Science Politique Citoyenneté Parti PDF

Title Science Politique Citoyenneté Parti
Course Politiques sociales transversales, catégorielles
Institution Université de Lille
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Summary

Science Politique : Citoyenneté, Parti, Elections (33 Heures)Le 02/09/Remi LefebvreEpreuve de 3H (dissertation, 2 sujets au choix)Leçons d’introduction à la science politique (Ellipse)Aborde la sociologie politique : Etude de la démocratie de manière concrète, qu’est-ce que dit la science politique ...


Description

Science Politique : Citoyenneté, Parti, Elections (33 Heures) Le 02/09/2019 Remi Lefebvre Epreuve de 3H (dissertation, 2 sujets au choix) Leçons d’introduction à la science politique (Ellipse) Aborde la sociologie politique : Etude de la démocratie de manière concrète, qu’est-ce que dit la science politique du fonctionnement actuel des démocraties occidentales (France, Etats-Unis, partis politiques...) 3 piliers : Les comportements électoraux Les élections, la citoyenneté électorale, (cœur du cours), changements profonds qui perturbe les grilles d’analyses (vote : Clivage gauche/droite pendant longtemps, aujourd’hui, affaiblissement parti traditionnel, émergence partie hors-système) se fait en fonction d’une offre politique changeante (LREM en 2017), de déterminisme social... Les partis politiques : Font partie de la vie démocratique, transformation très profonde : A la fois en crisse mais n’ont pas du tout disparu (paradoxe) et sans parti, pas de démocratie car permettent de présenter différentes idées et des candidats, étudie les théories des partis politiques, comment ils évoluent, se transforment, comment apparaissent des partis comme Podemos, Mouvement 5 étoiles, FI, LREM... d’un nouveau genre, se réinventent mais ne disparaissent pas La participation politique : Pas que le vote dans les démocraties représentatives, forme également non-conventionnel, pourquoi révolte, passage à l’action politique (gilets jaunes) Les hommes politique, élites : Idée que des individus sont amené à être des professionnels de la politique et donc ne pas être pratiqué par tous (expression Max Weber) Change également beaucoup de nos jours, tendance à la déprofessionnalisation (Donald Trump et Emmanuel Macron : Courtcircuite le circuit traditionnel mais ATTENTION : Cette logique de professionnalisation existe toujours. Macron n’a pas un profil si atypique que ça (Enarque, a été ministre, capital et social et politique important, pareil pour Trump) Logique de représentation politique inégalitaire : Plus on monte dans la hiérarchie politique, moins elles représentent la population, CSP + qui domine, fort capital social et politique), demande beaucoup de ressources mobilisables (députés société civil LREM)

(Député LREM en 3 catégories : Société civile, députés qui changent d’étiquette et celles et ceux ayant déjà été dans le giron politique) Démocratie représentative : Régime ou la citoyenneté est essentiellement électorale, où les citoyens s’expriment principalement à travers des élections où ils départagent des élites issues de partie politique qui structure la participation électorale mais peuvent également agir autrement

Chapitre 1 : Les notions de citoyenneté et de participation politique Idée que les individus sont fabriqués socialement parce que l’on a vécu (socialisation primaire) mais chaque individu est unique (socialisation secondaire, études) également la socialisation

générationnelle (ensemble d’individus ayant vécu un certain nombre d’évènements importants ensembles) Va faire le lien avec le cours de S2 : On va étudier la participation politique, électorale, hors électoral/non-conventionnel Notion de citoyenneté est central dans la démocratie car c’est un droit qui fait que la participation à la vie politique est un droit Dans les démocraties, il existe une offre de participations plus ou moins étendu globalement centré sur le vote mais pas que (idée de démocratie participative) Idée que dans les démocraties représentatives : Seul moyen du citoyen, c’est de voter comme seul acte démocratique important mais de plus en plus de citoyens la rejette (Mouvements des gilets jaunes refuse le mécanisme de délégation, représentants jugés comme indignes) donc de plus en plus d’abstentions et de moins en moins de vote d’adhésion (Macron face à MLP aux présidentielles en 2017) « Déclin de la performance démocratique du vote » (Pierre RossanVallon) L’élection en confère plus aux élu.e.s une légitimité indiscutable, fragmentation des paysages politiques donc du coup le vote est de moins en moins accepté par les citoyens mais comme c’est la légalité républicaine, explique la violence L’offre de participation est essentiellement électorale La citoyenneté est un droit essentiellement juridique car consacrée à la loi (Défini le code électoral, les référendums) Grand décalage entre ce droit à al participation et les principes effectives à la participation çàd que le droit à la participation ne sanctionne pas automatiquement de la participation, de plus en plus d’électeurs ne votent pas. Des conditions sociales conditionnent une plus ou moins grande participation politique donc plus affaire de sociologie que de droit Sentiment de compétence politique inégalement distribué dans la société (sentiment de légitimité politique liée à la compétence politique corrélé à la connaissance politique) donc exclu socialement ceux qui ont du mal avec la Vie Politique La politique dans les Etats contemporains est une activité spécialisée, repose sur des institutions spécifiques, ils existent « un monde social de la politique qui est prise en charge par certains individus que l’on désigne sous le terme de gouvernants ou d’homme politique La séparation gouvernants/gouvernés et au cœur des systèmes politiques. Populisme dénonce ça mais pas du tout propre aux sociétés contemporaines mais tout système démocratie est fondée làdessus. Gouvernés choisisse les gouvernants et départage les élites « Le rôle des citoyens en démocratie est très limités, c’est celui de départager des élites (Joseph Schumpeter) et ont ne choisit pas les élites Autre principe : Tirage aux sorts, empêcherait de voter pour des élites et beaucoup plus démocratique qu’une élection mais pourrai dire que on ne participe pas à son choix donc on peut ne pas obéir Si prend formule démocratie de Lincoln, les gouvernés ne reste pas pour autant passif, ils ont un pouvoir considérable celui de départager es élites et depuis les années 80 en France, quasiment les sortants ont été sorti par le vote, sanctionné par ça donc logique d’alternance

Quand quelqu’un est élu, on ne plus rien faire pour le remettre en cause (Bernard Manin) RIC idée que les gens n’acceptent plus de donner un blanc sain à un élu et de le laisser faire, ils le sanctionnent donc en ne le réélisant pas Séparation gouvernants/gouvernés mais les gouvernés élisent les gouvernants et les sanctionnent par le vote Participation politique : « L’ensemble des activités individuels ou collective susceptible de donner aux gouvernés une influence sur le fonctionnement du système politique » (P. Braud) donc la participation est une forme de concrétisation de principe de souveraineté du peuple sachant que cette forme de souveraineté s’exerce à travers le vote pour ça que les républicains le sacralisent au XIXème siècle. Mais comment légitimé du vote grippé (voir plus haut), le vote n’est plus accepté donc ne vote pas mais on a que ça donc comment faire ? Sacralisation du vote symbole de démocratie et en même temps désacraliser (paradoxale) Le système politique démocratique ne reconnait pas seulement des gouvernés sujets mais aussi des citoyens invités à participer aux affaires publiques La démocratie suppose la participation, quelle forme prend la participation et quels sont les conceptions de la citoyenneté ? Ces formes sont multiples, pluriels même si elles tendent à survaloriser le vote qui en fait le principe fondamental de légitimer dans les démocraties représentatives, le pouvoir découle de l’élection et non de la popularité Une forme assez restrictive de citoyenneté s’est imposée centre sur le vote 1. La citoyenneté, un droit à la participation politique Le sacre du citoyen (Pierre RosanVallon, 1992) Il montre comment au XIXème siècle la figure du citoyen s’est peu à peu imposée et comment la figure du citoyen et conçu petit à petit au cœur du système démocratique, reconnaissance d’un droit à la participation amorcée lors de la révolution française à travers la proclamation de la souveraineté du peuple, la mise en place d’élections mais très contradictoire sous la révolution française car quand les révolutionnaires choisissent l’élection car c’est un principe non démocratique, un principe aristocratique. Le peuple ne doit surtout pas exercer le pouvoir mais à travers les élections doit confier le pouvoir aux élites (Abbé Sieyès) considéré comme un filtre de la volonté populaire Puis sous la révolution française, le scrutin est censitaire, payant donc les révolutionnaires considèrent que le peuple est ignorant donc il faut donner le vote uniquement aux informés, Suffrage universel proclamé en 1848 et uniquement masculin, les femmes sont incapables de penser politiquement par elles-mêmes. Ne s’épanouit pleinement que sous la IIIème République avec le SUD (Suffrage Universel Direct) enfin appliqué mais d’un côté, les républicains donnent une citoyenneté nouvelle aux citoyens français mais sont également méfiant. « L’histoire de la citoyenneté en France est une dialectique du nombre et de la raison » (Pierre Rossanvallon). Ne peuvent voter que les êtres raisonnables et avec le vote faire un usage caractéristique de la citoyenneté, l’usage de la citoyenneté c’est la capacité de raisonner. Accepte le

pouvoir donner aux nombres car les habitants sont formés à l’école et leur donne la raison, pour ça que les républicains développent grandement l’école. Fonction qui aujourd’hui a beaucoup changé (aujourd’hui prendre place dans le marché du travail et plus de former un citoyen) En France, la citoyenneté s’élargit et s’accompagne d’un projet d’éducation au peuple, on lui donne le pouvoir mais il faut le former, vision élitiste : On considère qu’on ne peut donner le pouvoir au peuple uniquement si on le forme. Le 09/09/2019 A. L’institutionnalisation de la participation Dans les démocraties représentatives, le peuple ne gouverne pas directement mais à travers ces représentants donc la participation est assez limitée et tout se concentre lors des élections. Pour autant, il existe une citoyenneté non-électoral et la citoyenneté valorise un continuim/hiérarchie de participation allant de S’informer à militer dans un parti Cependant, seule une minorité concentre toute la participation électorale (polarisation) Analyse sur l’évolution de la démocratie participative Bernard Manin, Principe du gouvernement représentative (1995) Il cherche à faire l’histoire des formes de participation institué. Distingue 3 âges de la démocratie représentative : Parlementaire, des parties et du public. C’est un idéal type : « Notion qui a tendance à grossir la réalité » (Max Weber) En réalité, les trois se chevauchent, Premier temps de la démocratie représentative : Démocratie parlementaire (1830-1900) ce qui domine la vie politique c’est le parlement, l’épicentre de la démocratie représentative, c’est une période dominée par les notables : Possède un capital social à la faveur d’un enracinement local qu’ils convertissent en capital politique. Interface entre la province et Paris. Dans cette démocratie parlementaire, la participation instituée est censitaire et dans ce modèle, les électeurs s’en remettent au notable, quasiment aucune participation en dehors du vote Deuxième temps de la démocratie représentative : Démocratie des parties (1848/1870-années 70) : Suffrage Universel donne l’âge des masses, on a désormais des millions d’électeurs et on ne vote plus forcément pour un notable mais pour un parti politique qui coordonne se vote de masse. Une nouvelle forme d’engagement émerge : L’engagement dans les partis politiques, en on parfois beaucoup (parti de masse), s’implante et domine le jeu politique, s’impose comme des acteurs dans l’enceinte parlementaire (discipline partisane à partisane du XIXème siècle). Forme de représentation qui change, ce ne sont plus forcément des individus qui représentent mais des partis. Le parlement apparait moins comme un lieu de délibération car les députés votent désormais selon la ligne de leur partis (à nuancer) Apparition d’une nouvelle forme de participation : L’engagement partisan, les militants peuvent contribuer aux décisions dans les partis politiques Pour Manin, cette démocratie dure plusieurs décennies jusqu’au années 70 Troisième temps : La démocratie du public (Années 70-maintenant) : Elle transforme les médiations représentatives, ça devient les médias et les sondages. Le débat ne se joue plus au parlement mais avec les médias et les attentes ne sont plus porté au parlement par les députés mais à travers les sondages.

Avant les années 60 (démocratisation de la TV), les partis politiques allaient voir leurs électeurs pour savoir les attentes, maintenant les médias court-circuitent ça Auparavant, comment les élites savaient ce que voulaient les citoyens ? Ecoutaient leurs citoyens avec les notables, ensuite les partis portaient ça au travers de leurs militants et aujourd’hui, plus besoin de ça, on connait ça à travers les sondages. Sondages + médias permettent d’avoir une relation descendante-ascendante entre le peuple et les élites. Les médias jouent désormais un rôle d’expression politique de la population. Est là car de nouvelles de formes de participation désintermédiées (passe par des intermédiaires traditionnels) au sens où les corps intermédiaires traditionnels passent par de nouvelles formes de participations dont les réseaux sociaux mais si pas de représentation, d’organisations ou de programme, on ne survit pas dans le système là-dedans (gilets jaunes) La participation prend des nouvelles formes aujourd’hui non traditionnelles, on participe aujourd’hui à la vie politique à travers des sondages (critiquables). Permettent de réintroduire le peuple entre deux élections car ils mesurent la légitimité d’un élu ATTENTION : Idéaux types car le parlement et les élus locaux continuent à être des médiations locales importantes. La démocratie représentative est de plus en plus un face à face entre un peuple, ces élites et les nouveaux intermédiaires médiatiques L’âge de la démocratie du public offrent de nouvelles formes de participation politique, comme les sondages qui rétroduisent des électeurs entre deux élections Selon Sydney Verba : « C’est une forme de participation politique dans la mesure où le sondage constitue un moyen pour les majorités de faire entendre des opinions, leurs critiques en dehors des périodes électorales » Selon Bernard Manin, grâce aux sondages et les médias qui les relaient la discussion des problèmes politiques ne se cantonnent plus uniquement au parlement ou dans les partis politiques ATTENION : Participation à un sondage très passive (Pierre Bourdieu, l’opinion publique n’existe pas), Pierre Bourdieu appelle ça des artefacts (en fonction de la formulation, change la réponse) Est-ce que les sondages changent l’actions des gouvernants (peur d’une forme de référendum permanent et de la démagogie) pas du tout le cas avec impopularité structurale de nos dirigeants depuis 30 ans Les sondages donnent l’illusion de la participation. Aujourd’hui, la participation du publique passe à travers des canaux non-historique Manin conclut que l’électeur à peu de droit de participation, d’où d’ailleurs le fait que la démocratie électorale soit de manière récurrente dénoncer car à juste titre, on peut considérer que l’élection instaure une forme de dépossession. Le peuple en votant exerce sa souveraineté mais en même temps y renonce (paradoxal) car s’en remet à des représentants sur lequel il n’a aucune prise et le système représentative repose sur un élément essentiel : La confiance Or, la confiance des citoyens envers leurs représentants est aujourd’hui très faible. Critique qui considère que la démocratie représentative est un simulacre de démocratie. Du coup, abstention dans le jeu

Pour Julia Cagé, le financement des campagnes pose vraiment problème. En France, les dons privés sont défiscalisés donc favorise les gros capitaux et deviennent dès lors moins démocratique. C’est un régime déceptif : Il a tendance a décevoir, donc aspiration à la démocratisation de la démocratie, à plus de droit. Ses progrès passent par l’extension du droit de suffrage (femme, majorité à 18 ans et ressortissant des pays de l’UE). Aussi la multiplication des votent (1986 : Régional, 1979 : Européennes) Aussi des dispositifs de démocratie participative (oxymore) mise en place. Elle désigne aujourd’hui l’ensemble des dispositifs permettant d’associer les citoyens à la discussion des affaires publiques et à la discussion des affaires politiques. Désigne des dispositifs de concertation ou d’association du public à la prise de décision A aussi pour but de réintroduire les électeurs entre deux tours. Mais c’est globalement uniquement local, or beaucoup sont prises à un niveau national La démocratie participative est une autre réponse au constat que la démocratie n’est pas assez représentative ni participative b. La participation est aussi bornée par des règles qui exclut des individus du droit à participer ou qui interdit certaines formes de participation. Ces restrictions sont justifiées par des théories de la citoyenneté qui donnent un sens à ces limitations Exemple : Pendant longtemps, ce sont les théories qui justifient l’exclusion des plus pauvres. Qu’estce qui justifie le cens, le droit de vote aux plus roches ? L’aisance financière est synonyme de disponibilité et de sagesse. Pendant longtemps Définition capacitaire : idée que le peuple n’est pas suffisamment éclairé pour prendre les décisions qui conviennent pour diriger la vie sociale Premier bornage de la citoyenneté : vision élitiste : On est un bon citoyen que si on est éclairé. Risque que le citoyen est trop régi par son intérêt immédiat est il faut écarter les passions, notre citoyenneté est un idéal rationnel. La vision schématique des républicains de la citoyenneté c’est la raison (Voir citation de Rosanvallon) idée qu’il faut donner le pouvoir au plus compétent Pour Sieyès : « il faut confier le gouvernement à des individus consacrant tout leur temps à cette tâche selon un principe de la division du travail » (cf chapitre 7) Cette logique capacitaire a pris certaines formes de traduction. Par exemple, jusqu’en 1912 il fallait démontrer en Italie et au Portugal qu’on savait lire et écrire pour pouvoir voter. Deuxième forme de bornage du droit à la participation : Repose sur le critère de nationalité. La nationalité est souvent une condition de la citoyenneté électorale en tout cas, cette vision s’est imposée en France même si dans de nombreux pays, le droit de vote est accordé aux étrangers aux élections locales (Irlande, 1963, Suède, 1975, Belgique, 2004). En France, depuis 1992, les ressortissants d’un pays membre de l’UE peuvent voter aux élections municipales et européennes Autre conception de la citoyenneté décisive : Théorie de la citoyenneté sur la violence, la plupart des théories rejettent le recours à la violence qui n’est pas reconnu comme une forme de participation dans les démocraties représentatives mais définition de la violence pas universelle avec des formes multiples (terrorisme, séquestration, destruction de bien...) Peut-être une façon d’exister dans le système politique mais pas accepté dans un système où l’Etat à le monopole de la violence légitime

Il faut rappeler qu’historiquement, le vote au Suffrage universel à été défendu comme un détournement du recours au peuple à la violence. Par exemple, Ledru-Rollin : « Sans élection, tout progrès pacifique est impossible, il faut changer le système sous peine de subir une révolution violente » (1841) Le 10/09/2019 Définition très variable selon la période, les Etats, les groupes et également au niveau des groupes des tolérances (violences agricoles contre violence des jeunes) Historiquement, On observe un élargissement du cadre légal et institutionnel de la participation démocratique avec le suffrage universel, l’extension du suffrage et les possibilités légales de participer (voir plus haut), les dispositifs de participation, les possibilités de participer se sont multiplier (démocratie participatives) Les droits octroyés ne nous disent rien légalement sur les principes de participation. Problématique : Si la démocratie s’est étendue en terme d’offre, s’est-elle vraiment approfondie ? 2. Des modes de participation plus ou moins légitime On va analyser l’inégale valeur des firmes ...


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