passer dans le futur. La mémoire nous permet une reference au passé, et aussi etre engagé sur l’avenir.

PARTIE I: MEMOIRE A COURT TERME & MEMOIRE A LONG TERME 1.1 Capacité limitée, l’empan de mémoire: Notre mémoire est composite: jean-batiste Charcot (1825-1893). Idée retrouvé aussi chez Théodule Ribot (1839-1916), etude expé de la conduite, du cmpt, il defend aussi l’idée d’une mémoire composite. Notre systeme cog est composé de sous systeme, tout comme la mémoire. Dinstinction entre MCT et MLT. William Hamilton (1788-1850) Lorsqu’on lance au sol pas plus de 7 cailloux on est capable de dire cb il y en a en un seul coup d’oeil. Capacité d’appréhension limité Herman Ebbinghaus (1885) Liste de 7 syllabes, apprendre en 1 seul essai. Georges Miller (1956) «!The Psychological Review!», notre mémoire à une capacité limité, on ne peut que retenir qlq element, 7 elements (+/- 2) Nelson Cowan (2001) ou encore Mathy et Feldman (2012) Empan limité à 3 ou 4 éléments. Empan: capacité d’apprehension mémoire à court terme.

Cognitive CM2 1.2 Les effets sériels Le principe des effets seriels: Focalisation sur le rappel en fonction de la position sérielle. Chaque mot a une position particuliere dans la série. 2 effets particuliers: • Effet de primauté: bon rappel des premiers mots présenté • Effet de recence: excellent rappel des derniers mots. Courbe en U Craik. Effet de primauté: bon rappel des premiers mots: Reflet de la mémoire à long terme. Effet de récence: excellent rappel des derniers mots: Reflet de la mémoire à court terme Facteurs qui influence la MCT: Glanzer & Cunitz 1966: Présentation d’une liste de 15 mots, manipulation du délai entre la fin de la liste et le rappel de cette liste. Delai nul, délai de 10 secondes avant le rappel, délai de 30 secondes avant le rappel. Craik 1970: 10 listes de noms communs de 2 syllabes, vitesse de présentation: 2 scd par mots. Rappel immédiatement après chaque liste (pendant 1mn) Rappel immédiat. Après le rappel de la dernière liste, rappel de l’ensemble des mots de toutes les listes, rappel différé total. Resultats: Craik observe un effet de primauté et de recence. Sur le rappel différé, on observe un effet de primauté, mais sur cette courbe on observe un effet de primauté et plus du tout d’effet de récence. Plus on augmente le délais plus on affecte la MCT, diminution. Facteur qui influence le MLT: Longeur des listes. 6 groupes expérimentaux: 10 mots à la cadence de 2 scd par mot 15 mots à la cadence de 2 scd par mot 20 mots à la cadence de 2 scd par mot 20 mots à la cadence de 1 scd par mot 30 mots à la cadence de 1 scd par mot 40 mots à la cadence de 1 scd par mot 80 listes de mots pour chaque groupe. Facteur qui influence la MLT: Autorépétition: Rundus & Atkinson, 1970: Matériel: liste de 20 mots, vitesse de présentation: 5scd par mot, Consigne de répétition à voix haute, mesure du nb de répétitions de chaque mot), comment est le rappel en fonction du nb de fois ou les mots sont répétés. Resultat: lien entre effet de primauté et nb de répétitions. Plus un mot est répété plus il a de chance d’être rappelé. Cet effet concerne uniquement la primauté. Des facteur ≠ affectent spécifiquement la primauté ou la récence. Il y a indépendance entre ces 2 mémoires

Cognitive CM3 1.3 Le modèle des 2 mémoires: W. James (1890): • Mémoire primaire: présent psychologique, ce que j’ai à l’esprit un moment donnée • Mémoire secondaire: passé psychologique D. Broadbent (1958): Distinction entre MCT et MLT Atkison & Shiffrin (1968): • Aspects structuraux: - registre sensoriel: mémoire sensorielles - MCT - MLT • Processus de controle: correspond à du fonctionnement intentionnel, au bon fonctionnement des processus de mémoire: - Processus de codage de l’info autorépétition - Stratégies de récup en mémoire… on repere des entré d’info qui vont parvenir à nos registre sensoriel, donc les premieres mémoire intriqué sont les mémoires sensorielles. Stocké peu longtemps mais suffisamment pour etre encodé dans la mémoire à court terme. Ils font figuré au seins de cette MCT c’est l’auto-répétition, ce qui consiste à repeter mentalement des formes verbales. Puis apres cela, l’info rentre dans la mémoire à long terme. Il y a des processus de ctrl qui peuvent intervenir dans l’auto-répétition, recupération…

Critique de ce modéle: La question de la reconnaissance, La possibilité de rappeler en différé des éléments non rappelés en immédiat. sujet capable de reco des info qu’ils n’ont pas été capable de rappeler. L’entré des info ne se ferait pas forcement de la MCT à la MLT mais implique la MLT. D’abord MLT puis MCT, si elle reste il faut de l’auto-répétition.

Cognitive CM3 Conclusion: On posséde une MCT & MLT, ces 2 mémoires ont des caractéristiques ≠, les travaux menés avec la technique des effets sériels en constituent des argmt expérimentaux.

Partie II: Mémoire à court terme et de travail 2.1 Difference MLT MCT Passage: Atkinson & Shiffrin 1968 —> Baddeley & Hitch 1974 MCT —> MLT 2 mesures de notre espace mental: MCT: Stocker des info de manière transitoire Mémoire de Travail: Stocker et réaliser un traitement de l’info 2.2 Les travaux Princeps de Brooks (1968) Il s’interesse au code verbal: Brooks demandait au sujet de mémoriser la phrase: un oiseau dans la main n’est pas dans le buisson. Consigne: juger chaque mot de la phrase: Oui si c’est un substantif (un nom) Non si ce n’est pas un substantif. Certains sujets: Reponse verbale (oui non non non non…) D’autres: réponse motrice: pointage d’une succession de oui et de non figurant sur un support présenté aux participants.

Cognitive CM4 Code visuo-spatial: - Forme à mémoriser - Consigne: juger chq angle de la forme: Oui si c’est un angle situé en haut ou en bas, non pour les autres angles. - 2 modalités de réponse: Réponse verbale: oui oui oui non non non… Reponse motrice: pointage d’une succession de oui et de non figurant sur un support présenté aux participants. Les résultats: Brooks mesure le temps de réalisation de la tâche en secondes. Pointage

Verbalisation

Verbal

9,8

13,8

Visuo-spatial

28,2

11,4

(Extrait et adapté de Brooks 1968) Mémo Phrase: Reponse verbale: interference Reponse spatiale

Mémo F Reponse verbale Reponse spatiale: interference

Existence de sous systemes spécialisés. Un système dédié au verbal, un systeme dédié au visuospatial.

2.3 La mémoire de travail: Baddeley et Hitch 1974, Baddeley 1986 et 2000 a) Expériences 1-10 (Baddeley et Hitch, 1974) Effet de la pré-charge en mémoire: Tache principale: tache de raisonnement. Pré-charge en mémoire: retenir des lettres (0, 1 ou 2) Autre facteur: lettre lues ou entendues. Rappel de la charge Pas d’effet de la pré-charge sur la tache de raisonnement. Les sujets sont capables de mémoriser la tache de mémorisation sans cout sur la tache de raisonnement. Expé 2: Pré-charge en mémoire augmentée. Tache principale: tache de raisonnement Pré-charge en mémoire: retenir 0 ou 6 chiffres Autres facteurs: Consigne (égalité ou pré-charge) Dans une des conditions on insiste en leur disant qu’il faudra rappeler les chiffres apres la tache de raisonnement. Donc à l’issu de la tache on demande au sujet de rappeler la charge. Ils constastent qu’avec la condition d’egalité des charges, il n’y a pas de ≠ dans la resolution de la tache de raisonnement. On constate que les sujets sont capables de rappeler 3-4 éléments, raisonnement sans altération.

Cognitive CM4 conclusion: Le modéle d’Atkinson et Shiffrin (1968) prédit: - MCT saturée (Pré-charges) pas capable de realiser tache de raisonnement. Finalement la MCT, tel qu’elle est conçu par Akinson et Shiffrin ne suffisent pas à expliquer les résultats. a) Expé 9: Effet d’une charge concurrente Tache principale: rappel libre de listes de 16 mots Tache synchrone concurrente: retenir des chiffres (0, 3 ou 6). Rappel des mots puis des chiffres. Conclusion: Pas d’effet de la tâche concurrente sur l’effet de récence. En saturant la MCT: - Possibilité de réaliser des taches complexes (raisonnement, compréhension de textes), - Effet de récence intact. Hypothese: Les taches complexes n’ont pas lieu en MCT mais au seins d’un système plus complexe appelé la MT. Un peu plus tard, des études (ex: Perfetti et Lesgold, 1977; Daneman et Carpenter, 1980) vont confirmer que les perf aux activités complexes sont corrélées avec les mesures de MT, mais pas (ou bcp moins) avec les mesures de MCT.

Cognitive CM5 b) Le modèle de MT:

Calepin Visuospatial

Systeme Central Exécutif

Boucle articulatoire

Boucle articulatoire correspond à une MCT verbal (tache simple de materiel verbale utilisé la boucle articulatoire verbale) Calepin visuospatial: MCT visuo-spatial, il gere l’info sensoriel à court terme et l’info qui a une composante spatial. dès lors qu’on reflechi ou qu’on pense on active le calepin VS. Syst. Central exécutif:

Le modèle de MT: 1)Stock phonologique! Composante passif: -info sous forme phonoq -Ne peut maintenir l’info que pendant une durée très brève à cause du déclin de la trace: +/- 1,5 à 2 sec 2) Récapitulation Articulatoire Composante actif: -Permet le maintien actif de l’info dans le stock grâce au processus de récapitulation articulatoire (= répétition subvocale ou autorépétition) Calepin visuo spatial: 1) un stock à court terme et 2) Des processus de controle responsables de l’enregistrement de l’info visuo-spatiale et de son rafraichissement. Le calepin VS permet l’integration et le maintien temporel, spatial et kinesthésique. Les 2 syst esclaves sont pris en charge par le syst central exécutif. il coordone l’info venant des syst esclaves, il gère dans le passage des infos en MLT. En 1986 Baddeley, Syst centrale exécutif systeme attentionnel superviseur (SAS, Norman et Shallice, 1986). Le SCE va etre impliqué dans la décision d’action les plus efficace. Ce modele suppose que l’action puisse etre controlée: 1) soit par la mise en oeuvre d’une série de schémas pré-existants. 2) Soit par le biais du systeme attentionnel superviseur qui prend le controle des opérations, lors de taches nouvelles orsque les schémas pré-existants ne sont pas adaptés. 2 sous composants principaux: - Le «!cache visuel!» assure le maintien temporaire de l’info visuo-spatiale - Le Scribe interne assure le rafraichissement de cette info en la réécrivant séquentiellement dans le cache visuel.

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Modèle construit sur l’idée d’une relative indépendance des systemes esclaves. Morris, 1986: On demande à des sujets de mémoriser 6 consones et les sujet doivent les rappeler. 3 conditions: - Les participants font la tache en situation controle, càd sans tache concurente simultané. - Condition poursuite, - Articulation: on demande au sujet de verbaliser pdt la tache. on remarque une grande difference pour l’articulation par rapport au 2 autres qui ont un resultats similaire.

Cognitive CM6 c) Buffer épisodique Pourquoi cette proposition: - Malgré la saturation de la boucle phonologique, l’empan de chiffres reste de 3 ou 4 (Baddeley, Lewis et Vallar, 1984) - Des patients avec une MCT phonologique quasiment nulle rappellent 4 chiffres en présentation visuelle - Le rappel de phrases permet un rappel de 18 mots (Glanzer et al, 1981) alors que le rappel de mots permet un rappel de 7 mots (Miller, 1956)

MLT épisodique: souvent envisagé comme stockant nos souvenir ou memoire autobio, Mémoire semantique visuelle: en liens avec le calepin visuo-spatial. Tout ce qui est en gris baddeley l’appel le syst. cristalisé qui correspond à tout ce qui s’est cristalisé au sein de notre mémoire stable en blanc, syst fluide. Le buffer épisodique est decrit comme un syst à durer limité utilisé pour le stockage temporaire d’info multimodales. Syst que propose baddeley est en rupture avec la conception de la MCT 2.4 La mémoire de travail: Modèle de Cowan, 1988

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Une conception différente: Baddeley: differentes mémoires dans differents systemes donc différentes «!boites!» Avec Cowan, les contenus sont uniques, ce qui les différencie c’est le niveau d’activation. Des éléments de la mémoire à long terme sont activés: - à partir des stimuli sensoriels - ex: j’entend des mots

- A partir de l’engagement attentionnel du sujet. - ex: je pense à ce que j’ai mangé au petit dejeuner —> Mémoire à court-terme. Le contenu de la MCT à des elements de la MLT à un moment donnée. Certains elements de la MCT vont pouvoir se trouver dans le focus intentionnel. Ex: j’active 278 + 8798 Je focalise mon attention sur 8 et 8 … MCT et MLT: un seul systeme des niveau d’activation variables.

La MLT: nos connaissances La MCT: partie activée de la MLT Au sein de la MCT, certains éléments peuvent etre dans le focus attentionnel. 2.5 Mémoire de travail et fonctions exécutives. Fractionnement du systeme executif en fonctions exécutives: - concept important en psychologie cognitive - Concept important en neuropsychologie - Fractionnement des fonctions réalisées par le systeme executif. Proposition de Miyake et al. (2000) a) mise à jour (updating) actualisation du contenu de la mémoire de travail. ex: La tache N-back b) Flexibilité mentale (shifting) alternance entre 2 processus ex: Trail Making test c) Inhibition capacité à stopper un processus ex: le stroop.

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III- L’oubli 3.1 L’oubli en MCT/MT a- La technique Brown - Peterson 1958-1959 Peterson & Peterson, 1959: Présentation de 3 lettres à mémoriser. Ils introduisent ensuite un delai (varie de 0 à 18s) avec un compte à rebours de 3 en 3. Rappel des 3 lettres. L’oubli suit une fonction de type exponentielle qui décroit avec la durée du délai. Si on ne laisse pas au sujet d’auto-repeter les lettres présentés, les sujets sont capable au bout du delai de 18s de ne plus rappeler qlq chose. Oubli à court terme a permis d’etudier la suppression de la subvocalisation. La technique aujourd’hui: Présentation d’items à rappeler Introduction d’un délai avec la tache interferente. Souvent tache de décomptage, ou comptage à rebours. Resultat: l’oubli varie en fonction de la durée du délai. Ce paradigme permet d’étudier le déclin de la trace. Au fur et à mesure que le temps passe, la trace en mémoire diminue le rappel diminue. Depuis Brown-Peterson les recherches ont évolué, les sources d’oubli sont nombreuses, aujourd’hui on identifie 2 sources importantes d’oubli en mémoire: - Déclin de la trace —> permet d’expliquer l’oubli à court terme donc en MCT et MT - Interférence —> permet d’expliquer le phénoméne d’oubli en MLT, les interferences permette aussi d’expliquer l’oubli en MCT et MT. b- Le déclin de la trace (Baddeley et Cowan) Baddeley 1986, l’oubli est provoqué par le déclin de la trace. Si mon attention est capturé par qlq chose, il y aura déclin de la trace. C’est ce qui se passe lorsqu’on cherche à mémoriser un liste de mots. Si on me dit un num de tel à mémoriser et juste apres on me dit que j’ai gagné qlq chose, la trace correspondant au num de tel va décliner. Du fait que l’attention est captivé par autre chose juste apres. 1) Stock phonologique: composante passif de stockage: Info sous forme phonologique, ne peut maintenir l’info que pendant une durée tres breve. 2) Récapitulation articulatoire (processus de ctrl arti.) Composant actif de récap arti: Permet de maintenir actif l’info dans le stock grace au processus de récap arti (répétition subvocale) Il y a un seuil en dessous duquel la trace sera trop faible pour pouvoir etre réactivée. L’effet de longueur des mots: On oublie plus facilement une liste de mots longs qu’une liste de mots court

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3.2 L’oubli en MLT Recherches princeps sur l’interférence rétroactive Controle: App cible délais Test app cible Expérimentale: App cible App ultérieur Test app cible Expé: App d’une liste d’adjectifs (app cible) App ultérieur Rpl de la liste d’adj (test de l’app cible) ce qui va jouer c’est le degres de similitude entre app cible et app ultérieur. Recherche princeps sur l’interference proactive: Controle: App cible Expé: App antérieur

Test app cible App cible Test app cible

Underwood (1957) Constat d’une variabilité dans les rappels de mots de ≠ expé. Mise en relation du nb de mots rappelés et du nb de listes antérieurement apprises. Plus le nb de listes antérieurs est élevé, plus le rappel est affecté.

Partie 4: Différents systèmes de mémoire 4.1 La mémoire sensorielle visuelle (mém. Iconique) Segner, 17...