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Summary

Voici mes prises de note pour le TD Activités gymniques en EPS - Master MEEF PROFESSEUR DES ÉCOLES ...

Description

TD Activités gymniques Sujets de gym Sujet n° 1 :

- N3 ! Dispositif matériel peut être décrit autrement ! On ne voit pas les élèves en situation d’apprendre et donc on ne peut pas décrire des comportements possibles !

- Question professionnelle : question sur la motivation, les attitudes, elle n’est pas moteur. Il faut absolument parler de la motricité dans un sujet d’EPS : en gym si on n’agit pas. Il ne s’engage pas parce qu’il a peur ou parce qu’il n’a pas les capacités motrices pour : qu’est-ce qui bloque au niveau moteur : ça ne peut pas qu’être affectif. Partir des propositions en 4 mn. Enseigner la motricité. !

- Dispositif, motivation des enfants, sécurité, santé : comment au travers de notre dispositif vous le gérez. Présenter en premier. Séance dernière ce qu’ils ont fait, voilà comment je vais présenter les variables didactiques qui vont faire évoluer la situation (en présentant en même temps le dispositif et les difficultés) puis pour finir avec les comportements d’élèves. !

- En maternelle : mettre en évidence le fait qu’à la maternelle prioritairement on structure le corps mais aussi le temps (linéaire et circulaire) et l’espace. Il va y avoir des rituels, des habitudes qui vont lui permettre de construire son apprentissage dans le temps et l’espace. Comment ritualiser. Prioritairement on va être sur l’acquisition de tous les langages, pour les méthodes : s’engager, faire, pour dire. On va construire un champ lexical sur l’espace. Dimension de communication. Question du temps : albums de littérature jeunesse qui travaillent essentiellement sur la gym. Construction de l’espace : espace vécu (senti), espace perçu (observation) et l’espace conçu (l’abstraction de l’espace, les schémas). Construisent et vivent l’espace : matérialisation, représentation de l’espace symbolique. Qu’est-ce qu’on apprend en terme d’objet d’apprentissage ? Faire rouler des cubes dans la classe : pour voir comment on arrive à tourner droit ? !

- D’un point de vue moteur sur les différents chemins : ! Tourner : acquisition d’un nouveau repère sensoriel par rapport à un axe, tourner par rapport à un axe. Changer de point d’appui pour créer un axe de rotation. Il faut de la vitesse (énergie cinétique) et le débutant ne sait pas la créer. Plus on va vite moins on peut gérer la roulade : donc on doit gérer sa vitesse. On apprend à faire la boule pour gérer la sécurité. Ceux qui s’engagent comme des fous ne contrôlent pas leur action, ils s’engagent pour faire. Et ceux qui s’engagent sur des activités à faible risque où il y a peu d’espace et de temps. Un enfant de maternelle on va lui dire : tourner et faire la boule. C’est quoi tourner ? Comment on va faire pour tourner ? Comment on va faire pour tourner plus loin = faire plus fort. Comment je construis mes dispositifs ? !

- La fois d’avant : les élèves téméraires pour tourner lancent les jambes en l’air pour tourner car ils n’ont pas de vitesse : ne contrôlent pas leur actions et ont un problème de sensation de leur colonne vertébrale. Afin d’agir en sécurité il semble qu’ils n’aient pas construit certains prérequis, prise d’informations et de la construction de l’axe vertébral pose problème : il faut qu’ils puissent prendre des repères dans leur corps. Il faut qu’ils construisent leur dos, tous les jeux pour ramper : oblige à se centrer sur soi, apprendre la sensation du déséquilibre vers l’avant sur les plans inclinés : construire cet 1  sur 4 

TD Activités gymniques axe avec son dos c’est le début de la roulade. Les téméraires je vais les mettre dans ces jeux et ils vont construire des sensations sur leur corps. Pour sentir son axe il faut le sentir sur tous les sens. Roulade costale c’est le premier niveau.!

- Comment ils font pour tourner sur le côté : ils s’assoient car c’est ce qu’ils savent faire car ils ont peur de se déséquilibrer. Il faut qu’ils contrôlent la rotation : arriver devant la zone blanche. Ceux qui vont faire le toboggan, partir vers l’avant : jeu de plaisir mais aussi qu’ils ont peur. !

- Le rouleau : c’est dur. Il faut absolument qu’ils savent rentrer la tête, construire des repères en s’enroulant, en faisant la boule. Le plan incliné les fait tourner. Pour réussir il faut avancer pour rouler, tu as qu’une envie : lancer les jambes en l’air. Il faut faire la boule. L’élève qui va s’asseoir, pas poser ses mains, qui va lancer ses jambes. !

- Apprentissage par imitation, reproduction : donner l’image des buts à atteindre, ils doivent se faire une interprétation de ce qu’ils doivent faire : le lapin, l’escargot. Derrière il y a des coordinations, c’est un apprentissage. On travaille l’enroulement du dos, la sensation de soi. !

- Passer des pieds aux mains : le lapin. Partir des pieds aux mains : l’élève est accroupi devant sur plan incliné, puis il est debout sur plan incliné. On a 4-5 ateliers pour travailler et une situation d’évaluation. % Sujet n° 2 : Originalité, risque et virtuosité. % CA : s’exprimer devant les autres par une prestation acrobatique et/ou artistique % Code gymnique% Cognitif et relationnel % (Garance)% Code gymnique et à quoi ça sert ? Culture commune, permet à tout le monde de fonctionne, permet une cohésion, sécurité : repères visuels, répertoire de signes et de symboles. Code gymnique : répertoire d’actions gymniques qui nous permet de dire si c’est facile ou difficile et dans quelle action ça se situe. Code gymnique : question des règles de vie, de fonctionnement, de sécurité. Ces règles, ces rôles obligent à poser la question des rôles : le gymnaste, l’observateur (celui qui aide, la parade), le juge (celui qui institue). C’est la dimension méthodologique et sociale. Si on n’a pas fait un travail théorique et didactique sur cette question du code ça ne peut se faire : c’est nous qui imposons le code, comment on gère la question de la prise de risque et de la sécurité des élèves, du type de tâche que nous leur proposons et de ce qu’ils apprennent. C’est très contraint, on gère tout et progressivement ça va crescendo et il y a des prérequis. On n’a pas le droit à l’erreur en expert de la motricité. Il y a la question du risque et de comment on gère la sécurité. Se poser la question du code : c’est qu’est-ce qu’ils ont à apprendre et comment ils vont l’apprendre, comment je gère mon parcours. Il y a toujours la question du risque et de la maîtrise, du code dans un sujet de gym. ! Quand on fait gym, on fait des apprentissages par compétences pas des savoir-faire. L’élève apprend quoi ? A construire de nouveaux équilibres dans des situations variées :% - voler : construire un équilibre du corps dans un temps de suspension à partir d’une vitesse horizontale produire une vitesse verticale pour produire une figure et se 2  sur 4 

TD Activités gymniques rééquilibrer en réception. Donc l’élève est aligné, bien gainé : il a construit des repères sur lui. % - Se déplacer : construire un nouvel équilibre de terrien sur une surface peu stable, il va transporter le poids de son corps, accepter son déséquilibre à partir d’un appui pied et ne pas se déséquilibrer. % - Se renverser : construire un nouvel équilibre de terrien, accepter le déséquilibre par l’avant, passer des pieds aux mains, accepter le poids de son corps sur ses appuis afin d’accepter le poids de son corps sur ses appuis (le premier truc à savoir). % - Se tourner : construisent un équilibre de son corps longitudinal pour garder l’alignement. % On travaille la même chose : construire l’axe de son corps, le gainage et la maîtrise car il doit se déséquilibrer puis garder l’axe, se rééquilibrer. On travaille la même chose mais avec des critères de réalisation différents. Quelle que soit la famille d’activités l’observateur le gymnase doit prendre la photo au même moment : qu’est-ce qu’ils regardent ? La même chose : ils construisent un regard technique, prendre des repères techniques sur le corps de l’autre. % Pour la hauteur de la poutre : qu’est-ce qu’on valorise : la prise de risque par rapport à la surface ou l’alignement ? L’alignement donc on ne voit pas trop valoriser la prise de risque : 40-50 cm on veut qu’ils contrôlent leurs actions. % Objet d’apprentissage et l’objectif : maintenir l’axe et l’alignement (pour tourner), voler et tourner (pour voler). Partir de l’activité pour montrer ce que les élèves doivent faire. % La parade : différence avec l’aide = tu le fais avec lui ou à sa place. L’idée c’est que l’élève s’engage seul et à son niveau, qu’il maîtrise donc il ne faut pas que l’élève ait d’aide, on ne peut être partout en plus. Question de la parade : dispositifs et critères permettent de s’engager à son niveau de maîtrise et en toute sécurité. Parade c’est soutenir l’élève : tenir la main pour la première fois sur la poutre : parer, lui donner un soutien. Enrouler la tête lors de la roulade pour augmenter la sensation du bras de levier, on tient là où on doit construire le savoir. Permet aux élèves d’avoir le sens de l’action mais pour cela il faut lui donner les consignes : on tient quoi ? Et on fait en sorte que l’élève s’engage là où il sait faire. Amplifie la question des objets d’apprentissage. % Créer des impulsions et/ou avec les pieds les mains. Se rééquilibrer, se réceptionner : valorise la maîtrise des réceptions : dans l’environnement ça se voit. % Sujet n° 3 : % (Thomas, Nathalie) % Cycle 3 CM2 % CA n°3 % Compétences diverses % Comment la situation se renverser en appui sur les mains peut développer la maîtrise de leur corps ? % Développer leur motricité : connaissance de leur corps, accepter le déséquilibre, sensibiliser les élèves, prendre conscience de leur santé.% 4 niveaux de difficulté pour chaque famille d’actions. Classe consignes de sécurité (en amont et pendant) et présentation des ateliers. Critères de réussite de niveaux au moins 3 fois pour passer au niveau supérieur. % 2 figures possibles : ATR et la roue latérale. % ATR 4 niveaux de difficulté : l’élève va mettre les mains au sol bras tendus et monter ses jambes progressivement vers l’échelle. Obstacle de type informationnel : prise d’informations, perte de repères visuels. Nouveau repères visuels et nouveaux appuis. Tête cachée dans les bras. Regard au sol, dos dans le prolongement des bras. Gymnaste 3  sur 4 

TD Activités gymniques + un pareur. Tapis. N2 : debout, se renverse contre un tapis avec l’aide du tapis. Obstacle de type mécanique : maîtriser son nouvel équilibre, mécanique : assez de vitesse, affectif : prendre conscience du risque et contrôler ses émotions. Partir debout en fente, bras tendus. N4 : ATR debout sans tapis au mur, gros tapis devant lui pour le réceptionner, pareur qui aide. % Roue latérale : N1 alternance mains / pieds à l’aide d’un banc, tenir le banc avec ses mains et sauter de l’autre côté du banc. CR garder les bras tendus et le regard au sol, rester horizontal au niveau de la colonne. N2 cercle au sol de différentes couleurs départ en fente pour faire la roue : donner la bonne impulsion, la bonne vitesse au mouvement, alterner les mains et les pieds. N3 : pareur accompagner le geste s’il observe un manque de vitesse, tapis au sol. % Le but à raccourcir, références précises des textes surtout : CA, compétence attendu de fin de cycle. Mais pas toute la vie de l’EPS. Partir de la pratique : actions et le comportement d’élève (comment il agit) c’est différent. L’action c’est ce qu’il y a à faire, l’activité c’est comment on le fait, il y a toujours un écart : comment l’élèves s’organise, qu’est-ce qu’il fait qu’il y a des obstacles ? Qu’est-ce que l’élève doit maîtriser, apprendre ? Supporter le poids de son corps sur ses bras, verrouiller ses coudes, passer des pieds aux mains, accepter les déséquilibres, créer des impulsions avec les pieds et les mains, aligner les axes du corps sur la verticale et de s’équilibrer, gainer. Comment je le mobiliser, qu’est-ce que la tâche mobilise ? Pourquoi je mets ce dispositif ? Accepter le déséquilibre vers l’avant : barres au sol, lapin : pour qu’ils sentent le poids de leur corps sur leurs mains. Qu’est-ce que la situation mobilise que l’autre précédente ne mobilise pas ? Qu’est-ce que je vois ? Parce que ce n’est pas parce que je le veux que ça va se faire. L’élève est capable de passer des pieds aux mains, d’accepter le déséquilibre vers l’avant mais ne s’aligne pas sur la verticale, il ne parvient pas à atteindre le stade des épaules qui passent sous le bassin. Il respecte les critères de réussite mais il n’est pas au niveau de réalisation maximal. Mettre un tapis pour que la verticale soit moins renversée : on met à l’oblique. % Pour l’ATR : après le niveau 1 sur l’échelle on peut envisager un N2 : sur plint et gros tapis au sol l’élève doit pousser sur ses jambes pour provoquer une impulsion et tendre les bras afin de se retourner. % A l& ‘école on n’apprend pas à tenir l’équilibre sur les mains. Cela demande trop de musculation, de force. Mais ce qui nous intéresse c’est que l’enfant arrive à maintenir l’axe de son corps dans des situations de renversement. %

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