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Chapitre 1,2 et 3 cours sociologie de l'éducation 2ème année sciences de l'éducation semestre 3...

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CM Sociologie de l'éducation Cours du 12/09/18 ARENDT.H : philosophe, journaliste, polytologue Elle dit que c'est via l'éducation qu'un groupe social pense son avenir et la façon dont il souhaite former les nouvelles générations Emile DURKHEIM : considérer comme le père de la sociologie française, il a insisté sur cette dimension politique de l'éducation, il existe une correspondance entre les modèles éducatif et le projet politique d'une nation. Il insiste sur la relation qui unit les strucuture politique et sociales, d'autre part les pratiques éducatives en vigueur dans une société et les formes scolaire qui s''y développe. L'éducation est un objet politique partagé. Quel apport spécifique de la sociologie au domaine de l'éducation ? Par rapport à la connaissance "ordinaire" ? Par rapport à d'autres disciplines académiques ? Évaluation : Deux sujets aux choix, 2h sur table Document autorisé. 1 sujet un document sur la culture faire des liens / 1 sujet question générale argumentation.

Introduction générale ARENDT. H : philosophe, journaliste, politologue Elle dit que c’est via l’éducation qu’un groupe social pense son avenir et la façon dont il souhaite former les nouvelles générations. « Pour pouvoir « éduquer les enfants correctement, nous devons les séparer de leurs familles. Certain peuvent penser qu’il s’agit d’une mesure radicale, mais nous n’avons pas d’autre choix si nous voulons les civiliser » Hector Langevin 3 affiches : La haine envers l’ennemie Nécessite de mener une propagande spécifique envers les territoires d’outre-mer afin de rendre hommage. Manuel économie domestique : enseigner aux femmes à faire le ménage... Par apport à l’époque. Émile Durkheim : père de la sociologie française Il insiste sur cette dimension politique de l’éducation. Il existe une correspondance entre modèles éducatifs et projet politique d’une national Il insiste sur la relation entre d’une part les structures politiques et sociales, d’autre part les pratiques éducatives en vigueur dans une société et les formes scolaire qui s’y développent. « L’école consiste en une socialisation méthodique de la génération »

L’éducation est un objet politique partagé. Qu’est-ce que ça implique pour les sciences humaines et sociales. Quel apport spécifique de la sociologie au domaine de l’éducation ? Par rapport à la connaissance « ordinaire » ? Par rapport à d’autres disciplines académiques ?

Chapitre 1 : Faire de la sociologie en éducation ou sur l’éducation ? De quoi la sociologie est-elle le nom ? Genèse Comment s’est-elle construite. Auguste le Comte (1798-1857), premier qui utilise le mot « sociologie » dans son cours philosophie. Il utilise une physique sociale, il fait une homologie entre la société et la nature. Met en parallèle une volonté forte et une subjectivité, avec la construction d’une volonté séculaire (séparation de l’états et de l’église). Le XX ème siècle : la sociologie s’institutionnalise en Europ et aux États-Unis. L’enseignement de la sociologie à Bordeaux. Platon étudie la division du travail, c’est-à-dire comment on sait d’une communité se répartissent les rôles. Qui produit de la nourriture, qui s’occupe de l’éducation des enfants. Il s’intéresse aux conséquences de cette disions du travail, elle crée de l’interdépendance entre les individus d’une même communauté. La division du travail est centrée en sociologie. Chez Platon c’est l’inverse de ce que fait le sociologue. Il décrit un idéale de la société il décrit la société comment elle devrait être. Aristote Il rompre avec son maître (Platon) notamment en disant il n’est pas possible de définir le modèle idéal de la société. Ces arguments on ne peut pas crée la société car la société crée les hommes. L’homme est un animal politique pour Aristote. Aristote à une pense sociologique, il définit les problèmes que la croissance des inégalités, seraient vouée à une instabilité. « Une démarche d’analyse scientifique du social » Principalement des philosophes 17eme et 18eme siècle, décrit un idéal. On a de plus en plus envie de savoir l’évolution des Hommes dans la société. On voit émerger au 19émé les « intellectuel » à l’époque les « intellectuels » sont à la voit des mathématiciens des philosophe. Sur la question ouvrière pose des questions des romanciers. Le but de construire un groupe de scientifiques pour assoir la légitimé de la science. La sociologie sera en mesure de montré les sciences dure (philo, maths.). L’entrée de la sociologie c’est fait d’une rupture franche avec la littéraire. Ibn Khaldun un homme de lettre, il écrit des textes des modes de vies. Réflexion politique du Coran. Le métier de sociologue : Une pluralité d’objets/un regard spécifique Deux définition DURHEIM et WEBER, et une autre définition de BERTHOTELOT, définit une entreprise raisonner, méthodique, d’analyse et interprétation. Le débat il y’a aucune définition qui fait autorité et qui les ressemble, la définition de la sociologie évolue dans le temps elle n’est pas fixe. Quelle est le point commun de leurs disciplines.

Ecoute de Pierre BOURDIEU (A1903-2002), la sociologie essai d’établir des lois et des régularités, elle essaie d’en définir les principes. Elle essaie de comprendre pourquoi les gens fait ça autrement que d’un point bue psychologie. La démarche d’analyse scientifique du social (collé schéma). Reformulons… la sociologie C’est l’étude de la société et ses principaux fonctionnements. Cette sociologie va interroger les façons de penser et d’agir des groupes et des personnes dans un espace et dans un temps donné. Le sociologue est celui qui va étudier la société. Les sociologues vont être très éparpillés sur différents objets. Ils vont travailler sur plusieurs choses. Exemple de question : Les personnes votent à gauche ont elle un profil social particulier ? L’école donne-t-elle des chances égales de réussite à tous les individus ? Comment se font les découvertes scientifiques ? Qui défends le pouvoir dans une organisation ? Quels sont les mécanismes de l’exclusion social ? Les sociologues vont devoir partager leurs objets avec d’autre spécialistes. La société ? C’est ce qui apparaît quand des humains commence à vivre ensemble. Le sociologue va faire l’hypothèse qu’il y a des règles spéciales qui régissent se monde social. Il y a une différence entre les règles de la nature et les règles du social. Les règles sociales elle vont évoluer dans le temps elle se transforme de manière permanente. La complexité du sociologue c’est qu’il va conceptualiser les lois qui ont été dit par ses collègues dans le passé. Règles du monde social : Elles ne sont pas immuables (varient dans le temps et l’espace) Elles contraignent les individus. Une impression de « déjà savoir » 3 exemples : L’homogamie social Ce coup de foudre-là ne tombe pas au hasard. On a tendance à se mettre en couple avec une personne de même niveau social ou d’un niveau social proche. C’est un choix qui est contraint et non déterminé par l’appartenance social. Le crack à New York Dans un quartier extrêmement stigmatisé de New York où on compte un certain nombre de consommateur de crack. Derrière l’apparence de désorganisation social il y a enfaité une organisation mais différente de la nôtre. Il y a des règles et des lois informels qui vont rappeler celle d’une entreprise. De nombreuse personne qui « traîne » on dés fonction dans la vente de se crack là. L’égalité des chances à l’école L’égalité des chances c’est une valeur qui est promu par l’institution scolaire. Les résultats des élèves sont censés dépendre uniquement de leurs mérites. Le sociologue va interroger cette évidence, Selon le milieu social on n’a pas les mêmes chances à l’école

En 1993, la proportion de bachelier chez les 25 – 39ans était de : 72% chez les enfants de cadres 53% enfant de professionnel intermédiaire Des outils pour rompre avec la connaissance immédiate Le sociologue a des méthodes de production, de données. Il va essayer de provoquer des entretiens individuels ou collectif, des observations, des questionnaires, des analyses documentaires. Et le sociologue a aussi des outils d’analyse, des concepts, des théories... cette dimension est centrale. Elle arrive après la production des données.

Un regard sociologique sur l’éducation La sociologie va puiser des connaissances et des modèles qui vont éclairer dans le domaine de l’éducation et ainsi faire évoluer ces connaissances. Ils vont pouvoir participer à faire évoluer les connaissances dans la sociologie générale. Un sous domaine de la sociologie générale La difficulté si les sociologues se coupent trop des autres et arrêter de dialoguer, ils risquent de ne voir qu’une facette des choses concernant l’éducation. La sociologie doit-elle être « utile » La première tâche est descriptive, scientifique mais à cette tâche là il va y avoir deux autres tâches. La deuxième est une tâche critique. Elle ne doit pas elle assimiler à de la dénonciation, elle va découler des observations qu’on a faite, ou l’on va évoluer noter et pointer des écarts par rapport à une société que l’on pense ville idéale. La troisième tâche est une tâche réformatrice c’est jusqu’où on doit aller pour transformer cette réalité. Utile à qui ? A quoi ? Howard BECKER (1928) « Rendre la sociologie pertinente pour la société » Se poser la question d’une sociologie plus « utile » pour la société nous expose à appréhender ce qui est pertinent à travers le regard des autres Ce qui est considéré comme pertinent ou utile est relatif Ce qui est considéré comme utile à un moment donné ne peut pas l’être dans un autre contexte. Les questions centrales en sociologie de l’éducation Comment une société forme-y-elle les individus qui la composent ? Chapitre 2 Rapport entre les institutions éducatives et stratification sociale ? Chapitre 3

Chapitre 2 : la notion de « socialisation » et ses usages en sociologie de l’éducation Comment nous devenons peu à peu des êtres sociaux Exemple de Robinson Crusoé C’est un roman anglais écrit par Daniel Dufoe qui est publier en 1719 et inspirée de la vie d’Alexandre Selkirk un marin écossait. C’est un jeune de 19ans, Robinson est perdu sur une île où il rencontre Vendredi. Norbert Eliasse a choisi un passage qui décrit le comportement de Robinson dès son arrivé dans l’île. Le souci de maitrise du temps : il crée des calendriers, horloges… Le souci de maitrise de l’espace : il distingue des pièces et leurs donne une spécificité. Il crée aussi une charte avec des lois, des normes et il prévoit des transgressions à ses normes/loi avec des sanctions. Il occupe l’île comme si c’était une colonie anglaise. Cet exemple montre bien le travail de mise en forme de l’individu par la société que l’on nomme la socialisation. Il indique que Robinson Crusoé porte la marque d’une société, d’un certain peuple, d’une certaine catégorie sociale. Coupe de toute relation avec eux, il est perdu sur son île, il adapte des comportements, forme des souhaits et conçoit des projets conforme à leurs normes. Deux tensions : individu et société Les individus interdépendants forment la société qui n’est donc pas extérieure à eux. La société est la matrice et le produit. Elle contraint nos comportements mais nous agissons toujours avec une marge de manœuvre.

Définition de la « socialisation » L’ensemble des processus par lesquels l’individu est construit – on dira aussi « formé », « modelé », « façonné », « fabriqué », « conditionné » - par la société globale et locale dans laquelle il vit, processus au cours desquels l’individu acquiert – « apprends », « incorpore », « intériorise », « intègre » - des façons de faire, de penser, et d’être qui sont situées socialement.

« Façon dont la société forme et transforme les individus » QUI : agents et instances précis QUOI : effets, produits, contenus, résultats spécifiques COMMENT : processus réels et déterminés

2. Les instances de socialisation 2.1 Plusieurs principes de catégorisation, de classement Différents principes de catégorisation, de classement. Le rapport à la socialisation : but explicité ou indirect.

2.2 Les principales instances de " socialisation primaire " - La famille : un mot qui renvoie à différentes réalités, le sociologue essaye de décomposer le mot pour savoir a quoi il fait référence. La croissance ou le gain d'un monopole ? Dans une même famille il y a différentes personnes qui sont porteur de normes et de valeurs parfois différentes, un sociologue (BERNARD LAIR) fait une recherche à partir de différente situation familiale d'élèves de CE2 avec les mêmes caractéristiques. Il travail à partir d'entretien avec les familles, il note par exemple que la présence d'une grande soeur étudiante facilite la réussite scolaire. Cette hétérogénéité intra familial ne peut pas être expliqué. A l'inverse une sociologue a travaillé sur les trajectoires scolaires d'enfant qui était destinée a reussir et qui sont en echec scolaire, elle les appelle les " méshéritier ", elle met en evidence que tous les enfatns avec qui elle a travailler sont issue de couple parentaux scolairement mixtes. Le père est très peu présent pour aider les enfants pour leur devoir donc c'est la mère (qui a moins de diplomes que le père) qui s'en occupe. C'est une façon schématique de désigner un groupe mais il est intérressant de voir au sein de ce groupe les différences. La famille est l'instance la plus influente. Deux théories opposées : La croissance du monopole de la famille : Norbert Elliase travail sur la période du moyen age au 19 eme siecle, il montre que le couple parental en europe a acquis petit à petit " la tache exclusive du premier conditionnement " avant le moyen age ce conditionnement de l'enfant etait détenu par les couches superieur sur les couches inférieures, elle etait mener par les pairs, les domestiques... La perte du monopole de la famille : certains nombres de sociologue montre que depuis le 19 eme siecle il y a des normes educative qui réduise le monopole des parents, la scolarisation commence de plus en plus tot, le travail féminin qui permet moins d'assumer la tache de garder ses enfants Ces deux théories sont convaincantes, Murielle Darmond dit qu'elle se serait succéder. - Les limitations de l'intervention parentale : etre parents implique aussi des devoirs, le role de parents comporte des limitations comme le role de l'état car c'est finalement l'état qui donne au parents la responsabilité de cette éducation, on peut dire que le travail de parents est encadré juridiquement et pour preuve le parent peut etre déchu de ces droits parentaux si on considére quil fait mal son travail. Le véritable propriétaire de l'enfanc c'est l'état il intervient de trois facon : il va sanctionner, controler le travail des parents, il fixe des normes de ce qu'est un bon parent (interdiction des chatiments corporels). Ce point montre que les parents sont aussi socialisateurs de l'enfant qu’eux mêmes sont socialiser par l'Etat. L'Etat va aussi instaurer des modes de garde privilégié et donc controler l'influence de la famille. La délégation principale est la scolarité et en

mettant en place d'autres mode de garde comme la crèche ou les nounous, c'est une forme de diminution de l'influence des parents dans la socialisation. Ce que monter le sociologue c'est que dans les choix réels et concret de ces modes de garde on peut identifier des préférences selon le type de famille, choisir de scolariser sont enfant à 2 ans est lier a des positions sociales précise, cela dépend du revenu, des contraintes de temps mais il y a des choix plus culturel et idéologiques, il observe une sorte de lien. Très tôt l'enfant va être familiariser a être en contact avec des personnes différentes. L'intervention des professionnels de l'enfance c’est un secteur d'activité qui se développe et qui produise un ensemble de normes, d'activités qui vont réguler le travail de parents (pour savoir ce qu'est une bonne attitude de parents). CE que montre le sociologue c'est qu’on ne peut pas définir le travail des pro de l'enfance, on voit qu’ils vont produire des normes mais il y a une évolution qui se dessine, qui permet de voir l'enfant comme libre de ses choix, c'est une tendance que le sociologue DESSINGUI pointe.

- Des socialisations horizontales : Il n'y a pas de différence de statut entre le socialiser et le socialisateur. JULIE DELALANDE, montre deux choses : - les copains dans la cour de récréation ont un rôle - a travers se rôle il vont participer à la socialisation scolaire Cette espace qu'on considère comme un espace de socialisation horizontale ne doit pas nous amener à sous-estimer les rapports de pouvoir qu'il peut y avoir enter les élèves, entre pairs n'implique pas l'absence de rapports de pouvoir, il y a de la moquerie, des chatiments corporelle... on a une vision idilique de cette socialisation horizontale mais il faut s'interroger sur comment sa fonctionne.La famille va participer a controler les effets des groupes de pairs, elle peut controler l'accés plus ou moins important au reseaux sociaux, des temps d'interdiction d'écran, accorder une place plus ou moins importante aux amis... de facon indirecte la famille va aussi participer a controler l'influence des groupe de pairs. On peut dire que cette pluralité la d'influence va etre exposer est elle même socialement variable. - L'école : une instance spécifique : car elle permet d'articuler autour de l'enfant plusieur autres instance de socialisation. A l'ecole la famille est plus ou moins présente par exemple dans les conseils d'administrations, a travers les fédérations de parents d'eleves, mais il y a aussi un ensemble de pro de l'enfance : les enseignant, personelle scolaire, corps médical, psy... c'est un lieu ou on peut rencontrer des personnes qu'on ne rencontrerait pas dans d'autre lieux. A l'ecole toute ces instances vont etre en coprésence et c'est l'école qui arbitre comme elle s'articule entre elle. Elle est spécifique grace a sa croissance. Deux modèles s’opposent :

- importance croissante de l'influence de la scolarité : un allongement de la période scolaire, le nombre croissant d'enfant scolarisé dès 3 ans alors que ce n'est pas obligatoire. Ce role de l'école existe d'un bout a l'autre de l'échelle sociale. Premier exemple : opposition famille aisé et pauvre : les travaux permettent de s'attacher au mythe de la demission des familles populaires devant l'école, la famille consacre un temps non négligable au sein de l'espace privé pour aider l'enfant (travaux montondon) il montre que l'école mobilise les familles qui sont démobiliser. Deuxième exemple : execption des beau quartier qui renvoie a la tendance que dans les quartier bourgeois on avat a éduqué en famille et le plus tot possible, on mobilise les compétence de la famille pour mobiliser les enfants, les travaux de sociologue ( CHARLOT ) on montrer que recourrir a du privé a diminuer dans les beau quartier, ces famille surinvestisse l'ecole primaire, au detriment d'autre forme d'enseignement privilégié avant, qui est considerer comme le demarrage de la trajectoire de la reussite, au moment d'entrer au lycée ces famille les enlève du privé et les envoi dans le public car ces lycée sont des portes d'entré vers des formation prestigieuse. Cet exemple nous montre que la réussite scolaire prime sur le fait de se socialiser sur les cultures. Le modèle de socialisation scolaire c'est imposer comme un modele dominant. Notion de forme scolaire proposé par GUY VINCENT, cette notion permet de montrer que le modele d'education cest exporter dans d'autre espace que l'école, cette forme scolaire la définisse comme : - la mise en place d'un univers séparer pour l'enfance - l'importance des règles d'apprentissages - une organisation rationnaliser du temps - la multiplication d'exercices séparer et déconnecter des conditions réelles - La socialisation secondaire : On trouve trois grande distingtions : - en référence a des cylce ou des moments de vie, on peut parler d'un axe - renvoi aux instances - distingue la socialisation primaire de la socialisation secondaire en fonction de ce qu'elle produit, la socialisation primaire est plus emotionnele, plus d'apprentissage du corps alors que la secondaire serait plus rationnelle, plus dans la réflexion Cette socialisation serait plus rationnelle mais également come ell...