Concepts psychanalytiques - Cours magistral PDF

Title Concepts psychanalytiques - Cours magistral
Author Amandine Maitre
Course HLPY401Y - Concepts psychanalytiques
Institution Université Côte d'Azur
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Cours de Laura RAUCOULES...


Description

Introduction Comme dans toutes les sciences humaines, la psychologie va réunir plusieurs courants théoriques. Elle se fixe comme objet d’étude d’homme. La démarche clinique (signifie « au chevet de ») tout comme la psychopathologie (l’étude des pathologies du psychisme) ont des points de concordances avec d’autres disciplines. L’étude de la pathologie c’est avant tout une interrogation sur la normalité, que celle-ci soit subjective, social, médical ou encore biologique. De ce fait la psychologie ne peut pas tout à fait se départir de la sémiologie. La clinique ne peut se départir de la sémiologie, de la mise en sens et de la corrélation avec les signes relevés auprès du patient. La mise en sens par exemple : patiente qui, dès qu’elle entre dans la salle d’addictologie, se recroqueville, sue, tremble… Il y a deux parties dans la psychologie :  

La partie sémiologique est a-théorique, elle se contente d’observer. La partie psychopathologie va tenter de donner un sens.

Lorsqu’on se retrouve face patient, écoute attentive, silencieuse, invite patient à parler. Si patient reste silencieux, peut inviter à dire ce qui lui passe par la tête. Il est important de définir le contexte dans lequel est venu le patient (de lui-même, quelqu’un d’autre). Il faut faire émerger une demande chez le patient. L’écoute au cours de l’entretien va être relativement neutre : la neutralité bienveillante car en tant que psychologue, on n’a pas a jugé. Toutefois, on peut se permettre d’aiguiller l’entretien et de poser des éléments diagnostiques. Cette neutralité est là également pour gérer ce que l’on appelle le con-transfert (ce qu’on projette sur/contre notre patient) Les premiers entretiens ont une visée diagnostique. Dans le champ de la psychologie clinique, plusieurs référentiels existent :   

Psychanalyse Thérapie systémique et familiale TCC

   

Approche humaniste Analyse sensationnelle Hypnose Etc…

Ainsi, le champ théorique dans lequel on s’inscrit va guider notre vision du patient et la manière dont nous allons travailler avec lui. Si on prend l’approche psychiatrique, on est dans une vision déficitaire par rapport à une norme, par exemple avec les schizophrènes. Le but est de ramener les patients dans la norme. Les concepts psychanalytiques sont des outils thérapeutiques, des référentiels sur lesquels un psychologue qui s’oriente dans la psychanalyse va s’appuyer pour travailler.

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Dans le champ de la psychanalyse, cette vision du diagnostic va être différente. Du temps de Freud, il y avait l’état normal et l’état névrosé. L’état névrosé pour Freud c’est ce que nous nous apparentons à la pathologie. C’est avec Lacan que cette vision va évoluer. Lacan va introduire le terme de structure. Lorsque l’on parle de structure, on est plus dans une vision déficitaire. La structure va être la manière dont le sujet s’est construit dans son rapport au monde mais également des lignes directrices de la manière dont il va interagir avec ce monde. C’est en gros une grille de lecture. Le fait de savoir la structure du patient va permettre de pouvoir travailler avec lui. Les entretiens reposent sur la parole. La parole du patient, qui donc est au centre de la thérapie, mais également celle du psychologue. La parole du psychologue peut être engagée, en demandant des précisions mais également si on pose un acte. L’observation est également importante. C’est quelque chose qui dans un cadre psychanalytique classique (avec un divan) ne peut pas être pris en compte car ici on ne s’attache qu’a la parole.

De Freud la métapsychologie Dès l’antiquité, on décrit et on classe les maladies de l’âme. Au 17ème siècle, on considère les « fous » comme dangereux pour la société. Au 19ème siècle, c’est là que la psychiatrie moderne apparait (qui recherche des causes bio- et neuro-logique). A cette époque, une maladie met en défaut la médecine : l’hystérie. Les troubles apparaissent et disparaissent sans qu’il y ait de lésion d’un organe. En 1885, Freud rencontre Charcot, qui utilise l’hypnose pour soigner les hystériques et va découvrir le rôle essentiel de la parole « talking cure ». Cette parole libérée coïncide avec la levée des symptômes, elle s’accompagne d’une décharge émotionnelle, la catharsis. Freud à ce moment-là, va faire l’hypothèse de processus inconscient. De retour à Vienne, il va remplacer l’hypnose par l’association libre. L’association libre est la règle fondamentale dans la cure psychanalytique.

L’appareil psychique freudien La notion d’appareil psychique Topique, dynamique et économique Le terme métapsychologie désigne le cadre théorique que Freud a élaboré et enrichi tout au long de sa vie. La métapsychologie c’est l’ensemble des corpus théorique de la psychanalyse, elle constitue la base théorique de la psychanalyse. Freud défini la métapsychologie comme étant « un mode d’observation d’après lequel chaque processus psychique est envisagé d’après les trois coordonnées de la dynamique, de la topique et de l’économie ». Ainsi la métapsychologie est désignée comme la construction théorique qui considère des processus psychiques selon trois points de vue : - Dynamique : considère le psychisme comme animé par des forces psychiques qui vont s’opposer entre elles. Ces forces qui s’opposent et qui entrent en conflit, c’est ce que Freud appelle « trieb » qu’on a traduit par pulsion. - Topique : on considère le psychisme comme un appareil divisé en plusieurs instances, lieux. Il y a des échanges entre ces espaces qui créé des conflits - Economique : considère le psychisme comme étant mobilisé par cette énergie, la libido. Il y a donc des quantités d’énergie qui circulent.

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Malgré l’évolution de ses élaborations métapsychologique, Freud n’a jamais abandonné la notion d’appareil psychique. La théorie freudienne attribue au psychisme une capacité à transformer l’énergie (la libido). Le premier modèle métapsychologique de l’appareil psychique est décrit en détail dans le chapitre 7 de l’interprétation des rêves. C’est ce que l’on appelle la première topique. La première topique va imaginer 3 systèmes psychiques : l’inconscient, le préconscient, le conscient En 1923, dans « Le moi, le ça », Freud imagine une nouvelle conception du psychisme avec le moi, le ça et le surmoi. Le coté topique étudie les différents lieux de l’appareil psychique et de leur rapport. Le point de vue dynamique implique l’idée d’un conflit dans le fonctionnement psychique avec des forces qui ont des exigences contraires. Généralement quand il y a conflit, il a lieu entre le ça et le surmoi, entre une réalité interne et une réalité externe. Le point de vue économique met l’accent sur la dimension quantitative du rapport des forces. Il y a une énergie psychique qui est susceptible d’augmenter, diminuer, d’investir des objets (alcool), de s’en retirer. Ainsi le point de vue économique correspond au flux et à la force des investissements et des désinvestissements de soi ou des objets. Ces lieux décrient par Freud n’ont rien à voir avec des localisations anatomiques. Freud va construire un appareil dont les composantes sont appelées instances ou systèmes. Le contenu de l’appareil psychique et des systèmes qui le compose est composé d’images mentales et de représentations. Les énergies, les pulsions qui animent ce système, trouvent leur source dans le corps et viennent charger les représentations qui deviennent par la même des représentations du corps.

Première topique (1900) Dans la première topique, le système conscient qu’on appelle aussi système perception-conscience, occupe des fonctions essentielles c’est-à-dire qu’il révèle une part relative et restreinte des processus psychiques. La majorité des processus psychiques sont inconscients, c’est pour cela que dans la pratique il est primordial de définir si un phénomène psychique est de qualité consciente ou inconsciente. La conscience est une donnée immédiate de l’expérience individuelle qui permet une appropriation subjective de l’expérience perceptive. L’appareil psychique est composé d’image mentale et de représentations. Les énergies que l’on appelle les pulsions, trouve leur sources dans le corps, elle vient se charger d’une représentation et va ainsi devenir une représentation des besoins du corps. Exemple : nourrisson qui ressent une tension dans son corps, qui gesticule pour l’évacuer. La mère vient le nourrir. Le nourrisson fait une représentation de cette tension comme étant la faim. Le fonctionnement mental obéi à deux régimes : - Les processus primaires : libre circulation de l’énergie, processus automatique de décharge de l’énergie, pensée associative non contrôlée. - Les processus secondaires : là pour soutenir le moi (qui est là pour s’adapter à la réalité), pour entraver les processus primaires, du côté de l’élaboration de la pensée, du côté de la prise en compte des contraintes dû à la réalité. Chaque sous partie du conscient, préconscient, inconscient obéi à des processus. La conscience appelé également le système perception-conscience est une instance qui ne révèle qu’une part des processus psychique. La majorité des processus sont inconscients dans la théorie freudienne. On attribue à la conscience les conduites perceptives qui vont permettre de transmettre des qualités du monde extérieur. La conscience va avoir des perceptions et celles-ci vont permettre de constituer la réalité externe. La conscience correspond à une donnée immédiate. On est dans une appréhension subjective de l’expérience perceptive. La conscience est particulièrement réceptive aux sensations de plaisir et de déplaisir.

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Le préconscient est un système intermédiaire entre le conscient et l’inconscient. Pour cela il opère deux types de censure : - La première censure qui sépare l’inconscient et le préconscient, empêche les contenus inconscients d’accéder au préconscient. - Le deuxième censure, entre le conscient et le préconscient, va avoir une fonction de sélection, permet d’écarter de la conscience des représentations troublantes. Lors des rêves notamment, cette barrière n’existe plus et les éléments qui accèdent au niveau préconscient vont être transformés afin de ne pas perturber. Le système préconscient qui est régi par des processus secondaires, parfois primaire. L’inconscient est régi par des processus primaires. Il est en parti constitué de contenu psychique dû à l’effet du refoulement. Ce sont des éléments qui n’ont pas pu franchir la barrière inconscient/préconscient. Ces contenus de l’inconscient sont des représentations des pulsions. La pulsion est une énergie psychique qui vient du corps, qui va se charger d’une représentation mais également d’un affecte. Les contenus inconscients sont des représentants de la pulsion. Une pulsion en tant que tel ne peut pas devenir consciente car elle n’a pas de « corps ». Une pulsion ne peut que se représenter. C’est une énergie qui va se charger avec une représentation. Les représentations inconscientes vont s’organiser en fantasme. Elles vont permettre de mettre en place des scénarios imaginaires. Parmi les mécanismes qui organisent l’inconscient, on retrouve les mêmes mécanismes que dans les rêves, qui sont les mécanismes de condensations et de déplacements. La condensation c’est le fait de réunir dans une représentation plusieurs chaines associatives de représentation, de réunir plusieurs représentations. Le déplacement va être le glissement d’une représentation à une autre.

Deuxième topique (1923) En 1923, Freud revoit sa conception du psychisme et parle alors du moi, du ça et du surmoi. Il n’y a pas de correspondance entre la première et la deuxième topique. La partie la plus ancienne de l’appareil psychique est le ça. Le ça est le premier mode d’expression du psychisme. On dit de lui que c’est un réservoir pulsionnel. Il a une place analogue à l’inconscient de la première topique. Il est régit par des processus primaires. Il est majoritairement constitué par ce qui est refoulé. Ça va être sous l’influence du monde extérieur que va se constituer une autre organisation que l’on va appeler le moi. Le moi assure le contrôle des mouvements volontaires. Il va mener des actions contre le ça pour essayer d’inhiber, de maitriser les exigences pulsionnels du ça. Il va essayer de les satisfaire, de les différer ou bien de les étouffer totalement. Le moi va être en proie à des tensions de l’extérieur et de l’intérieur. Il va essayer de tenir une certaine homéostasie. Plus il est sous tension, et plus il éprouve du déplaisir. Le but du moi est de baisser cette sensation de déplaisir. Exemple de l’alcoolisme : avant l'alcoolisation, il y a une augmentation de la tension psychique, l'alcool va être utilisé comme un moyen de satisfaire les exigences pulsionnelles ou bien comme un moyen de réduire la tension dû à l’extérieur. En abaissant cette tension, on abaisse le déplaisir et donc on se rapproche du plaisir. Les deux grands principes qui régissent le fonctionnement psychique sont le principe de plaisir et le principe de réalité. CONCEPTS PSYCHANALYTIQUES / LAURA RAUCOULES / 2016-2017

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Chez tout sujet on a cette polarité avec d’un coté la réalité externe dont on doit tenir compte et une forme de réalité interne où on va plus être du côté de la rêverie, du plaisir. On est en permanence dans une adaptation face à l’extérieur et en même temps dans l’idée de réaliser ses désirs. Le moi est une instance médiatrice qui doit tenir compte des exigences extérieures généralement en contradiction avec les exigences du moi et du ça. Le moi est à la foi conscient et inconscient. (Grande part d’inconscient avec un noyau conscient) Le moi est une instance qui se constitue petit à petit. Il est en évolution permanente. Il est une interface entre le ça et le surmoi. C’est un être frontière entre principe de plaisir et principe de réalité. Progressivement va se former au sein du moi une autre instance qui va petit à petit se détacher du moi qui va venir s’opposer à lui. Cette troisième instance, le surmoi, va prolonger l’influence parentale (également, maitre, maitresse). C’est une fonction critique issu du moi. Cette instance est appelé par Freud l’héritier du complexe d’Œdipe car il reprend les exigences et les interdits parentaux mais pas que. Le surmoi c’est ce qui permet de vivre en société. Le surmoi est intériorisé, il a pour but à l’origine de veiller sur le moi, il lui permet de lui assurer une estime de base. Il a des caractéristiques bienveillantes qui protègent, donne des limites, qui structurent. Mais il a également une face tyrannique qui met le sujet face à des exigences auquel il ne peut répondre. Qui le met face à des idéaux qu’il ne peut atteindre. Cette modélisation permet une compréhension originale du fonctionnement psychique. A partir de cela, l’appareil psychique se voit assigner des tâches spécifiques. Ces tâches vont être regroupées sous le terme de « travail psychique ». La prise en compte de ces processus fait apparaitre le côté dynamique de l’appareil psychique. C’est notre capacité à supporter ce travail qui va nous inscrire dans des modalités psychopathologiques particulières. Lorsque l’on se situe au niveau de la névrose, le conflit principal est un conflit entre le moi et le ça. Du côté de la psychose le conflit se situe entre le moi et la réalité externe.

Principe de réalité et principe de plaisir Formulations sur les deux principes de l’avenir psychique – Freud, 1911 En 1910, 1911, Freud va vouloir approfondir sa conception de l’appareil psychique. Dans ce texte, il propose deux registres de fonctionnement mental qui sont le principe de plaisir et le principe de réalité. Chez tout sujet on va trouver une polarité d’adaptation au réel et de l’autre un retrait de ce réel qui va être assuré par exemple par la rêverie. Le sujet est en permanence en train de s’adapter entre une forme de réalité et une tentative de réalisation de ces désirs. Ainsi ce double fonctionnement c’est-à-dire cette tentative d’adaptation permanente entre la réalité extérieure, qui va généralement imposer du déplaisir et une forme de réalité interne qui va assouvir ces désirs et donc de plaisir, est constitutif de la psyché humaine et relevé aussi bien de la normalité que de la pathologie. Nous ne sommes pas ici du côté du adapté et non adapté ni de quelque chose soutenant l’émotion de normalité, mais on soutient l’idée que le psychisme fonctionne à la fois sur un mode interne et sur un mode externe. On voit que dans la psychose, ce qui échoue c’est le rapport à la réalité. Dans l’hystérie, la réalité extérieure va être complexe à gérer. L’hystérique va avoir majoritairement recourt à la rêverie pour pouvoir accéder à une forme de réalisation de ses désirs mais ce n’est pas pour autant qu’il y a un décrochage avec la réalité, ce qui n’est pas le cas dans la psychose.

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Les pulsions En 1915, Freud s’intéresse à la pulsion. (Pulsion et destin des pulsions, 1915). Freud s’intéresse à la pulsion dès 1905 avec 3 essais sur la théorie sexuelle. Freud donne une définition de la pulsion :

« Le concept de pulsion nous apparaît comme un concept limite entre le psychique et le somatique, comme le représentant psychique des excitations issues de l'intérieur du corps et parvenant au psychisme, comme mesure de l'exigence de travail qui est imposé au psychique en conséquence de sa liaison au Freud d corporel. » - Freu La pulsion est un concept qui n’existe pas réellement. La pulsion c’est ce qu’il a trouvé pour expliquer la liaison entre le corps et le psychisme. Le psychisme va recevoir du corps des excitations, va imposer au psychisme de les traiter de faire le travail psychique et que, pour pouvoir lier le corps et le psychisme, on invente ce concept de pulsion. Pour pouvoir se représenter ce signal du corps, le psychisme est obligé de passer par la pulsion. Freud va définir la pulsion selon 4 caractéristiques ? C’est une poussée constante, motrice qui répond à 4 caractéristiques 1) La poussée : tendance à s’imposer. C’est le facteur moteur de la pulsion 2) Sa source : d’où elle vient. Processus somatique qui va être localisé dans un organe ou dans une partie du corps. 3) Son objet : ce par quoi va passer la pulsion pour atteindre son but. Généralement c’est un objet extérieur 4) Son but : c’est toujours le même. Lorsque l’appareil psychique est chargé au niveau pulsionnel il y a du déplaisir. Le but est donc la satisfaction d’un désir qui ne peut être obtenu qu’en supprimant l’état d’excitation. Exemple alcoolisme Les patients qui disent qu’ils boivent un verre par habitude sont dans une forme de déni et ne se questionnent pas. Lorsque l’on peut, en tant que clinicien, permettre le retard du premier verre pour leur permettre d’observer ce qu’il se passe dans leur corps, il se retrouve dans un état de tension que le sujet va chercher à supprimer. Pour le supprimer, il va passer pas un objet, ici, l’alcool. La source qui va être désigné à ce moment-là par le sujet va être la bouche. Il va y avoir un état de tension qui en passant par l’objet alcool va stimuler la zone érogène « bouche » et va viser un but qui est de supprimer l’état de tension. La théorie des pulsions chez Freud va beaucoup évoluer. Il décrit 2 types de pulsions (1905, 3 essais…) 1) Les pulsions du moi ou d’autoconservation qui vont être dévolu à l’auto conservation, vont être soumises au principe de réalité. Elles visent à la survie de l’espèce. 2) La pulsion sexuelle : va être régit par le principe de plaisir dans la recherche d’une décharge immédiate. Elle vise à la reproduction Freud introduit ici la notion de pulsion partielle. Ces pulsions s’étayent sur des pulsions organiques. Elles sont appliquées à des zones particulières du corps (oral, anal). Elles ne visent pas une réalisation sexuelle et se déroulent en 3 temps. 1) Temps actif : la téter. L’enfant à ce moment veut se nourrir, il ressent une tension interne. A ce moment il ne peut se représenter qu’il s’agit de la ...


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