Séance td abbon de fleury PDF

Title Séance td abbon de fleury
Course Culture juridique
Institution Université Grenoble-Alpes
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Summary

note ...


Description

prof : va venir définir la conduite du roi en nous disant que finalement l'institution terrestre des hommes doit être guider par un roi qui doit gouverner selon les principes chrétiens.

Chapitre 3 Il commence "ce qu'est ... royaume" énumère les devoirs, fonction du roi. En mettant une ligne de conduite. "éviter la colère" comment il doit se conduire. Quels est le but du pouvoir royale : la justice. Dans ce premier paragraphe la, Abbon vient définir la fonction royale pour lui l'exercice de la justice est le fondement du ce pouvoir. Sur cela plusieurs arguments : il nous dit qu'il a une continuité de la fonction royale en dépit du changement de dynastie et que le roi doit assurer le salut de son peuple. Qu’est-ce qu'un ministère du roi ? référence à des agents royaux, c'est une charge publique il nous donnes l'idée selon laquelle le roi exerce une fonction public ministère renvoi a ministérum a la fonction de service. Terme reprit de l'époque carolingienne ou le ministère a désigner une fonction d'exécution qui était une charge. a partir du règne de louis le pieux il définit lui-même son pouvoir comme étant un ministère et va venir en préciser le contenu : défendre l'église et ses serviteurs faire régner la paix et la justice sur son peuple. Abbon nous fait un rappel en instant que le ministère s'exerce bien sur l'ensemble du royaume et pas seulement sur le domaine royal, sur le morcellement du territoire nait des guerres répétitives. il doit exercer sur tout le royaume

Il utilise ensuite le passé pour légitimer ses affirmations : "et nul précepte ... des Églises" On reprend l’idée d'un martyre de Constantin empereur, de charlemagne et de son fils, trois personnages qui ont en commun d'avoir été empereur pour rehausser le prestige de l'élection de Hugues Capet. Abbon de Fleury trace une généalogie une continuité dans l'exercice de la fonction royale en débit du changement de dynastique qui vient de se produire.

Repris l’idéologie carolingienne qui ensuite a été transposé à la fonction royale. la fonction royale transcende les lignées Il utilise pour appuyer son propos ensuite sur un chapitre du "concile de Paris" et définit la fonction royale en s'appuyant sur II. Il vient nous donner ensuite des indications sur la contenu "Témoin... ennemis" but = finalité du pouvoir royale ! devoir de protection et la justice est le fondement de son pouvoir. Il s'adresse directement au roi, il lui dicte les bonnes règles, les règles de bonnes conduites. Citation qui vient de Jonas d’Orléans d'un ouvrage l'institution royale issu d'un concile. Qualifié la mission du roi, qu'est qu'il doit concrètement faire, la finalité est la justice. Le peuple qui lui a été confié vive dans la paix. Ensuite son listé les obligations du roi qui sont

de deux natures, il doit protéger ses sujets et il doit lui-même respecter les valeurs et les préceptes chrétiens. " vivre en dieu... heures convenables". La justice n'est possible qu'à condition que le roi suive lui-même les valeurs chrétiennes. la justice passe par assurer la paix de l'église et du peuple mais cette finalité la est possible que si le roi s'applique a lui-même les vertus chrétiennes

I. L'exercice de la justice au fondement du ministère royal A. La continuité de la fonction royale B. Assurer le salut de son peuple (Obligation du roi envers sujet et église avant de nous dire qu'elles sont conditionnées par le comportement personnel du roi qui doit être confirme a l'éthique) Définition de la fonction royale, le contenu de la fonction royale dont le fondement est la justice en nous rappelant qu'elle n'a pas être a secoué par le changement de dynastie (passage un et deux) fonction royale qui est continu et qui transcende les lignées. = jusqu'à "des églises" Défini ensuite le contenu du ministère assurer le salut de son peuple ce qu'on pourrait appeler la justice. Gouverner de manière juste. Il vient nous définir les obligations du roi en tant que gouverneur envers un devoir de protection envers sujet et église et nous rappelle ce qui conditionne cela c'est que le roi s'applique a luimême les vertu lui-même = passage "Témoin ... à ... convenable"

Transition avec ce qui suit : pourquoi nous dit-il que le roi doit être conseiller ? quand quel contexte s'inscrit ce texte ? Abbon de Fleury après nous avoir défini cette notion royale nous montre qu'il est conscient du problème de l'émiettement du pouvoir royale qui existe du problème de ce début de féodalité, et le chapitre suivant parle de la fidélité qui est du au roi.

II. la nécessaire fidélité au roi (Tant parce qu’elle découle de la dignité royale que du principe de l'élection) A. Fidélité découlant de la dignité royale "de la fidélité .... L’ordre de dieu"

"le ministère du roi est de discuter les affaires ..." Il nous redéfini en quelque mot le chapitre précèdent avant de nous parler des grands et des seigneurs, la fidélité se justifie par la nécessité d'aider le roi. Il se base sur une deuxième justification "apôtre dit.." Il fait des références bibliques parce que le roi entait sacrer Fidélité au roi qui est d'abord justifié par le fait qu'il est nécessaire d’aider le roi dans l’exercice de sa fonction avec l'aide et le conseil qui renvoie au système féodal mais attention il fait référence au sacre. - pas de territoire qui doivent échapper à son autorité contexte de morcellement du territoire et de l'autorité Preuve de réalisme car le roi sans les grands il ne peut rien faire, les grands lui apporte aide et conseil la terminologie utilisé dans le système féodal et justifie cette fidélité en prenant des références bibliques : dieu et honorez le roi ... possible car le roi est une personne sacrée. La fidélité qui lui est du et une légitimité divine.

B. fidélité découlant du principe de l'élection "si en vérité..." après avoir fait état de la fidélité du au roi il y a l'idée qu'il y a une dignité royale qui auréole le roi plus des liens spécifiques qui unissent le roi et ses sujets de par l'élection. 'proscrire l'élu..." Effectivement dans la mesure ou la royauté est devenu élective on ne peut pas ensuite lui apporter fidélité il fait ici référence a Eudes I et Adalbéron de Laon qui a avait monté un espèce de coup d'état contre Hugues capet et son fils alors même qu'il avait soutenu son élection. L’élection fonde en soit la fidélité et Abbon de Fleury a des mots assez dure pour désigner les personnes qui reviendraient sur ce principe la "esclave" Abbon dans son dernier paragraphe : "nous connaissons en effet... " Il donne le mode de désignation de trois dignités différentes, les rois, les abbés, les pontifes. Il fonde la légitimité du au roi dans l'élection. Il a été élu parce qu’on l'a jugé apte a exercé la fonction de roi. Le point de l'hérité l'emporte sous charlemagne comme avec l'ordination imperiI par la suite, ici ce principe a été remis en cause depuis l'alternance entre les carolingiens et les Robertiens. Le principe héréditaire revient quand même car Hugues capet a quand même fait sacrer son fils. Nous comparons le principe a trois élections : ce passage sert a Abbon pour venir justifier la fidélité qui est dû au roi puisque l'obligation de servir le roi car il a été élu et est apte à gouverner et a du mérite Il compare son élection a celle des évêques et à celle du pape : façon de rappeler que le roi tire comme l'évêque ou l'abbé il a été sacré il a légitimité supplémentaire. Dernière argument d’Abbon il nous dit que le roi est désigné par le serment de tout ses sujets : on parle ici de fidélité au roi : pas de lien personnel d'homme à homme

pas de serment vassalique prêter entre le roi et ses sujets qui les lieraient contractuelle, c'est un serment à comprendre par acclamation....


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