TD Psychometrie - PDF

Title TD Psychometrie -
Course Psychométrie
Institution Université de Picardie Jules Verne
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Summary

Cours complet TD, pris sur dictaphone et remis au propre et e couleur pour faciliter les révisions et les prises de notes. Licence 2 semestre 4...


Description

I-

Introduction TD

Pourquoi réviser le WISC IV ? -

Actualisation des fondements théoriques

-

Meilleure adéquation développementale

-

Augmentation de la convivialité

-

Amélioration des qualités psychométriques

-

Amélioration de l’utilité clinique

On doit souvent réétalonner les tests pour : -

Les remettre au gout du jour

-

On tient compte de l’évolution de la société

-

-



Dans certains domaines les performances s’améliorent au fil du temps (Flynn : a montré que les performances avaient augmenté dans la 2eme partie du 20eme siècle principalement dans le domaine du raisonnement visuo-spatial. = matrices de Raven) Les tests sont valables que 10ans

Généralement utilisé dans le monde entier a) Actualisation des foncements théoriques :

Dans le WISC V : -

-

Changement au niveau de la structure de l’épreuve Plusieurs échelles. A l’intérieure des ses échelle son retourne une échelle de raisonnements fluides qu’il n’y avait pas dans WISC IV. Cattell a introduit cette distinction conceptuelle entre intelligence fluide (GF) et intelligence cristalliser (GC) Dans l’ouvrage de Jacque Grégoire, on retrouve cette distinction. Selon Cattell « l’intelligence fluide est biologiquement déterminée, c’est une compétence essentiellement innée qui nous permet de résoudre des problèmes nouveaux pour lesquels nous ne possédons pas de solutions apprises » L’intelligence cristallisée est profondément influencée par la cuture et l’éducation.

-

Elargissement des études sur la mémoire de travail. On prend en compte la mémoire auditive de travail mais également la mémoire visuelle de travail. Pour Cowan et Allowoy (2009), la MDT est généralement définie comme l’information maintenue en mémoire nécessaire pour en même temps réaliser et réussir correctement une tache cognitive particulière. La mémoire de travail est un élément clé du fonctionnement intellectuel en lien étroit avec le raisonnement fluide.

-

La performance a une épreuve peut être influencée par plusieurs facteurs : On prend une épreuve (ex : arithmétique). Plusieurs facteurs : 

Mémoire de travail



Vitesse



Compréhension verbale

 

Raisonnement

On regarde quel est le facteur le + important. Le facteur qui influence le + la performance arythmique correspond au facteur de raisonnement fluide. Dans WISC 4 l’arithmétique était dans L‘échelle de mémoire de travail. -

La structure de l’épreuve est construite à partir des données de l’analyse factorielle

Q global : plateforme en ligne. On peut saisir les donnes brutes et en quelques clics on a toutes les valeurs b) Meilleure adaptation développementale Les consignes doivent être : -

Claires et concises

-

Dites lentement

-

Parfois répétés

Les items sont prévus pour être proposés à tous les enfants Révision des critères de cotations. D’une version à une autre, les critères pour émettre les notations (1, 2,3) changent en fonction de certains tests. Les bonifications de temps c) Améliorer la convivialité On attend que l’enfant montre ce qu’il sait faire. On veut voir une performance. Le matériel doit être adapté (révisé, en couleur, attractif). Cependant il ne doit pas prendre une place trop importante mais est utile à l’examinateur. La durée d’administration ne doit pas durer trop longtemps. Une passation : -

Pour un enfant tout venant (pendant l’étalonnage) dure 1h15 parfois 1h30

-

Pour un enfant en difficulté ça peut prendre plus de temps.

On arrête l’épreuve :



-

Des cubes après 2 notes 0 consécutives.

-

Des similitudes après 3 notes 0 consécutives

-

Des matrices après 3 notes 0 consécutives

Si l’enfant réussit des items après 3 notes 0 consécutives on ne peut pas comptabiliser les points mais on trouve un compromis. d) Amélioration des qualités psychométriques ou métrologiques

Il faut mener une étude préalable en plusieurs phases : 1-

2-

3-

Phase pilote : moment où le matériel américain arrive et il va falloir le traduire et l’adapter. Expérimentation : il faut tester le test. On a le test qui n’est pas définitif, on le propose à 200 sujets avant de le proposer à un échantillon bcp + large et représentatif. Etalonnage : Le test n’est pas encore commercialisé.

On fait passer le test a 1000 sujets et on va pouvoir avoir les normes, les tables de références. Plus aucun changement après étalonnage. Un test doit être : -

Neutre

-

Standardisé : Même test, même consigne pour tout le monde

-

Valide : Il doit mesurer ce qu’il est censé mesurer.

-

Fidèle : Renvoie à la constance des résultats dans le temps

-

Sensible : Test qui permet de différencier les performances des sujets

-

Les normes doivent reposer sur des grands échantillons représentatifs.

« Effet plancher » d’un test : Se réfère à un test dans lequel bcp de sujets seraient très vite en difficulté. Le test est donc trop difficile. On va donc introduire de nouveaux items plus simples pour que le test différencie les performances, soit sensible et donc valide. « Effet plafond » d’un test : Se réfère à un test dans lequel bcp de sujets seraient très vite dans la facilité. Le test est donc trop facile. On va donc introduire de nouveaux items plus compliqués pour que le test différencie les performances, soit sensible et donc valide. Ses épreuves permettent de mesurer le niveau de développement des aptitudes intellectuelles. WISC V : 6 ans jusqu’à 16 ans et 11 mois. WPPSI IW : 2 ans et demi jusqu’à 7 ans et 7 mois e) Amélioration de l’utilité clinique La structure de l’épreuve est une chose importante pour les auteurs qui l’ont fait évoluer en ajoutant notamment une échelle de raisonnement fluide. Elle a évolué pour davantage tenir compte des théories actuelles sur l’intelligence de l’enfance et sur les données de l’analyse factorielles. La performance matrice s’explique par l’influence de plusieurs facteurs : -

Facteur raisonnement fluide

-

Facteur visuo spatial

Ses facteurs vont expliquer la variance des résultats à cette épreuve. L’expression verbale est une chose incontournable dans un test. 

Dans WISC 5 on peut utiliser une échelle non verbale.

Etude de groupe spécifique : Les américains aiment bcp les comparaisons dans le sens ou c’est une comparaison directe. En revanche, en France on compare de groupes avec des enfants ayant des troubles du langage écrit (dyslexique) ou encore un groupe d’enfant ayant des troubles de l’apprentissage en lecture ou bien des enfants qui ont un handicap intellectuel léger ou moyen Les auteurs comparent les performances d’un échantillon de sujet HPI (haut potentiel intellectuel) avec les performances de sujets d’un groupe contrôle.

Si je rencontre un enfant HPI je peux comparer les résultats des enfants qui ont le même âge que lui et qui ont passé le test los de la phase d’étalonnage ou je compare son résultat aux groupes spécifiques HPI En complément, on peut utiliser une épreuve qui va tester l’attention (soutenue, sélective), la mémoire (auditive, visuelle) Pour des enfants ayant une motricité fine on peut utiliser un test psychomoteur. L’étude d’un test comprend : -

L’expérimentation On voit si les épreuves sont correctes, compréhensives, on calibre les items (on les met par ordre de difficulté croissante

-

L’étalonnage 1100 enfants 4 critères : 

L’âge



Le sexe



La région, la taille de la ville



Le niveau d’étude des parents

Apres l’étalonnage on ne change plus rien. Durée d’administration : 1)

Temps de passation : 45 à 60 minutes pour les indices principaux chez les enfants dits « normaux »

2)

Obtention des notes brutes (15’)

3)

Obtention des notes d’indices principaux et notes additionnelles (15-20’) Sur Q global on saisit les notes brutes (5’). Ensuite on aura instantanément toutes les notes standards, les comparaisons, les indices secondaires… La passation digitale = 2 iPads Avantage : 

Gain de temps (tous les résultats apparaissaient en même temps)



Intérêt de l’enfant

Structure de l‘échelle : 3 niveaux d’informations : -

15 subtests en tout dont 10 principaux et 5 secondaires Cubes, similitudes, matrices, mémoire des chiffres, code, vocabulaire, balance, puzzles visuels, mémoire des images, symboles, information, séquence lettres-chiffres, barrage, compréhension, arithmétique

-

5 échelles et 5 indices principaux :



Echelle de compréhension verbale (CV). Indice CV (compréhension verbale)



Echelle visuo spatiale = IVS



Echelle de raisonnement fluide= IRF



Echelle de MT = IMT



Echelle vitesse de traitement = IVT



Echelle totale qui donne un QI total. Comporte 7 subtests. (Similitudes, vocabulaire, cubes, matrices, balances, mémoire des chiffres, code) 5 indices principaux : Compréhension verbale (= similitude, vocabulaire), visuo spatial, raisonnement fluide (=cubes, puzzles visuels), raisonnement fluide, mémoire de travail, vitesse de traitement

a) Subtests de L’ICV : Similitude est placé dans l’échelle de compréhension verbale. Subtest principale Il mesure : 1. L’aptitude à conceptualiser 2. Le raisonnement abstrait 3. L’intelligence cristallisée 4. La connaissance du lexique 5. La compréhension auditive 6. La mémoire à long therme 7. La catégorisation 8. La distinction entre les éléments essentiels et ceux qui ne le sont pas 9. L’expression verbale L’enfant doit dire le rapport entre 2 mots concrets puis abstraits 

23 items dont 10 items nouveaux. A WISC 6 plus aucun item de WISC 4

On s’arrête après 3 notes de 0 consécutives b) Subtests de l’ICV : Vocabulaire 29 items dont 4 images. Départ différenciel. (Enfant de 8 ans = item numéro 5 qui indique que si l’enfant ne donne pas une réponse à 2 points il faut lui donner). Le vocabulaire mesure : 1. La connaissance du lexique 2. L’intelligence cristallisée 3. Les connaissances de base 4. La capacité à apprendre

5. L’expression verbale 6. La mémoire a long therme 7. La compréhension auditive c) Subtest de l’échelle visuo spatiale : cubes 13 items Il faut mesurer le temps dans lequel l’enfant réalise l’assemblage de 4 cubes. 1.15 a l’item 11 = 4 points 23s = 6 points On peut calculer une note sans bonification ce qui gomme les bonus et permet de remettre a égalité tous les sujets Cubes évalue : 1. La capacité d’analyse et de synthèse de stimuli visuels abstraits 2. Implique le raisonnement 3. L’‘intelligence visuo spatiale 4. Les processus simultanés 5. L’apprentissage 6. La coordination visuo motrice 7. La capacité à distinguer la figure du fond d) Subtests de L’IVS : Puzzle visuels 29 items (p.5) Temps chronométré = 30s par item Il doit montrer 3 images. S’il montre 2 images en 30s et la 3eme en 31s, la réponse est fausse Evalue : 1. La capacité de construction mentale non motrice 2. Le raisonnement de raisonnement de visualisons spatiale 3. La rotation mentale 4. La mémoire de travail visuelle 5. La capacité d’analyse et de synthèse de stimuli visuels abstraits 6. Les processus simultanés e) Subtest de l’IRF : matrices 32 items Pas de temps limite imparti, c’est un temps de référence = 30 secondes par items Evalue : 1. Le raisonnement fluide

2. Les aptitudes spatiales 3. Les processus simultanés 4. L’attention aux détails visuels 5. La mémoire de travail f) Subtests de l’IRF : Balances 34 items Temps chronométré : 20 ou 30s par items Evalue : 1. Le raisonnement fluide quantitatif 2. L’induction 3. La mémoire de travail 4. Une logique déductive g) Subtests de l’IMT : mémoire des chiffres : Ordre direct : 9 items de 2 essais Ordre inverse : 9 items de 2 essais Ordre croissant : 9 items de 2 essais Mesure : 1.

L’attention

2.

La concentration

3.

La discrimination auditive

4.

L’apprentissage par cœur

5.

La mémoire de travail (+ mesurée par la mémoire des chiffres en mode inverse)

6.

La mémoire des chiffres en ordre croissant implique le séquençage, la mémoire de travail et la mémoire immédiate auditive

h) Subtests de l’IMT : Mémoire des images : 26 items Exposition de 5 s Mesure : 1. L’attention 2. Le traitement des informations visuelles 3. La mémoire visuelle immédiate 4. L’inhibition des réponses 5. Implique la mémoire de travail verbale 6. Le séquençage

i)

Subtests de l'IVT en 2 parties

→ code : code A pour – de 8 ans (6/7 ans) et code B pour + 8 ans à 16 ans et deux minutes max. « Voici des formes avc des signes à l'intérieur. Chaque forme a son propre signe. En dessous, il y a des formes vides. Je vais te montrer comment dessiner le bon signe ds chq forme. Quand je dirai « vas-y », tu feras la même chose. Commence ici, travaille ds l'ordre, et n'en saute aucun. Travaille aussi vite que tu peux sans faire d'erreur, jusqu'à ce que je te dise d'arrêter. → insister sur vitesse d'exécution. Code B : plus de signe et c'est plus long. Le code mesure : – La vitesse de traitement – Évalue la mémoire visuelle à CT – Capacité d'apprentissage – Vitesse psychomotrice – Perception visuelle – Coordination visuo-motrice – Capacité de balayage visuelle – Attention, concentration, motivation Motivation et stress, Wechsler appelle cela les facteurs non-intellectifs qui vont expliquer en partie les performances. → symboles : forme A (- 8 ans) et forme B (+ 8 ans), temps limite = 2 minutes. « Si je vois cette forme ici, je vais faire un trait comme ceci sur la forme. Si je ne vois pas cette forme ici, je vais faire un trait comme ceci sur la case NON. Même si cette forme ressemble à celle-ci, je ne vais pas faire de trait dessus car elle a été tournée d'une mauvaise façon. Aptitudes mesurées par symboles : – Capacités visuo-perceptives (identification et appariement) – Vitesse de traitement – Évalue mémoire visuelle CT – Coordination visuo-motrice – Contrôle de l'inhibition – Discrimination visuelle – Vitesse psycho-motrice – L’attention soutenue – La concentration – L’attention sélective II-

Qualités métrologiques de WISC-V

→ fidélité de l'épreuve : elle peut être étudiée par la stabilité test/retest. On a environ 100 sujets a qui ont fait passer 2x WISC-V, intervalle de temps entre 9-70 jours, intervalle moyen = 30j. Stabilité des résultats ? Regarder les notes : stables, augmentation (légère ou significative), et coefficient de corrélation corrigé sur tableau 4.5.

Ex : SIM, moyenne théorique = 10. Différence légère, non significative à la 2nd administration. Coefficient de corrélation corrigé .85 = corrélation forte (proche de 1), coefficient assez élevé. Résultats vont donc dans le même sens. Ex : COD, on trouve une différence non significative, légère augmentation des performances (effet d'apprentissage). Coefficient .84 = corrélation forte. On peut dire qu'à partir de .70, ça commence à être élevé. .50 : Les résultats ne vont pas tjrs ds le même sens. 0: ça va pas ds le même sens du tout. Ex : ICV, 100 = moyenne, écart type = 15. Ex : QIT à 100 : moyen. Coefficient de corrélation : .91, très élevé, proche de 1, corrélation est forte, stabilité. 

Dans le cadre de la stabilité test/retest, WISC-V présente une bonne fidélité.

→ sensibilité : l'épreuve du WISC-V sensible car elle permet de bien différencier les performances des sujets. Élaboré pour pas qu'il y ait effets plancher ou plafond : sujets montrent leurs capacités. (Si on rate dès le début, pas très bon pour estime de soi). Un test sensible c'est aussi une preuve de validité de ce test. S'il différencie les performances, il est valide. → validité : « la validité est la caractéristique la + fondamentale et la + importante à prendre en compte lors du développement (construction) et de l'évaluation (résultats vont ds sens de l’hypothèse ?) d'un test ». Def contemporaine de la validité (1999) = les conceptions contemporaines de la validité ne parlent plus de différents types de validité mais plutôt de différentes catégories de preuves de la validité, toutes concourants à fournir des informations pertinentes pour l'interprétation spécifiques des notes. Avec les tests les + récents, on recherche des preuves de la validité. On voit les différents types de validité. Ojd on parle + de preuves de validité. Les deux vont cohabiter. Tableau 5.5, p.12 : résultats français, par suite de l'étalonnage, effectif de 79 sujets pour WISCV puis WISC-IV. Intervalle de temps : 10-54 jours, moyenne = 30 jours. → différences entre les résultats ? Si oui : significative ou légère ? Coefficient de corrélation corrigé à regarder aussi. Ex : SIM, 11.1 et 12, différence légère non significative. WISC-IV + facile pour sujets que WISCV, on ne sait pas trop expliquer, plusieurs facteurs. Corrélation : .74 À partir de .40, .50 (corrélation) commence à devenir satisfaisant entre 2 tests = moyens,

satisfaisants, qqch de commun. Ex : COD, différence non significative, pas tout à fait les mêmes stimuli. Le coefficient de corrélation .81 = coefficient élevé, forte corrélation. QIT : 87 forte corrélation, proche de 1. Effet Flynn = James Flynn a étudié les résultats aux tests et particulièrement ds la 2nd ½ 20e siècle. Il a constaté qu'en moyenne, les performances augmentent au fil du temps principalement pour le raisonnement visuo-spatial (ex : matrice). Actuellement ralentissement de cet effet. → étude de validité externe ou concourante (quand on compare les deux WISC). CCL : les coefficients de corrélation sont élevés, il y a une forte corrélation entre les deux outils, il y a donc qqch d'important en commun entre les 2, les résultats vont dans l'ensemble ds le même sens, voici une preuve de la validité de WISC-V. Tableau 5.11, p12 : étude comparative des notes des sujets HPI avec les sujets d'un GC (= groupe contrôle). Étude américaine, 95 sujets et on va comparer les performances. a) Caractéristiques des sujets HPI : Problèmes d'attention parfois, critère = performances intellectuelles, pas tjrs très élevées (élevées dans 1, 2 ou 3 domaines). Du coup bcp de HPI pas identifié, on peut se tromper. Parfois, enfant en difficulté peut ne pas être identifié HPI, on voit ses difficultés et pas ses talents.

Dans cette étude, HPI avec QIT > ou = 130, critère péremptoire. On s'attend à voir des résultats + élevés des HPI que GC et que la moyenne. Significatif : Différence + 3 points minimum et 15 pts (gris) Ex : SIM : différence nette. Ex : SYM, pas de différence. Ex : IVT, Ex : ICV, différence significative CCL : WISC-V permet de différencier les performances des sujets HPI de celles des sujets du GC, c'est un signe de sensibilité de l'épreuve et une preuve de sa validité. Troubles associés qui peuvent masquer (HPI). Scores obtenus par enfants de 6 ans, en GS et commence à faire du CP : elle lit couramment, mois avril, niveau > aux élèves de CP, mature. Commentaires : Sophronie a bien participé, conditions très bonnes, scores sont valides (on peut les retenir). Les notes aux subtests vont de 9 à 17 (17 : supérieur à la moyenne). La plupart des scores sup a 13, donc significativement supérieurs. Matrice : 20 points, correspond à 13 ans 2 mois (7 a...


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