Lien entre bénévolat et motivations (dissertation) PDF

Title Lien entre bénévolat et motivations (dissertation)
Course Questions de culture générale
Institution Université Paul-Valéry-Montpellier
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Dissertation sur les motivations au bénévolat...


Description

En quoi les sources de l'engagement dans le bénévolat social sont-elles partagées entre motivations personnelles et intérêt collectif ?

Le bénévolat est à l’heure actuelle une activité particulièrement répandue en France. En 2016, 12,5 millions de Français sont bénévoles selon une enquête réalisée par l’INSEE1, Institut National de la Statistique et des Études Économiques. Les sources de l’engagement bénévole sont multiples et variées : chaque individu s’engageant peut trouver des motivations qui lui sont propres. De plus, l’engagement bénévole peut être source de nombreux enjeux : solidarité envers ses pairs, désir de se rendre utile, ou encore volonté de valorisation individuelle sont autant de fondements pouvant inciter un individu à s’engager bénévolement. Qu’elles soient individuelles ou collectives, ces motivations sont un sujet d’étude particulièrement intéressant dans un contexte où l’activité du bénévolat ne cesse de se développer dans notre société. Le stage devant être réalisé dans le cadre du cursus de licence 3 de sociologie de l’intervention sociale, des conflits et de la médiation a été effectué au sein de l’association Centre Social Protestant2, une structure qui a pour objectif d’accueillir et d’aider toute personne en difficulté, qu’elle soit d’ordre économique, sociale ou relationnelle. Le CSP est aujourd’hui porté par une équipe de cinq salarié.e.s. En sus de ces salarié.e.s, 150 bénévoles sont présent.e.s dans la structure et se partagent les différentes activités hebdomadaires de l’association. Le bénévolat présent dans cette structure est le bénévolat social : les bénévoles s’engagent aux côtés des salarié.e.s dans l’aide à l’action sociale auprès des bénéficiaires. Le CSP est une porte d’entrée sur le monde du social de par ses missions et leur diversité. Le stage au sein de cette structure fut l’opportunité de porter un intérêt particulier au bénévolat, qui y est très présent. En effet, le grand nombre de bénévoles actifs au sein du CSP a permis de porter un regard d’analyse sociologique sur leur activité et leurs motivations, qu’elles soient individuelles ou collectives. Confronter le concept de l’altruisme avec celui de l’intérêt personnel pourrait expliquer les relations à l’œuvre chez les bénévoles, mais également les raisons de leur engagement. L’explication des différents aspects, enjeux et apports du bénévolat chez les individus reste un enjeu pour donner une compréhension de l’engagement bénévole, entre motivations personnelles et intérêt collectif, notamment dans le bénévolat social. L’ensemble de ces idées nous amène à poser la problématique suivante : En quoi les sources de l’engagement dans le bénévolat social sont-elles partagées entre motivations personnelles et intérêt collectif ? Les bénévoles, qui donnent de leur temps volontairement à des associations et sans percevoir aucune rémunération, ont chacune et chacun des attentes et des motivations différentes quant à leur engagement. Dans le bénévolat social, il semblerait que les bénévoles aient un intérêt collectif commun : aider les structures du social qui œuvrent à permettre aux populations les plus précaires de vivre dans des conditions de vie plus décentes.

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BURRICAND Carine, GLEIZES François. Trente ans de vie associative. Une participation stable, mais davantage féminine, Division Conditions de vie des ménages, Insee Première, janvier 2016, n° 1580 2 Centre Social Protestant : CSP

Cependant, cet intérêt collectif ne semble pas être la seule source de motivation de l’engagement des bénévoles. En effet, ceux-ci peuvent être animé.e.s par des raisons personnelles les motivant à s’engager auprès d’associations. Ainsi, plusieurs hypothèses peuvent être émises. D’une part, les motivations personnelles des bénévoles auraient deux sources distinctes : le désir et la nécessité. Ces deux raisons seraient alimentées par un certain nombre de facteurs, partagées entre sentiment d’utilité, aide à la personne, lien social ou encore convictions religieuses. D’autre part, les sources de l’engagement bénévole pourraient être liées à l’intérêt collectif, les bénévoles agissant dans le souci d’apporter une aide au niveau sociétal. Enfin, le bénévolat social présenterait diverses caractéristiques propres à son milieu, dans lequel les bénévoles trouveraient leurs aspirations entre motivations personnelles et intérêt collectif. Dans un premier temps, la question de l’engagement bénévole en France sera mise en avant au travers les multiples facettes du bénévolat. Dans un second temps seront mises en relation les différentes motivations pouvant être exprimées par les bénévoles quant à leur engagement, partagées entre motivations personnelles et intérêt collectif. Enfin, l’équilibre délicat du bénévolat social sera mis en abîme, entre enjeux relationnels et limites humaines. Méthodologie Le stage au sein du CSP a été l’opportunité de porter un regard sur les sources de l’engagement bénévole social. Pour ce faire, observer les interactions entre les bénévoles eux-mêmes, mais aussi avec les bénéficiaires et les salarié.e.s fut très important. Aller à la rencontre des différents publics bénéficiant de l’action sociale dans cette structure fut également un moyen de comprendre les relations à l’œuvre entre bénéficiaires et bénévoles. La méthodologie utilisée dans le cadre de ce mémoire fut majoritairement partagée entre observation participante et enquête quantitative, bien qu’un entretien exploratoire ait également été réalisé avec un bénévole au début du stage. Le but de cet entretien exploratoire fut de recueillir un certain nombre d’informations sur le bénévolat. Grâce à celui-ci, il a été possible de trouver par la suite des pistes de recherches ainsi que des hypothèses de travail, en fonction des réponses apportées par l’enquêté. L’entretien fut semi-directif, c’est-à-dire qu’il s’est composé d’une grille d’entretien (cf. annexes) comportant une dizaine de questions ayant un thème principal : les motivations de l’engagement bénévole. Après avoir annoncé le thème de l’entretien à l’enquêté, il fut pertinent de faire en sorte que celui-ci se déroule le plus naturellement possible, tout en abordant l’ensemble des thèmes fixés. L’entretien semi-directif est intéressant pour identifier le positionnement des individus sur leur situation ainsi que leur façon de la vivre. Comme l’indiquent Didier Demazière et Claude Dubar, sociologues français, ces

entretiens permettent de « transformer une suite chronologique (…) en une argumentation logique »3. Une grille d’entretien fut donc préparée dans laquelle un ordre précis de questions fut fixé. Cependant, au fur et à mesure de l’entretien, l’ordre fut adapté en fonction des sujets que l’enquêté abordait au fil de l’entretien. Le vocabulaire a également été adapté. En effet, il est nécessaire d’être au plus près du langage des personnes visées lors d’un entretien pour créer un climat de confiance et de proximité. Avant de débuter cet entretien, il a été rappelé de nombreuses fois que celui-ci serait confidentiel. Magali Boumaza, docteur en sciences politiques, relate son expérience d’enquête au sein d’un « milieu extrême » 4 dans l’un de ses articles parus en 2001 et nous indique l’importance de donner un grand nombre de garanties à ses interlocuteurs lors des entretiens dans le but de les rassurer, tels que préciser son statut ou de garantir leur anonymat. Dans le cadre de cet entretien exploratoire, dont la retranscription se trouve en annexe, l’enquêté a cité un certain nombre d’éléments de son parcours de bénévole. Il a pu être ressenti pendant cet entretien que ce fut pour lui un « espace de revalorisation »5, comme l’indique Corinne Rostaing, sociologue et maître de conférences en sociologie. En effet, l’enquêté a développé son expérience personnelle ainsi que la valorisation que cette activité de bénévolat représente pour lui. De nombreux bénévoles, comme l’enquêté, sont en effet à la recherche d’une valorisation de leur statut, de « reconnaissance sociale [et de] désir d’agir » 6 selon Jean Foucart, docteur en sociologie. Ces motivations seront davantage explicitées tout au long de ce mémoire. Il aurait été souhaitable de réaliser davantage d’entretiens avec des bénévoles, du CSP ou d’autres associations, dans l’objectif de « jouer avec la pluralité » 7 et de multiplier les points de vue en faisant varier l’âge, l’origine, l’ancienneté du bénévolat, etc. Cependant, au vu de la situation due au Covid-19, cela n’a pas été possible. De courts entretiens informels ont été réalisés durant les observations, pendant lesquels les bénévoles ont pu répondre avec une certaine spontanéité. L’observation participante au sein du CSP fut primordiale dans le cadre de cette étude. Observer les interactions entre les bénévoles, mais aussi avec les professionnel.le.s et les bénéficiaires fut la possibilité d’émettre un certain nombre d’hypothèses sur les motivations de l’engagement bénévole social. L’observation participante permet d’identifier des éléments différents de ceux qu’il pourrait être possible d’appréhender lors d’un entretien. Cela permet également de prendre part aux activités de groupe proposées pour ainsi gagner la confiance des enquêté.e.s, ici des bénévoles. Lors de toute observation participante, il semble nécessaire de se construire un rôle sur le terrain dans la situation d’enquête et de s’adapter le mieux possible à la situation. 3

DEMAZIERE Didier, DUBAR Claude. Analyser les entretiens biographiques. L’exemple de récits d’insertion. Paris : Nathan, 1997 4 BOUMAZA Magali. L’expérience d’une jeune chercheuse en « milieu extrême » : une enquête au Front National, Regards Sociologiques, 2001, n° 22, pp. 105-121 5 ROSTAING Corinne. Quelques ficelles de sociologie carcérale. Criminocorpus, 2017 6 7

FOUCART Jean. Le volontariat, force d’innovation sociale. Pensée plurielle, 2005, vol. no 9, no. 1, pp. 35-38 Voir note 5

Comme l’indique Everett Hughes, sociologue américain, « le travail de terrain sera envisagé … comme l’observation des gens in situ : il s’agit de les rencontrer là où ils se trouvent, de rester en leur compagnie en jouant un rôle qui, acceptable pour eux, permette d’observer de près certains de leurs comportements et d’en donner une description qui soit utile pour les sciences sociales tout en ne faisant pas de tort à ceux que l’on observe » 8. Grâce à ces observations, il a été possible de lister les régularités dans les interactions dans le but de créer une grille d’analyse, avec laquelle a été mis au point un questionnaire portant sur les sources de l’engagement bénévole9 (cf. annexes). Ce questionnaire fut la principale méthode utilisée dans le cadre de ce mémoire. Les réponses au questionnaire ont pour objectif de répertorier les principales motivations des bénévoles, mais également de recueillir des informations de profils variés. Les questions furent choisies en fonction des hypothèses de travail, citées ci-dessus. Le questionnaire s’est composé de 17 questions et a été distribué à une partie des bénévoles du CSP, les autres n’étant pas intervenu.e.s au CSP durant la période de distribution du questionnaire. Il a été précisé à plusieurs reprises, à l’oral et à l’écrit, que les réponses du questionnaire seraient anonymes et confidentielles. Cela est nécessaire pour rassurer les bénévoles et ainsi obtenir des réponses se rapprochant au plus près de la vérité. Les bénévoles ont été réceptifs au questionnaire malgré le fait que tous ne me l’aient pas rendu. À l’heure actuelle, 28 questionnaires furent récupérés, les données collectées et analysées. Quelques résultats préliminaires du questionnaire peuvent être présentés. Parmi les répondant.e.s, 22,7% des bénévoles sont des hommes contre 77,3% de femmes. En 2002, Edith Archambault, docteur en sciences économiques, écrit que « les bénévoles sont plus souvent des hommes que des femmes » 10. Pourtant, en janvier 2016, l’INSEE relate qu’en trente ans, « le monde associatif s’est nettement féminisé »11. Cela peut dépendre du domaine du bénévolat, les femmes étant souvent majoritaires dans le domaine du social, comme c’est ici le cas au CSP. Dans cette structure, la moyenne d’âge des bénévoles ayant répondu à l’enquête est de 61 ans, le plus jeune étant âgé de 26 ans et le plus âgé de 82 ans. Parmi les enquêté.e.s, près de 64% sont à la retraite et 13,6% exercent encore une activité professionnelle. Pour plus de la moitié des bénévoles, leur engagement au CSP n’est pas leur premier et 50% des bénévoles du CSP le sont également dans d’autres associations. D’autres données du questionnaire seront présentées tout au long de ce mémoire. Ces méthodes d’enquête ont permis la formulation d’hypothèses grâce à laquelle la problématique fut ensuite construite. Elles furent également la possibilité d’aller au plus près des bénévoles afin de tenter de comprendre les intérêts et motivations de 8

HUGUES Everett. La place du travail de terrain dans les sciences sociales. Le regard sociologique, Paris : EHESS, 1996, p. 267 PUERINI Léa. Enquête sur les sources de l’engagement bénévole. Questionnaire transmis aux bénévoles du CSP, février 2020 10 ARCHAMBAULT Édith. Le travail bénévole en France et en Europe. Résultats du programme de recherche de l’université Johns Hopkins de comparaison internationale du secteur sans but lucratif. Revue française des affaires sociales, 2002, no. 4, pp. 11-36

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BURRICAND Carine, GLEIZES François. Trente ans de vie associative. Une participation stable, mais davantage féminine, Division Conditions de vie des ménages, Insee Première, janvier 2016, n° 1580

leur engagement, dont les sources peuvent être partagées entre motivations personnelles et intérêt collectif.

I.

Qu’est-ce que le bénévolat ?

Le désir de donner de son temps et de sa personne semble à l’heure actuelle important en France. Ce désir, bien que réparti entre motivations personnelles et altruistes, semble de plus en plus motivé par le « plaisir éprouvé pour soi » 12 selon Pascal Dreyer, auteur et créateur d’associations sur les questions de handicap, de dépendance et de bénévolat, dans son ouvrage Être bénévole aujourd’hui : Motivations, Engagement, Reconnaissance (2006). Les bénévoles ne s’engageraient pas par obligation, mais parce qu’ils peuvent en ressentir personnellement la nécessité. Cela ne les rend pas moins altruistes ou plus égoïstes : leur propre désir d’agir et de donner de leur temps renforce leur service à la collectivité et à autrui. Le bénévolat et le volontariat sont deux statuts naissant d’une même envie : être au service de la collectivité par un engagement individuel. Pourtant, ces deux statuts sont à distinguer et renvoient à deux réalités différentes. Le bénévolat est un engagement libre dans lequel il n’y a pas de contrat de travail, de rémunération financière, de restriction d’âge ou de diplôme. Selon une enquête parue par France Bénévolat en 2004, un bénévole est une « personne qui donne de son temps pour une association ou un organisme à but non lucratif, sans rien recevoir en retour d’autre que la gratification morale de la gratuité de son don » 13. Le don de temps et la disponibilité font donc partie intégrante du bénévolat. Un bénévole a également l’obligation de respecter le règlement et les statuts de l’organisme d’accueil et se doit de se conformer aux règles de sécurité. En revanche, l’organisme d’accueil ne peut pas sanctionner un bénévole et celui-ci est libre d’interrompre son engagement quand il le souhaite. L’engagement volontaire, aussi appelé volontariat, est à distinguer du bénévolat. Celui-ci est une forme d’engagement dans lequel un contrat de travail est rédigé en accord avec l’association pour laquelle l’individu s’engage. Celui-ci exerce alors une mission dans un cadre réglementé et défini. Les formes de volontariat sont variées, par exemple le volontariat de service civique ou le VSI, Volontaire de Solidarité Internationale. Contrairement à un bénévole, le volontaire est indemnisé et doit respecter un préavis en cas de rupture de contrat d’engagement. Dans le cadre de ce mémoire, l’étude sera portée sur le statut de bénévole, celui-ci portant un certain nombre de caractéristiques qu’il semble pertinent de définir.

12 DREYER Pascal. Être bénévole aujourd’hui : Motivations, Engagement, Reconnaissance. Marabout, 2006, 332 p, page 20 13 France Bénévolat, Enquête La France bénévole en 2004 in ARVEILLER Jean-Paul, Guide du bénévole social. ERES, 2007, 192p

A.

L’engagement bénévole en France

1.

Le modèle associatif français : le creuset du bénévolat

a.

Les associations : définition et particularités

La loi du 1 er juillet 1901, mise en place par le gouvernement Waldeck-Rousseau 14, a permis la création des associations. Celle-ci se fait lorsque plusieurs personnes s’associent avec un objectif commun. Les statuts de l’association sont alors définis par ces personnes : les buts recherchés et les moyens qu’ils se donnent pour y parvenir en sont des exemples. Dans un souci d’équilibre entre les membres de l’association, une assemblée générale est organisée chaque année, à laquelle y participe la majorité voire tous ses adhérent.e.s. Il existe divers types d’associations. Leurs profils sont différents et varient selon la taille, le domaine, ou encore leur dépendance financière. Leurs pratiques diffèrent également selon ces caractéristiques. Selon le recueil des chiffres clés de la vie associative 201915 créent par l’Institut National de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire, qui porte un ensemble d’éléments sur les questions de vie associative, 1,5 million d’associations sont dénombrées en France en 2017. Celles-ci sont réparties selon différents domaines d’activité, les plus représentés étant les associations sportives (24%), les associations culturelles (23%) et les associations dans le domaine des loisirs (21%). Pourtant, toujours en 2017, les bénévoles sont majoritairement présents dans les associations de défense des droits et des intérêts (23,2%) et dans les associations à vocation sociale (20,2%), qui représentent elles 14% des associations en France en 2017. Il existe des associations déclarées ou immatriculées au répertoire Sirene (Système national d’identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements 16) : il s’agit d’un inventaire tenu par l’INSEE recensant les renseignements sur les entreprises immatriculées en France. Cela permet aux organismes, et notamment aux associations, d’obtenir une immatriculation afin de pouvoir demander des subventions publiques. Cette demande d’aide est faite par les associations dans le but d’assurer leurs missions et de contribuer au développement de leurs activités. Les pouvoirs publics ont ainsi un droit de regard sur l’utilisation de ces subventions et demandent un compte-rendu financier et d’exercice de l’association. Toutes les associations, exceptées les associations culturelles 17, peuvent demander des subventions publiques. Dans le cadre de ce mémoire, un intérêt particulier sera porté aux associations dans le domaine du social : celles-ci peuvent demander l’aide de subventions publiques. 14 Wikipédia, l’encyclopédie libre, « Gouvernement Pierre Waldeck-Rousseau », 30 janv. 2020, consulté le 30 avril 2020. URL : 15 INJEP Institut National de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire. Les chiffres clés de la vie associative 2019. INJEP, 28 août 2019 16 Wikipédia, l’encyclopédie libre, « Système national d’identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements », 21 mai 2020, consulté le 30 avril 2020. URL :

17

Service-Public.fr, Subventions versées aux associations, République française, vérifié le 13 février 2020. Consulté le 30 avril 2020. URL :

Bien que cette aide permette de contribuer au fonctionnement global de l’activité des associations, celle-ci ne semble pas toujours suffisante. Ainsi, les associations sont à la recherche de nombreux bénévoles ; leur diversité ainsi que leurs divers champs d’action leur permettent d’assurer un fonctionnement permanent. Selon des chiffres de 2019 parus dans un article de Recherches et solidarité 18, un rése...


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