MET2150 Fiche Lecture ch2 PDF

Title MET2150 Fiche Lecture ch2
Author Laurence Laforce Lamontagne
Course MET-2150
Institution Université du Québec à Montréal
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Summary

fiche de lecture chapitre 2...


Description

École&des&sciences&de&la&gestion! Département!de!management ! Université!du!Québec!à!Montréal!

Fiches de lecture MET2150 – automne 2020 À compléter par l’étudiant.e Nom, prénom Code permanent Groupe-cours Chapitre

2 Réservé à la correction

8 idées x 1 pt (8 pts) 2 questions x 1 pt (2 pts) Total sur 10

DIRECTIVES Vous devez réaliser une fiche pour chacun des chapitres 1 à 10, à remettre AVANT la séance qui porte sur ce chapitre, selon les modalités précisées par votre enseignant.e (10 fiches, une page Word chacune, Times new roman 11 pts, interligne simple) La réalisation de ce travail a pour objectifs de favoriser une lecture active, de permettre une meilleure compréhension et appropriation des concepts; de vous responsabiliser dans vos apprentissages 1.! Résumez huit (8) idées importantes du chapitre étudié dans vos mots (critères de correction : clarté, concision, pertinence, compréhension) 2.! Rédigez deux (2) questions qui émergent de la lecture. Cela peut être une question centrale qui mériterait d’être discutée en classe ou une interrogation qui demeure après la lecture du chapitre. Si vous aviez les auteurs en face de vous, quelle question en lien avec le contenu du chapitre souhaiteriez-vous leur poser ? Éviter les questions du genre : « que veut dire tel concept ? » qui ne sont que des questions de précision et qui pourront être traitées en classe. Il s’agit de poser des questions qui interrogent, par exemple, un élément absent du chapitre lié à votre expérience managériale, un paradoxe dans les idées défendues dans le texte, qui permet de faire le lien avec d’autres chapitres ou avec l’actualité récente (par exemple : il s’est passé telle chose cette semaine dans l’entreprise X, peut-on dire que cela relève du concept Y?) (Critères d’évaluation : qualité de la réflexion, pertinence de la question, valeur ajoutée)

HUIT (8) IDÉES PRINCIPALES DU CHAPITRE 1

Définir le Management : Cette idée nous permet de définir le management et de faire la différence entre gérer et manager. Premièrement, manager veut dire prendre soin des choses et des relations entre les hommes. Tandis que gérer veut dire prendre en charge, exécuter et accomplir. Deuxièmement, le management est à la fois « l’administration des choses » et le gouvernement des hommes. Ce qui veut dire qu’il s’occupe de gérer plusieurs activités chaque jour (recruter, le plan de production, les paiements des fournisseurs…). De plus, selon le livre, le management est à la fois un concept, un métier, une discipline et une idéologie.

2

Le management comme concept : La représentation mentale du management est la rationalité, la raison et l’objectivité. De plus, le management est une science de rationalisation, selon les écoles du courant formel. Le management puise ses racines disciplinaires dans les sciences. En outre, la science et la technique créent les mythes ce qui veut dire qu’il ne faut pas croire que les mythes ne sont plus d’actualité. Ceux-ci permettent de répondre aux différentes questions que l’être humain se pose depuis des siècles (aux origines du triptyque raison-rationalité-objectivité).

3

Le management comme discipline : Le management est une discipline qui puise ses racines scientifiques ainsi que disciplinaires dans diverses sciences. La science économique est située aux premiers rangs de ces sciences. Adopter la conception d’une science du management inspiré de l’économie permet d’évacuer le débat sur la dimension idéologique et de maitriser les méthodes de rationalisation utilisées. De plus, quand nous additionnons les deux, l’action finalisée et le comportement rationnel expliquent la notion de la rationalité économique.

4

La science du management : les sciences de gestion : C’est la science qui est à l’origine de la discipline du management. Les sciences de la gestion sont l’âme même du management. De plus, tout problème de management peut être défini par une formule mathématique(science). Alors, dans ce même ordre d’idée, régler une situation managériale veut donc dire résoudre une formule mathématique.

5

Les critiques du modèle de l’OST de Taylor : Le modèle de l’OST fondé par Taylor est critiqué pour plusieurs raisons. Premièrement, ce modèle perçoit les travailleurs comme des machines(automates). Ce qui fait en sorte que les employés se désintéressent de leur travail. Deuxièmement, le modèle de l’OST de Taylor ne prend pas en compte les besoins sociaux des travailleurs. Troisièmement, ce modèle avantage les entreprises et non les travailleurs.

6

Les critiques de l’administration classique : L’administration classique a comme point faible qu’il ne prend pas une considération globale de l’aspect social et psychologique de l’humain. Il prend en considération seulement la vision utopique de l’organisation selon les dirigeants.

7

La critique de l’organisation bureaucratique : l’organisation bureaucratique est fortement critiquée, car dans cette organisation il y a un excès de centralisation, de hiérarchie, de formalisation des règles et il n’y a pas de place pour l’initiative individuelle ou collective. Ce qui veut dire que cette forme d’organisation prive les gens de leur sens de responsabilité, car chacun doit obéir aux règles de celle-ci. De plus, la forme pathologique bureaucratique est incompatible avec la créativité et l’innovation. En outre, quand cette organisation est en marche il y a un cercle vicieux bureaucratique. Celui-ci s’enclenche quand le management ne cherche pas l’origine du 2!

!

malaise et émet de nouvelles règles pour résoudre les dysfonctionnements. De plus, les nouveaux règlements vont faire en sorte que l’organisation va renforcir son contrôle centralisé.

8

Le management est avant tout un phénomène humain: Pourquoi le management est avant tout un phénomène et pourquoi la technique à échoué ? c’est à cause de l’approche formelle que ça n’a pas fonctionné. Cette approche est critiquée et on lui reproche son déterminisme, la relation abusive, où personne devient un automate au service de l’entreprise, et non de l’inverse, la généralisation abusive, ces lois n’étant pas applicables à toutes les situations, la domination de l’autorité (qui risque d’occasionner des conflits), l’engagement total dans la rationalité, la domination du contrôle, la priorité accordée aux objectifs économiques de l’entreprise. De plus, cette approche considérait l’humain comme une machine et non ce qu’il est réellement. Il y avait donc une relation abusive entre l’humain et les organisations. Les travailleurs sont le cœur d’une organisation, il faut prendre en considération leurs besoins et leurs bien-être.

DEUX (2) QUESTIONS 1

Pourquoi la forme de l’organisation bureaucratique à tel été amplement utilisé si elles possèdent énormément de points faibles ?

2

Pourquoi un des synonymes de manager est géré quand il ne veut pas dire la même chose ?

3! !...


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